Il a 22 ans, il vient de Tours, et surtout c’est un bon gros geek comme on les aime ! Voilà le deuxième nouvel arrivant de notre salve de recrutement : Chase !
Il se présente lui-même comme un « inconditionnel de comics, de jeux vidéo rétro et next gen, de cinéma, de science-fiction et de musique« , et nous l’accueillons aujourd’hui avec grand plaisir au sein de l’équipe.
On ne vous l’apprend plus, c’est notre salve de recrutement de newsers il y a plusieurs semaines qui nous a donné lieu à de belles surprises dont il fait partie, ainsi que d’autres qui viendront aussi étoffer l’équipe dans les jours qui viennent mais… Je ne vous en dis pas plus !
Tout le staff de Kiss My Geek souhaite la bienvenue à Chase, donc, et lui laisse le difficile exercice de la présentation pour que vous le découvriez mieux à travers ses propres mots sous peu 🙂
Nous sommes aujourd’hui le 13 Mars, et c’est la St Rodrigue. Le Sociologeek ne pouvant tomber mieux, je ne dirais qu’une seule chose : VIVE MOI.
Oui je me kiffe, je m’adore, et je vous souhaite de me connaître. C’est tellement la classe.
Plus sérieusement, je me suis toujours demandé si dans le monde IRL 2.0 gouverné par les geeks évidemment, nous fêterons aussi nos saints ? Aurons-nous la St Mario ? La St Snake ? La St Gérard Baste ?
Du coup je me mets à imaginer notre monde 2.0, et qu’est ce que nous aurions décidé d’élever au rang de Saints protecteurs des geeks.
Evidemment toutes les religions auraient disparues, et nous fêterions l’avènement de l’unique et vraie religion : Le Saint Jeuvidéoisme.
Culturellement parlant, je citerais Stupeflip, la menuiserie : « Prendre des ptits bouts d’trucs et puis les assembler ensemble, et écouter le résultat tranquille dans ma chambre ». Que ce soit pour une expo, pour de la musique un concert, nous prendrions des ptits bouts de trucs geeks pour en faire un courant culturel majeur dans l’histoire de l’art. La vraie vie quoi.
Imaginez-vous dans Bulletstorm, à choper du kikou avec votre lasso pour les powner avec une magnifique mention « Trou de balle » +25 baby.
Imaginez-vous dans MGS, approchant le kikou qui fait son tour de garde, pour l’étouffer ou lui casser la nuuuuuuuuuuque ! (J’ai toujours aimé le mot « nuque », belle connotation atomique)
Imaginez-vous dans NBA 2K11, claquant un « Dunk après contact » sur un Kevin dubitatif devant tant de talent
Imaginez-vous dans Super Meat Boy, où on s’en fouterait de finir le niveau, puisqu’on jouerait avec un kikou qu’on prendrait plaisir à éclater
Imaginez-vous dans Wow, gouverné par les geek, les xXxXx_KEVINKITU_xXxXx bloqués au lvl le plus petit possible, histoire de pouvoir les powner tranquille.
Imaginez-vous dans Angry Birds, où le principe serait seulement de lancer des dots nommés « Connaissance » sur des cibles kikou
Imaginez-vous dans Doodle Jump, dirigeant un geek saurant sur la gueule de minuscules Kevins plats.
Killzone 3, c’est un peu « le » blockbuster des FPS en exclusivité sur Playstation 3, sensé mettre en vitrine tout ce que la console next-gen de Sony a dans le ventre. Sorti fin février, presque deux ans jour pour jour après le deuxième volet, il était attendu au tournant par beaucoup de fans et de sceptiques dont je faisais partie. Je ne rappellerai pas toutes les polémiques autour du titre, mais cet opus avait un petit air de « ça passe, ou ça casse ». Voilà mon avis à ce sujet.
Killzone, je n’en avais jamais joué que la démo du 2. Je ne connaissais ainsi ni les ficelles du gameplay, et encore moins celles de l’univers. C’était donc une totale découverte pour moi et il faut voir ce test comme celui d’une noob sur le sujet. Heureusement, les FPS console ça me connaît de mieux en mieux, disons donc que ça compense !
Malgré la présence d’un mode coop’ (attention, l’écran est scindé à la verticale… aoutch) et d’un multijoueur en ligne (basé sur le deathmatch), c’est avant tout sur la campagne solo que j’ai mis la main (à la manette, malgré la compatibilité PSMove). En effet je me suis entichée d’un farouche anti-FPS-consoles, et les modes multi, c’est rarement mon truc. Notez donc toutefois la présence de ces deux modes ; c’est toujours sympas de les proposer aux joueurs et il va sans dire que ça rallonge la durée de vie ! Maintenant que vous savez tout, je peux me lancer.
Killzone 3 est la suite chronologique immédiate du 2. Le jeu commence donc par un petit rappel du final de l’épisode précédent. Ça permet aux confirmés comme à ceux qui découvrent de s’imprégner de l’univers du jeu. Cela frappe dès le départ : l’histoire de fond est sombre et violente et affronte deux grandes forces armées, celle des Helghasts (les nazis de l’espace) à l’ISA (les gentils rebelles). Les premiers ont pris le contrôle d’à peu près tout et comptent bien grapiller les miettes qui leur manque, quitte à mettre l’humanité en danger. C’est là que vous intervenez. Vous incarnez Sev’, un sergent de l’ISA affublé de son acolyte Rico. Et ils ont les boules grave.
Sev’, Rico et Jammer, les trois vrais héros du jeu.
Autant dire que le scénario n’a rien d’extraordinaire et que les rivalités entre les différents membres de l’ISA (notamment Rico et son sérieux problème vis à vis de l’autorité le réduisant parfois au rang d’ado-pré-pubère-tête-à-claque) n’apportent pas un grand intérêt au jeu. Dès le départ on sait que le but du jeu va être de buter le méchant capitaliste à la tête de tout ce merdier, et l’histoire se déroule sans véritables surprises. M’enfin reprocher à un FPS de ne pas avoir un scénario de oufzor, c’est comme reprocher à iTunes de ne pas être user friendly. Tout le monde râle, mais au fond ça ne nous empêche pas de prendre du plaisir à l’utilisation.
7 heures. C’est ce qu’il m’a fallu pour finir le jeu de Guerrilla Games en mode Facile. Malgré mon passif en tant que joueuse de FPS console, j’avoue que ce mode que je pensais être pour les naabs était plutôt corsé ! Habituée surtout au gameplay de Gears of War, la plongée dans Killzone 3 m’a un peu déstabilisée au départ.
Très sensible au niveau des commandes, c’est parfois dur d’être précis dans ses tirs et il va vous falloir un petit temps d’adaptation si vous n’êtes pas habitué, au risque de prendre un peu trop de temps à stabiliser votre visée et vous faire canarder. En outre, il ne vous faudra pas faire n’importe quoi aux commandes de Sev’ ; l’utilisation des couverts et des armes appropriées au conflit que vous affronterez sont essentiel. Et c’est une qualité que je n’avais pas rencontrée depuis longtemps dans un FPS. En effet, malgré une artillerie assez limitée, pas question de vous contenter d’une seule arme pour toute la durée du jeu ; il faut vraiment vous adapter à la situation.
Malgré un choix d’armes dont on a vite fait le tour, vous constaterez rapidement que les ennemis sont plus variés qu’il ne le semble. Bien sûr, hors de question de se passer des irremplaçables soldats d’assaut, snipers et autres flammers. Mais ajoutez à cela quelques mini-boss et d’autres beaucoup plus massifs, ainsi que les avant-potes disposant d’armes lourdes pour vous éviter toute impression de lassitude. Petite mention spéciale : l’ennemi par excellence qui m’a bien faite triper est le soldat de corps à corps qui se rue sur vous avec un gros cri de zombie affamé et qu’il vous faut flinguer au plus vite au risque de devoir l’affronter à mains nues en bourrinant sur R3. Bien stressant dans les moments de rush, notamment quand l’IA ne vous laisse pas de répit.
Les voilà avec leur dague dégainée ! Des vraies saletés…
On le sait, le plus grand danger d’un FPS est sa répétitivité. Killzone 3 s’en sort plutôt admirablement de ce côté là en alternant trois phases différentes de jeu ; phase classique (on avance et on tire) / phase d’infiltration (on avance et on tue le plus discrètement possible) / phase motorisée (à bord d’un véhicule, ou autre). C’est ce qui fait la plus grosse force du jeu.
Ce que je retiendrai surtout de Killzone 3 est son aspect fun : les fatalities au corps à corps qui vous permettent de tuer sur le coup un adversaire pris par surprise en lui explosant les orbites à coups de pouces, mais aussi les phases motorisées qui sont un vrai plaisir. Chacune d’entre elles vous met à bord d’une machine différente et à l’artillerie spécifique (ce qui pallie un peu à la pauvreté de l’arsenal en jeu) : jet pack, moto, vaisseau, tank… C’est un vrai plaisir d’être à chaque fois aux manettes d’un véhicule différent, qu’il s’agisse d’une phase de conduite, de tir, ou des deux à la fois !
Killzone 3, un jeu qui vous en met plein les yeux. Mouhaha.
Enfin, je ne peux pas terminer cette critique sans parler de ce que Killzone a fait de mieux : sa beauté graphique. C’est bôôôô ! Les environnements son variés, et surtout très fouillés, regorgeant de détails donnant une véritable vie à l’ensemble des paysages que vous parcourez. Les FX (notamment les explosions) sont très réussis, et les phases épiques sont des boss mesurant la taille d’un gratte-ciel dévoilent tout le potentiel de la Playstation 3. Seul petit hic : les visages parfois un peu figés des personnages. C’est dommage, parce qu’ils ont beaucoup de charisme !
L'affrontement contre le Mawlr. L'un des plus grands moments du jeu, à n'en pas douter.
Côté regrets, on pourrait évoquer la présence parfois handicapante d’un allié à vos côtés, nécessaire à votre progression mais qui préfère prendre son temps plutôt que de vous coller aux basques, vous ralentissant souvent dans les moments scriptés du jeu. Et il y en a beaucoup. L’avantage en ce qui le concerne est son pouvoir de résurrection ; lorsque vous tombez au combat et que votre allié n’est pas trop loin, il peut venir vous relever. Dit comme ça c’est plutôt cool, mais une fois sur deux il est bien trop loin, ou trop occupé à essuyer des tirs, du coup vous mourez comme une pauvre merde dans votre sang et votre vomi sans pouvoir rien faire. Heureusement, la mort dans Killzone 3 n’a rien de trop frustrant ; les points de respawn sont réguliers, et on sent là la volonté grand public des programmeurs. Plus d’une fois j’ai dû recommencer certains passages du jeu (oui oui, malgré le mode Facile) mais jamais je n’ai eu envie de balancer ma manette contre un mur. Chose plutôt courante chez moi 😀
L’univers très sombre et les personnages charismatiques (Sev’ et Jammer ont la classe, y’a pas à dire),
C’est beau, très beau,
Les phases de jeu variées et originales qui apportent un véritable intérêt et beaucoup de fun au titre, atténuant l’éventuelle répétitivité liée à son genre,
La mise en scène qui rend certains instants totalement épiques, et notamment les combats contre les boss,
La présence d’un mode coop’ et multijoueurs.
Un arsenal assez limité,
Quelques bugs qui viennent gâcher le plaisir de jeu (scripts foirés, hitboxs parfois rageantes),
Une musique trop discrète (exceptée celle du générique de fin, qui tchue) malgré des doublages français de belle qualité,
[spoiler] La fin dénuée de véritable boss ; j’attendais depuis le début une vraie confrontation contre le grand méchant du jeu, du coup j’ai été un peu déçue par l’absence de challenge ! [/spoiler]
Au départ dubitative concernant ce titre, force m’a été de constater que Killzone 3 se révèle être un FPS de très belle qualité, tant au niveau du gameplay que de la beauté visuelle. Oui car c’est surtout ce que l’on retiendra du soft de Guerrilla : c’est beau, très, très beau. Y’a pas à dire, on sait nous en mettre plein les mirettes avec des mises en scènes clairement là pour impressionner. Si les moments forts du jeu sont plutôt en dents de scie, on ne peut pas ressortir indemne du combat contre le Mawlr qui nous tient vraiment en haleine. Seul hic, la faible variété en ce qui concerne les armes et les missions. Le but du jeu est de nettoyer / avancer / nettoyer / avancer ; on ne demande pas au joueur de réfléchir. Tout ça risque de donner un semblant de répétitivité chez certains joueurs exigeants. Heureusement, ce défaut est très bien masqué par les phases de jeu variées alternant scènes de shoot classique et balades en jet-pack, en tank, en vaisseau, et en un tas d’autres véhicules imaginatifs et très amusants à prendre en main.
On saluera également la présence d’un mode coop’ et multi que je n’ai pas pu tester mais qui viennent indubitablement étoffer la rejouabilité du soft.
En somme, en tant qu’exclusivité PS3, Killzone 3 est une très bonne alternative à Gears of War si vous ne possédez pas de Xbox, ou que vous attendez le troisième volet d’Epic avec impatience. Certes c’est plus nerveux et moins lourd, mais ça vous promet tout de même de très grands moments d’héroïsme accroché à votre manette ! Je vous laisse avec cette petite vidéo de gameplay qui vous donnera un bel aperçu des possibilités de ce titre à posséder absolument si vous êtes un accroc aux First Person Shooter.
Killzone 3 est une exclusivité PS3 développée par Guerrilla Games. Il est disponible depuis le 23 février 2011 au prix conseillé de 65€, et est compatible PSMove !
Alors je sais qu’on en a déjà parlé sur Kiss my Geek, mais j’ai découvert Game Dev Story tout récemment. Je me suis usé les yeux et l’index pendant des heures dessus, et cependant, il y a eu un certain lien avec tous les jeux que j’ai virtuellement développé.
… J’adorais donner des noms débiles à mes créations <3
Tous les titres chelous de ce stirp m’ont été aimablement fournis par Pipomantis (la tête de >:3 c’est lui !) et son esprit tordu. Thanks dude !
Pour son premier [Loading], Karu_binou s’attaque à du lourd puisqu’il nous offre son test de Pokémon version Blanche. C’est parti pour une lecture de ses impressions à chaud !
Aujourd’hui, je teste pour vous le tout dernier jeu à la mode Nintendo, je veux bien entendu parler de Pokémon ( ici version Blanche, puisque c’est ma cop’ qui a la noire). Pokémon en est déjà à sa 5ème génération, et continue à nous en mettre plein les mirettes, et c’est avec pas mal de mystères, et surtout d’impatience que j’allume ma DS pour la première fois avec cette toute petite cartouche, mais qui réserve pas mal de surprises !
On commence d’abord par le côté graphique. La firme a enfin décidé qu’il était temps d’utiliser la console pour nous pondre un jeu avec des images hallucinantes quand on n’est pas en combat ! C’est la troisième fois (avec Zelda et Layton) que la DS m’en fout plein les yeux. J’ai trouvé les images immersives, et tellement belles que je n’arrive pas à me décider quelle image il fallait pour mettre le parfait exemple. Mais j’ai choisi cette vidéo qui prouve l’avancée qu’a fait Pokémon par rapport à la première version DS :
(Apparition de Zekrom et Reshiram, les deux légendaires des versions)
Le truc qui aurait fait des graphismes une véritable bombe, c’est peut-être le contrôle de la caméra dans les phases de marches.
Mauvais point par contre sur les combats à mon sens. C’est plus rapide, oui, mais je trouve que ça pixellise pas mal quand on se rapproche.
Grotichon et Miamiasme, deux petits monstres, mais un peu pixellisés.
D’autres parleront surement de l’aspect des Pokémons. Mais personnellement, je les trouve très bien tels qu’ils sont, et ils ont beau en être à la 5ème, je trouve cette génération pas mal du tout, avec des petites bouilles bien réussies (je vous invite à taper Ponchiot ou Zorua sur Google ). Par contre, un truc que j’ai pas mal aimé dans Soulsilver ( si les remakes !), et qui n’est pas présent dans ces versions, c’est ton pokémon qui ne te suit plus. C’était pas mal amusant je trouvais, et on aurait dû garder ça.
Après la phase graphique, je pense qu’il faut parler de la durée de vie de ce jeu. Ok, il m’a fallu pas moins de 3 jours pour le finir entièrement (légendaire et quêtes annexes terminés), mais ils ont bossé sur un truc que j’ai pas mal reproché : l’aspect multi-joueurs. Franchement, ça déboite du poney ! Qui n’a jamais rêvé de discuter avec un ami grâce à la caméra de la DSi ? Ou bien de rendre visite à son ami dans son jeu, et l’aider ? Nan, franchement, c’est la deuxième réussite du jeu. Son multi-joueurs fait que je suis prêt à passer pas mal de temps dessus, même après l’avoir fini. Il y a pas mal de fonctionnalités qui permettent à Pokémon de s’inscrire dans la durée, même après avoir terminé le scénario.
Niveau jouabilité, on sent quand même que l’IA a pas mal été augmentée. Maintenant, quand il te reste 18 Points de vie, et que t’es pas mal dans la nasse, l’adversaire te claque pas un rugissement qui permet de, OH miracle, renverser le jeu. Et tant mieux ! Je commençais à croire que Pokémon donnait le titre de maître à tout le monde, j’ai bien envie de me sentir supérieur pour une fois moi !
Si tu ne réfléchis pas, tu sens quand même que tu vas prendre cher !
Et j’en viens finalement au scénario, la véritable beauté de ce jeu. Enfin, selon moi, Pokémon détient une véritable histoire qui m’a véritablement mis en extase ! Je n’ai pas envie de spoiler, mais franchement, pour moi, ce fut le véritable bonheur. Le scénario est bien ficelé, on a une partie adverse qui donne à réfléchir sur plusieurs choses. C’est une véritable claque scénaristique !
N, un adversaire qui mérite d’entrer au panthéon des rivaux Pokémons.
En conclusion, on nous a encore pondu un Pokémon qui mérite d’être acheté avant la sortie de la 3DS. Une claque scénaristique, visuelle, et toujours aussi prenant, ces petits monstres de poche vous feront passer de magnifiques heures en leur compagnie, et celles de vos amis.
Un point à noter, c’est qu’il faut maintenant imaginer ce dont seront capables Game Freak lorsqu’ils devront sortir un Pokémon sur 3DS. Je suis impatient de voir ça.
Le scénario,
Le multi-joueurs,
Les graphismes.
Les combats trop pixellisés,
Les personnes qui te disent qu’à ton âge, Pokémon c’est pour les bébés (véridiques !).
Ca y est c’est officiel ; dès le 25 avril et jusqu’au 15 mai vous pourrez jouer à la bêta multijoueur de Gears of War en précommandant le jeu !
Actuellement, trois éditions différentes de Gears of War 3 sont disponibles à la précommande (nous devrions avoir plus de détails quant à leur contenu dans les jours qui viennent) :
la version Standard (70€),
la version Limitée (80€),
et la version Épique (129€ ).
Toute précommande vous donne accès à trois semaines de bêta multijoueurs sur le Xbox LIVE dont les trois nouveaux modes seront disponibles en alternance. Quatre cartes exclusives seront ainsi mises à disposition des joueurs qui pourront goûter aux prémices du jeu sur des serveurs dédiés. Si vous vous rappelez bien, deux d’entre elles (Trenches et Old Town) ont été sélectionnées par les fans du jeu grâce à un sondage Facebook… Autant dire qu’on devrait s’attendre à du lourd !
Et puisqu’une bonne nouvelle n’arrive pas seule, sachez que les possesseurs de Bulletstorm: Epic Edition bénéficieront d’un accès anticipé à cette bêta dès le 18 avril ! Les gens de chez EPIC savent nous faire plaisir (à condition qu’on raque) 🙂
Voici un récapitulatif des dates pour cette bêta :
Accès anticipé Bulletstorm, 18 – 24 avril grâce à l’Epic Edition comprenant le nouveau mode Match à mort en équipe sur quatre nouvelles cartes (Thrashball, Checkout, Trenches et Old Town).
Bêta Gears of War 3, 25 avril – 15 mai comprenant des événements exclusifs, et deux modes de jeu compétitifs supplémentaires (Capture du leader et Roi de la colline qui seront ajoutés pendant la dernière semaine de la bêta).
15 mai : fin de la bêta et déverrouillage du contenu utilisable dans la version finale de Gears of War 3 dès son lancement en septembre.
Voici les contenus à déverrouiller :
Médaille de bêta-testeur : terminez un match dans la bêta pour déverrouiller la médaille de bêta-testeur qui sera ajoutée à votre profil de joueur dans le jeu final. Le titre de bêta-testeur sera également visible à l’accueil multijoueurs de Gears of War 3.
Cole Thrashball : terminez 50 matchs (tous types de parties confondus) pour déverrouiller la variante de personnage Cole Thrashball dans la bêta. Incarnez ensuite Cole Thrashball pendant 10 matchs de la bêta pour que ce personnage soit transféré à votre profil de joueur dans le jeu final.
Lanzor rétro plaqué or : prouvez que vous êtes un fan ultime de Gears of War en déverrouillant le Lanzor rétro plaqué or. Terminez 90 matchs de n’importe quel type pour le déverrouiller dans la bêta, puis marquez 100 frags avec cette arme pour la transférer à votre profil de joueur dans le jeu final.
Kaomax enflammé : terminez un match avant le dimanche 24 avril pour déverrouiller cette variante d’arme.
Lanzor enflammé : terminez un match pendant la semaine du 25 avril pour déverrouiller cette variante d’arme.
Fusil à canon scié enflammé : terminez un match pendant la semaine du 2 mai pour déverrouiller cette variante d’arme.
Fusil Destructor enflammé : terminez un match pendant la semaine du 9 mai pour déverrouiller cette variante d’arme.
Et voilà ! C’est plutôt pas mal non ? N’hésitez pas à vous rendre sur gearsofwar.xbox.com pour plus d’informations.
Le premier jour, Dieu créa la Lumière qu’il sépara des Ténèbres
Le second jour, Dieu créa le ciel et sépara les eaux du ciel de celles de la Terre.
Le troisième jour, il fit apparaitre sous les eaux la terre qui produit de la verdure, de l’herbe, des arbres, et des semences pour les cultures.
Le quatrième jour, il créa le soleil comme « luminaire » du jour et la lune et les étoiles comme « luminaires » pour la nuit afin qu’ils servent de signes pour marquer les époques et les années.
Le cinquième jour, Dieu créa la vie dans les airs (oiseaux) et dans la mer (poissons).
Le sixième jour, il créa le bétail, les reptiles et les animaux terrestres ainsi que l’Homme.
Et le septième jour, Dieu se reposa. Puis il revint sur sa décision et décida de créer son digne représentant sur Terre, un Homme qui guidera le peuple.
Cet Homme c’est le geek !
Parce qu’après tout, on le sait, c’est un fait reconnu, le geek dominera le monde. Mais pourquoi ?
Je me rappelle une tirade de Sheldon Cooper dans TBBT qui dit à propos des gens ne maitrisant pas la technologie des temps modernes et étant laxistes « Je suis sur qu’un faisant un exemple ou deux, les gens essaieraient de s’y mettre ». Alors certes c’est du Sheldon Cooper pur et dur, mais ça montre que pour maitriser son avenir, il faut maitriser toutes les facettes de son présent.
Alors pourquoi domineront nous le monde ? Parce que nous maitrisons notre présent, étant à l’affut de la moindre actu qui façonnera notre futur. Et ça mes amis, ça c’est ce qui fait que nous domineront tôt ou tard le monde !
« Nous sommes de retour !
Pour vous jouer un très bon tour !
Afin de préserver le monde de la dépravation !
Afin de rallier tous les peuples à notre passion !
Afin d’écraser les trolls et les Kevins.
Afin d’étendre notre pouvoir jusqu’à la Voie Lactée !
Oujiz !
Eskarina !
Chkao !
Jay !
Alice !
Rodrigo !
La Team KMG plus rapide que la lumière.
Rendez-vous tous ou ce sera la guerre. »
Pixellissime / Game heroes
Exposition vidéo-ludique, du 8 mars au 22 avril 2011
(@ l’Alcazar / bibliothèque de Bonneveine / bibliothèque de la Grognarde, Marseille)
Pour nos amis geekiens marseillais (ou des alentours), une bonne initiative de la mairie phocéenne et de 3 de ses bibliothèques: Pixellissime, avec cette année une thématique Game Heroes.
Intéressant mélange de conférences, d’ateliers-démos et de rencontres autour du gaming et du rétro-gaming (qui bénéficie, décidemment, d’une actu assez dynamique pour un retraité 😉 )
– 25 ordinateurs et consoles avec jeux:
C’est le moment de toucher des Apple II, Amiga 500, Commodore 64; de jouer à du bon vieux Pong, Alex Kid ou bien encore un petit Pacman (entre plein d’autres bonnes choses) !
Mais aussi de se la jouer nostalgique de la GameBoy ou de la GameGear… (bon, y’aura aussi des jeux sur PS3 pour les mordus !)
– 9 ateliers-démos: dont une initiation à la conception de Machinima, films conçus à partir de jeux vidéo (les WoWers connaissent bien le principe !), ou bien un atelier de programmation de jeux vidéo en langage Basic (pour les 12 ans et +, c’est précisé !)
– 8 rencontres-conférences: à noter qu’une team de chez Ubisoft fera le déplacement pour parler du thème du Héros dans leurs jeux, et une inmanquable « rencontre – dédicace autour la série Noob » (avec le créateur de la série Fabien Fournier/Fantöm, et l’acteur Julien Guellerin/Oméga Zell)
Et aussi des expositions (dont une interactive avec le public), libre-écoute de ziks de jeux, et de la bonne humeur très probablement, puisque le tout est en libre accès & totalement gratos !!! Go ! Go !
Pixellissime / Game Heroes
« un évènement annuel autour du numérique et de l’univers vidéo-ludique » Game Heroes, expo conçue Isabelle Arvers, commissaire d’exposition et en collaboration avec Archéoptérix, retrogamer & « archéologue des nouvelles technologies ».
Nos p’tits amis d’OrdiRetro reviennent samedi 12 mars à Tourcoing avec le deuxième volet de leur exposition sur le retrogaming !
Cette fois ils font les choses en grand puisque leur collection d’oldies va être accueillie dans les locaux de la Plaine Images.
Cet évènement vous permettra de revoir et rejouer aux ordinateurs et consoles des 30 dernières années ; de la Megadrive en passant par la Nes ou encore l’Amiga, vous allez pouvoir retrouver les passionnés de vieilles consoles tout autant que des nouvelles, puisque les next-gen ne seront pas mises au ban ! En effet, OrdiRetro rend aussi hommage aux jeux rétro ré-édités comme Bomberman, Metal Slug ou Mario Kart !
Récapitulons : Samedi 12 Mars 2011, de 10h à 19h30, à La Plaine Images (99B Boulevard Descat à Tourcoing, station de métro Alsace). Le prix de l’entrée est fixé à 2€.
Des pré-inscriptions sont prévues sur leur page Facebook alors n’hésitez pas !
C’est une fois de plus Boidin qui s’est chargé de cette très jolie affiche que vous pouvez looter ici pour la placarder partout dans le monde. Ou juste en France, c’est déjà pas mal !