Cinéma Dans Ton Cinéma 3

[DTC] Sorties de la semaine


Non,  je ne parlerai pas de la journée de la femme, ni du film « We Want Sex Equality » qui sort demain et qui va bien avec le thème. Non, parce que j’en ai rien à carrer, en fait. Voilà, ça c’est fait, et maintenant je peux dire ouvertement que je préfère vous parler d’un truc bien burné !


Un film aux multiples prix qui porte bien son nom, du coup.

Fighter (David O. Russell)

Le nom de ce film vous dit peut être quelque chose puisqu’il a été encensé lors de la cérémonie des Oscars du weekend dernier, mais aussi lors des Golden Globes… Et du BAFTA. Autant dire qu’il a fait parler de lui.

Monsieur David O. Russell, en plus d’être l’homme qui adaptera Uncharted au cinéma, est celui à qui l’on doit déjà Les Rois du désert. Ca aussi c’est plutôt pas mal !

Quant au scénario, il est basé sur l’histoire vraie de Micky Ward et de la façon dont il est  sorti de sa carrière stagnante de boxeur grâce à Charlene, une femme qu’il a rencontré et qui va l’aider à se reprendre. Le scénario tourne aussi autour de sa relation avec son demi-frère, Dicky Eklund, qui a déjà connu la gloire sur le ring il y a plusieurs années,avant de tomber dans la drogue et de faire un séjour en prison. C’est la tension entre ces deux hommes qui les rapproche et qui va les pousser à travailler ensemble dans un but commun ; relancer la carrière de Micky et remonter la pente ensemble.

J’avoue que je suis plutôt attirée par ce film. Non seulement parce que pour une fois Mark Wahlberg a bien choisi son film, mais en plus parce que je déteste Christian Bale et qu’ici sa prestation semble plutôt impressionnante. Il suffit de voir la bande-annonce, et notamment sa transformation physique, pour s’en douter.

En outre, il est bon de savoir que Micky Ward (le vrai) a été très présent tout au long du tournage pour donner autant d’authenticité que possible à cette biographie.


Site officiel


Sources et images via Allociné

Cinéma 9

[Animation] The Giants

the giants

Quand on parle d’animation, cela rime souvent avec japanimation et/ou adaptation en séries tv de comics / jeux vidéo, ou grosse production de studios ricains commePixar (entre autres…) Hé bien, pas cette fois !!
Beaucoup d’entre vous ne connaissent peut-être pas ce monde étrange qu’est l’animation dite « traditionnelle » (celle des choses faites à la main par des passionnés, celle des courts-métrages que l’on peut notamment retrouver au Festival d’Annecy), la plupart du commun des mortels-geeks ayant de vagues notions grâce aux films de Tim Burton (L’Étrange Noel de Mr Jack, The Corpse Bride, etc) ou bien encore grâce aux fabuleux Wallace & Gromit. Mais cette discipline déborde de talents et de créativité !

C’est pourquoi je veux mettre sur KMG un peu de poésie avec cette bien chouette série de courtes animations (aussi dépouillées que décalées !) : « The Giants », réalisée par Yann Benedi & Céline Desrumaux.

Un must à voir, ça ne vous prendra que quelques minutes et c’est indolore ! 😉
Et avec un peu de chance, ça vous fera même sourire !
(et puis dans la vie, y’a pas que le poutrage de zombies qui rend heureux ! ^^ »)

Giant Episode 3 : CLOUD (cliquez sur l’image pour ouvrir la vidéo !)

the giants animation the sun

À noter, qu’outre leurs petites animations, The Giants se prépare en version jeu iPhone (annoncé sur leur site pour « très prochainement ») …so, check your nearest Appstore, people !

Et pour les curieux, le site officiel (avec le reste des animations!) est PAR ICI !
Et leur page Facebook est PAR LÀ !

Share the love, amis geeks !

Divers 16

Oh ! There is a new challenger : Alice !

C’est une fille ! Elle est blonde ! Elle a des yeux qui lancent des lasers ! Et elle vous veut du bien, petits nerds ! Aujourd’hui, j’ai l’heureux plaisir de vous présenter Alice qui rejoint notre équipe de choc ! Souvenez-vous, il y a quelques semaines, Eskarina et moi, nous avions lancer une petite séance de recrutement pour le blog. En effet, nous cherchions des passionnés qui pourraient partager leur passion sur KMG et surtout suivre l’actualité geekesque !

Et bien, honnêtement, je pensais pas recevoir autant de demandes ! Et nous avons déceler quelques perles ! Alice en fait partie et vous allez comprendre pourquoi. Alors, on lui fait tous un bisou (sur la joue, hein guyz) et on lui souhaite tous la bienvenue ! 😉

Et n’oubliez pas de la suivre sur Twitter !

Divers

Du nouveau sur notre page Facebook !

Hey nerds ! Petite news rapide pour vous dire que notre page Facebook bouge grave ! En effet, fini le rss flooder…Notre page Facebook est désormais un lieu où vous pouvez poster vos créations, succès et autres trucs délirants dont vous êtes fiers dans votre culture Geek !

Par exemple, il y a quelques jours nous avons postés les créations de Cactuz sur Minecraft ! N’hésitez pas à y jeter un coup d’oeil ça vaut le coup 😉

Sur notre page Facebook, vous avez accès à :

  • Des débats exclusifs sur la culture geek.
  • Des lolpics (oui, il en faut bien :))
  • Des fanfilms que le staff KMG vous recommande !
  • Des mini contests seront organisés = maximum loot !

Mais surtout :

  • Dîtes nous ce que vous voulez voir sur Kissmygeek !

N’oubliez pas de recommander notre page Facebook à vos amis qui pour vous sont réellement des geeks ! 😉


Sociologeek 7

[Sociologeek] : Cynisme, Humour noir, pessimisme & pragmatisme

Je l’avoue, j’y consens, « Ich bin ein connard ».

Heureusement beaucoup d’entre vous ne me connaissent pas IRL, mais c’est un fait vérifié, sur lequel je joue énormément, que ce soit au travail ou avec des amis.

J’eus demandé à mon meilleur ami les 5 mots qui me définiraient : Geek, Cynisme, Humour noir, pessimisme & pragmatisme.


Le cynisme.

J’ai toujours considéré les gens comme faisant preuve d’un sérieux manque de cynisme. Même si le fit d’être cynique c’est « être trop rebelle, ignorer les codes sociaux et moraux » et que du coup ça fais un peu de toi un enculé d’hipster tête à claque, ça vaut quand même le coup de se dire qu’on fait pas tout pareil que les autres, pour la simple et bonne raison qu’on l’a voulu. #FEELALIVE

Les gens manquent également cruellement de second degré. Un jour j’ai dit « Tfaçon Tanrantino depuis Pulp Fiction, il fait que de la bouse à une ou deux exceptions près, et puis s’il aime tant Uma Thurman, il à qu’a la troncher ! ». Je pensais clairement montrer que j’étais dans le second degré, parce qu’après tout, oui il a fait quelques bons films depuis Pulp Fiction et tout n’est pas à mettre a la poubelle. Mais, évidemment, 1er degré obligé, on m’a pris au pied de la lettre.


L’humour noir.

Même constat. Je ne comprendrais jamais qu’on ne puisse pas rire d’un humour très noir ! Et peu importe qui cela touche ! On put me raconter une blague très noire mais très drôle sur un stéréotype qui me touche (l’Espagne, la radio etc…) si la blague a le mérite d’être drôle, je vais rire ! Mais non, aujourd’hui cela a bien changé, les gens s’offusquent, interdisent, contraignent, et il ne faut point outrepasser les bonnes mœurs dignes du 14eme siècle. Je l’ai remarqué, tu ne peux réellement rire qu’avec des gens ouverts d’esprit et modernes.

Exemple d’humour noir : Quelle est la différence entre un footballer, un handballeur, et un violeur ? Le footballer marque du pied, le handballeur marque de la main et le violeur Marc Dutroux !

ET ÇA C’EST DRÔLE !


Pessimisme.

Alors je vous arrête si vous vous vous représentez le Rodrigo dépressif pensant « Ce monde est pourave, allons tous nous pendre », ça n’est pas du tout le cas. Je suis extrêmement pessimiste pour ne pas avoir à me reposer sur mes lauriers. Remarquer le bien, c’est le contempler, l’entretenir, le protéger, ce que je considère comme une perte de temps. Au contraire, faire un gros focus sur tout ce qui est pourris dans ce monde, c’est intéressant. Un pessimiste verra toujours le mauvais coté des choses, aura certes la critique facile, mais aura dans le fond rarement tord, car non aveuglé par le coté « Libellules papillons poneys licornes et arc-en-ciel de la vie »


Pragmatisme.

Je sais vous allez me le dire, tous les hommes sont pragmatiques. Ok c’est vrai, mais je parle ici de pragmatisme culturel. J’ai régulièrement des petites disputes où je m’arrache les cheveux quand j’entends le top 5 films de mes amis / collègues. Ils appuient sur le fait que : « Han mais tu sais, Titanic, c’est juste un film trop beau quoi ! ». Ha oui ok, donc 3000 morts, 2 pélos misérablement interprétés dans un scénario improbable (sauf pour évidemment pour le fait que le Titanic ait vraiment sombré), le tout sur du Céline Dion, le tout durant 3 heures c’est un film trop beau ? Je veux bien laisser aux gens le choix de leurs références, et dire qu’après tout chacun est libre d’aimer ce qu’il veut mais seriously ? Et c’est là où je peux dire « Ich bin ein connard », parce que je me braque, et j’interdis certaines références culturelles qui sont pour moi à chier, et dont je ne veux pas entendre parler. Un geek c’est open minded, certes, mais parlez moi 10 minutes du dernier album de Miley Cyrus, ou tout autre ado à la con dont on entendra plus parler dans 2 ans, et vous sentirez alors qu’un gros connard, ça peut se braquer, geek ou pas.


Je pense que je ne comprendrais jamais qu’au pays où entre autres, Stéphane Guillon, Christophe Alévêque, Desproges, Guy Bedos, ont tant compté, on en soit à ce niveau.


ICH BIN EIN CONNARD ET ALORS ?


VULCAIN !

Sociologeek 6

[Sociologeek] : Emission Radio

Comme vous le savez peut-être, je suis animateur radio pro IRL. Et le sociologeek d’aujourd’hui sera ou ne sera pas radio.

Vous avez certainement vu le magnifique documentaire sur les adulescents, avec Davy recevant l’équipe de France 2 en caleçon. Et bien j’ai le plaisir d’animer une émission qui me tiens a coeur, qui décrypte les faits d’actualités et les faits de société. L’émission portait sur les adulescents, en compagnie d’une psychologue, et avec en guest, une petite surprise.

AeV PAD 27 – Part 1

AeV PAD 27 – Part 2

AeV PAD 27 – Part 3

VULCAIN !

Séries 12

[Série] Camelot : Episode 1


Je vous en parlais il y a quelque temps, Camelot est une série que j’attendais avec beaucoup de curiosité. Pourquoi ? Parce que je suis une fan inconditionnelle de tout ce qui touche de près ou de loin aux légendes arthuriennes. Alors forcément, je suis toujours curieuse de voir ce qu’une adaptation de ces-dites légendes peut donner, sur grand ou petit écran. Voici donc mes impressions !



Les légendes arthuriennes c’est un peu comme le sel ; on s’en sert à toutes les sauces, mais à la longue c’est écœurant, voire mauvais pour la santé. On ne compte plus les transpositions plus ou moins réussies de l’un des plus gros mythes de notre culture ; courts-métrages comiques, jeux-vidéo, films, séries, livres, jeux de rôle, bande dessinée…

Avec l’annonce de Camelot, j’ai pris un peu peur. En effet, la dernière bouse gargantuesque sur le sujet (cqfd. Merlin), on pouvait craindre le pire.

Ma plus grande peur résidait dans le casting… N’arrivant pas à blairer Eva Green, et trouvant un physique beaucoup trop androgyne au jeune acteur incarnant Arthur (Jamie Campbell Bower), forcément ça partait sur de mauvaises bases. Toutefois j’étais très confiante quant aux décors, aux costumes, et surtout au roman duquel s’inspire la série : La Morte d’Arthur, qui est un peu « LA » référence en ce qui concerne le mythe arthurien.


Morgane…


…et Arthur.


Ma dernière réserve concernait la vague des séries historiques à la mode où le sang et le sexe se font bataille histoire d’appâter tout le petit monde qui serait plus intéressé par les orgies et les boyaux que par le fond historique et culturel du scénario. Et toi là au fond, ne fais pas semblant derrière tes petits airs de bigots, on se doute que tu adores voir toi aussi pointer un bout de sein entre deux bastons sanguinolantes.

Après le succès de Rome où l’ensemble était ma foi plutôt bien dosé (d’ailleurs on retrouvera ici Marc-Antoine en tant que Lot), j’avoue que tout ce qui a suivi (et dernière Spartacus) m’a un peu dégoûtée du genre historique dans le milieu des séries. Au final le cul et la violence prennent bien plus de place que l’intrigue elle-même.

Allaient-ils réserver le même sort à Camelot ?

Le premier épisode semble indiquer que oui.

Entre une belle scène de jambes en l’air où Eva Green prouve qu’elle a jeté aux encombrants le balai qu’elle avait dans le cul, une autre pour justifier la paternité d’Arthur, et une dernière pour montrer à quel point Guenièvre est hot (et je ne compte pas les moments coquins et les filles à pwal)… j’avoue que ça commence plutôt fort. Toutefois (étonnamment ?), cela n’a pas entaché mon ressenti global qui est plutôt positif !


Ah oui tiens, j’avais parlé du cul, mais pas des larmes…


Morgan O’Sullivan et Michael Hirst, les deux papas de la série, reprennent tout ce qui fait la  magie du mythe : de forts guerriers, de belles donzelles, de riches costumes, de superbes décors, de la magie et des moments qui se promettent épiques. Point d’Arthur ôtant Excalibur de son rocher toutefois. Pour respecter le roman de Thomas Malory, on nous plonge ici en plein milieu de l’Angleterre paysanne. Merlin vient arracher Arthur à son foyer d’adoption suite à la mort d’Uther ; il révèle alors à celui-ci que le Roi est mort empoisonné, et que le destin veut qu’il reprenne sa place. Arthur apprend alors qu’il est le fruit d’un viol, celui d’Uther sur Ygraine qu’il a abusée en prenant l’apparence de son mari. Si Merlin tient tant à ce qu’Arthur reprenne le trône, c’est pour éviter à sa bougresse de demi-soeur, la diabolique Morgane, de foutre le bouzin et de renverser l’équilibre du monde…



  • Le pitch me fait craquer, de base : légendes arthuriennes FTW !
  • Les costumes,
  • Les décors,
  • Apparemment on va avoir droit à pas mal de magie, et ça j’aime.



  • Le casting en dents de scie ; j’attends encore d’être convaincue,
  • La bande-son pas assez marquante, mais là aussi je compte laisser leur chance aux prochains épisodes,
  • Les scènes de cul ; 3 rien que dans le premier épisode… Je ne cache pas que je crains un peu pour la suite.



Cet épisode pilote s’annonce plein de sorcellerie, de politique et de combats héroïque, avec bien entendu des histoires d’amour (ça fait tout de même 50% des légendes arthuriennes, faut pas se voiler la face). L’ensemble est de très belle qualité, les costumes magnifiques et les décors à la hauteur de ce que l’on peut attendre d’eux.

J’émets encore quelques réserves quant au casting, mais le sujet semble traité fidèlement à des supports fiables d’époque (XIIè et XIIIè siècle). Ca prend le tournant d’une série fantasy sombre et violente ; autant dire qu’il n’y aura rien de mieux en attendant l’adaptation du Trône de Fer !

Je terminerai donc tout simplement en disant que j’ai très sincèrement hâte de voir ce que la suite va donner. On croise très fort les doigts ! 🙂


Séries 8

[Série] Misfits : LA série que tu dois voir


Il est des séries dont on tombe amoureux dès les premières secondes. Depuis The Big Bang Theory, ça ne m’était pas arrivée. Mais avec Misfits, le coup de foudre a été immédiat. Un épisode de regardé, et je n’ai pas pu m’empêcher de voir le deuxième, le troisième…




Diffusée depuis fin 2009 au Royaume-Uni, et depuis fin 2010 en France (Y-Y), Misfits est adapté par Howard Overman depuis la série Superminds qui date des années 80′. Je ne vous citerai pas les séries qu’il a déjà pu faire parce que c’est pour la plupart de la belle merde en boîte, et que ça nuirait à votre jugement sur Misfits (oui, je suis vilaine).

Misfits c’est la dernière série anglaise à la mode, celle qui a fait le buzz partout : sur les réseaux sociaux, sur les affiches dans la rue… Le pitch ? Imaginez 5 racailles qui, en pleine purge de leurs TIG, sont frappées par la foudre. Imaginez 5 irresponsables dotés de super pouvoirs. Imaginez 5 marginaux plongés au cœur d’une histoire rocambolesque dont ils ne maîtrisent aucun fil… ou presque.

Toutefois sachez que le casting est composé d’inconnus, à quelques exceptions près : Robert Sheehan (Nathan) et Iwan Rheon (Simon) sont effectivement connus pour quelques rôles dans plusieurs films et séries. Il s’agit donc d’une troupe d’acteurs toute fraîche, et c’est avec grand plaisir qu’on découvre chacun des protagonistes.

Le scénario nous fait donc découvrir le quotidien de ces 5 bons à rien au charisme rare et au langage châtié dont la petite routine de branleurs est bouleversé par des pouvoirs extraordinaires. Comment ces inconnus vont-ils surmonter leur nouvelle vie ? Comment vont-ils se servir de leurs pouvoirs ? C’est cette situation cocasse qui fait le fondement de la série.




Pour l’anecdote, Misfits a eu un tel succès qu’elle a raflé le Bafta Award de la meilleure série dramatique dès la fin de sa première saison !

Alors pour résumer : imaginez les X-Men dans le 9-3 avec l’humour noir typiquement Anglais… Voilà, vous avez Misfits !



  • L’humour ; rarement une série m’avait autant faite rire,
  • La galerie de personnages originale et attachante,
  • Les accents des acteurs (à voir en V.O. absolument),
  • Et tout le reste ; l’OST, le pitch, les décors, les costumes…



  • Certains personnages perdent un peu en puissance d’un épisode à un autre avec un effet en dents de scie,
  • Une fin de saison 2 un peu étrange qui parvient toutefois à relancer l’intérêt de la saison 3.



Ce portrait au vitriol de la jeunesse actuelle puise sa force dans une galerie de personnage originale, son humour, et son scénario plein de rebondissements. Les effets spéciaux sont là mais pas à foison : point trop n’en faut. Et si chacun des pouvoirs (que je ne vous spoilerai pas) n’a rien de vraiment original, c’est la façon dont les personnages s’en servent, et surtout la personnalité de chacun d’entre eux vis à vis de cette particularité qui crée une symbiose grand-guignolesque… et très héroïque à la fois !

Ajoutez à ça une bande-son très bien choisie, de l’intérêt renouvelé à chaque épisode,  et des accents du Royaume-Uni comme on en trouve plus pour tomber définitivement amoureux…

Déjà deux saisons sont parues, à 6 et 7 épisodes chacune… ET J’EN VEUX ENCOOORE !

S’il est une série que vous devez vivre dans les prochains jours, c’est celle-là.

Cinéma Dans Ton Cinéma 1

[DTC] Sorties de la semaine


Cette semaine on parle d’aliens et de clônes :3


Aaah l’américain moyen…

Paul (Greg Mottola)

Le duo infernal Simon Pegg / Nick Frost (bien connu grâce à Shaun of the Dead) revient en tant que scénaristes avec Greg Mottola (Supergrave) à la réalisation de cette comédie qui va parler d’une étrange créature ; Paul. Non je vous rassure, rien à voir avec Paul le poulpe.

Cette comédie met effectivement en scène un extraterrestre du nom de Paul qui vit depuis plus de 60 ans sur Terre où il collabore avec le gouvernement américain. Il fait tout pour vivre à l’abri des regards dans une base militaire ultra secrète et il a plutôt intérêt puisqu’il est à l’origine de tout le merchandising imaginable sur ses pairs… Malheureusement, à l’heure qu’il est le gouvernement peut bien se passer des services de Paul et va tout faire pour se débarrasser de lui. L’ET doit alors tout faire pour s’échapper au plus vite. C’est ainsi qu’il « tombe » sur deux amerloques fans d’OVNI en plein road-trip ufophile. Pour eux, Paul est une aubaine énorme, et c’est sans mal qu’il les convainc de l’aider à rejoindre sa planète…

Là où ça m’intéresse, c’est que ce film à l’humour potache, parodie évidente de tous les films de sciences-fiction abordant le sujet, va proposer une foule de références geekes, ainsi qu’un casting surprenant. En effet, on pourra retrouver Sigourney Weaver dans le film, et c’est Seth Rogen qui offre sa voix à Paul !

La bande-annonce étant plutôt amusante, je me laisserais bien tenter…



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Une affiche qui ne paie pas de mine pour un film qui le pourrait...

Never Let Me Go (Mark Romanek)

Le film surprise de la semaine est décerné à Mark Romanek,  qui s’était déjà fait remarquer avec Photo obsession, mettant en scène Robin Williams dans un rôle dérangeant.

Dans son nouveau drame mêlant romance et science-fiction, il aborde la vie de trois enfants élevés dans un pensionnat à l’apparence idyllique. Coupés du monde, ils en ressortent à  leurs 18 ans et c’est là que tout bascule. Ils découvrent en effet le secret  de leur éducation au sein de cette institution, et cela va bouleverser leurs vies tout entières, tout comme la perception de tout ce qu’ils avaient vécu jusqu’alors. En effet, ils réalisent qu’ils ont été clonés en vue de servir de donneurs d’organes…

Ce sont Carey Mulligan, Andrew Garfield et Keira Knightley qui reprennent les rôles principaux de ce long métrage salué par la critique. Quand on sait qu’il s’agit d’une adaptation du best-seller Auprès de moi toujours, roman de Kazuo Ishiguro qui est considéré comme l’un des meilleurs romanciers de son temps, on se doute qu’effectivement ça peut être sympa !

En tout cas le tailer est plutôt avenant… Je vous laisse en juger !



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Sources et images via Allocine