Arrivé sur nos écrans la semaine dernière, le Dieu du Tonnerre marque le début de la saison des blockbusters et surtout une nouvelle entrée en matière pour l’incroyable projet Avengers. Premier film du genre pour Kenneth Branagh, est-ce que Thor est bien le film qu’on nous a promis ? La réponse est oui, définitivement.
Oh yiii ! Je me permets de ninja la rubrique de notre cher Chase aujourd’hui pour vous parler du comics Maskemane réalisé par Ankama. J’en avais parlé, il y a quelques mois à l’annonce des deux nouvelles classes sur Dofus, le Roublard et le Zobal. Autant dire que le Zobal est de loin mon personnage préféré de Dofus, plus mature, personnalité très complexe (schryzophrénie quand tu nous tiens), vous l’aurez compris je me suis très attaché à ce cher porteur de masques.
Le Kapow! de cette semaine est dédié au Marvel Heroes Extra consacré à Hawkeye et Mockingbird, qui reprend l’intégral de la série consacrée aux deux héros (soit 6 numéros) qui faute de succès aux US avaient dû être arrêtée. Ça donne envie non ?
Tout d’abord petit rappel sur les personnages. Hawkeye (Œil de faucon) a été un membre des Vengeurs puis est mort, puis est revenu à la vie après House of M. Il ne possède aucun pouvoir mais a une vision parfaite ce qui en fait un incroyable tireur. Mockingbird (Oiseau moqueur) quant à elle a fondé les West Coast Avengers, a subi un viol, a laissé mourir un de ses agresseurs, s’est fait plaquer par son mec qui n’est autre qu’Hawkeye, bref la vie parfaite. Et en plus, on a appris récemment qu’elle s’était faite enlever par les Skrulls durant Secret Invasion. Elle renoue ensuite avec Hawkeye et fonde sa propre agence antiterroriste. Seulement voilà, de vieux fantômes vont ressurgir, dont Phantom Rider, celui qui a abusé d’elle.
L’histoire est de Jim McCann et les dessins de David Lopez.
On pourrait se dire qu’avec des personnages aussi « secondaires », McCann s’est complètement lâché. Mais non, il n’en est rien et je crois que le mot pour décrire le résultat final est : chiant. Il ne se passe pas grand chose, les dialogues sont plats (la traduction parfois plus qu’approximative n’aide pas non plus) et on se retrouve surtout avec tous les clichés possibles : des gadgets improbables, des rivaux qui finissent par bien s’aimer, j’en passe et des meilleurs. Le tout formant une histoire d’espionnage très kitsch. On remarquera quelques allusions à la continuité et une tentative de faire évoluer la relation entre Hawkeye et Mockingbird. Attention, les personnages ne sont pas inintéressants, c’est juste extrêmement mal exploité. On comprend alors pourquoi cela a été un échec total aux US.
Côté dessin, pas énormément de choses à dire, le boulot est fait convenablement.
En bref, une lecture très dispensable.
Cette semaine du 4 mai est bien spéciale puisque c’était la Saint Star Wars. Nul doute, vous avez dû voir courir partout le jeu de mot « May, the 4th, be with you ». Du coup autant dire que cette interview tombe à pic ! Bien qu’il me soit difficile de vous camoufler ma joie de fangirl décérébrée, je ne peux pas vous cacher que je suis très heureuse et fière d’accueillir aujourd’hui sur Kiss My Geek le créateur du Yod@blog. Le Yod@blog c’est quoi ? Un blog-BD ayant pour thématique Star Wars et dans lequel on peut lire une pléthore de strips, poilants autant pour les maîtres jedi que pour les padawans. Son auteur, être étrange et surprenant, m’a accordé cet échange qui, je n’en doute pas, vient d’une autre galaxie…
- Kiss My Geek : Yod@ ; bonjour, et merci d’avoir accepté de répondre à nos questions ! En ce qui me concerne, je suis une fan accomplie du Yodablog… Mais tout le monde ne te connaît peut-être pas alors est-ce que tu pourrais commencer en nous disant qui tu es « IRL » ?
Yod@ : Oh alors pour être concis, je suis un type né en 1969 comme tout le monde. Chargé de cours dans l’enseignement supérieur, peintre et gourmand. Mes cheveux étaient noirs. Je n’aime pas le sport mais j’apprécie les femmes, ce qui constitue une belle garantie quant à la validité de mes activités neuronales, je suppose.
- KMG : Il paraît que ton blog est né à l’insu de ton plein gré… Pourrais-tu nous en dire un peu plus sur la genèse de ce projet ?
Y. : Oui, c’est très con comme histoire. Rien n’était anticipé et je ne sais pas si l’on peut parler de projet, du coup. La base, ce sont des petites conneries que j’avais gribouillées dans un train à la fin de l’été 2008, des bonshommes. J’ai eu l’idée saugrenue de leur foutre un sabre laser entre les mains et de leur faire tenir des propos absurdes. Et puis je les ai stockés, ces dessins, sur mon pc. Point barre. Jusqu’à ce que je les montre à un ami blond qui m’a suggéré de les balancer en ligne en janvier 2009. D’ouvrir un blog bédé, en somme.
Je n’ai évidemment rien fait, l’ami en question ne pesait à l’époque que 140 kilos et était donc peu persuasif. Et puis j’étais jeune, un peu tête-brûlée. J’ignorais jusqu’à la définition du mot blog et ma culture bédé s’était arrêtée aux aventures de Guy L’Eclair. Mais le bougre, n’écoutant que ses perfides instincts, a cru bon d’ouvrir ce blog et de m’en confier l’administration. C’était le 29 janvier 2009, mon ami avait franchi la barre psychologique des 150 kilos et je publiais mon premier strip.

- KMG : Pourquoi Star Wars ?
Y. : Par facilité, peut-être. C’est un univers que je connais plutôt mal, en fait, mais qui me semble tellement riche en termes de fond et de forme, si improbable et chargé d’incohérences et d’aberrations que je n’ai qu’à me pencher pour cueillir des bouquets de gags. Et puis les sources sont intarissables, il y a vachement de communautés, de forums, de trucs dans ce genre qui constituent une base de données phénoménale. Il y a des vaisseaux, des robots, des monstres, des méchants et des gentils, il y a même des filles. Il y a plein de trucs dedans, c’est un peu comme un pudding géant. Les personnages sont très marqués et leur comportement est très manichéen, c’est très caricatural. C’est vraiment un univers très rigolo.
- KMG : Raconte-nous le processus créatif d’un strip.
Y. : Oh, il n’y a pas de méthodologie commune. Certains strips me viennent de mes petites expériences quotidiennes, de ce que j’y peux vivre, voir ou entendre, d’autres sont issus de commentaires qui me sont laissés sur le blog ou sur la page Facebook, d’autres s’inspirent du physique de tel ou tel personnage… J’ai toujours à portée de main un petit carnet sur lequel je note ou dessine des idées potentielles au fur et à mesure qu’elles tombent. Et puis je trie. Pour la suite c’est dessin au stylo noir, scan et colo sous Photoshop. C’est simple comme tout, et plutôt rapide. Le plus long c’est l’écriture : je peux passer une heure pour sortir la phrase qui permettra de véhiculer efficacement mon idée en aussi peu de mots que possible.
- KMG : Quelle est ta réaction face à la popularité de ton blog ?
Y. : La surprise, d’abord. Et puis du bonheur. C’est très chouette de savoir qu’on a une audience, quelle que soit son importance. Ça fait rudement plaisir. Mais il y a un peu de vigilance aussi, conséquemment : yodablog ne constitue pas et ne devra jamais constituer mon activité principale. Je veux lui maintenir son statut de divertissement, c’est à mon avis cette condition qui pourra lui assurer la pérennité. Si yodablog devenait un truc sérieux, ce serait triste.
- KMG : Ta recette du succès ?
Y. : Ne jamais écouter les autres et suivre son cap.

- KMG : Quelle est la plus grande difficulté que tu rencontres pour l’écriture de tes strips ?
Y. : Je ne relève aucune difficulté majeure, si ce n’est peut-être certains obstacles ponctuels à dénicher un environnement vraiment calme. J’ai besoin d’être seul pour me concentrer et pour bosser avec le minimum d’efficacité requis. Je bosse souvent la nuit, du coup.
- KMG : Est-ce que tu as la peur de la page blanche ?
Y. : Ahahah. Non.
- KMG : Quel est le strip dont tu es le plus fier ?
Y. : Celui dont je suis le plus fier ? Je ne sais pas. Il y a certains trucs que je préfère à d’autres, évidemment. Difficile d’isoler un dessin. Oh si, il y en a peut-être deux pour lesquels j’ai une tendresse un peu particulière.
L’Episode 271 : Carbonite Fever ( part III : “It’s A Trap” Style ) publié le 18 avril dernier…

… et L’Episode 241 : Harry Potter du 24 novembre 2010.

Je les trouve plutôt bien foutus, ils sont a priori très simples mais ne comportent aucun texte ou très peu et induisent un petit temps de réflexion pour pouvoir les comprendre. Ce sont des trucs à retardement, un peu comme les mines antipersonnel. C’est classe.
- KMG : A quand un condensé du meilleur du pire en librairie ?
Y. : Le condensé du meilleur du pire en librairie est prévu pour janvier-février 2012. Un copieux volume de 180-200 pages qui devrait réunir une sélection des épisodes publiés sur le blog, mais redessinés, et des inédits. Il y aura des gros morceaux dedans.
Oh et puis il y a La Psychanalyse du Héros Contre-Attaque, un petit seize pages publié chez vraoum qui est dispo depuis avril, avec Wandrille aux textes. C’est pas vraiment du yodablog en termes de fond, mais on y retrouve mes petits personnages
- KMG : Avant de passer à la deuxième partie de l’interview, j’aurais aimé savoir si tu suivais d’autres blogs BD, et si tu en avais à nous conseiller.
Y. : Non, je ne suis pas lecteur de bande dessinée du tout. C’est un univers qui m’ennuie terriblement. J’ai essayé de m’y intéresser mais je décroche au bout de cinq pages. Oh bien sûr, j’ai lu les trucs de quelques gens talentueux qui sont devenus des amis (Terreur Graphique, Pochep, Gad, Wandrille, ce genre de types) mais c’est de l’hypocrisie. Je n’y prends aucun plaisir. J’achète leurs bouquins pour qu’ils puissent toucher davantage de pognon en droits d’auteur, suffisamment en tout cas pour qu’ils soient susceptibles de me payer des bières sans faire la gueule. Et puis je fais un petit tour sur des blogs bédé pour voir ce que font les autres de temps en temps, mais c’est un peu comme si je sortais mon chien. Sauf que si j’avais un chien, j’éviterais de ne le sortir qu’une fois par mois, je suppose. Mais il y a sans doute de très chouettes choses à voir, il me faudrait davantage de temps peut-être.
Le seul truc vraiment intéressant, de mon point de vue qui est très loin d’être exhaustif, je le rappelle, c’est Té Au Caca. Le rapport du texte à l’image y est très intuitif, il y a là-dedans une très saine unité : le fond et la forme composent un ensemble admirable, c’est un parangon de symbiose. Et puis avec une publication par an en moyenne, on ne peut pas reprocher à son auteur son inconstance ni son irrégularité.

- KMG : Maintenant, attardons-nous sur le geek qui sommeille en toi… Mais d’abord : te considères-tu comme tel ?
Y. : Ahahah. Je viens d’aller lire la définition du mot geek. Et si un geek sommeille en moi il doit avoir le sommeil bigrement lourd, le bougre. Mais il ne ronfle pas, c’est appréciable. Je ne l’entends jamais. Bon sang. Il est mort, si ça se trouve.
- KMG : Quel est ton épisode préféré de Star Wars ?
Y. : Je ne sais pas trop, je ne m’en souviens pas super bien à vrai dire. Je crois que j’avais bien aimé l’Empire Contre-Attaque mais j’avais une dizaine d’années quand il est sorti en salles alors je sais pas si ça compte.
- KMG : Et le personnage que tu adules (ça n’est d’ailleurs peut-être pas celui que tu préfères mettre en scène dans tes strips ?) ?
Y. : La notion d’adulation me dérange, je la trouve excessive. Je ne développe de toutes façons aucune affection particulière pour des personnages de fiction. Je préfère m’attacher aux personnes réelles et à leurs créations qui sont susceptibles d’avoir une incidence profonde sur ma pensée et de me faire avancer. J’aime beaucoup lire Joyce et Beckett. Proust, bien sûr, et des mecs comme Haenel, Butor ou Danielewski. J’aime Wagner pour son écriture, Mozart pour son intuition, Coltrane pour sa fureur, Monet pour sa tendresse, Kirkeby pour sa couleur, John Cage pour sa sensibilité, ce genre de figures. Certaines chorégraphies de Preljocaj me touchent, comme peut me toucher le regard d’une femme, son parfum, et puis le chant d’un oiseau dans les bruissements d’arbres. Je suis un mec vachement simple, en fait, globalement.

- KMG : Est-ce que tu as des goodies de la saga chez toi ? Y’en a-t-il un qui ressorte du lot ?
Y. : J’avais trouvé un lot de figurines sur un vide-greniers l’année dernière, des petits vaisseaux et des petits bonshommes. Naïvement. Je les avais achetés pour avoir des modèles en cas de besoin. Et puis je ne les ai pas utilisés, ou très peu. Alors ils prennent la poussière sur une étagère de ma bibliothèque. J’en ai une petite vingtaine, dont trois que je trouve un peu plus sympathiques que les autres : un x-wing et deux petits personnages, une sorte de grand robot cylindrique gris avec un fusil énorme et un type en robe avec un flingue et une grosse tête d’insecte genre mouche. Ils sont rigolos, je les aime bien. Je ne les ai jamais dessinés dans mes strips, par contre. Ah bon sang, quel sinistre gâchis.
- KMG : Bon il n’y a pas que Star Wars dans la vie alors… Quelles sont tes autres passions de geek ?
Y. : Il y a la peinture, la cuisine et le jardin. Mais je sais pas si ça rentre dans la catégorie geek. Pour que ça puisse rentrer là-dedans, il nous faudrait un bon gros tube de vaseline. La bonne nouvelle, c’est que j’en ai un dans mon garage 🙂
- KMG : Comment nos lecteurs peuvent-ils te contacter ? Ou bien y a-t-il des salons (ou autres) sur lesquels on pourra te rencontrer sous peu ?
Y. : Oh, il suffit de me laisser un truc genre petit commentaire sur le blog ou sur la page Facebook. C’est simplissime. Je réponds à tout le monde. Pour ce qui concerne les salons, je ne fréquente assidûment et avec bonheur que le mien : j’y dispose d’un canapé large, épais et confortable, d’un vieux fauteuil aux accoudoirs patinés par l’huile de mes vieux coudes et la vue sur mon jardin y est assez plaisante. J’aime y engloutir des calissons, le soir, lorsque le soleil décline.
- KMG : Nous terminons toutes nos interviews avec une question rituelle : si tu avais un super-pouvoir de geek (ou un super-pouvoir tout court), lequel serait-ce ?
Y. : Un pouvoir très con mais peut-être un peu difficile à concrétiser : le pouvoir de mettre en place un petit tribunal qui me permettrait de balancer toutes les personnalités politiques et la plupart des industriels en prison puis de redistribuer leurs richesses et leurs privilèges aux plus démunis. Ce serait très chouette, comme petit pouvoir. Très jouissif. J’aurais juste besoin d’un joli costume avec une cape et un collant, j’ai déjà les Converse.
Un grand merci à Yod@ pour le temps qu’il nous a accordé. J’espère que cette interview vous aura plu, et je vous laisse avec mon strip préféré !

We do what we must, because we can.

For the sake of all of us… Mouais bon, je connais vraiment pas les paroles.
Stirp un peu plus court que d’habitude. Là, je vous écrit du passé (donc, je parle aux vous futurs, trop bien), puisque je ne pourrai pas faire un stirp la semaine prochaine. Enfin, cette semaine-ci pour vous, gens du futur. Heu, enfin… … ENJOYEZ !

Quand j’ai vu ce trailer, un seul mot m’est venu à la bouche : OMFG !!!
Ça fait deux ans qu’on en parle, et pourtant le scepticisme au sujet de la reprise de la licence avait fait retomber le buzz. Nul doute que cette bande-annonce va savoir raviver l’intérêt que l’on porte à Conan.
Alors OK tout le monde se dit « Un Conan sans Schwarzi ne peut pas être un vrai bon Conan » et on a bien envie d’y croire puisque dans le fond c’est plutôt vrai. Il semblait tout aussi normal que les doutes soient au rendez-vous lorsque fut annoncé le casting, avec Jason Momoa en icône barbare, décrié pour ses rôles dans Stargate : Atlantis et Alerte à Malibu. Même traitement pour Marcus Nispel qu’il est facile de porter au bûcher lorsque l’on sait qu’il est le réalisateur pro des remakes, notamment avec Massacre à la tronçonneuse et Vendredi 13.
Toutefois si l’on creuse un peu, ces deux films à préjugés sont loin d’être les bouses qu’elles pourraient laisser croire, tout autant que Momoa qui a su se racheter une image récemment avec son rôle de Khal Drogo dans Game of Thrones. Ajoutez aux castings les deux gros atouts Ron Perlman et Rose McGowan pour commencer à faire passer la balance du côté du « NEEED !!! ».
A vous les suspicieux et les mauvaises langues, osez donc me dire après visionnage du trailer qui suit que ce film va être la grosse daube que vous pensiez !
Conan c’est un peu la nostalgie, le souvenir immuable de deux films légendaires (que je vous invite à (re)voir) ayant fait de Schwarzenegger le héros du cinéma hollywoodien qu’il est devenu, à tel point que l’égérie de Robert E. Howard et le politicien californien sont devenus deux personnages indissociables, presque symboliques. Conan, c’est une musique, une ambiance, des décors, du Franck Frazetta à l’état brut… C’est un gros morceau de la culture fantasy, autant littéraire que cinématographique (surtout cinématographique, ne nous leurrons pas) : il est donc normal que les fans aient peur.
Néanmoins, tout porte à dire que l’on peut laisser sa chance à Nispel. En tout cas moi j’ai très envie !
Et ça débarque dans nos salles et en 3D le 29 août !
Sources et images via Allociné.
Encore un petit bijou d’animation tout en « stop-motion » (et en 3D!) verra le jour en 2012, il s’agit de ParaNorman, la nouvelle collaboration entre Focus Features et le studio Laïka, qui avaient réalisé en 2009, le très chouette Coraline.
L’annonce presse est tombée hier, Focus Features & le studio Laïka sont entrés en production pour nous pondre un nouveau bijou en stop-motion et en 3D, après l’énorme succès remporté par leur adapation du Coraline de Neil Gaiman en 2009 (Academy Award & nomination aux Golden Globes pour meilleur film d’animation, et compté parmi les 10 Meilleurs Films de 2009 par l’American Film Institute)
Le synopsis:
Un garçon incompris, qui peut parler avec les morts, décide d’affronter fantômes, zombies, sorcières et autres créatures mythiques… mais aussi le pire de tout, des adultes débiles, et ce afin de sauver sa ville d’une malédiction vieille de plusieurs siècles.
Norman Babcock est un paria dans sa petite ville Nouvelle-Angleterre. Jusqu’au jour où une horde de zombies se déchaîne sur la population, Norman apprend alors qu’il doit utiliser ses pouvoirs paranormaux pour remettre encore une fois, les choses à l’endroit. Et ce n’est pas chose facile quand on a que 11 ans… et que vos parents viennent de vous priver de sortie !
Le casting:
Tout comme pour Coraline, le casting du voice-acting est assez impressionnant, puisqu’on y retrouve, entre autres: Kodi Smit-McPhee (The Road), Casey Affleck (Gone Baby Gone, Ocean’s Eleven), Anna Kendrick (Up in the Air, Twilight), John Goodman (Monsters, Inc., The Big Lebowski), Tempestt Bledsoe (The Cosby Show), Bernard Hill (Titanic) and Alex Borstein (Family Guy)
La production du nouveau bébé de chez Laïka est chapotée par Sam Fell (La Légende de Despereaux, Souris City) et tiré d’un scénario original de Chris Butler. Butler n’en est pas à son coup d’essai, puisqu’au préalable il a travaillé en tant que superviseur du storyboard sur Coraline, et a été storyboarder pour Tim Burton sur Les Noces Funèbres !
Côté équipe technique on retrouve Nelson Lowry (Fantastic Mr. Fox, Les Noces Funèbres) en tant que concepteur de prod, Arianne Sutner (La Vie aquatique) & Travis Knight sont eux chargés de prod. Brian Van’t Hul (King Kong, Coraline) est au poste de superviseur des effets visuels du film, et enfin Tristan Oliver (Fantastic Mr. Fox, Wallace & Gromit: Le Mystère du Lapin-Garou) en est le directeur de la photographie.
On peut donc s’attendre à une bien belle surprise le 17 Août 2012 (date annoncée pour la sortie du film en salles) mais d’ici là, bien sûr, on vous tiendra informés sur KMG !! 😉
(Sources)
Site officiel du studio Laïka
Et c’est parti pour ce quarante-et-unième épisode de votre podcast préféré sur l’actualité BD, comics et manga : BAD !
Dans cet épisode présenté par Boidin et son jumeau maléfique on trouvera :
- du Bimbo vs. Chatons Tueurs (Mathieu),
- du Pokémon et Zoroark le Maître de L’illusion,
- du Sombre Blog !
- et du Thor en carton !
Voici sans plus attendre ce BAD #41 :
Vous avez aimé ? Filez vite sur la fanpage Facebook de BAD !
A la semaine prochaine pour de nouvelles aventures !
Cette semaine, Baboulinet reprend du service.

Fast & Furious 5 (Justin Lin)
Il est des films dont on a du mal à comprendre la raison d’être. Mais quand on regarde le casting, on se dit qu’après tout sans eux de nombreux acteurs au charisme indubitable seraient au chômage.
J’avais envie de vous parler de F&F5 pour vous dire que s’il y avait un film à voir cette semaine, ça n’était pas lui. D’ailleurs je n’ai jamais vu les 4 précédents, et je ne verrai certainement pas celui-là non plus.
Le pitch (oui car il y en a un) : Brian, Mia et Dom (Vin Diesel) sont de retour (vous noterez l’importance de donner des noms monosyllabiques aux héros, faudrait pas perdre les fans). Fugitifs, ils se sont retranchés à Rio. Mais puisque ce sont de faux badass, des méchants gentils quand même, juste un peu sales gosses sur les bords histoire d’être cools, ils vont se retrouver à nouveau dans la merde contre leur gré. En effet, pour regagner leur liberté et se blanchir ils doivent monter un « dernier » sale coup : braquer un poste de police. Pour ce faire, ils vont bien évidemment devoir s’entourer des meilleurs pilotes du coin, et se confronter au businessman crapuleux qui aimerait les voir un pied sous terre (le fan de F&F ne sait pas compter jusque 6). Ils sont aussi traqués par Luke Hobbs (The Rock) du FBI (faut toujours quelqu’un du FBI dans un film testostéroné) qui va fouiller tout le Brésil pour les capturer.
Des bombasses, des dialogues qui vont te retourner le cerveau et des cascades de oufs : c’est ça la magie de Fast & Furious.
A voir également :
Nan parce qu’en vrai sinon y’a un film bien qui sort demain, et c’est L’Aigle de la Neuvième Légion de Kevin Macdonald (rien à voir avec Ronald). Lui qui avait déjà sévi avec Le Dernier roi d’Ecosse (qui a d’ailleurs financé ce projet-ci) et qui aime particulièrement les fresques historiques et politiques, il nous revient ici avec une adaptation du roman de Rosemary Sutcliff qui nous propulse en 140 après J.-C. . On y suit l’histoire du centurion Marcus Aquila qui veut plus que tout restaurer l’honneur de son père, disparu il y a plus de 20 ans avec toute sa Légion, après quoi le mur d’Hadrien fut érigé. A noter qu’en plus du casting sympatoche (Jamie Bell, Donald Sutherland, Tahar Rahim, Mark Strong), c’est l’islandais Örvarsson (assistant d’Hans Zimmer) qui s’occupe de la musique.
Sources et images via Allociné
Le voilà : le kit presse pour la bêta multi de Gears of War 3 est arrivé ! Rien que pour vos mirettes, voilà son contenu en photo et les réactions de l’équipe !
Un coffret Gears of War qui sent la cerise, j’avoue que je ne m’y attendais pas ! Laissez-moi vous montrer grâce à ces quelques photos la façon dont les petits gars de chez Epic Games ont voulu nous gâter…








En quelques mots donc, un kit presse soigné, surprenant, et plein de second degré, à l’image des créations d’Epic Games. ENCORE !!!
Le grain de pixel de Koroeskohr :
Assez surprenant je dois dire pour mon premier kit presse. On sent que Epic a souhaité bien rester dans le thème de la guerre avec ses items assez particuliers, comme ces pansements, cette poche de sang (qui s’avère être du gel douche oô) et cette seringue-stylo estampillés GoW3, rendant ainsi jaloux mon entourage geek 360, ce qui est un atout non négligeable dans la vie en société. Le dossier de presse aurait dû, pour moi, être plus complet, en rappelant par exemple les épisodes précédents, et en mettant un peu plus le pied sur le futur mode solo, auquel il n’est pratiquement pas fait référence. Je reste tout de même très content, 3 mois de XBLA gratuit on crache pas dessus (:D), un accès à la bêta (évidemment), et des goodies originaux et recherchés, on en redemande.
Le grain de pixel de Chase :Bordel, comme il est beau ce kit presse, ils ont complètement craqué ! Le jeu, j’en parle même pas, retourner contrôler Marcus et défoncer du Locuste, ça me fait un bien fou ! Par contre je le trouve un poil plus facile que les précédents, c’est assez simple de finir premier de sa team.
Comptez sur Kiss My Geek pour vous donner du béton sur la bêta d’un jeu qu’on attend(ait) avec grande, grande impatience.















![BAD [BAD] Episode #41](/wp-content/uploads/2011/02/BAD.jpg)

