Après l’indispensable Wilmot’s Warehouse (un jeu aux allures minimalistes où il était question d’organiser des livraisons de petits cubes de couleur dans votre entrepôt gigantesque) Finji a décidé de s’en prendre à nos nerfs à nouveau avec Wilmot Works It Out. De ce studio / éditeur indé’ américain composé d’une quinzaine de personnes sont nées des petites pépites incroyables telles que Night In The Woods, I Was A Teenage Exocolonist, Chicory: A Colorful Tale ou encore TUNIC. Ils revendiquent « appliquer des politiques d’équipe inclusives qui soutiennent une bonne qualité de vie (pas de crise) et fournir des parts de revenus importantes pour tous les membres de l’équipe. » S’il vous fallait une raison de plus de vous intéresser à leur merveilleux travail en voilà une !
Huit ans après l’envoutant Gris, Nomada Studio revient aux affaires avec Neva. La filiation entre les deux jeux saute aux yeux, mais ce digne successeur se veut légèrement plus joueur. Attention à ne pas vous jeter dans la gueule du loup sans savoir de quoi il en retourne.
Il y a des jeux qui nous attrapent les yeux et le cœur avec quelques images et un concept. Le temps d’un tout petit trailer et de quelques images de gameplay, c’est exactement ce que The Plucky Squire – traduit depuis « Le Vaillant Petit Page » – avait provoqué chez moi. Annoncé il y a maintenant un peu plus de 2 ans, je sais que je ne suis pas la seule à qui ce titre avait fait forte impression. Le pitch de départ : vous incarnez un personnage de livre pour enfant (« le » vaillant petit page) qui a le pouvoir d’en sortir, vagabondant ainsi dans l’univers du petit garçon à qui appartient le bouquin. Concept original et catchy s’il en est. Le résultat est-il finalement à la hauteur des fortes attentes ?
Le jeu vidéo est un divertissement formidable et surprenant : si je vous disais qu’aujourd’hui il vous proposait de vous embarquer dans un univers de SF… en pleine Provence ? Une proposition originale que seul un studio indépendant, Plane Toast, pouvait faire. Mais avec le soutien du bon éditeur, en l’occurrence Dear Villagers, rien n’était impossible, pas vrai ? L’anecdote pourrait s’arrêter là si le jeu, en plus de son pitch surprenant, n’était pas doté d’une DA incroyable, d’une histoire sur fond d’écologie qui résonne fort, et d’un gameplay très réussi. Laissez-moi vous parler de Caravan SandWitch.
20 ans après sa version GameCube, Paper Mario : La Porte Millénaire s’offre un ravalement de façade et ressort sur Switch. Moi qui n’ai joué ni à la version GameCube, ni à quelqu’autre Paper Mario que ce soit, je me suis dit que c’était le moment idéal pour plonger dans ce petit JRPG au tour par tour… qui touche donc à l’un de mes genres vidéoludiques préférés !
Et si je vous parlais d’un jeu qui mêlerait PowerWash Simulator et Sticky Business ? Un jeu relaxant où l’on vous propose, en plein Montréal, de redonner des couleurs à un monde qui a perdu les siennes ? Le tout sur un fond musical chill qui ravira les fans de Jean-Pierre Jeunet ? Ca y est, soit je vous ai définitivement interpellés, soit au contraire vous aurez déjà fui cette page…
Je n’ai rien compris à la bande-annonce de Kunitsu-Gami: Path of the Goddess sortie l’an dernier mais est-ce vraiment important pour profiter du dernier-né de Capcom ? Ces couleurs chatoyantes et psychédéliques teintées de japon féodal et de yokai ne pouvaient que m’attirer. Mais que vaut cette nouvelle IP mystérieuse de Capcom quelques mois après la sortie de Dragon’s Dogma 2 ?
Vous le savez si vous nous suivez depuis longtemps (2010 diront certains) : Kiss My Geek est « un peu » moins actif qu’auparavant. L’équipe du site a grandi en même temps que lui : entre obligations professionnelles et familiales, notre temps d’écriture est souvent passé au second plan… Et pourtant ! Nous ne disons pas notre dernier mot et continuons à écrire quand on le souhaite, sur ce dont on souhaite parler. Ca a toujours été le leitmotiv de Kiss My Geek. Ca et l’absence de pub, la liberté éditoriale, et l’amour infini qu’on porte à tous ceux et celles d’entre vous qui nous lisent. Alors dans ce contexte assez calme, je ne m’attendais pas à ce que l’on continue d’attirer de nouveaux chroniqueurs… et pourtant ! C’est celui qu’a choisi Pseek pour nous rejoindre. On lui souhaite une bienvenue très chaleureuse et on le laisse se présenter…
Dragon’s Dogma 2 débarque à dos de dragon dans une nouvelle aventure. Mais est-ce que l’Insurgé et ses Pions brilleront à nouveau 12 ans plus tard ? En 2013, presque un an après sa sortie, je découvrais Dragon’s Dogma premier du nom pour quelques euros. J’avais pris une énorme claque, faisant le jeu trois fois de suite pour le platiner. C’est donc sans aucune appréhension que j’ai lancé Dragon’s Dogma 2 dès sa sortie. Mais pas sûr que l’attente valait le coup.
Après l’incartade chinoise de Wo Long : Fallen Dynasty sorti l’an dernier, la Team Ninja revient poser ses valises au Japon avec ce Rise of the Ronin à l’ambition historique prononcée. Ancré dans la période sans doute la plus adaptée et discutée de l’histoire nippone, le Bakumatsu, ce titre vous propulsera au milieu de la bataille entre les pro et les anti-shogunat au moment où l’Occident entendait forcer l’archipel à s’ouvrir. L’occasion de trancher des têtes et de botter des fesses en revisitant le roman national. Cette version vidéoludique d’un jidai-geki vaut-elle son coût en oban ? C’est ce qu’on va voir tout de suite !