Cinéma Jeux Vidéo 1

Baba Yetu de Christopher Tin : le 1er Grammy Awards du jeu vidéo


Les 53è Grammy Awards viennent de se terminer, et à la grande surprise (et plaisir) de nombreux d’entre nous, c’est un compositeur de jeux vidéo qui a reçu le prix !

Les Grammy Awards (aussi appelés Grammies, du mot « Gramophone ») désignent les récompenses décernées annuellement aux States par la Recording Academy. Ils ont pour but d’honorer et de récompenser les meilleurs artistes et techniciens de la musique dans le monde.

Cette année, c’est Christopher Tin qui a fait l’évènement puisqu’il est devenu le premier compositeur à avoir gagné grâce (en partie) à la musique qu’il a créé pour un jeu vidéo ! Si le nom de cet artiste ne vous parle pas, cette musique vous la connaissez certainement tous,  puisque c’est la très célèbre « Baba Yetu« , l’enivrante intro de Civilization IV qui remonte à 2005 !

En plus de cette chanson spécialement récompensée par le « Best Instrumental Arrangement Accompanying Vocalist(s) », c’est l’intégralité de l’album qui a été honoré. Appelé « Calling All Dawns » il a été terminé en 2009 et a remporté les prix du « Best Classical Crossover Album »…




Je vous invite très chaleureusement à aller écouter des extraits de cet album sur le site officiel de Christopher Tin : c’est de l’or en barre. C’est un énorme coup de cœur, personnellement, et Monsieur Tin a percé ce matin dans mon top 10 des compositeurs d’OST…

Je cite à ce sujet Teknologik qui explique très bien le phénomène grandissant de la musique dans le jeu vidéo, notamment  vis à vis de la reconnaissance qui lui est accordée :


Christopher Tin ému a déclaré : « The fact that this song has had a life outside of the game is owed almost entirely to Video Games Live. They were the first to bring this music to concert stages around the world and to places I had never dreamed possible. » La musique est de plus en plus considérée comme un des éléments moteurs des jeux video, comme c’est le cas au cinéma et l’arrivée de pointures comme Linkin Park ou Daft Punk (BO du jeu et du film Tron), sans oublier la participation de moins en moins occasionelle d’orchestres philarmoniques pour l’enregistrement de musiques de jeux.


C’est effectivement indéniable : les bandes-son des jeux sont de plus en plus soignées bien qu’elles aient toujours été un élément à part entière des productions et un élément identitaire important. Mais c’est un sujet dont je parlerais avec trop de passion pour ne l’évoquer ici qu’en quelques lignes… Revenons-en donc au sujet !

Calling All Dawns est composé de trois cycles : jour, nuit et aube, correspondant à la vie, la mort et le renouveau. Les 12 chansons qui le composent sont chantées chacune dans un langage différent, passant du Swahili au Polonais, du Français au Perse et au Maori… Les paroles reprennent diverses sources comme la Torah, le Bhagavad Gita, l’ancien Perse et la poésie Japonaise. Le style est donc résolument ethnique mais très diversifé ; chorales africaines, opéra, chant médiéval, ovations irlandaises… et beaucoup d’autres mélodies envoûtantes.

Je ne suis pas une grande fan de musiques ethniques, et pourtant cet album m’a complètement retournée, transportée. J’ai hâte d’entendre vos avis une fois que vous aurez jeté une oreille aux extraits ! En ce qui me concerne, je cours me procurer l’album…




Sources via Wikipedia, Gameblog, Teknologik.

Jeux Vidéo 24

Le débat du Dimanche : Le jeu en boîte va-t-il mourir ?

SALUT LES PETITS LOUPS ! Bien ou bien ? Bon c’est parti pour le débat du Dimanche, you know your job ! 😉

Aujourd’hui, on va parler des jeux en boîtes ainsi que des jeux digitaux (XBLA, Wii Ware, PSN, Steam) !



Eska



Pépit0_

Le jeu en boîte va-t-il laisser sa place au jeu digital ?

Comme d’habitude, n’hésitez surtout pas à participer au débat, vos avis nous intéresse !

Divers Jeux Vidéo 2

Happy Valventine !

Banniere

Demain, c’est la Saint Valentin. Outre le cadeau ou la surprise, on cherche toujours une petite carte sympa pour accompagner le tout, et chaque année Valve se fait un devoir de nous en offrir une nouvelle collection. Cette fois-ci, c’est Portal 2 qui est à l’honneur !

Toute la collection est téléchargeable sur le blog officiel de Portal 2 au format PDF et dans les langues anglaise, française, allemande, japonaise, et même suisse et portugaise !

 

Saint Valentin Geek
Voici un exemple des cartes disponibles !

En savoir plus

Sociologeek 8

[Sociologeek] : Requiem pour un geek


Ce Sociologeek s’adresse non pas aux lecteurs geeks, mais à ceux de votre entourage qui ne comprendraient pas la passion qui nous anime pour une majorité : les jeux vidéos. Passez leur ce message.


De nos jours, le mâle moyen est confronté lors de son adolescence à tournant décisif dans sa vie : le boobz.


Rond, moelleux, tendre, il est beau et rappelle tellement de formes familières, comme le ventre d’une maman dans lequel on a passé 9 mois ( ou 2 pour les kikous), un ballon de foot dans lequel on tapait frénétiquement (comme dans les kikous), une belle rondeur comme une pizza dégustée entre amis. Bref le boobz, qu’on le morde, qu’on le tête, reste collé dans ta mémoire sans possibilité de l’en sortir.


Hé bien chers néophytes de la culture geek, imaginez vous que vous ressentiez ce genre d’émotions en face d’un beau jeu vidéo, pas une de ces bouses surproduites sans concept bien sur. Un monde qui vous emplit de joie, de plaisirs diverses. Notre boobz a nous, c’est bel et bien nos manettes, nos consoles, nos écrans.


Dites vous que le geekou qui vous a fait lire ces quelques lignes est tout émoustillé devant un écran. Alors non, chers parents affolés, le jeu vidéo n’abrutit pas, n’embrigade pas, ne ruine pas la vie de votre proche geek. C’est tout l’inverse, imaginez vous pour vous l’attente d’un RDV galant avec une demoiselle, vous imaginez d’ici la soirée que vous allez passer, avec un diner romantique, un cinéma, quelques niaiseries, pour au final espérer le coït. Hé bien dites vous que le plaisir du coït, le geek le ressent en permanence lorsqu’il joue,sans frustration, sans attente interminable. Il est presque orgasmique de jouer à un beau jeu, bien fait. Il est presque orgasmique de terminer un jeu réputé difficile. Il est presque orgasmique de refaire une centaine de fois un jeu qui vous a marqué.


Un peu comme cette fameuse expérience où un bouton est relié au centre du plaisir dans le cerveau d’un rat, le bouton posé devant lui, lui permettant de se shooter au plaisir jusqu’à en crever. Hé bien c’est à peu près comparable dans les jeux vidéos, mais avec d’autres sensations.


Prenez Dead Space 2, tapez donc « Your mom hates Dead Space 2 » dans google, vous trouverez une suite de vidéos qui ont pour but commercial de montrer que « Ta maman déteste ce jeu, donc toi tu va l’adorer« . Pourquoi ? Tout simplement parce que le monde du jeu vidéo provoque chez le geek un sentiment d’être vivant. Il est impossible de vivre avec autant d’intensité, d’émotions et de passion la vie réelle !


N’allez pas imaginer un geek content de sa vie monotone et redondante, aller au travail, rentrer chez soi, dodo, se lever, etc … Qu’y a t’il de passionnant là dedans ? Alors qu’à portée de main, une manette, un clavier, vous permettent de voyager, de vivre des histoires folles, avec de vrais gens, de pouvoir comme après un bon livre, en discuter avec des amis !!


Pensez donc à ce que va ressentir un geek qui se verra entendre dire « les jeux vidéos sont violents, nazes, sans intérêt ! » C’est non respectueux, c’est sur, mais cela témoigne de votre manque d’imagination, un manque de volonté de s’envoler, de se voir conter de magnifiques histoires, ou au contraire, des terrifiantes !


Un moyen légal et sans danger de pouvoir s’évader ! Avez vous l’opportunité de conduire une F1 ? D’être un chevalier valeureux dans un monde fantastique ? D’être un plombier Italien lançant des carapaces rouges dans une voiture de kart ? D’être un Dieu contrôlant des Sims ? De se battre dans un monde post-apocalyptique ? Dans la vraie vie ? Il faudrait 100 vies pour explorer et découvrir tous ces délices, en ayant la capacité de voyager dans le temps.


Un geek messieurs dames, c’est avant tout un passionné, un curieux, quelqu’un qui n’aspire qu’à l’enrichissement de soi-même, qui ne veut qu’assouvir son envie de découvrir des univers tous plus différents les uns que les autres, le tout en se divertissant, et en y prenant gout.


Alors s’il vous plait, ne nous cataloguez pas. Ne blâmez pas votre fils qui passe quelques instants magiques et enivrants devant sa console, ne blâmez pas le passionné de tel ou tel jeu vidéo.


Asseyez vous plutôt avec lui, empoignez une manette, et partez redécouvrir avec lui les plaisirs de l’âme.


VULCAIN !

Jeux Vidéo 6

Le projet D-Run : Un jeu homemade qui sent bon la nouveauté !

Aujourd’hui, je me sens de bonne humeur alors je vais vous parler du projet D-Run ! Le projet D-Run, n’est pas n’importe quels randoms projets que l’on peut trouver sur les internets. D’une car j’ai un très bon ami qui bosse dessus et surtout parceque le projet est complètement novateur dans son domaine.

D-Run est jeu crée par une bande de 8 geeks, tous déterminés à percer dans le milieu du jeu vidéo et surtout à proposer quelque chose de rafraîchissant dans cette industrie du jeu vidéo hélas bien terne (à quelques exceptions prêt hein, je vais me faire démonter moi sinon :l). Vous l’aurez compris, D-Run est leur projet de fin d’année à l’école Isart Digital (école spécialisée dans le JV) sur lequel ils bossent tous avec acharnement comme des Worgens sortis de leur cage.

Mais qu’est ce que D-Run ?

D-Run est un jeu de fléchettes… Nan ok je déconne, on recommence. :’)

D-Run est un jeu de course à pied demandant réflexes et timing au joueur. Le but est d’être le premier à finir la course. Pour cela le joueur devra établir une stratégie et coopérer à certains moments de son parcours pour profiter des capacités de ses rivaux qui l’aideront afin de progresser plus efficacement en duo. Ce qui est intéressant, c’est que les joueurs qui t’auront aidé en début de partie peuvent très bien devenir dangereux en fin de partie et pour gagner, tu seras obligé de les éliminer.

Car tous les geeks, le savent bien. Il ne peut qu’en rester qu’un.

Je vais éviter de tout raconter ici, car les petits gars auront plus rien à dire sur leur blog sinon. :’)

Ok, D-Run à l’air cool ! Mais qu’est ce qu’il fait ton pote dans tout ça ?

Cher lecteur, tu es toujours aussi vif d’esprit. En effet, j’ai parlé de mon pote en début d’article, sachez qu’il gère… pas grand chose ! Nan, encore une blagounette ! En vérité, il est Game Designer et donc s’occupe de pratiquement tous les méchanismes du jeu.

Si le jeu est mal pensé et pas inuitif, c’est lui qu’il faut fouetter à sang et dans la boue. Je vous filerai son adresse si il faut 😉 (Raclure spotted)

Des liens cools pour des geeks cools.

Bien évidemment, il y a énooooormément de choses à dire sur ce jeu. Mais au lieu d’en faire trop je vais faire court, net et précis ! Si vous souhaitez en savoir plus sur D-Run c’est sur leur blog qu’il faut aller et pour supporter leur projet et avoir des news bien frâiches c’est bien sur leur page qu’il faut aller Facebook !

Je compte sur vous pour les encourager sur ce projet, ça vaut réellement le coup et pour une fois qu’il y a des petits frenchy qui se motivent pour monter un game intéressant, on va pas leur cracher dessus 😉

Dès qu’il y a du neuf et surtout du jouable, j’en parlerai sur KMG !

Messages destiné à la D-Run Team : I did my job guyz. Je veux tout le pactole en petites coupures là ou vous savez. Et respectez les délais cette fois, bitches.

Kiss My Stirp 6

Kiss my stirp #5 : St-ValenBRAAAAAIN

Kiss my Stirp

Kiss my Stirp

La St-Valentin ! Officiellement, fête des amoureux. Dans les faits, c’est plutôt la fête des aigris, qui se manifestent plus spontanément pour maudire les couples/le côté commercial/peu importe.
Mais, ICI, foin de romantisme dégoulinant ou d’aigreur mal déversée. On va plutôt partir à la découverte de l’Amour (avec un A en capslock) chez les zombies. Prometteur, hein ?

Retenez donc ceci : plus on est mort, et plus il y a de canons à notre portée !

Epilogue
Épilogue
Jeux Vidéo Loading 8

[Loading] Pepiiit0 : mon test de Naruto Shippuden UNS2

Naruto Shippuden : Ultimate Ninja Storm 2


Aujourd’hui j’ai décidé de vous parler brièvement d’un jeu qui selon moi, mérite d’être plus connu qu’il ne l’est actuellement, « Naruto Shippuden : Ultimate Ninja Storm 2 ». Jeu qui, je dois l’avouer, m’était inconnu jusqu’au moment où me frère me l’a offert. J’avais lâché les jeux de bastons de ce genre depuis DBZ Budokai ce qui remonte à un certain temps et c’est donc avec beaucoup d’appréhension que j’insérais le jeu dans ma bobox, d’autant plus que je ne suis pas un fan en particulier de l’univers de Naruto.

Le mode histoire se déroule assez simplement sur une trame principale qu’est celle de la série, trame jalonnée de combats classiques ainsi que de combats contre des « boss ». Ces combats contre ces boss qui sont en fait des personnages ennemis un peu plus mis en valeurs sont rythmés entre baston standard et phases de QTE. Grâce à ce système les combats sont vraiment très intéressants et très spectaculaires.


Naruto Shippuden : Ultimate Ninja Storm 2


De plus, en complément de la trame principale, il est possible de remplir des objectifs qui même s’ils ne sont pas obligatoires à faire sont tout de même intéressants à réaliser et rallongent considérablement la durée du jeu qui reste très correcte (16h personnellement pour finir ne serait-ce que les chapitres principaux).

Entre les combats, le personnage qu’on contrôle à x moment de l’histoire peut se balader dans le monde tel qu’à Konoha ou Suna même si l’on doit se contenter de plans fixes aux décors figés, ce qui n’est concrètement pas si mal tellement ces mêmes décors sont très jolis et agréables à l’œil. Le tout réalisé sous forme de cel-shadding qui donne au final un très bon résultat.


Naruto Shippuden : Ultimate Ninja Storm 2


Mais l’élément le plus réussi du jeu est sans aucun doute sa réalisation. Sans être fan en particulier de manga on doit admettre que le jeu est magnifique. Les combats sont vraiment rythmés pas les attaques toutes plus spectaculaires les unes que les autres. L’univers est parfaitement respecté que ce soit au niveau des voix, des lieux ou encore des attaques respectives de chaque personnage. On relève tout de même un point négatif à ce jeu qu’est la censure effectuée sur certains passages mais qui pour un non-fan absolu n’aura pas de conséquences réelles.

Je me suis également essayé au mode online et je dois dire que celui-ci est particulièrement sympathique. Les combats en ligne nécessitent une réelle maitrise de son personnage et un gros sens tactique à coup de phases d’observations afin d’arriver au mieux à caser ses attaques. Ce n’est pas une simple histoire de donner des coups. En effet on possède en plus de notre personnage deux autres personnages de soutien auxquels on peut faire appel ainsi que des objets utilisables eux aussi quand on le souhaite pouvant changer considérablement le cours du combat. Et il existe également un mode éveil dans lequel il est possible de rentrer lorsque notre barre de vie atteint un seuil critique.


Naruto Shippuden : Ultimate Ninja Storm 2


En somme « Naruto Shippuden : Ultimate Ninja Storm 2 » est le jeu du moment à posséder dans son genre. Un bon mode histoire et un monde online stratégique très passionnant font de ce jeu le meilleur dans sa catégorie à l’heure actuelle. Pour seulement 60 euros neuf ce serait bête de s’en priver. Disponible sur Xbox 360 et PS3. Et je vous laisse avec une petite vidéo fortement alléchante qui vous donnera un aperçu du gameplay.



Le grain de pixel d’Eskarina :

[Loading] est une rubrique publiée tous les jeudi, et c’est la vôtre. Elle a pour but de publier sur le blog les écrits / dessins / etc. de nos lecteurs. N’hésitez pas à nous faire parvenir vos tests, strips, coup de cœur et de gueule si vous voulez les faire partager sur Kiss My Geek ! Vous pouvez nous envoyer tout ça à eskarina@kissmygeek.com et à oujiz@kissmygeek.com.

Jeux Vidéo 7

2 Fan-films qui feront mouiller le geek qui est en toi



Plus le temps passe, et plus on voit apparaître des bombes en terme de création visuelles. Autant dire que la scène Machinima/Fan films explose avec tous les moyens qu’elle possède maintenant. Vous me direz ça l’a toujours été. Oui mais non, là on passe vraiment un cran au dessus de l’awesomeness et le statut professionnel est uniquement déterminé par le nombre de zéro qu’il y a dans la case budget.

Ce que j’adore avec les fan-films c’est que les réalisateurs savent de quoi ils parlent. A la base, ces mecs sont comme nous, c’est à dire des passionnés. En théorie, on ne peut qu’avoir un résultat plus que satisfaisant… En l’occurrence, avec ces deux fan-films ci-dessous nous avons dépassé la théorie et ce sont de véritables bombes à retardement que nous avons devant nos yeux. 😉

Beyond the Black Mesa






Mention spéciale pour le flip low kick en fin de séquence… SO HAWWWWT !

Fight the Foot






Apparemment, Fight the Foot serait une webserie. Je demande à voir au niveau de l’évolution des épisodes mais pour le peu qu’on voit sur ce trailer, je suis déjà convaincu ! (Ouai ok, mettez moi une tortue avec des katanas qui saute et c’est réglé)


Alors, c’était bien ce nerdgasm ? Comme d’habitude, n’hésitez pas à exprimer vos avis dans les commentaires de l’article ! PEACE OUT !

Dans Ton Cinéma 11

[DTC] Sorties de la semaine


Cette semaine, du lourd en barre !


Le grand bleu…

Tron l’héritage (Joseph Kosinski)

Tron c’est un peu « le » phénomène qui a marqué toute une génération de geeks. Aujourd’hui encore, malgré un scénario un peu étrange, l’esthétique et l’univers font mouche.

Quelle bonne idée donc de reprendre le tout transposé en 2011 avec les effets spéciaux qui vont avec ! Ajoutez à ça une OST (sublime) de Daft Punk et vous avez le gros buzz cinématographique du moment.

Déjà sorti partout sauf en France, autant dire qu’on a les crocs avant même de l’avoir vu !

Tron l’héritage porte bien son nom puisque c’est le fils du héros du premier film que l’on suit ici : Sam Flynn. En cherchant à percer le mystère de la disparition de son père, tout comme ce dernier il va se retrouver « aspiré » dans un monde fait de programmes redoutables et de jeux mortels. Il va alors faire la rencontre de son paternel qui y est coincé depuis… 20 ans. Comme dans le premier film, c’est à trois et avec la fidèle confidente de Kevin que les héros vont tenter de s’extirper de ce cyber-univers, bien entendu devenu beaucoup plus avancé technologiquement et plus dangereux qu’antan…

Réalisé par le so geek Joseph Kosinski (qui a travaillé sur le remake de L’Âge de Cristal et sur Gears of War), on retrouvera à nouveau Jeff Bridges dans le même rôle qu’il y a 30 ans. Dans l’ensemble les premiers échos sont plutôt positifs, même s’ils sont plus élogieux au sujet de la claque visuelle qu’intellectuelle.

Une prouesse technique qu’il me tarde de voir de mes propres yeux !


Site officiel



/fear

Black Swan (Darren Aronofski)

Si j’étais un mec, je serais amoureux de Natalie Portman. En fait, je suis déjà amoureuse d’elle, mais faut pas le dire.

Darren Aronofski n’est certes pas un réalisateur très productif, mais à chaque fois il nous propose une jolie surprise au casting atypique : Requiem for a dream, The Wrestler ou encore The Fountain en sont de très bons exemple.

Dans son nouveau thriller fantastique Black Swan, il évoque le monde de la danse classique et de ses rivalités. Le personnage central de l’histoire, incarné par Portman, fait partie de la troupe du New York City Ballet. Elle est prête à tout pour obtenir le rôle principal du Lac des cygnes dirigé le chorégraphe ambigu Thomas. Tout n’est pas si simple bien évidemment puisqu’elle va se trouver bientôt confrontée à la toute nouvelle recrue : Lily. C’est de la tension entre ce triangle de personnage que découle toute l’histoire.

Allez-y tant pour la performance du réalisateur que de l’actrice : l’impressionnante liste de prix raflés par le film devrait vous  rassurer quant à la qualité d’un tel titre !


Site officiel


Sources et images via Allociné