Kiss My Stirp 14

Kiss my stirp #1 : Eskalendrier


Une nouvelle rubrique ? Tiens !
Toutes les deux semaines, Kiss my Geek vous proposera un strip se penchant sur l’actualité vidéo-ludique… ou pas du tout.

Et comme j’aime bien me faire virer dès que je commence quelque part, Eskarina en prend pour son grade dans ce premier KmS. Rappelez-vous…

 » Eskalendrier « 

Vous lisez les alt, vous ?

On se dit rendez-vous dans deux semaines ?

Loading 2

[Loading] Pepiiit0 : mon test de Fable III

Fable III


La dernière fois que Pepiiit0 nous a fait un [Loading], c’était pour son test de CSProMod. Il revient aujourd’hui nous donner son avis sur Fable III !


La série Fable est l’une des préférées sans aucun doute de la communauté Xbox en France. Fable III le dernier opus est sorti le 29 octobre dernier. Répond-il aux attentes des joueurs l’attendant avec impatience ?

Pour replacer le contexte, le jeu se déroule dans le royaume d’Albion. À contrario de Fable II dans lequel on commençait mendiant orphelin, dans celui-ci on commence son aventure au palais royal ! On incarne au choix une fille ou un garçon, nous élevant donc au statut de princesse ou prince du royaume. Mais ne vous fiez pas aux apparences du début. On déchante vite et on se retrouve contraint de fuir le palais royal à cause de la folie d’un certain Logan, notre frère, dirigeant du royaume. Je n’en dirai pas plus, préférant laisser aux gens découvrir tranquillement le début de l’aventure. Le jeu consistera dans un premier temps comme vous vous en doutez à renverser le royaume.


Fable III


L’un des points forts de Fable III est l’implication réelle du joueur sur le scénario par le biais d’une notion de choix. En effet le joueur est très souvent amené à avoir un choix à faire ce qui, en plus d’avoir une incidence directe sur le scénario, en aura une sur l’attitude de votre entourage. Jouer en étant gentil ou méchant, libre à chacun de choisir. Là où le jeu devient intéressant c’est qu’il est possible d’interagir avec tous les protagonistes du jeu, amis et famille bien sûr mais également les villageois ou encore les soldats. Tout comme dans Fable II, on dispose d’un certain nombre d’actions d’interactions telle que discuter ou serrer la main. Le choix de notre attitude globale dans le jeu aura également une incidence sur le physique de notre personnage. En effet il est possible que celui-ci passe en sur-poids ou dans un tout autre sens développe une certaine musculature conséquente.


Fable III


Enfin le jeu intègre une composante très intéressante. Il est possible en effet d’épouser une femme afin d’en faire notre princesse, de lui faire des enfants, etc. Mais toujours dans cet esprit de choix vous pourrez à votre guise décider de lui rester fidèle ou bien de devenir un étalon d’Albion enchaînant les conquêtes. Tout le monde a le loisir de s’exprimer comme il le souhaite.

Quant au scénario, grâce au système de jeu évoqué plus haut il faut admettre que celui-ci est très captivant et je trouve quand même bien diversifié. On alterne régulièrement entre phases de moments intenses et phases plus posées. Le tout ponctué de phases de combat assez régulières dont encore une fois nous avons le choix de la façon de les mener. Nous pouvons en effet pratiquer trois styles de combats différents les uns des autres qui sont : magie, arme à feu ou bien encore arme de mêlée. Étant possible de pratiquer ces trois styles de combat en même temps il faut néanmoins choisir de s’orienter vers l’un d’eux, par le biais de sceaux de guilde que l’on gagnera tout au long du jeu, ceux-ci permettant de s’améliorer donc dans une compétence en particulier. Je rajoute qu’il est bien sûr possible de courir, sauter, creuser etc.


Fable III


Concrètement Fable III nous déroule son scénario d’un style très convaincant. Et ceci malgré surement le seul point faible du jeu, ses graphismes peu évolués par rapport à Fable II, donc en dessous des attentes que l’on pourrait avoir pour une console HD. Mais on oublie vite ceci tellement le jeu nous propose une aventure captivante. De plus, le mode coopération de cet opus est particulièrement bien réussi. Faire le jeu avec un ami ou même son conjoint que ce soit en ligne ou de façon locale est tout à fait possible rendant l’aventure ainsi encore plus intense.

Fable III est donc un savoureux mélange de jeu d’aventure et de simulation de vie très bien réussi. Avec un gameplay offrant une liberté quasi absolue et très accessible même aux néophytes de la série, tout joueur saura trouver sa place dans ce jeu.


Le grain de pixel d’Eskarina :

[Loading] est une rubrique publiée tous les jeudi, et c’est la vôtre. Elle a pour but de publier sur le blog les écrits / dessins / etc. de nos lecteurs. N’hésitez pas à nous faire parvenir vos tests, strips, coup de cœur et de gueule si vous voulez les faire partager sur Kiss My Geek ! Vous pouvez nous envoyer tout ça à eskarina@kissmygeek.com et à oujiz@kissmygeek.com.


Jeux Vidéo 1

[Test] The UnderGarden

Test The UnderGarden


Comme l’indique le titre de ce petit jeu indé, sous l’eau aussi on peut jardiner. The UnderGarden est un puzzle game qui vous invite à visiter un univers abyssal qui ne demande qu’à se colorer. En incarnant une adorable petite bestiole, vous allez devoir faire fleurir tout ce qui l’entoure.



The UnderGarden vous dévoile les secrets du jardinage sous-marin. Il va vous falloir illuminer de plantes colorées le monde abyssal que vous parcourez et que vous allez devoir faire fleurir en semant des spores sur les graines présentes dans le sol.

Vos buts sont multiples ; vous franchir un passage dans chaque niveau jusqu’à atteindre un portail qui vous téléportera au jardin suivant, escorter de petits musiciens, et faire fleurir au maximum l’écosystème du level pour grappiller plus de points.

Si le puzzle game est le genre dont on peut le plus facilement rapprocher ce jeu, soyons toutefois sincère ; les énigmes à résoudre pour parvenir à la fin des niveaux sont loin d’être complexes. The UnderGarden n’est pas un jeu à challenge. Comme pour un Flower, sa vocation est clairement de vous faire passer un bon moment. Mais à la différence de celui-ci (qui aurait pu décontenancer certains), on nous propose ici une petite trame de gameplay afin de ne pas perdre le joueur en lui donnant un but.



Test The UnderGarden
Voilà votre avatar. Vous avez dit kawaii ?


A vous de choisir si vous préférez évoluer librement dans le labyrinthe pour faire fleurir l’écosystème le plus possible, ou bien au contraire essayer de trouver le plus rapidement la sortie pour passer au niveau suivant. L’ensemble de ces critères vous donneront plus ou moins de points en fin de level, ce qui vous permettra de débloquer l’étape suivante du jeu, ainsi que des costumes pour personnaliser l’apparence de la créature que vous contrôlez.

En plus de cela, il vous sera proposé de collectionner des fleurs cachées, toujours dans le but d’augmenter vos scores. Et aussi parce que c’est choupi !

Au niveau des commandes, rien de bien compliqué. Avec le stick, vous déplacez votre personnage, et avec les boutons vous créez une bulle autour de vous qui vous permet de collecter des graines ou des musiciens.

Sur l’écran, il y a trois jauges. Deux de moindres importance qui vous montrent votre stade de progression dans le niveau, ainsi que l’état de floraison de l’écosystème. La troisième indique le stock de spores dont vous disposez pour faire fleurir les graines autour de vous.



Test The UnderGarden
En bas de l'écran : les trois jauges. Partout ailleurs : les spores que vous avez semées !


En effet, il ne suffit pas de passer au-dessus des zones ensemencées pour tout faire fleurir. Vous devez d’abord déposer des spores que vous collectez en rebondissant sur de petits bulbes répartis tout le long du niveau. Et quand vous êtes en rade, il vous faut faire le plein avant de repartir fleurir le monde ! Alors seulement, il n’y aura plus qu’à survoler les zones capables de fleurir pour les faire exploser de couleurs et de corolles… C’est un véritable feu d’artifice visuel dont on ne se lasse pas.



Test The UnderGarden
Un casse-tête comme vous en trouverez beaucoup...


Toutefois ne nous leurrons pas ; la variété du gameplay reste plutôt faible. Au fond, on répète toujours la même mécanique de jeu sur les 15 niveaux proposés à savoir : faire fleurir un maximum son environnement, et trouver la porte de sortie en se confrontant à un puzzle game intégré au level design (par exemple ; il va falloir pousser telle pierre pour ouvrir tel passage). Heureusement, pour « pimenter » un peu tout ça, on rencontre différents types de créatures et de fleurs qui vont soit vous faciliter la tâche, soit au contraire vous la compliquer. Par exemple, certains fruits sont gorgés d’électricité. Vous devrez les transporter et les laisser tomber sur certains mécanismes pour les activer. D’autres fruits sont explosifs, emplis d’air, ou au contraire très lourds. C’est en jouant avec ces différents éléments que vous pourrez vous frayer un chemin à travers votre jardin sous-marin.


Test The UnderGarden


  • Le côté très zen qui se dégage du soft,
  • Le tout est visuellement très plaisant, les couleurs pètent de partout,
  • Le fait de pouvoir personnaliser l’apparence de sa bestiole,
  • La variété des environnements,
  • L’aspect grand public ; c’est autant pour les gamers que pour votre petite nièce accroc à Nintendogs.





  • Le tutoriel mal géré,
  • L’absence de challenge réel,
  • La répétitivité,
  • La maniabilité parfois un peu aléatoire.



L’ambiance de The UnderGarden est plaisante, colorée, poétique et reposante. Néanmoins on a un peu de mal à s’imprégner au départ à cause d’un tutoriel mal fichu ; les bases du jeu nous sont décrites de façon trop rapides et plutôt maladroite. J’ai dû m’y reprendre à deux fois pour tenter de comprendre des notions que je n’ai fini par assimiler par moi-même qu’au bout de plusieurs heures de jeu. Heureusement, cela n’a pas nui à ma progression mais je ne peux pas nier que ça a eu un petit aspect frustrant.

J’évoquerai aussi très vite le mode coop’ qui représente assez peu d’intérêt mais qui a le mérite de pouvoir vivre cette expérience sensorielle à deux.

Vous l’aurez compris : il s’agit d’un jeu à vivre comme un moment agréable à passer devant son écran, une expérience visuelle et auditive plaisante et grand public. On est loins d’un AAA représentant un véritable challenge vous donnant des crampes aux doigts (ou au cerveau). Si vous aimez les jeux zen et sans trop de prises de tête, que vous avez été conquis par Flower, Aquaria ou encore PixelJunk ; The Undergarden vous convaincra.

Comptez 5 heures pour finir le jeu (un peu plus si vous cherchez à tout faire fleurir et à collecter tout ce qui peut l’être). Autant dire que ça vous propose une bonne dose de zénitude pour un prix raisonnable.




UnderGarden est un jeu développé par Artech Studios et édité par Atari. Il est disponible depuis le 10 novembre 2010 sur le XBLA pour 800 points, sur le PSN et sur PC pour 9.99€. Si vous voulez vous y essayer, des démos gratuites sont mises à disposition !


Divers Jeux Vidéo 2

Stop motion dans taggle



Après ce titre et cette bannière sommes toutes un peu violentes se cachent trois clips pleins de poésie. Ou pas.

Y’a des vidéos comme ça qui vous foutent sur le cul, ou qui vous amusent tout simplement. Aujourd’hui rien que pour vous trois clips en stop motion impressionnants et complètement délirants. Enjoy !








Les deux premiers clips viennent de Korben, et le dernier de Kia. Merci à eux pour la découverte !


BAD Lectures 2

[BAD] Episode #26


Et c’est parti pour ce vingt-sixième épisode de votre podcast préféré sur l’actualité BD, comics et manga : BAD !


Dans cet épisode présenté par Boidin et son jumeau maléfique on trouvera :

– des pixels
– des Men in Black
– du latin
– du Succube #1 (Renart)
– du Wolf-Man #1 (Kirkman & Howard)
– du Trolls de Troy #14 (Arleston & Mourier)
– du Batman Arkham City

Voici sans plus attendre ce BAD #26 :






Vous avez aimé ? Filez vite sur la fanpage Facebook de BAD !

A la semaine prochaine pour de nouvelles aventures !


Interviews 2

[ITW] Eskarina par Chron|eek



Vous le savez, mon métier de testeuse de jeux vidéo fait beaucoup de curieux.

Cette fois-ci ce sont les p’tits gars de Chron|eek qui m’ont interrogée au sujet de ma vie professionnelle. Le lien est juste là ! Un gros merci à eux pour leur gentillesse 🙂


Oui je sais ce billet était très court, et vous savez que ça n’est pas dans mes habitudes. Alors pour me faire pardonner voici une petite vidéo qui n’a rien à voir mais qui vaut le coup d’œil !



Transformer Owl brought to you by Funny Videos

Dans Ton Cinéma 1

[DTC] Sorties de la semaine



Cette semaine, la vérité vient d’ailleurs !


Zerg rush !!!

Skyline (Colin & Greg Strause)

On doit déjà aux frères Strause l’Alien vs. Predator Requiem de 2008. J’en vois  s’enfuir en courant : revenez !

Bhein oui d’habitude on laisse une chance aux comédies américaines décérébrantes, alors cette fois-ci ayons un peu d’indulgence pour le film catastrophe de la semaine.

Skyline raconte comment de gigantesques vaisseaux extraterrestres envahissent notre bonne vieille Terre en se mettant en vol stationnaire au-dessus des plus grandes métropoles du monde entier. Ça vous rappellera bien évidemment Independance Day, La guerre des mondes ou encore Mars Attacks !, d’autant plus que ces ET ne sont pas bienveillants. En effet, de puissantes sources lumineuses qui se dégagnent de leurs navettes aspirent les hommes par milliers… Face à ce phénomène certes PLUTÔT FLIPPANT, les humains s’organisent pour survivre. Voire résister (olol les noobs).

Vous savez que j’aime les anecdotes cinéma, en voici quelques unes qui vous convaincront d’aller voir Skyline. Ou pas. Par exemple, saviez-vous que Skyline avait déjà une suite de prévue et en cours de tournage ? En outre, malgré un petit budget, un tournage de 42 jours et un casting essentiellement composé d’acteurs de série, le film comporte plus de 900 effets spéciaux ! Autant dire que vous allez en prendre plein la vue…


Site officiel


Bravo, mais attrape pas la grosse tête p'tit gars !

Megamind (Tom McGrath)

Dernier film d’animation des studios DreamWorks issu de l’imagination du papa de Madagascar, Megamind raconte l’histoire du super-vilain le plus génial de toute l’histoire de l’humanité, mais qui est aussi le pire loser possible.

Cela fait des années, qu’il essaie de conquérir Metro City en vain, puisque  chacune de ses tentatives est mise en échec par l’invincible Metro Man… Mais un jour Megamind parvient à tuer son ennemi juré. Tout semble aller pour le mieux, donc, sauf lorsque l’on sait qu’un super-vilain ne peut pas exister sans superhéros pour se sentir exister. Megamind va donc décider de se fabriquer un nouvel adversaire : Titan, encore plus grand, plus fort et plus héroïque que Metro Man. Le souci ? Titan découvre rapidement qu’il est bien plus drôle d’être un méchant, et de détruire le monde  plutôt que de le diriger…

Grandement inspiré de la culture comics, ce long-métrage devrait plaire aux plus geeks d’entre vous ! Un plaisir de plus quand on sait qu’Hans Zimmer a participé à l’OST du film ! Côté doublages VO vous pourrez retrouver Will Ferrell et Brad Pitt, côté VF Kad Merad et Franck Dubosc.





Site officiel

Sources et images via Allociné

Jeux Vidéo 3

NSFW ~ Les dossiers X du jeu vidéo



Depuis toujours les parodies porno de jeux vidéo courent sur le net. Il y en a des plus ou moins réussies, et dans la famille des succès, en voici toute une série ! Attention, c’est NSFW, interdit aux moins de 16 ans, et bien entendu plein de mauvais goût ! Autant de qualités qui font que l’on devait vous en parler sur Kiss My Geek 😉 Merci à Luc pour le tuyau (sans mauvais jeu de mot) !
























Video Games Porno Parody





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Via Ufunk