Quoi de mieux qu’un test, tout beau tout propre de la dernière extension de World of Warcraft pour commencer l’année en beauté ?
RIEN ! Et ça se passe juste en dessous du jump !
Quoi de mieux qu’un test, tout beau tout propre de la dernière extension de World of Warcraft pour commencer l’année en beauté ?
RIEN ! Et ça se passe juste en dessous du jump !
Salut les filous ! Pour mon dernier billet de 2010, toute l’équipe se joint à moi pour vous souhaiter une bonne année 2011 avec quelques heures d’avance. Et avant le passage à la nouvelle année, je vous offre ma liste totalement subjective et assumée de mes 10 plus belles surprises geekes de 2010. Cinéma, jeux vidéo, évènements, comics, séries… Tout le monde en prend pour son grade. N’hésitez pas à nous donner votre top 10 perso à la fin de l’article !
Bien qu’il fut une déception pour de nombreux fans de la saga, l’avènement d’un nouveau Final Fantasy est toujours un évènement en soi. Adulé par les uns, subi comme une hérésie par les autres, une chose est sûre : Final Fantasy XIII n’a laissé personne indifférent. Avec des graphismes à la pointe de la technologie, marque de fabrique d’une licence qui fait tout pour prouver qu’elle ne s’essouffle pas, ce treizième opus découpé en 4 tomes s’annonce particulièrement polémique : plus linéaire que jamais, des personnages agaçants malgré un chara-design toujours aussi décapant, une OST en dents de scie et un système de combat des plus efficaces mêlé à un gameplay nerveux qui n’en reste pas moins loin des standards des fans d’une époque qui semble bien révolue maintenant… FFXIII va encore devoir faire ses preuves. Agito, Versus et Haeresis ont intérêt à se cramponner sévère ! En tout cas, en tant que grande grande fan de la licence je ne pouvais pas me permettre de passer sous silence ce hit qui a fait couler beaucoup d’encre… et de larmes.
Sans pouvoir les départager, voilà certainement deux de mes plus grands moments de cinéma de 2010. Sans vouloir répéter ce que j’ai déjà pu dire à son sujet, Toy Story 3 clôt une trilogie avec brio ; humour, sensibleries et perfections d’animation qui m’ont fait passer à plusieurs reprises un excellent instant devant les écrans. A l’opposée totale (si l’on omet le point commun du second degré) la perle de Rodriguez que j’ai attendu des mois et des mois durant. Machete, l’apologie du kitsch et du mauvais goût, au départ simple private joke des gars de chez Grindhouse, buzz amplifié sur le net, et aujourd’hui légende devenue réalité. Rodriguez a su réaliser ce que rares sont parvenus à atteindre : faire mieux que ce que les fans espéraient d’un simple délire, combler toutes les attentes des déçus d’Expandables. Machete est à n’en pas douter l’une des plus belles réussites de Rodriguez, passé maître es-hommage aux séries Z ; on en redemande !!!
Tout comme Final Fantasy XIII, mais à des niveaux bien différents, l’extra-terrestre de Quantic Dream a su retourner le petit monde du jeu vidéo. Vu par certains comme le « nouveau visage » du jeu vidéo, conspué par d’autres comme étant bien loin d’un item vidéoludique, Heavy Rain a secoué beaucoup d’amoureux de la manette. Pour ceux qui nous suivent depuis les débuts du blog, vous saurez certainement que j’ai complètement craqué sur ce véritable film interactif : technique bluffante, intrigue surprenante qui tient en haleine, fins multiples, atmosphère envoutante, personnages attachants et musique bouleversante, malgré un gameplay basé sur un système de QTE plutôt primaire le bébé de David Cage a su m’émouvoir aux larmes. C’était la deuxième fois dans toute ma petite vie de gameuse. Heavy Rain n’appartient a aucun genre, et c’est ce qui en fait tout simplement l’une des plus belles choses qui me soit arrivée cette année en termes d’aventures vidéoludiques ! ENCOOOOOOOORE !!!
Le comics de Charlie Adlard et Robert Kirkman ~ La série TV de Frank Darabont
Des zombies ? Forcément, je dis « oui » sans réfléchir. Walking Dead c’est un peu la réalisation du fantasme de tout fan de Romero. Bien au-delà du support filmique qui ne peut souvent relater que sur un court terme la façon dont les survivants d’une invasion de zombies s’en sortent (ou pas), Kirkman a voulu nous montrer comment un groupe d’humains s’organiserait sur le long terme. Regroupement, recherche d’une cache et d’approvisionnement, relations humaines labyrinthiques… C’est le support du comics qui lui a permis d’étaler son imagination galopante sur des centaines et des centaines de pages. Le succès fut tel qu’il fut transposé en série télévisée ! Malgré un lancement plutôt faiblard aux États-Unis et un Episode 1 peu convaincant pour les fans du comics (mais bluffant pour ceux qui découvraient l’univers), on attend fébrilement la suite tout en portant beaucoup d’espoirs en Kirkman à qui l’on souhaite encore plein d’idées du genre !
Le comics de Mark Millar et John Romita Jr. ~ Le film de Matthew Vaughn ~ L’OST de Prodigy
Nous avons beaucoup, beaucoup, beaucoup parlé de Kick-Ass sur ce blog. Sa force est d’être devenu célèbre auprès du grand public grâce à son film avant de faire connaître le comics qui en est à l’origine. Marquant autant par le talent artistique de Millar et Romita que celui filmique de Matthew Vaughn, il n’en est pas moins resté indélébile dans nos esprits grâce à l’inégalable bande son de Prodigy. En moins d’un an, Kick-Ass et sa team se sont faits un nom et on en re-re-reveut ; au cinéma, sur les pages d’un comics, mais aussi dans les oreilles. Phénomène et hommage à la culture pop par excellence, il retourne le mythe du super héros en faisant l’apologie de la violence dans les milieux adolescents, voire enfantins. Car à n’en pas douter la véritable héroïne de cette saga éponyme n’est autre que Hit Girl, sublimée à l’écran par l’excellentissime Chloe Moretz. Il ne faut pas non plus oublier que son succès commercial fait de Kick-Ass le synonyme de la renaissance du comics dans les chaumières ; ça n’est pas rien. Tout ça pour dire qu’on est grave au taquet pour la suite…
Les deux évènements geeks 2010 que je retiendrai sont sans aucun doute le salon du F.A.C.T.S. (dont je vous ai laissé toutes mes impressions ici) et le concert du Video Games Live. Deux regroupements de nerds inoubliables avec d’un côté les cosplayeurs fans de space opera, et de l’autre les amoureux des symphonies vidéoludiques. Deux dates pour lesquelles je referai un déplacement en 2011 ; sans hésitation !
La bande-dessinée de Florent Maudoux
Le début de l’année 2010 avait commencé très fort avec la publication du troisième tome de Fraks’ Squeele, la BD complètement ixième degré du petit génie geek Florent Maudoux. C’est beau, c’est drôle, l’intrigue est intelligente et prenante, les personnages ont une personnalité originale et à part entière et surtout c’est plein, plein, plein de références pour nous les nolifes. Imaginez un univers à la Harry Potter en plein dans l’école du Pr. Xavier avec un humour à la Monthy Python : Maudoux l’a fait… Si vous ne connaissez pas Freeks’ Squeele faites-moi confiance : ruez-vous sur le premier tome et vous me remercierez. A quand le tome 4 ?!
Le film de James Cameron ~ L’OST de James Horner
Avatar n’a pas été un évènement pour moi qu’au cinéma fin 2009. Il l’a été à trois nouvelles reprises, d’abord avec la sublimissime bande originale de James Horner (Braveheart, Willow, Titanic, etc.), mais aussi avec la version longue rediffusée au cinéma en septembre (8 minutes de film en plus). Et v’là t’y pas qu’avec la sortie du Blu-Ray je me reprends une grosse claque en pleine djeule. Non seulement cette version ultra-longue ajoute encore 8 minutes supplémentaires (16 au total si vous avez suivi), mais en plus n’ayant pu le voir qu’en 3D au cinéma, j’ai eu le plaisir de (re)découvrir la version « 2D » sur mon écran HD à la maison. Et là c’est le décrochage de mâchoire pendant 3 heures. Avatar est tout simplement l’un des plus beaux films qui m’ait été donné de voir et qui me transporte encore et encore avec un univers de toute bôôôté et une OST qui donne des frissons.
« Le » jeu vidéo de l’année pour moi. Ce GTA-like du far-west dont je vous ai déjà fait les éloges mêle un gameplay bien huilé à un univers riche et une ambiance unique retranscrite grâce à des personnages crédibles, avec en plus de toute ça l’une des plus belles OST du jeu vidéo, et des graphismes renversants. Marketté à outrance, attendu comme jamais, il est l’un des rares succès commerciaux à n’avoir pas déçu ses fans d’avant l’heure. Avec ses nombreux mods (notamment l’Undead Nightmare) et son multi-joueur prenant, il a su se frayer une place parmi les légendes du jeu vidéo en un rien de temps ! Quant à John Marston il est tout simplement devenu une icône des héros du 10ème art, et encore aujourd’hui je parcours inlassablement les larges canyon de ce jeu à dos de canasson juste pour le plaisir des yeux. Red Dead Redemption est la preuve que les studios Rockstar en ont encore dans le ventre.
Le comics de Bryan Lee O’Malley ~ Le film de Edgar Wright ~ Le jeu vidéo (PSN, XBLA) ~ L’OST d’Anamanaguchi
Sur 4 supports Scott Pilgrim a TOUT déchiré. Malgré une publicité lourde pour le film qui a au final très peu marché, la création de Bryan Lee O’Malley est certainement celle qui m’a le plus tenue en haleine en cette seconde partie d’année 2010. A la base un comics en 6 tomes qui déchire tout (patte cartoon, humour décalé, références geekes à en vomir) Scott Pilgrim vs. The World est surtout connu pour l’adaptation au cinéma d’Edgar Wright. Loin de nuire à l’univers dont il s’inspire, Wright donne une toute nouvelle dimension aux aventures de Scott et de Ramona dans un film bourré d’effets spéciaux hallucinants qui donnent l’impression qu’on est plutôt dans un jeu vidéo que devant un long-métrage. Ça pète de partout, le casting frise le parfait, et l’OST de rêve respecte la série de comics comme jamais. C’est tout ? NON ! Scott Pilgrim c’est aussi un jeu vidéo en pixel-art développé par Ubisoft et qui reprend les combats affrontant le héros aux ex-petits amis maléfiques de sa belle. Les graphismes mis sur pied par un maître en la matière (j’ai nommé Paul Robertson) donnent vie à un jeu nerveux et jouissivement old-school, hommage véritable aux mythes du genre sur consoles 8-bit. Saupoudrez tout ça d’une bande son électrisante d’Anamanaguchi (l’une des rares OST de jeux vidéo que j’écoute en boucle) pour faire de ce jeu discret une vraie petite tuerie. Véritable retour aux sources du jeu vidéo old school, hommage vivant de la culture geeke, Scott Pïlgrim s’est dévoilé avec brio sur tous les supports (comics, ciné,ma jeux vidéo et audio) et a à chaque fois fait exploser mon petit cœur d’émotion et de plaisir brut. C’est mon choix geek n° 1 pour cette année 2010 !
Pour finir, et pour éviter les lettres à l’anthrax de haters en cette fin d’année, je vous cite aussi tous les jeux auxquels je n’ai pas encore eu le plaisir de jouer, mais qui ont tout de même marqué l’année (si une âme généreuse passe dans le coin, elle sait quoi m’offrir pour mon anniversaire :D) : Mass Effect 2, Fallout New Vegas, God of War III, Alien Swarm, Starcraft II, Darksiders, Assassin’s Creed II, Lara Croft & The Guardian of Light, BlazBlue : Calamity Trigger & Continuum Shift, Bioshock 2, Metro 2033, WoW : Cataclysm, Super Meat Boy, Civilization V, Enslaved : Odyssey to the West, Vanquish, Majin and the Forsaken Kingdom, Bayonetta, Dante’s Inferno, Scott Pilgrim Contre le Monde, Shank, Battlefield : Bad Company 2, MAG, Resonance of Fate, Castlevania : Lords of Shadow, Halo Reach, Limbo, Metroid : Other M, Disney Epic Mickey, Monster Hunter 3, Donkey Kong Country Returns, Sonic Colours, Dragon Quest IX : Les Sentinelles du Firmament, Pokémon Version Argent : SoulSilver et Pokémon Version Or : HeartGold, God of War : Ghost of Sparta, Kingdom Hearts : Birth by Sleep, etc.
Sans oublier tous les autres excellents films qui m’ont scotchée : Shutter Island de Martin Scorsese, L’Agence tous risques de Joe Carnahan, Iron Man 2 de Jon Favreau, Le Dernier maître de l’air de M. Night Shyamalan, The Social Network de David Fincher, Inception de Christopher Nolan, Sherlock Holmes de Guy Ritchie, Raiponce de Byron Howard et Nathan Greno, Summer Wars de Mamoru Hosoda, etc.
Et puis les salons de cette année qui m’ont donné goût pour 2011 : le Comic Con’, Japan Expo, le Festival de l’Animation, le Monde du Jeu, le Paris Games Week, etc.
Autant vous le dire : j’ai hâte d’être en 2011. Eh mais… C’est ce soir ! Plein de bisous sous le gui à tout le monde, et rendez-vous l’année prochaine pour de nouvelles aventures !
Aujourd’hui Koroeskohr nous revient avec un [Loading] de taille puisqu’il va causer histoire du FPS ! Du haut de ses 16 ans son article m’a (une fois de plus) mis une grosse claque dans la gueule. GG.
Ah, le FPS. Un style de jeu si particulier qui a su envoûter des millions de joueurs à travers le monde. Bien que très masculin, il n’en reste pas moins que la gente féminine est présente ! J’en prends pour exemple les filles qui crient lors d’une partie de Call of Duty. C’est tout de même fréquent, non ? Ah ce sont des enfants ? Au temps pour moi.
Enfin !
Il était une fois l’histoire de deux hommes, Steve Colley, et Jim Bowery qui, respectivement, développèrent les premiers jeux du genre, j’ai nommé Maze War et Spasim. Ils sortirent tous deux en 1974, et étaient déjà faits pour le jeu en réseau. Ils ont été considérés comme révolutionnaires à l’époque, et ce n’était que le début. Comme quoi le Medal of Honor dans ta console ne date pas d’hier.
1980. Une belle époque, j’en suis convaincu. C’est à ce moment qu’Atari décide de sortir sur bornes d’arcade Battlezone. L’effet 3D était généré par un simple enchevêtrement de lignes droites donnant l’illusion du relief. Le public en redemande, c’est à partir de là que le genre fait parler.
La première démocratisation du genre aura lieu sept ans plus tard, par la sortie sur Atari ST de Midi Maze. Encore une fois, le network gaming sera mis en avant grâce aux ports Midi de ces consoles.
Et là, c’est le drame. Wolfenstein 3D. WOLFENSTEIN 3D, QUOI ! Je crois que je réveille des souvenirs parmi certaines personnes.
Ce jeu, sorti en 1992, pose les fondements du genre. En effet, on incarne BJ Blazkowicz, un soldat Allié,qui tente de s’échapper d’un château Nazi durant la seconde guerre mondiale. Ça me rappelle vaguement quelque chose. M’enfin.
Wolfenstein 3D, donc, est sorti depuis sur sept plates-formes différentes. Le souvenir perdure, le genre avec. Son originalité a résidé dans le fait qu’il a été le premier à reprendre des faits historiques réels afin d’en tirer un jeu. Je doute que cela ait été approuvé par tout le monde, mais cela lui fit une bonne publicité.
On continue dans du phat stuff avec Doom, oui mesdames et messieurs ! Ce jeu est probablement l’un des plus influents dans toute l’histoire du jeu vidéo ! Se battre contre des hordes de démons, d’esprits, ou contre le Diable lui-même… Rrr, à soulever la table sans les mains ! Et ceci fut possible un an après Wolfenstein 3D, soit en 1993. Ce jeu a évidemment été controversé. Les thèmes sataniques, la grande violence, et toutes les choses bien crades qu’on peut extraire d’un monstre éventré à coups de pistolet ont quelque peu choqué, se faisant ainsi appeler un « simulateur de massacre » (traduction approximative) ; les deux auteurs du massacre de la Columbine High School en 1999 auraient apparemment été de fervents joueurs, et on commença à se poser des questions quant à la violence dans les jeux.
Sinon ; pour vous donner quelques chiffres, Doom c’est 10 millions de téléchargements en une année, c’est un terme à part entière pour désigner le type de jeu (le doom like), un film, 10 jeux sur la franchise… C’est grand. C’est aussi le premier jeu à utiliser le LAN : aventure en coop, deathmatches endiablés, les prémices de nos jeux d’aujourd’hui !
On continue avec une avancée dans le réalisme en 1994, premièrement grâce à Rise of the Triad du studio Apogee. Ce jeu ouvre les portes de l’immersion par la possibilité de détruire les sources de lumière, de casser les vitres, de sauter, ou encore de marquer les traces de balles dans les murs.
Deuxièmement, nos bons amis du studio Bungie sortent le jeu Marathon qui offre au joueur la possibilité de regarder dans toutes les directions. Une révolution, n’est-ce pas, puisque les jeux précédents ne permettaient que certains angles, et que sur un unique plan horizontal pour certains.
Sinon, Duke Nukem, ça vous parle ? Ça devrait, en effet ! Duke Nukem 3D, un FPS édité par le studio 3D Realms, sort en 1996 sur PC. On y incarne donc Duke, envoyé par le gouvernement pour stopper une invasion alien. L’originalité dans ce titre résidait dans la diversité des armes et du bestiaire, ainsi que l’apparition du viseur, et d’une vue à la troisième personne. Peut-être le saviez-vous, mais avant Duke Nukem 3D, il y eut deux autres opus, qui étaient des jeux de plates-formes !
Cette même année, on a pu voir apparaître sur nos machines le premier FPS entièrement réalisé en trois dimensions, j’ai nommé Quake. Le moteur de ce jeu a ouvert la voie à Half-Life, ou encore Resident Evil 2 par la suite. Enfin, il a pour la première fois ouvert les portes du multiplayer en online, grâce aux balbutiements d’Internet ! Personnellement, j’étais fraichement né, et j’étais loin de tout ça… Pourquoi, maman, papa, pourquoi ? Ah, souvenirs, comme ce modem qui criait à la mort quand on l’allumait…
Allez, je vous sens trépigner d’impatience, vous voulez du nom qui fait trembler, qui donne des frissons… Goldeneye… *brr*
Eh oui. En effet, 007 Goldeneye, en 1997, a été le premier succès en matière de FPS sur console. On s’en souvient tous pour son mode multijoueur vraiment excellent, pour la précision des contrôles, et pour son histoire tout de même passionnante. Ce jeu a été plébiscité à sa sortie, il est adulé aujourd’hui, ce qui fait de lui l’un des plus grands FPS de l’histoire.
Décidément je vous gâte aujourd’hui. Vint ensuite Half-Life en 1998, suivi de Unreal. Le premier est devenu une référence grâce à son scénario des plus spectaculaires, qui a su prouver qu’un FPS pouvait en avoir un (intéressant je dis bien). Il a eu une suite que l’on connait tous, Half-Life 2, tout aussi aimé que le premier opus. Le second titre n’a pas réellement marqué en lui-même. Ce qui reste de lui aujourd’hui est l’Unreal Engine, qui est toujours l’outil le plus répandu pour la création de FPS.
Voici ensuite une des plus grosses bombes au niveau de la franchise, je veux bien sur parler de Medal of Honor, en 1999. Il met en scène un soldat Allié durant la seconde guerre mondiale. Tiens, j’ai l’impression d’en avoir déjà parlé. Peu de nouveautés après tout, juste un remix de tout ce que j’ai dit avant, avec un nombre de jeux différents absolument aberrant, de l’ordre d’une trentaine… Pour l’anecdote, le Guinness Book of Records 2008 a attribué à la série le titre de « Franchise comptabilisant le plus de ventes ».
Un nouveau millénaire amène forcément de nouveaux jeux spectaculaires, comme le fut Halo : Combat Evolved. Sorti en 2001, ce jeu des studios Bungie est aujourd’hui une référence du FPS sur console. Microsoft a casqué méchamment pour avoir l’exclusivité, et finalement, je ne pense pas qu’il ait eu à le regretter après ça. Deux mots : Master Chief.
Je souhaiterais maintenant vous parler d’un FPS qui n’a pas réellement été une icône, mais qui me tient à coeur : Red Faction. Non, ce jeu n’a pas été le précurseur d’une longue série. Non, il n’a pas généré des millions et des millions de bénéfices. Ce jeu a juste su être extrêmement captivant. L’histoire se déroule sur Mars. Ultor, le dictateur sur place, expérimente ses nano-robots sur des mineurs (qui minent, pas des enfants), et dissémine une grave maladie par ce biais. La Red Faction, un rassemblement de mineurs, résiste, et tente de défaire Ultor de ces méthodes barbares.
Un mode multijoueur était présent, même si je me souviens que j’étais vraiment très mauvais. Mais on s’amusait 🙂
La grande particularité de ce jeu était le Geo-Mod. C’était une feature qui permettait au joueur de détruire tout son environnement avec les armes explosives ou les excavatrices que l’on pouvait conduire au cours de la campagne. Malheureusement, elle n’a pas été utilisée au mieux, elle faisait vraiment gadget : on ne pouvait pas détruire les portes bloquées ou un abri en béton permettant d’aller activer un interrupteur, donnant au jeu une linéarité plus que repoussante. Mais bon, quand on aime, on ne voit que les bons côtés !
Ça y est, je pense que je parle à énormément de monde à présent. Attaquons nous à la plus GROSSE BOMBE FPS DE L’HISTOIRE ! Call Of Duty, sorti en 2003 sur les consoles de la génération GameCube-PlayStation-Xbox, a explosé des records de vente à sa sortie ! Mais ce titre n’a évidemment pas été le succès le plus flagrant puisque sont venus plus tard, sur consoles de nouvelle génération la série Modern Warfare. Je dis « série » car ce sont ceux qui ont été développés par Infinity Ward, au lieu de TreyArch précédemment, et également grâce à l’über-puissance des deux titres qui ont tout simplement cartonné !
Modern Warfare 2 a, au jour de sa sortie, réalisé 310 millions de dollars de chiffre d’affaires, explosant ainsi le record détenu par GTA IV. Mais il a été aujourd’hui battu par Halo Reach, et Black Ops !
Je finirai sur le jeu qui a poussé le réalisme à son paroxysme, qui a su recréer une ambiance réelle, où l’immersion était immense, le dénommé Crysis. Ce jeu développé en 2007 a malheureusement beaucoup laissé de côté le scénario pour se concentrer sur le réalisme : en effet, il est possible d’y interagir avec absolument tout. On peut découper des arbustes avec une arme et ramasser le bout de tronc tombé afin de s’en servir de projectile, on peut casser les murs d’une maison, tout est vraiment fait pour pousser le joueur à devenir le personnage. Cela est permis grâce au CryEngine2, digne successeur du premier du nom, utilisé dans le jeu Far Cry.
Ceci a toujours été l’un des rêves les plus fous des joueurs, et même si les prémices de cette technologie s’inspirent du Geo-Mod, elle n’en reste pas moins quelque chose de nouveau qui change notre perception du jeu.
Pour conclure, je dirais que le FPS est le genre qui a surpris le jeu vidéo lui-même. C’est celui qui a su faire le plus de progrès depuis sa création, et il n’a pas fini de nous surprendre. L’histoire reste encore à écrire, nous la faisons tous les jours en jouant à nos jeux préférés, et c’est pour ça qu’il faut passer au moins une heure par jour sur sa console. Sinon l’histoire n’avance pas, m’voyez.
Sur ce, je vous remercie d’avoir prêté attention à mon Loading malgré tout assez conséquent, et vous dis à bientôt car j’en ai encore d’autres dans la tête 🙂
Le grain de pixel d’Eskarina :
[Loading] est une rubrique publiée tous les jeudi, et c’est la vôtre. Elle a pour but de publier sur le blog les écrits / dessins / etc. de nos lecteurs. N’hésitez pas à nous faire parvenir vos tests, strips, coup de cœur et de gueule si vous voulez les faire partager sur Kiss My Geek ! Vous pouvez nous envoyer tout ça à eskarina@kissmygeek.com et à oujiz@kissmygeek.com.
Les fêtes de Noël sont passées, et le barbu sapé en rouge le plus célèbre de la planète a sans doute bien fait son job.
Tout le monde a été servi, même tous les héros vidéoludiques, dans leurs repères bigarrés.
Hum… tous ?
Faîtes pas trop les fous demain !
Bon cette semaine parmi tous les films d’amour j’ai dû couper dans le vif.
Nous sommes la nuit (Dennis Gansel)
J’avais été plutôt intriguée par le trailer qui ressemble à une pub pour parfum siliconée. Et disons qu’il vaut mieux s’arrêter à sa première impression si on veut voir ce que le film donne. En effet, la filmographie de Gansel est peu fournie ou du moins peu flatteuse… Restons-en donc au constat suivant : Nous sommes la nuit est un film de vampires avec du sexe, de la dentelle et du sang. Ça ne se refuse jamais ! Et ça peut même cacher de bonnes surprises.
L’histoire débute avec une marginale vivant de ses vols à la tire, Lena, 20 ans. Un soir lors de l’une de ses virées, elle entre dans un club underground et rencontre Louise, la propriétaire. Cette femme, bien évidemment belle et mystérieuse, est à la tête d’un duo de vampires : Nora et Charlotte. Bien évidemment les donzelles sont lesbiennes (quitte à attirer le public masculin) : Louise tombe instantanément amoureuse de Lena et la mord lors de leur première nuit. Cette dernière va découvrir rapidement les avantages de sa vie désormais éternelle. Liberté, luxe et volupté deviennent son quotidien à travers un enchaînement de fêtes et de soirées. Plutôt cool hein ! Mais chacun sait que la vie de vampire finit toujours par s’avérer moins fun qu’on le croit ; notamment quand Lena comprend que la soif de sang qui croît en elle a un prix…
En somme c’est une histoire plutôt classique, un conte moderne de la femme vampire mais dans un contexte qui n’en reste pas moins peu original. Si c’est un genre plutôt prolifique (et surtout dernièrement où c’est revenu très à la mode) le traitement se promet toutefois un peu plus « trash ».
A voir…
Sources et images via Allociné
En voila, un phat fan movie en attendant Duke Nukem Forever qui sortira normalement l’année prochaine.
HAIL TO THE KING BABY !
2ème jour après Nowel, normalement vous êtes tous en train de jouer ardemment avec vos brand new cadeaux. Si vous êtes satisfaits de vos cadeaux c’est très bien, car vous auriez pu tomber sur mon top 10 des cadeaux les plus pourris à avoir pour Nowel.
Et ça fait très très mal. :l
Je continue avec mes articles de Nowel ! Cette fois, je vous ai réalisé une petite sélection des jeux qui selon moi possède de très jolies niveaux enneigés ! Du rétro aux games sortis depuis peu, il y en a pour tous les gouts !
Ca se passe juste après le jump !
Un Nowel sans vidéo geek n’est pas un bon Nowel.
Alors, arretez de manger du chocolat ou de déballer vos cadeaux, les 5 vidéos à voir absolument en ce jour sacré où Jesus a respawn sur Terre c’est tout de suite maintenant !
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