Kapow! Lectures

[Kapow!] Goldfish

Aujourd’hui, je ne vais pas vous parler d’une sortie mensuelle, faut dire qu’on a pas grand chose à se mettre sous la dent, mais d’un véritable coup de cœur : Goldfish de Brian Michael Bendis.

Je crois qu’on ne doit plus présenter le bonhomme, son boulot chez Marvel avec Alias, Daredevil, ou les crossover House of  M et Secret Invasion sont de véritables must-have. Mais il était un temps où Bendis n’était qu’un simple auteur indépendant et c’est à cette époque qu’il a pondu Goldfish, un véritable polar dans la veine des Sin City de Miller.

Goldfish était un petit arnaqueur et un joueur hors pair qui a du quitter Cleveland pour échapper à Lauren, sen ex-femme qui est devenue la reine du crime. Il est maintenant de retour, prêt à se venger et par la même occasion récupérer son fils.

Si on aime le boulot de Bendis, c’est majoritairement pour le traitement de ses personnages et leurs dialogues. Goldfish n’y échappe pas , les personnages sont on ne peut plus humain et charismatiques. Bendis nous plonge avec une étonnante facilité dans ce polar psychologique qui aura une fin lourde de conséquences. Tous les codes du genre sont respectés et donnent une ambiance cinématographique avec des dialogues aux petits oignons. Et quand il n’y en pas, ce sont des grandes cases silencieuses mais très dynamiques qui prennent le pas et qui semblent être tirées d’un bon vieux polar des familles.

Comme je vous disais, ça sent bon le Sin City, et cette impression est renforcé par des dessins en noir et blanc faits par Bendis lui-même. On se demande même pourquoi l’auteur n’a pas continué à illustrer tant les planches sont étonnantes de réalisme. Le travail sur les ombres y est par exemple extraordinaire.

Un vrai polar à l’ancienne, des personnages charismatiques, des dessins sublimes, il n’en faut pas plus pour vous laisser tenter. Alors foncez, surtout qu’il ne coûte plus qu’une misère (5e sur Amazon).

Interviews 4

[ITW] John Noble

Vous le connaissez sûrement pour son rôle de Walter Bishop dans Fringe, ou encore de l’intendant Denethor dans Le Seigneur des Anneaux, je veux bien entendu parler du génial John Noble ! Dimanche dernier, j’ai eu le privilège de pouvoir l’interviewer lors de la Sci-Fi Convention, ce fut un des plus beaux moments de ma courte vie et je vous le fais partager aujourd’hui. Enjoy !

KissMyGeek : Qu’est ce qui vous a intéressé dans Fringe ? Pourquoi avoir voulu rejoindre le casting ?

John Noble :  Ce que je savais de Fringe, c’est que J.J. Abrams qui produit la série a une grande réputation et que le rôle de Walter Bishop semblait avoir été fait pour moi. Avant même que je le sache, ma fille m’a contacté et m’a dit « Papa, ce rôle est fait pour toi ! ».  Donc j’ai appelé mon manager qui m’a dit « Non non non, tu es bien trop jeune pour ce rôle, ils ne voudront pas de toi !» mais après ils m’ont rappelé pour le faire. Donc ce rôle était fait pour moi, voilà la raison.

KMG : Walter est quelqu’un d’assez d’instable, est-ce que ça a été difficile pour vous de jouer quelqu’un comme lui ? Est-ce que c’était un challenge ?

JN : Oui bien sûr que c’était un challenge, parce que j’ai du faire deux sortes de recherches. La première concernait l’histoire de ces scientifiques des années 80 qui faisaient des choses extraordinaires ou durant la Guerre Froide par exemple, parce que Walter en faisait partie. Et je devais potasser toutes ces théories scientifiques contemporaines. Je devais aussi m’informer sur les séquelles que laissent certaines drogues et les répercussions sociales de l’enfermement, de l’isolement. Donc j’ai du faire énormément de recherches sur ce qui peut se passer dans la tête de quelqu’un  qui a besoin de drogue, de  quelqu’un qui a subit une électrothérapie et jusqu’à quel point cela peut vous enfoncer.

KMG : En quoi Walternate diffère du Walter que nous connaissons ? Pensez-vous que sa cause est justifiée ?

JN : Oui, totalement. En 1985, ces deux hommes étaient très semblables, puis Walter a volé le fils de Walternate. Celui qui a volé le fils doit payer pour sa faute. Et il a payé pour ça, sa femme s’est suicidée et il est devenu fou. L’autre doit chercher à se venger  donc il prend un autre chemin. Ce sont deux hommes très intelligents, très puissants. Donc je comprends Walternate, je comprends pourquoi il est devenu ce qu’il est. Je serais comme lui si quelqu’un volait mon fils.

KMG : Trouvez-vous que Fringe reflète les problèmes de notre société, en particulier les mauvais effets de la science ?

JN : Je crois que la science n’est ni mauvaise ni bonne,  la science est magnifique,  c’est une recherche d’une part de vérité. La science est parfaite et pure. Mais comment vous l’utilisez bien entendu… La fusion  nucléaire est une chose extraordinaire, mais si vous l’utilisez mal, vous pouvez fabriquer des bombes. Donc c’est notre usage de la science qui peut être mauvais. Non la science est pure, il n’y a pas de moralité, c’est juste magnifique d’être suivi, d’être examiné, parce que c’est nous et nous sommes une part du cosmos, chaque cellule de notre corps est une part de ce cosmos. J’aime la science.

KMG : Pouvez-vous nous parler de la saison trois, devons-nous nous attendre à un gros cliffhanger ?

JN : Oh oui, un énorme cliffhanger ! Vous savez à la fin de la saison 2 nous avons introduit l’univers parallèle et il y a une sorte de conflit entre les deux mondes. Durant la saison trois, nous passons beaucoup de temps dans cet univers alternatif, pour approfondir les personnages et comprendre leur vie. Ils pensent incorrectement qu’un seul des univers doit survivre. Ce n’est pas vrai, la science vous dirait qu’il y aurait une balance, mais pas une destruction obligatoire. Mais ils l’ont oublié. Et donc ils se préparent à une guerre. Toutes les guerres sont ridicules, sérieusement. A la fin de la saison trois, nous voyons tout cela monter en puissance, jusqu’à la limite d’un armageddon, et là arrive le cliffhanger. C’est ce qui va se passer.

KMG : Quelle a été votre réaction en apprenant que Fringe avait été déplacé en deuxième partie de soirée le vendredi ?

JN : C’est une très bonne initiative. Le jeudi n’était pas une bonne plage horaire pour nous, nous étions au milieu de la « télévision populaire » comme Grey’s Anatomy, CSI…  Ce n’est pas le genre de séries avec lesquelles nous pouvions cohabiter. Nous avions des bonnes audiences, mais nous n’aurions jamais du nous trouver là. Donc oui, le vendredi soir est très bien pour nous, c’est une plage où X-Files a eu ses très bons résultats et c’est la plage où nous en aurons. [Ndlr : la série continue néanmoins à avoir de très faibles résultats]

KMG : Un de mes épisodes est Brown Betty de part son atmosphère très film noir et ses moments de comédie musicale. Est-ce que cela a été compliqué pour vous de chanter devant la caméra ?

JN : Non, pas du tout ! [rire] Ecoutez, tous les jours dans Fringe on nous demande de faire des choses incroyables du genre « oh mon dieu, je dois chanter, je dois danser » ! Vous n’avez pas à penser à tout ça, vous devez juste le faire et c’est une chose extraordinaire à propos de la télévision. Par exemple, on peut me dire « Ecoute John, nous avons besoin que tu chantes dans l’épisode de demain, pourrais-tu choisir entre ces deux chansons ? » et je suis là « Oh ? Okay» [rire] Tout est vraiment très rapide.  Ou alors ils m’ont dit « oh, tu dois inventer une danse pour demain », c’était dans la saison 1. Comme je n’avais aucune idée j’ai appelé ma fille et lui ai dit « mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire ? ! » alors je lui ai passé un morceau de musique et elle m’a dit « oh fais ça fais ça ! » et je l’ai fait le lendemain ! C’est vraiment fou, vraiment rapide.

KMG : Je sais que vous interprétez un personnage dans le jeu à venir L.A. Noire, pouvez-vous nous parler de cette expérience ?

JN : Bien sûr, je pense que L.A Noire innove énormément d’un point de vue technologique. Je ne sais pas si vous avez vu les premières images  mais la possibilité de montrer les expressions sur les visages est quelque chose que l’on n’a jamais vu auparavant. Et cela créé un énorme intérêt dans le monde entier, c’est le premier jeu vidéo qui a été invité dans un festival cinématographique par exemple. Et c’est vraiment énorme parce que cela introduit le jeu vidéo dans le monde du cinéma et de la télévision. Vous savez les gens disent que la télé réalité enlève tout, peut être oui, mais ce jeu, c’est un drame [Ndlr : le genre hein…] mais c’est aussi de la réalité en un sens puisque ce sont vos choix qui influenceront l’histoire. C’est très intéressant.

KMG : Dernière question, pourquoi les gens doivent regarder Fringe ?

JN : Fringe est la meilleure série que j’ai jamais vu. Je crois que les gens doivent d’abord regarder les saisons précédentes en DVD avant de se lancer parce qu’ils seraient complètement perdus en prenant en cours de route. Ensuite ils pourront rattraper la diffusion en cours et comprendre ce qui se passe. Pour moi, Fringe est vraiment la meilleure série à la télévision.

Et voilà ! Oui, je sais, on en voudrait encore, mais mon temps était limité. Je vous conseille donc de suivre cette excellente série qu’est Fringe et vous dit à plus tard pour d’autres nouvelles croustillantes !

English Version :

KMG : What interested you in Fringe and why did you want to join the cast ?

JN : What I knew about Fringe what that J.J Abrams who producing has a very strong reputation and that the role of Walter Bishop seem like it was made for me. Even before I knew about it, my daughter contacted me and said “Dad, this role has been made for you !” and so I called my manager who said “No no no, you’re ay too young for this role they don’t want to see you !”. But then later they called me to do it. So that’s the reason.

KMG : Walter is quite unstable, what was the most difficult part playing someone like him ? Was it a challenge ?

JN : Yes of course it’s a challenge because I needed to do two bodies of research. One body of research into the history of the scientists of the 80’s who were doing extraordinary things, or during the Cold War and anything. And he was part of that Walter. I needed to read up extensively, as I do anyway, on contemporary  theories. And I needed to research the after effects of certain drugs, and the social after effects of carceration, isolation. So I did a quite a lot research into what main reasons will exist for someone who had use to that need drugs, someone who had been subjected to electric shock therapy. That was my researchs.

KMG : How does Walternate differ from Walter ? Do you think his purpose his fair ?

JN : Yes, totally, I think so. You know, in 1985, these two men were very similar. One steals the child, one has the son stolen. The one who steals the son must pay for his sin and he pays for his sin, his wife commit suicide and he goes mad. The other one must seek revenge so he’s driven in another way. They’re both very smart men, very powerful. So I understand Walternate, I understand why he is like he is. I will be like that if someone stole my son.

KMG : Do you think Fringe reflect the problems of our society, especially with the bad effects of science ?

JN : I think science isn’t bad or good. No science is beautiful, science is an investigation into find a bit of truth. Science is perfect, it’s pure. But how we use it of course… Nuclear fusion is a beautiful thing, but if you use it incorrectly you could make bombs. Because, science is pure, there is no morality in science. It is just beautiful to be followed, to be examined. Because it is us and we are in, and we are a part of the cosmos, every cells in your body is a part of this extraordinary cosmos. So I love science.

KMG : Can you talk about the season three and where the show is heading at the end, can we expect a huge cliffhanger ?

JN : Oh yeah, huge cliffhanger ! Because at the end of season two, we introduced the alternative universe and they is a sort of a conflict. In the season three, we spent a lot of time in the alternative universe, meeting the characters and understanding there lives. And then eventually, they believe incorrectly that only one could survive. That’s not correct in science, science would tell you that they will be a balance, not a destruction. But they forget this and they go to war. All war is ridiculous, seriously. At the end of season three, we see this come together into almost an Armageddon, and then we cliffhangered.

KMG : What was your reaction to the show being moved to the friday night ?

JN : Good move, it’s a really good move. thursday was not a good night for us, it was in a middle of popular tv : Grey’s Anatomy, CSI… These are not the show that we acquit with. We did very well but we shouldn’t have been there. So Friday night is a great night for us, it’s a night The X-Files made great and it is the night we will made great.

KMG : One of my favorite episode is Brown Betty because it mixes a noir atmosphere et musical moments. So do you like to sing ? Was it a challenge for you to sing in front of the camera ?

JN : No ! No no no ! [laugh] Look, everyday one Fringe we get presented to things like “oh my god, I have to sing, I have to dance, whatever !” You don’t think too much about It, you just do them and it’s an extraordinary thing about television.  Or they said to me “Oh John, we need you to a song in this episode starting tomorrow, could you chose between these two ?” and I said “oh, okay !”.  [laugh] I mean it’s really fast. Or for example they said to me “Oh you have to invent a dance for tomorrow !”, this is in season one. So I called my daughter and I said “What do I do ?!” and I played a piece of music and she said “Do this dad, do this !”. And so, this is crazy, very fast.

KMG : I know that you play a character in the upcoming videogame L.A Noire, can you told about this experience ?

JN :  I think L.A Noire is groundbreaking the technology. I don’t know if you see the shorts, but the ability to show expression on the faces never been seeing before. It’s created an enormous interest around the world, it’s the first ever game to be invited to a film festival. This is really big. It’s really big because it introduces games into the world of film and  television . I think it’s very much a part of the future. You know because people say reality television is taking away, well maybe, but what this is, it’s drama ! That’s reality in a sense that your choices will affect the story. Very interesting.

KMG : Last question, why people must watch Fringe ?

JN : Fringe is the best produced show I ever saw. I think it helps if people watch the previous seasons in DVD’s because it’s quite difficult to step in now. So I really recommend to people who haven’t watch it before to get the DVD’s and watch more; and then they’ll catch up and they will understand. In my opinion, Fringe is the best show on television.

Jeux Vidéo 4

The Last Guardian & Ico Collection repoussés !

The Last Guardian

Triste semaine en effet, puisque il y a 3 jours, Fumito Ueda annoncait le report “à une date ultérieure” du tant attendu The Last Guardian sur PS3.. en 2012 !! :insérer ici des cris de douleur d’une fan qui y croyait à son Trico de Noël: T__T

 

La sortie prévue pour le dernier trimestre 2011, avec celle d’Ico & Shadow of The Colossus (Ico Collection avec gestion de la 3D) est donc déplacée à… on se sait quand (en 2012 donc)  :bummer:

  🙁
Ueda-san a quand même eu la gentillesse d’écrire une note personnelle à l’attention des fans de la série, où il s’excuse platement pour ce retard, et déclare qu’il a pris la responsabilité de décaler la sortie du jeu pour mieux en enrichir le contenu, et y apporter le soin et la qualité auxquels les joueurs s’attendent, de la part de la Team ICO.

 

The Last Guardian screens

 

C’est triste en un sens, de devoir attendre si longtemps un jeu qui avait suscité un grand émoi chez les fans d’Ico, lors de l’apparition du premier trailer en mai 2009, puis lors de la présentation à l’E3 suivante. 
Annoncé par Ueda-san lui-même, pour une arrivée dans les bacs pour Noël 2011, lors dernier Tokyo Game Show, il faudra donc encore patienter pour pouvoir tâter de ce nouveau joyau, produit par l’équipe qui nous avait offert 2 superbes jeux: Ico & Shadow of The Colossus, opus autant artistiques que décalés, tant au niveau du chara-design que du gameplay.

 

The Last Guardian screens

 

Interviewé il y a quelques jours par le site EDGE, Fumito Ueda admet volontiers que son but est non seulement de pousser la PS3 à ses limites en terme de gameplay, mais aussi de rendre le personnage du héros de The Last Guardian aussi réaliste et humain que possible, afin que le joueur puisse vraiment s’identifier et s’immerger à fond dans le jeu.
Quand on lui demande s’il a l’impression d’être limité à cause des possibilités offertes par la PS3, il répond que non, qu’il ne s’agit en aucun cas d’une limitation en terme de pouvoir hardware, et de ce que la machine a à offrir, car c’est une excellente plateforme (de développement)

Il s’agit plus de la façon de créer des émotions avec un personnage virtuel. 
Tous mes jeux partent d’un mur (une barrière.) Dans le premier (Ico), il s’agissait de la barrière du langage, dans le second (Shadow of the Colossus) il s’agissait plus d’une barrière de réflexion, de questionnement. Cette fois, cela va au-delà, avec cette créature (Trico) qui ne peut parler et qui possède son propre comportement. (…)  j’aimerais arriver à un point où l’on pourrait communiquer de façon totalement naturelle (réelle) avec un personnage.

 

The Last Guardian screens

 

En attendant, tout ce que l’on espère, c’est que malgré le report de la sortie du jeu, nous n’aurons pas droit à un “mur” de non-sortie, avec The Last Guardian !!

Car, rappelons-le, si Ico & SOTC ont su conquérir le coeur d’une très fidèle fan-base, amatrice de gameplay hors-normes et artistiquement bluffant, parallèlement, ces jeux ont connus un succès très relatif en Occident.



 

The Last Guardian screens

 

Perso, je veux y croire à ce Last Guardian !! Certes c’est long et douloureux cette attente, mais connaissant bien le travail de la Team Ico et la motivation d’Ueda pour nous délivrer des jeux magiques, il y a de fortes chances pour qu’on ne soit pas déçus à l’arrivée… l’année prochaine, donc !
(espérons tout de même que la date de sortie de ce messie vidéo-ludique, ne tombera pas le 21 décembre 2012 !

)

 

Patientons en serrant les dents, avec ces vidéos, s’il en est, sublimes… -__-’

 

 

(Sources)
Le site officiel du Projet Trico (JP)
ITW de Fumito Ueda par le magazine/webzine EDGE (ENG)

L’annonce d’Ueda sur le Playstation Blog US (ENG)


 

Kiss My Stirp 8

Kiss my Stirp #10 : Bigger better more badass

bannierev2_010

Tout commençait de façon complètement classique, Oujiz m’interpelant de la sorte :

« – Hé, fresh boy (classique, vous dis-je), Gears of War 3 est en bêta cette semaine. Tu fais un truc spécial ?
– Bah, heu, je pourrais faire un stirp dessus… Le souci, c’est que je connais pas bien le jeu.
– C’est un petit peu décevant, jeune homme.
– Tu sais, pour moi, les TPS/FPS ont à peu près autant de pouvoir d’attraction qu’une simulation de tiercé. »

Donc, ce stirp sent l’inculture, toutes mes confuses (merci quand même à Oujiz de m’avoir aiguillé).

Kiss my Stirp #10 : Bigger better more badass

Dans deux semaines, je vous parlerai d’Hyperdimension Neptunia, dont je ne sais rien non plus.

Kiss my Stirp #10 : Bigger better More badass
Épilogue
Jeux Vidéo 3

Torchlight II : quelques artworks qui font plaisir

Torchlight 2 Artworks


Torchlight II débarque en téléchargement sur nos PC cet été et se plaît à nous balancer de temps à autres quelques artworks qui font baver.

Ces derniers sont très réussis et j’ai eu envie de les partager avec vous !

Il s’agit de quelques unes des futures bestioles qu’on devra affronter en jeu… Graour !


Torchlight 2 Artworks


Torchlight 2 Artworks


Torchlight 2 Artworks



Torchlight 2 Artworks


Torchlight 2 Artworks


Vous en pensez quoi ? Moi, j’adore !

Évènements 6

[Review] Sci-Fi Convention 1.5

Ce weekend avait lieu la deuxième édition de la Sci-Fi Convention à Paris, je devais m’y rendre avec notre cher Rodrigo, mais comme le sort s’est acharné sur lui, c’est seul que j’ai du couvrir l’évènement. Retour sur ces deux jours fabuleux.

Cette année la convention se tenait au Théâtre du Gymnase, un lieu bien plus modeste que l’an dernier puisque la précédente édition était organisée à l’Espace Paris Est Montreuil. Un lieu plus modeste certes, mais avec des invités prestigieux tels que John Noble (Walter Bishop dans Fringe), Jasika Nicole (Astrid dans Fringe), Jordan Hinson (Zoey dans Euréka) et le fabuleux Michael Shanks (Daniel Jackson dans Stargate SG-1) qui nous a fait le privilège de revenir le dimanche. Quand même.

Samedi

Panel Fringe

La journée a commencé (avec légèrement de retard) avec le panel de Fringe, une session de questions/réponses divisée en deux parties. Tout d’abord c’était l’animateur qui pendant une quarantaine de minutes a posé ses questions aux deux acteurs, pour finalement laisser la parole au public. L’ambiance était très bonne, tout le monde semblait très heureux d’être là et le tout s’est avéré très intéressant. John Noble et Jasika Nicole se sont laissés prendre au jeu et ont abordé plusieurs sujets comme l’ambiance sur les tournages, leurs impressions sur Fringe ou la relation entre leurs personnages respectifs qui au départ ne devait pas dépasser celle de scientifique/assistante, mais qui a évolué vers une relation mère/fils, père/fille voir même frère/soeur. John est même revenu sur sa participation au tournage du Seigneur des Anneaux (il y jouait Denethor) où il a avoué que c’était certainement l’expérience la plus marquante de sa vie et que c’était un bonheur de travailler avec Peter Jackson. Ce qui m’a frappé, c’est la prestance de cet homme, il respire le respect et est d’une gentillesse à toute épreuve. Par exemple, cela peut sembler anodin, mais remercier le traducteur à chaque fois qu’il finit sa traduction ou encore venir saluer le public une fois la session finie, je trouve cela formidable.

Oui, John Noble respire la classe.

Vers 10h débutait la session photo avec les acteurs présents. L’organisation a fait le choix de faire d’abord passer les possesseurs d’un pass journée afin d’être sûr qu’ils aient leur photo. Une décision qui n’a pas plus à tout le monde mais qui m’a semblait la plus judicieuse. C’est donc après avoir attendu mon tour que je me suis dirigé dans la salle dédiée à cette session pour prendre une photo avec John Noble. Ma première impression le concernant a été vérifiée puisqu’il possède un charisme incroyable et qu’il est assez intimidant. La rencontre n’aura duré qu’une trentaine de seconde, le temps de lui dire bonjour, de prendre la pose, et de lui serrer la main. Retour dans la salle principale où est diffusé le pilote de la série Euréka pour faire patienter tout le monde. Bonne initiative !

Panel Stargate + Euréka

Après une pause déjeuner bien méritée, ce sont Jordan Hinson et Michael Shanks que nous retrouvons sur scène, ce dernier arrivant en fanfare muni de son appareil photo pour filmer l’audience. Le public étant majoritairement venu pour lui, la pauvre Jordan n’a eu à répondre qu’à peu de questions. Mais elle n’est pas restée dans son coin pour autant puisqu’elle s’amusait à balancer quelques vannes pendant que Michael répondait. (En tout cas, qu’est-ce qu’elle est mignonne !) Une ambiance on ne peut plus détendue qui nous a permis de voir que l’acteur de Stargate est un véritable clown qui a toujours le mot pour rire. Il s’est même essayé au français au début. Un panel un peu moins intéressant que celui du matin, mais si vous vouliez savoir que Christopher Judge (Teal’c) pétait sur les tournages, ou encore que tout le monde s’est mis à pleurer lors du dernier épisode, il fallait venir.  Il est aussi revenu sur sa participation à Smallville en avouant qu’il a détesté le tournage et le rendu de son personnage à l’écran. Puis l’organisation a voulu leur faire une surprise en invitant leurs doubleurs français sur scène. Nous avons pu assister à une blague de très mauvais goût de la part de Michael Shanks puisqu’il a tendu le micro à la doubleuse de Jordan alors que la pauvre dame n’a plus de bras. Fait exprès ou pas, tout le monde a eu un petit rire gêné. En tout cas, je peux vous dire qu’entendre la voix français de Daniel Jackson, ça fait quelque chose.

Michael Shanks, Jordan Hinson et leurs doubleurs

Puis Jordan et Michael ont quitté la scène pour laisser la place aux comédiens de doublage pour une nouvelle session de questions/réponses qui a été très intéressante. J’ai par exemple appris que Willima Coryn, doubleur de Michael Shanks, faisait aussi la voix de Kyle et Kenny dans South Park. Je vous laisse imaginer ce que ça fait de l’entendre les faire ! Un panel intéressant donc qui m’a ouvert les yeux sur ce petit monde underground et mésestimé du doublage.

Les comédiens de doublage de Stargate et Euréka

C’est ainsi que cette première journée s’achevait pour moi, ceux ayant un pass spécial ont pu profiter du cocktail avec les invités, les veinards.

Dimanche

Quand je vous disais qu'elle est mignonne.

Et cette nouvelle journée commençait cette fois-ci avec Michael Shanks et Jordan Hinson. Je n’ai pu assisté qu’aux dix premières minutes puisqu’une interview avec John Noble (que vous retrouverez vendredi) m’attendait. J’ai néanmoins pu remarquer que l’ambiance était bien la même que la veille.

Au retour de mon interview, la session photo avait commencé, je me suis alors installé dans la salle principale pour le visionnage du Season Final de la saison 7 de Stargate SG-1, et en VOST s’il vous plait.

Panel Fringe deuxième session

C’est avec un peu de retard une nouvelle fois que le panel Fringe a débuté. Toujours aussi intéressant, John Noble et Jasika Nicole avait l’air encore plus détendus et ravis que la veille. Il y eut un moment spécial et inoubliable pour moi lorsque John Noble a refait sa célèbre tirade issu du Seigneur des Anneaux : « No tomb for Denethor and Faramir. No long, slow sleep of death embalmed. We shall burn, like the heathen kings of old. Bring wood and oil. » Frissons garantis. Nous avons aussi appris que tous les acteurs étaient très proches : il arrive à Jasika de venir dîner chez John pour regarder la diffusion d’un épisode, ou encore John a aidé Anna Torv tout un weekend pour préparer un épisode bien particulier. Ils ont appuyé sur le fait qu’ils prenaient beaucoup en compte les réactions des fans, John faisant même des recherches sur internet en combinant son nom avec Fringe. Et c’est une nouvelle fois avec classe que les deux acteurs ont quitté la scène.

Cosplay time !

Pendant que la session d’autographe se faisait, il y eut sur scène un défilé de Cosplay. Bon, moi à la base je suis pas vraiment fan, mais j’ai du avouer que certains étaient très très très réussis. Mention spéciale pour le groupe Stargate !

Le groupe Stargate !

Tout au long du weekend, nous pouvions acheter des tickets de tombola qui pouvaient nous faire gagner des cadeaux très sympa comme les saisons 2 et 3 d’Euréka, la saison 1 et le pilote de Stargate Universe ou encore l’intégral du Seigneur des Anneaux en livre. C’est donc tout en fin de journée et dans la joie et la bonne humeur que les tirages au sort ont eu lieu. Je regrette seulement le fait qu’il n’y ait pas eu un nombre de tickets maximum par personne, parce que la dame qui en a pris 80 et est repartie avec un max de DVD (dont plusieurs en double), ça le faisait moyen. A penser pour l’année prochaine messieurs !

Pour conclure, je dirai que j’ai passé un excellent weekend. Rencontrer ces acteurs a été pour moi une expérience inoubliable. Même si le début du samedi aura été laborieux pour l’organisation (problème pour avoir mon pass presse par exemple) et quelques retards surmontables, j’ai trouvé que tout était très bien mis en place, que ce soit pour les sessions photos/autographes que les sessions sur scène. Quelques petites suggestions quand même, il aurait été sympa d’avoir une musique d’ambiance, ou même des bonus DVD pendant l’attente dû aux retards parce qu’on s’est senti un peu seul. De plus,  je n’ai pas compris le principe de faire poser la question par le biais de la traductrice et que ce soit l’animateur qui traduise les réponses. Moi qui me débrouille pas mal en Anglais, j’ai noté quelques approximations et pas mal d’oublis de sa part. Mais sinon rien à reprocher, c’était vraiment génial et je me ferai un plaisir de m’y rendre l’an prochain !

A vendredi pour l’interview du génial John Noble !

BAD Lectures 3

[BAD] Episode #40

[BAD] Episode #39


Et c’est parti pour ce quarantième épisode de votre podcast préféré sur l’actualité BD, comics et manga : BAD !


Dans cet épisode présenté par Boidin et son jumeau maléfique on trouvera :

  • des cheveux,
  • du Pandamonia (Lauria, Ecuba, Cucca et Andolfo),
  • du Et toi quand est-ce que tu t’y mets ? (Cazot),
  • du Deadpool,
  • et du Marvel vs. Capcom 3 !


Voici sans plus attendre ce BAD #40 :




BAD #40 par la_cyberfriterie

Vous avez aimé ? Filez vite sur la fanpage Facebook de BAD !

A la semaine prochaine pour de nouvelles aventures !

Sociologeek 1

[Sociologeek] : Sais-tu mon amour ?

Sais-tu mon amour quelle est ma position préférée ? Non je ne parle pas de celle avec les jambes sur le côté ni ta position sur les élections, mais bel et bien à notre position, plutôt la situation et c’est celle ci :
Tu ne voudrais ne me voir plus jamais quand nous nous disputons.
Quand je t’use et use encore, et que tu m’apporte ton lot d’incultes, d’ignares, de charmants débiles, j’ai parfois envie de te tuer quand nous nous disputons.
Et après tout, que faire ? Devrais-je m’apercevoir enfin du fait que tu n’amène que moultes problèmes ? Tu héberges tant de merveilles, mais aussi tant de dégouts.
Mais que serais-je sans toi ?
Tu me définis et m’horripile en même temps, mais j’ai toujours à coeur de te consulter.


Alors oui ma chère Internet, nous sommes et nous resterons, soudés à jamais, parce qu’apres tout dans une relation comme la notre, il nous fait accepter le pire comme le meilleur.


Tu as tes hauts, j’ai les miens.

Tu as tes bas, et moi pas.


(Parce que je préfère les chaussettes)


VULCAIN !

Cinéma Dans Ton Cinéma 2

[DTC] Sorties de la semaine


Cette semaine, un film qui n’a rien à voir avec Matrix. Ou presque.



Rien à voir avec Twister non plus...

Source Code (Duncan Jones)

Après Moon, le fils de David Bowie (si, si!) nous revient avec son deuxième film, toujours dans le domaine de la science-fiction…

Il nous y fait suivre l’histoire de Colter Stevens (interprété par Jake Gyllenhaal), un gars comme un autre, sauf qu’un jour il se réveille en plein milieu d’un train où tout le monde semble le connaître, alors que lui prend conscience qu’il est totalement amnésique. Tout en tentant de comprendre ce qu’il se passe, le train explose et ne laisse aucun survivant…

Bien évidemment l’histoire ne s’arrête pas là. En effet, le héros se réveille (à nouveau) et réalise qu’il participait à une expérience permettant de retourner dans le passé et dans le corps d’un inconnu dont il peut revivre les 8 dernières minutes de la vie. Son but ? Identifier et arrêter les responsables de l’attentat qu’il vient tout juste de subir.

Of course, tout ça n’est pas si simple et notre cher Colter va lutter grave… Bhein oui, à chaque nouvel essai, « incorporer » le corps de quelqu’un devient plus difficile. Vous pensez qu’il a touché le fond ? C’est aussi ce qu’il croyait jusqu’à ce qu’il apprenne qu’il va devoir s’occuper d’un second attentat… prêt à faire sauter toute la ville de Chicago cette fois-ci.

C’est autour de cette course contre la montre que s’articulera tout le suspense du thriller.

Entre Matrix, Inception et Memento, les amateurs de casse-tête devraient apprécier ! En tout cas les critiques ont été très bonnes… Et vous, qu’en pensez-vous ?


Site officiel


Sources et images via Allociné

High-Tech 32

[Test] Razer Chimaera Partie 1/2 !

Razer m’a envoyé  la semaine dernière leur dernier prédateur en date : Le Razer Chimaera ! Aujourd’hui je ne vais pas vous dire si ce produit est bon ou pas. Tout simplement car ça fait moins de 3 jours que je l’ai sur la tête.  On va faire les choses en deux temps, découvrez dès maintenant mes premières impressions à vif sur le produit. Ensuite (semaine prochaine), vous aurez le verdict final. Cool ? Allez c’est parti !

Le principal atout de ce carnassier hybride est basé sur le fait qu’il est principalement sans fil et compatible Xbox 360. Vous l’aurez remarqué Razer qui est une des marques les plus avancées dans le progaming étend sa gamme vers les consoles notamment la Xbox 360. Good for me, j’y joue de plus en plus en ce moment (Gears 3, Brink bientôt, DA 2, IoW…)

Ce qui m’a le plus attiré vers ce casque est le fait qu’il est compatible certes Xbox 360 mais aussi PC. Donc un seul casque pour tous mes devices (PC &MAC) et consoles. C’est justement ce qu’il me fallait ! Au passage, il faut savoir que je suis assez frileux concernant les casques monocoques qui pour moi sont super rigides et à force font mal au crane après 4-5 heures de game non stop, on ressent vite le poids du casque et une grosse pression sur les tampes.

The beast is here ! #razer

Concernant le Chimaera, il y a eu plus de peur que de mal. Après 15 min de fight avec le manuel d’instruction, j’ai enfin réussi à placer les piles au bon endroit. Autant dire que ce n’était pas super évident surtout quand on veut faire un tant soit peu attention à la bête.

J’ai commencé direct sur Gears 3 avec le Chimaera, autant dire que le résultat était assez bluffant. Pas de pertes de sons, portée de 10 mètres (vive les pauses pipi/snack avec le casques sur les oreilles) et surtout les touches contrôles sons/mic intégrées sur le casque.

Brand new Workspace !

Quoi ? Vous voulez en savoir plus ? La suite au prochain épisode. Mais rien ne vous empêche de déjà me poser vos questions, doutes ou troll sur le sujet !

La suite arrivera bientôt promis et en plus ça vaut grave le coup d’attendre 😉

Le Razer Chimaera est disponible depuis début Avril pour 130 euros sur le store officiel mais aussi en magasin comme le Virgin Megastore et les shops spécialisés !