Hey nerds ! Petite news rapide pour vous dire que notre page Facebook bouge grave ! En effet, fini le rss flooder…Notre page Facebook est désormais un lieu où vous pouvez poster vos créations, succès et autres trucs délirants dont vous êtes fiers dans votre culture Geek !
Par exemple, il y a quelques jours nous avons postés les créations de Cactuz sur Minecraft ! N’hésitez pas à y jeter un coup d’oeil ça vaut le coup 😉
Sur notre page Facebook, vous avez accès à :
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Heureusement beaucoup d’entre vous ne me connaissent pas IRL, mais c’est un fait vérifié, sur lequel je joue énormément, que ce soit au travail ou avec des amis.
J’eus demandé à mon meilleur ami les 5 mots qui me définiraient : Geek, Cynisme, Humour noir, pessimisme & pragmatisme.
Le cynisme.
J’ai toujours considéré les gens comme faisant preuve d’un sérieux manque de cynisme. Même si le fit d’être cynique c’est « être trop rebelle, ignorer les codes sociaux et moraux » et que du coup ça fais un peu de toi un enculé d’hipster tête à claque, ça vaut quand même le coup de se dire qu’on fait pas tout pareil que les autres, pour la simple et bonne raison qu’on l’a voulu. #FEELALIVE
Les gens manquent également cruellement de second degré. Un jour j’ai dit « Tfaçon Tanrantino depuis Pulp Fiction, il fait que de la bouse à une ou deux exceptions près, et puis s’il aime tant Uma Thurman, il à qu’a la troncher ! ». Je pensais clairement montrer que j’étais dans le second degré, parce qu’après tout, oui il a fait quelques bons films depuis Pulp Fiction et tout n’est pas à mettre a la poubelle. Mais, évidemment, 1er degré obligé, on m’a pris au pied de la lettre.
L’humour noir.
Même constat. Je ne comprendrais jamais qu’on ne puisse pas rire d’un humour très noir ! Et peu importe qui cela touche ! On put me raconter une blague très noire mais très drôle sur un stéréotype qui me touche (l’Espagne, la radio etc…) si la blague a le mérite d’être drôle, je vais rire ! Mais non, aujourd’hui cela a bien changé, les gens s’offusquent, interdisent, contraignent, et il ne faut point outrepasser les bonnes mœurs dignes du 14eme siècle. Je l’ai remarqué, tu ne peux réellement rire qu’avec des gens ouverts d’esprit et modernes.
Exemple d’humour noir : Quelle est la différence entre un footballer, un handballeur, et un violeur ? Le footballer marque du pied, le handballeur marque de la main et le violeur Marc Dutroux !
ET ÇA C’EST DRÔLE !
Pessimisme.
Alors je vous arrête si vous vous vous représentez le Rodrigo dépressif pensant « Ce monde est pourave, allons tous nous pendre », ça n’est pas du tout le cas. Je suis extrêmement pessimiste pour ne pas avoir à me reposer sur mes lauriers. Remarquer le bien, c’est le contempler, l’entretenir, le protéger, ce que je considère comme une perte de temps. Au contraire, faire un gros focus sur tout ce qui est pourris dans ce monde, c’est intéressant. Un pessimiste verra toujours le mauvais coté des choses, aura certes la critique facile, mais aura dans le fond rarement tord, car non aveuglé par le coté « Libellules papillons poneys licornes et arc-en-ciel de la vie »
Pragmatisme.
Je sais vous allez me le dire, tous les hommes sont pragmatiques. Ok c’est vrai, mais je parle ici de pragmatisme culturel. J’ai régulièrement des petites disputes où je m’arrache les cheveux quand j’entends le top 5 films de mes amis / collègues. Ils appuient sur le fait que : « Han mais tu sais, Titanic, c’est juste un film trop beau quoi ! ». Ha oui ok, donc 3000 morts, 2 pélos misérablement interprétés dans un scénario improbable (sauf pour évidemment pour le fait que le Titanic ait vraiment sombré), le tout sur du Céline Dion, le tout durant 3 heures c’est un film trop beau ? Je veux bien laisser aux gens le choix de leurs références, et dire qu’après tout chacun est libre d’aimer ce qu’il veut mais seriously ? Et c’est là où je peux dire « Ich bin ein connard », parce que je me braque, et j’interdis certaines références culturelles qui sont pour moi à chier, et dont je ne veux pas entendre parler. Un geek c’est open minded, certes, mais parlez moi 10 minutes du dernier album de Miley Cyrus, ou tout autre ado à la con dont on entendra plus parler dans 2 ans, et vous sentirez alors qu’un gros connard, ça peut se braquer, geek ou pas.
Je pense que je ne comprendrais jamais qu’au pays où entre autres, Stéphane Guillon, Christophe Alévêque, Desproges, Guy Bedos, ont tant compté, on en soit à ce niveau.
Comme vous le savez peut-être, je suis animateur radio pro IRL. Et le sociologeek d’aujourd’hui sera ou ne sera pas radio.
Vous avez certainement vu le magnifique documentaire sur les adulescents, avec Davy recevant l’équipe de France 2 en caleçon. Et bien j’ai le plaisir d’animer une émission qui me tiens a coeur, qui décrypte les faits d’actualités et les faits de société. L’émission portait sur les adulescents, en compagnie d’une psychologue, et avec en guest, une petite surprise.
Je vous en parlais il y a quelque temps, Camelot est une série que j’attendais avec beaucoup de curiosité. Pourquoi ? Parce que je suis une fan inconditionnelle de tout ce qui touche de près ou de loin aux légendes arthuriennes. Alors forcément, je suis toujours curieuse de voir ce qu’une adaptation de ces-dites légendes peut donner, sur grand ou petit écran. Voici donc mes impressions !
Les légendes arthuriennes c’est un peu comme le sel ; on s’en sert à toutes les sauces, mais à la longue c’est écœurant, voire mauvais pour la santé. On ne compte plus les transpositions plus ou moins réussies de l’un des plus gros mythes de notre culture ; courts-métrages comiques, jeux-vidéo, films, séries, livres, jeux de rôle, bande dessinée…
Avec l’annonce de Camelot, j’ai pris un peu peur. En effet, la dernière bouse gargantuesque sur le sujet (cqfd. Merlin), on pouvait craindre le pire.
Ma plus grande peur résidait dans le casting… N’arrivant pas à blairer Eva Green, et trouvant un physique beaucoup trop androgyne au jeune acteur incarnant Arthur (Jamie Campbell Bower), forcément ça partait sur de mauvaises bases. Toutefois j’étais très confiante quant aux décors, aux costumes, et surtout au roman duquel s’inspire la série : La Morte d’Arthur, qui est un peu « LA » référence en ce qui concerne le mythe arthurien.
Morgane…
…et Arthur.
Ma dernière réserve concernait la vague des séries historiques à la mode où le sang et le sexe se font bataille histoire d’appâter tout le petit monde qui serait plus intéressé par les orgies et les boyaux que par le fond historique et culturel du scénario. Et toi là au fond, ne fais pas semblant derrière tes petits airs de bigots, on se doute que tu adores voir toi aussi pointer un bout de sein entre deux bastons sanguinolantes.
Après le succès de Rome où l’ensemble était ma foi plutôt bien dosé (d’ailleurs on retrouvera ici Marc-Antoine en tant que Lot), j’avoue que tout ce qui a suivi (et dernière Spartacus) m’a un peu dégoûtée du genre historique dans le milieu des séries. Au final le cul et la violence prennent bien plus de place que l’intrigue elle-même.
Allaient-ils réserver le même sort à Camelot ?
Le premier épisode semble indiquer que oui.
Entre une belle scène de jambes en l’air où Eva Green prouve qu’elle a jeté aux encombrants le balai qu’elle avait dans le cul, une autre pour justifier la paternité d’Arthur, et une dernière pour montrer à quel point Guenièvre est hot (et je ne compte pas les moments coquins et les filles à pwal)… j’avoue que ça commence plutôt fort. Toutefois (étonnamment ?), cela n’a pas entaché mon ressenti global qui est plutôt positif !
Ah oui tiens, j’avais parlé du cul, mais pas des larmes…
Morgan O’Sullivan et Michael Hirst, les deux papas de la série, reprennent tout ce qui fait la magie du mythe : de forts guerriers, de belles donzelles, de riches costumes, de superbes décors, de la magie et des moments qui se promettent épiques. Point d’Arthur ôtant Excalibur de son rocher toutefois. Pour respecter le roman de Thomas Malory, on nous plonge ici en plein milieu de l’Angleterre paysanne. Merlin vient arracher Arthur à son foyer d’adoption suite à la mort d’Uther ; il révèle alors à celui-ci que le Roi est mort empoisonné, et que le destin veut qu’il reprenne sa place. Arthur apprend alors qu’il est le fruit d’un viol, celui d’Uther sur Ygraine qu’il a abusée en prenant l’apparence de son mari. Si Merlin tient tant à ce qu’Arthur reprenne le trône, c’est pour éviter à sa bougresse de demi-soeur, la diabolique Morgane, de foutre le bouzin et de renverser l’équilibre du monde…
Le pitch me fait craquer, de base : légendes arthuriennes FTW !
Les costumes,
Les décors,
Apparemment on va avoir droit à pas mal de magie, et ça j’aime.
Le casting en dents de scie ; j’attends encore d’être convaincue,
La bande-son pas assez marquante, mais là aussi je compte laisser leur chance aux prochains épisodes,
Les scènes de cul ; 3 rien que dans le premier épisode… Je ne cache pas que je crains un peu pour la suite.
Cet épisode pilote s’annonce plein de sorcellerie, de politique et de combats héroïque, avec bien entendu des histoires d’amour (ça fait tout de même 50% des légendes arthuriennes, faut pas se voiler la face). L’ensemble est de très belle qualité, les costumes magnifiques et les décors à la hauteur de ce que l’on peut attendre d’eux.
J’émets encore quelques réserves quant au casting, mais le sujet semble traité fidèlement à des supports fiables d’époque (XIIè et XIIIè siècle). Ca prend le tournant d’une série fantasy sombre et violente ; autant dire qu’il n’y aura rien de mieux en attendant l’adaptation du Trône de Fer !
Je terminerai donc tout simplement en disant que j’ai très sincèrement hâte de voir ce que la suite va donner. On croise très fort les doigts ! 🙂
Il est des séries dont on tombe amoureux dès les premières secondes. Depuis The Big Bang Theory, ça ne m’était pas arrivée. Mais avec Misfits, le coup de foudre a été immédiat. Un épisode de regardé, et je n’ai pas pu m’empêcher de voir le deuxième, le troisième…
Diffusée depuis fin 2009 au Royaume-Uni, et depuis fin 2010 en France (Y-Y), Misfits est adapté par Howard Overman depuis la série Superminds qui date des années 80′. Je ne vous citerai pas les séries qu’il a déjà pu faire parce que c’est pour la plupart de la belle merde en boîte, et que ça nuirait à votre jugement sur Misfits (oui, je suis vilaine).
Misfits c’est la dernière série anglaise à la mode, celle qui a fait le buzz partout : sur les réseaux sociaux, sur les affiches dans la rue… Le pitch ? Imaginez 5 racailles qui, en pleine purge de leurs TIG, sont frappées par la foudre. Imaginez 5 irresponsables dotés de super pouvoirs. Imaginez 5 marginaux plongés au cœur d’une histoire rocambolesque dont ils ne maîtrisent aucun fil… ou presque.
Toutefois sachez que le casting est composé d’inconnus, à quelques exceptions près : Robert Sheehan (Nathan) et Iwan Rheon (Simon) sont effectivement connus pour quelques rôles dans plusieurs films et séries. Il s’agit donc d’une troupe d’acteurs toute fraîche, et c’est avec grand plaisir qu’on découvre chacun des protagonistes.
Le scénario nous fait donc découvrir le quotidien de ces 5 bons à rien au charisme rare et au langage châtié dont la petite routine de branleurs est bouleversé par des pouvoirs extraordinaires. Comment ces inconnus vont-ils surmonter leur nouvelle vie ? Comment vont-ils se servir de leurs pouvoirs ? C’est cette situation cocasse qui fait le fondement de la série.
Pour l’anecdote, Misfits a eu un tel succès qu’elle a raflé le Bafta Award de la meilleure série dramatique dès la fin de sa première saison !
Alors pour résumer : imaginez les X-Men dans le 9-3 avec l’humour noir typiquement Anglais… Voilà, vous avez Misfits !
L’humour ; rarement une série m’avait autant faite rire,
La galerie de personnages originale et attachante,
Les accents des acteurs (à voir en V.O. absolument),
Et tout le reste ; l’OST, le pitch, les décors, les costumes…
Certains personnages perdent un peu en puissance d’un épisode à un autre avec un effet en dents de scie,
Une fin de saison 2 un peu étrange qui parvient toutefois à relancer l’intérêt de la saison 3.
Ce portrait au vitriol de la jeunesse actuelle puise sa force dans une galerie de personnage originale, son humour, et son scénario plein de rebondissements. Les effets spéciaux sont là mais pas à foison : point trop n’en faut. Et si chacun des pouvoirs (que je ne vous spoilerai pas) n’a rien de vraiment original, c’est la façon dont les personnages s’en servent, et surtout la personnalité de chacun d’entre eux vis à vis de cette particularité qui crée une symbiose grand-guignolesque… et très héroïque à la fois !
Ajoutez à ça une bande-son très bien choisie, de l’intérêt renouvelé à chaque épisode, et des accents du Royaume-Uni comme on en trouve plus pour tomber définitivement amoureux…
Déjà deux saisons sont parues, à 6 et 7 épisodes chacune… ET J’EN VEUX ENCOOORE !
S’il est une série que vous devez vivre dans les prochains jours, c’est celle-là.
Le duo infernal Simon Pegg / Nick Frost (bien connu grâce à Shaun of the Dead) revient en tant que scénaristes avec Greg Mottola (Supergrave) à la réalisation de cette comédie qui va parler d’une étrange créature ; Paul. Non je vous rassure, rien à voir avec Paul le poulpe.
Cette comédie met effectivement en scène un extraterrestre du nom de Paul qui vit depuis plus de 60 ans sur Terre où il collabore avec le gouvernement américain. Il fait tout pour vivre à l’abri des regards dans une base militaire ultra secrète et il a plutôt intérêt puisqu’il est à l’origine de tout le merchandising imaginable sur ses pairs… Malheureusement, à l’heure qu’il est le gouvernement peut bien se passer des services de Paul et va tout faire pour se débarrasser de lui. L’ET doit alors tout faire pour s’échapper au plus vite. C’est ainsi qu’il « tombe » sur deux amerloques fans d’OVNI en plein road-trip ufophile. Pour eux, Paul est une aubaine énorme, et c’est sans mal qu’il les convainc de l’aider à rejoindre sa planète…
Là où ça m’intéresse, c’est que ce film à l’humour potache, parodie évidente de tous les films de sciences-fiction abordant le sujet, va proposer une foule de références geekes, ainsi qu’un casting surprenant. En effet, on pourra retrouver Sigourney Weaver dans le film, et c’est Seth Rogen qui offre sa voix à Paul !
La bande-annonce étant plutôt amusante, je me laisserais bien tenter…
Une affiche qui ne paie pas de mine pour un film qui le pourrait...
Never Let Me Go (Mark Romanek)
Le film surprise de la semaine est décerné à Mark Romanek, qui s’était déjà fait remarquer avec Photo obsession, mettant en scène Robin Williams dans un rôle dérangeant.
Dans son nouveau drame mêlant romance et science-fiction, il aborde la vie de trois enfants élevés dans un pensionnat à l’apparence idyllique. Coupés du monde, ils en ressortent à leurs 18 ans et c’est là que tout bascule. Ils découvrent en effet le secret de leur éducation au sein de cette institution, et cela va bouleverser leurs vies tout entières, tout comme la perception de tout ce qu’ils avaient vécu jusqu’alors. En effet, ils réalisent qu’ils ont été clonés en vue de servir de donneurs d’organes…
Ce sont Carey Mulligan, Andrew Garfield et Keira Knightley qui reprennent les rôles principaux de ce long métrage salué par la critique. Quand on sait qu’il s’agit d’une adaptation du best-seller Auprès de moi toujours, roman de Kazuo Ishiguro qui est considéré comme l’un des meilleurs romanciers de son temps, on se doute qu’effectivement ça peut être sympa !
En tout cas le tailer est plutôt avenant… Je vous laisse en juger !
Eh oui l’euphorique week-end des Oscars 2011 est passé ! Laissez-moi vous faire un petit résumé des prix décernés lors de cet évènement annuel marquant du cinéma mondial…
Meilleur Acteur :
Colin Firth pour “Le Discours D’un Roi”
Étaient aussi nominés : Javier Bardem pour “Biutiful”, Jeff Bridges pour “True Grit”, Jesse Eisenberg pour “The Social Network” et James Franco pour “127 Hours”.
Meilleur Acteur dans un Rôle Secondaire :
Christian Bale pour “Fighter”
Étaient aussi nominés : John Hawkes pour “Winter’s Bone”, Jeremy Renner pour “The Town”, Mark Ruffalo pour “Tout va bien” et Geoffrey Rush pour “Le discours d’un roi”.
Meilleure Actrice :
Natalie Portman pour “Black Swan”
Étaient aussi nominées : Annette Bening pour “Tout va bien”, Nicole Kidman pour “Rabbit Hole”, Jennifer Lawrence pour “Winter’s Bone” et Michelle Williams pour “Blue Valentine”.
Meilleure Actrice dans un Rôle Secondaire :
Melissa Leo pour “Fighter”
Étaient aussi nominées : Amy Adams pour “The Fighter”, Helena Bonham Carter pour “Le discours d’un roi”, Hailee Steinfeld pour “True Grit” et Jacki Weaver pour “Animal Kingdom”.
Meilleur Film d’Animation :
“Toy Story 3” (Lee Unkrich)
Étaient aussi nominés : “Dragons” de Chris Sanders et Dean DeBlois et “L’Illusioniste” de Sylvain Chomet.
Meilleure Direction Artistique :
“Alice au Pays des Merveilles” (Robert Stromberg et Karen O’Hara)
Étaient aussi nominés : “Harry Potter et les Reliques de la Mort Partie 1” (Stuart Craig et Stephenie McMillan), “Inception” (Guy Hendrix Dyas, Larry Dias et Doug Mowat), “The King’s Speech” (Eve Stewart et Judy Farr) et “True Grit” (Jess Gonchor et Nancy Haigh).
Meilleure Photographie :
“Inception” (Wally Pfister)
Étaient aussi nominés : “Black Swan” (Matthew Libatique), “Le discours d’un roi” (Danny Cohen), “The Social Network” (Jeff Cronenweth) et “True Grit” (Roger Deakins).
Meilleurs Costumes :
“Alice au Pays des Merveilles” (Colleen Atwood)
Étaient aussi nominés : “I Am Love” (Antonella Cannarozzi), “Le discours d’un roi” (Jenny Beavan), “The Tempest” (Sandy Powell) et “True Grit” (Mary Zophres).
Meilleur Réalisateur :
“Le Discours D’un Roi” (Tom Hooper)
Étaient aussi nominés : “Black Swan” de Darren Aronofsky, “The Fighter” de David O. Russell, “The Social Network” de David Fincher et “True Grit” des Frères Coen.
Meilleur Documentaire (Long-Métrage) :
“Inside Job” (Charles Ferguson et Audrey Marrs)
Étaient aussi nominés : “Exit through the Gift Shop” de Banksy et Jaimie D’Cruz, “Gasland” de Josh Fox et Trish Adlesic, “Restrepo” de Tim Hetherington et Sebastian Junger et “Waste Land” de Lucy Walker et Angus Aynsley.
Meilleur Documentaire (Court-Métrage) :
“Strangers No More” de Karen Goodman et Kirk Simon
Étaient aussi nominés : “Killing in the Name” de Jed Rothstein, “Poster Girl” de Sara Nesson et Mitchell W. Block, “Sun Come Up” de Jennifer Redfearn et Tim Metzger et “The Warriors of Qiugang” de Ruby Yang et Thomas Lennon.
Meilleur Montage :
“The Social Network” pour le travail d’Angus Wall et Kirk Baxter
Étaient aussi nominés : “Black Swan” (Andrew Weisblum), “The Fighter” (Pamela Martin), “Le discours d’un roi” (Tariq Anwar), “127 Heures” (Jon Harris).
Meilleur Film Étranger :
“In a Better World” Denmark
Étaient aussi nominés : “Biutiful” (Mexico), “Dogtooth” (Greece), “Incendies” (Canada) et “Outside the Law (Hors-la-loi)” (Algeria).
Meilleur Maquillage :
“Wolfman” Rick Baker and Dave Elsey
Étaient aussi nominés : “Barney’s Version” (Adrien Morot) et “The Way Back” (Edouard F. Henriques, Gregory Funk et Yolanda Toussieng).
Meilleure Bande Originale :
“The Social Network” (Trent Reznor et Atticus Ross)
Étaient aussi nominés : “Dragons” (John Powell), “Inception” (Hans Zimmer), “Le Discours D’un Roi” (Alexandre Desplat) et “127 Heures” (A.R. Rahman).
Meilleure Chanson Originale :
“We Belong Together” from “Toy Story 3″ (Randy Newman)
Étaient aussi nominés : “Coming Home” de “Country Strong” (Tom Douglas, Troy Verges et Hillary Lindsey), “I See the Light” de “Raiponce” (Alan Menken et Glenn Slater) et “If I Rise” de “127 Heures” (A.R. Rahman, Dido et Rollo Armstrong).
Meilleur Film :
“Le Discours D’un Roi” (Iain Canning, Emile Sherman et Gareth Unwin)
Étaient aussi nominés : “Black Swan” (Mike Medavoy, Brian Oliver et Scott Franklin), “Fighter” (David Hoberman, Todd Lieberman et Mark Wahlberg), “Inception” (Emma Thomas et Christopher Nolan), “Tout Va Bien” (Gary Gilbert, Jeffrey Levy-Hinte and Celine Rattray), “127 Heures” (Christian Colson, Danny Boyle et John Smithson), “The Social Network” (Scott Rudin, Dana Brunetti, Michael De Luca et Ceán Chaffin), “Toy Story 3” (Darla K. Anderson), “True Grit” (Scott Rudin, Ethan Coen et Joel Coen) et “Winter’s Bone » (Anne Rosellini et Alix Madigan-Yorkin).
Meilleur Court-Métrage d’Animation :
“The Lost Thing” (Shaun Tan et Andrew Ruhemann)
Étaient aussi nominés : “Day & Night” (Teddy Newton), “The Gruffalo” (Jakob Schuh et Max Lang), “Let’s Pollute” (Geefwee Boedoe) et “Madagascar, carnet de voyage” (Bastien Dubois).
Meilleur Court-Métrage de Fiction :
“God of Love” (Luke Matheny)
Étaient aussi nominés : “The Confession” (Tanel Toom), “The Crush” (Michael Creagh), “Na Wewe” (Ivan Goldschmidt) et “Wish 143” (Ian Barnes et Samantha Waite).
Meilleur Montage Son :
“Inception” (Richard King)
Étaient aussi nominés : “Toy Story 3” (Tom Myers et Michael Silvers), “Tron: L’Héritage” (Gwendolyn Yates Whittle et Addison Teague), “True Grit” (Skip Lievsay et Craig Berkey) et “Unstoppable” (Mark P. Stoeckinger).
Meilleur Mixage Son :
“Inception” (Lora Hirschberg, Gary A. Rizzo et Ed Novick)
Étaient aussi nominés : “Le Discours D’un Roi” (Paul Hamblin, Martin Jensen et John Midgley), “Salt” (Jeffrey J. Haboush, Greg P. Russell, Scott Millan et William Sarokin), “The Social Network” (Ren Klyce, David Parker, Michael Semanick et Mark Weingarten), “True Grit” (Skip Lievsay, Craig Berkey, Greg Orloff et Peter F. Kurland).
Meilleurs Effets Spéciaux :
“Inception” (Paul Franklin, Chris Corbould, Andrew Lockley et Peter Bebb)
Étaient aussi nominés : “Alice au Pays des Merveilles” (Ken Ralston, David Schaub, Carey Villegas et Sean Phillips), “Harry Potter et les Reliques de la Mort, Partie 1” (Tim Burke, John Richardson, Christian Manz et Nicolas Aithadi), “Au-Delà” (Michael Owens, Bryan Grill, Stephan Trojansky et Joe Farrell) et “Iron Man 2” (Janek Sirrs, Ben Snow, Ged Wright et Daniel Sudick).
Meilleure Adaptation :
“The Social Network” (Aaron Sorkin)
Étaient aussi nominés : “127 Hours” (Danny Boyle et Simon Beaufoy), “Toy Story 3” (Michael Arndt, John Lasseter, Andrew Stanton et Lee Unkrich), “True Grit” (Joel Coen et Ethan Coen) et “Winter’s Bone” (Debra Granik et Anne Rosellini).
Meilleur Scénario Original :
“Le Discours D’un Roi” (David Seidler)
Étaient aussi nominés : “Another Year” (Mike Leigh), “Fighter” (Scott Silver, Paul Tamasy, Eric Johnson, Keith Dorrington, Paul Tamasy et Eric Johnson), “Inception” (Christopher Nolan) et “Tout Va Bien” (Lisa Cholodenko et Stuart Blumberg).
Il est évident que Le Disours D’un Roi a remporté tous les suffrages (honte à moi, je ne l’ai pas vu). Je suis un peu déçue qu’Hans Zimmer n’ait pas rafflé le prix de la meilleure OST, mais contente des hommages rendus à Toy Story 3 et au jeu d’acteur de Natalie Portman. Et vous, que pensez-vous de ce cru 2011 pour les Oscars ?
Oh yeah ! Killzone 3 : Extraction est enfin dispo sur KMG ! Souvenez-vous, je vous en avais parlé la semaine dernière avec un trailer qui laissait présager du lourd.
Et bien jetez vous, tout de suite maintenant sur le Live Action !
Alors, vous en pensez quoi ? Personnellement, je suis un chouilla déçu de la fin trop « brute » mais mis à part ça, c’est que du bon ! 😉
Je sais qu’il y a énormément de fans de Minecraft sur Kissmygeek, alors voici une vidéo qui devrait vous plaire ! C’est un documentaire sur la « success story » de Monsieur Notch, le créateur de Minecraft.
Le documentaire est en anglais mais ce n’est pas vraiment difficile à comprendre. Personnelement, je suis un gros fan de ce genre de doc et le succès de Notch pour Minecraft est juste amplement mérité.
Par contre, j’ai un petit doute sur le futur de ce jeu notamment sur le fait que Minecraft sera porté sur iPhone / iPad dans les mois à venir. Pas très convaincu… mais bon pourquoi pas !
Qu’est ce que vous aimez le plus dans Minecraft ? Si vous avez des screens de créas issues de Minecraft ou même des vidéos que vous avez réalisé n’hésitez pas à les envoyer à mon adresse mail : oujiz at kissmygeek dot com ! 🙂
Mon geek un fameux déconneur
Ecrit en amateur
Quelques Sociologeeks.
Sans avoir jamais rien appris
Un vrai extraverti
Question culture geek
Il s’enfermait toute la journée
Au fond de son atelier
Ecrire ses expériences
Et le soir en postant le tout
Il nous faisait pleurer
On en devint même fou.
Une vanne qui tombe à plat
Mes enfants croyez moi
C’est comme du Mario Kart
Carapaces et pown de looser
Face à un petit craneur
Au passage un gros fart.
Avec une sacré sale ganache
Un t shirt plein de taches
Une plume pétillante
Le pire de toutes ses créations
Ses quelques expressions
Nous laisse bouche béante
Parfois le cas échéant.
Il devient même bienséant
Très rarement à la bourre
Toujours ses calembours
Des délires surréels
De la bière, un bon barbecue
Et plus aucun tabous
Il devient sans pareil.
Parfois il devient même féroce
Qu’il tombe sur un os
La peur de défaillir
Et l’idée vint elle le trouva
On évita le pire
Et il s’écrit comme ça :
Ecrivons l’histoire d’un pouilleux
Un truc fastidieux
Un Kevin du Dimanche
Un espèce de ptit salopiot
Qui joue aux MMO
Et croit en la dame blanche
Il essayerai de procréer
Essayant de draguer
La première fille qui tombe
Sur d’être un balaise sans honte
La seule chose qui compte
C’est ce qu’il vous raconte
Comme toujours méprisant
Une crête et un jean moulant
Pour terminer il s’affuta
Jamais ne réfuta
Sa piteuse conduite
Ce cliché tombe pour sur à plat
T’es pas baracuda, la tienne est trop petite
C’est dingue d’autant accumuler
Sans jamais se marrer
Des plus jeunes que ton âge
Evite de martyriser
Sinon de ce saccage
Il ne va plus rien rester
Rodrigo d’un coup s’reprenna
Ne se dégonfla pas
Et joua les andouilles.
Ainsi il faut se résigner
Arrêter d’fantasmer
J’ai l’air d’une sacré nouille
Enfin je vous fais un aveu
Je le jure devant DIEU
Depuis ma tendre enfance
En tapant sur tous ces bizuts
Je suis bien convaincu
D’avoir servi la France.
On était dans l’embarras
Alors on le condamna
Et puis on l’amnistia.
Et le pays reconnaissant
L’élut immédiatement
Chef des condescendant.