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Une toile à l’effigie du blog !



Il y a quelques semaines, BonjourToile me contactait pour me proposer de découvrir l’un de leurs produits, à savoir l’impression sur toile. Artiste dans l’âme (comment ça c’est un argument bidon ?) mais avant tout curieuse de voir ce qu’un tel objet pouvait offrir qualitativement parlant, j’ai dit oui ! Et j’avoue ne pas avoir été déçue…

Le but de BonjourToile est d’imprimer l’image de votre choix sur une toile soutenue par un châssis en bois de dimensions variables pouvant aller du 30 x 30 cm au 90 x 140 cm, le tout pour des prix plutôt raisonnables s’échelonnant eux aussi de 35 à 109€.

Là où ça devient intéressant, c’est qu’en plus de pouvoir imprimer sur toile n’importe quelle photo ou image depuis chez vous (pour un prix bien inférieur à ce qu’on peut trouver en magasin), c’est que l’on vous propose de la personnaliser avant de vous l’envoyer, histoire d’être sûr que tout vous convienne. A partir de votre image de base, il est donc possible d’en changer les tons de couleurs, de faire quelques retouches classiques (enlever une date ou des yeux rouges sur une photo par exemple), de donner un effet polaroid, graffiti ou encore Warhol !

Pour ma part j’avais rapidement fait mon choix et optai pour l’affiche que nous avait gracieusement concoctée notre artiste ninja, Pierre Maîche, et dont nous avions fait un article juste là.

Après l’avoir recadré très facilement et choisi de lui ajouter un petit contour blanc, je finalisai la commande et recevais mon colis… trois jours plus tard !

J’avoue avoir été bluffée par le délai de traitement, l’emballage soigné mais aussi ce qu’il y avait à l’intérieur ! L’image est parfaitement cadrée, les couleurs rendent impeccablement et la toile cirée traitée contre les UV est d’une qualité indéniable. Bref ; excellente surprise ! Mais puisque je sais que vous voulez les photos, les voici, les voilà. Désolée pour les clichés un peu sombre, c’est qu’à Lille il fait décidément très moche !



A côté de tout ça précisons tout de même que la marque vous garantit les prix les plus bas du marché, une offre « satisfait ou remboursé », une livraison gratuite et sous une semaine en plus d’une protection UV sur la toile. Y’a bon !

Sachez également que BonjourToile s’est montré engageant quant au sponsoring de concours sur Kiss My Geek ; ça vous dirait d’en avoir une comme ça chez vous ? 😉

Le reste des photos est juste en bas, n’hésitez pas à me faire partager vos avis !




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[Loading] Oroshimau : Le Seigneur des Anneaux, la trilogie et plus encore (1) !



C’est Oroshimau qu’on va pouvoir lire aujourd’hui ! Sur un article en deux parties, il va nous parler de la passion qu’il a développée autour du Seigneur des Anneaux en ayant vu, revu et re-revu les films de Peter Jackson ! C’est donc un univers qu’il a connu plutôt tard, ce qui n’est au final pas si étonnant étant donné son jeune âge (tous les 16+ vous pouvez me frapper). Il vous donne ici un résumé des produits dérivés de la saga de Tolkien qui l’ont le plus marqué…


Qui n’a jamais entendu parler ou vu le Seigneur des Anneaux ? Personne. Le Seigneur des Anneaux est l’une des trilogies les plus appréciées par les jeunes et les moins jeunes. Elle est d’autant appréciée par les jeunes car elle déclinée sous énormément de formes. Cette trilogie permet de vastes idées car le créateur n’a pas fermé l’histoire, qui est totalement ouverte pour en faire des jeux vidéo et surtout des jeux de rôles. Elle a notamment inspiré certain jeux de rôle.


Les dérivés : Partie I


  • A l’origine ; les livres de Tolkien
  • Les films
  • Les figurines
  • Le jeu de rôle
  • Les jeux vidéo
  • Les radios (beaucoup moins connues de nous belges et français)


A l’origine ; les livres de Tolkien

Tout a commencé par le premier livre de Tolkien qui n’était pas la Communauté de l’Anneau mais bel et bien Bilbo le Hobbit. Ce livre retrace l’histoire de Bilbon Sacquet et toutes ses péripéties. S’en est suivi la trilogie qui à la base n’était pas une trilogie mais un seul et unique livre. Je vous conseille vraiment de lire ces livres car ils sont de très bonne qualité et que quand on est fan on ne peut pas passer à côté de ça.


Les films

Les films… Que dire sur les films à part que c’est une tuerie visuelle ? L’univers de Tolkien y est retranscrit dans les moindres détails grâce au talent de  Peter Jackson. Je pense que les films sont même mieux que les livres mais c’est juste mon avis. Je ne sais pas si vous avez déjà eu l’occasion de les regarder en Blu-ray mais je vous assure que la première fois que je l’ai regardé en Blu-ray j’ai eu un choc ; je n’avais jamais vu la contrée des Hobbits comme ça alors que, je le rappelle, le film n’a pas été tourné en HD. Pour ceux qui ont déjà vu les film je leur conseille de les revoir encore une fois mais dans l’ordre suivant le troisième, le premier, puis le deuxième. Pour moi c’est l’ordre le plus agréable, mais de nouveau ce n’est que mon avis.



Les figurines

Beaucoup de figurines ont été éditées représentant les héros du Seigneur des Anneaux. Mais je vous accorde qu’il y en a tellement que finalement on s’y perd si on n’est pas un grand connaisseur. Mais certaines figurines sont admirablement belles comme celle-ci représentant Aragorn.



Le jeu de rôle

Le jeu de rôle du Seigneur des Anneaux est un jeu qui nous propose de vivre des aventures dans l’ambiance enivrante des livres de Tolkien. Dans ce jeu, l’accent est mis principalement sur un style spécial « épopée fantastique Tolkiennesque ». Autrement dit on incarne un personnage (Elfe, Hobbit, Humain, Nain) qui est avant tout un héros se battant contre les forcesdu mal, et non des aventuriers miteux en quête de gloire et de richesse. La période de prédilection du jeu pour laquelle le plus grand nombre de scénarios est développé est la période de la découverte de l’anneau unique, pendant la guerre de l’anneau. Mais rien n’empêche de choisir une autre époque pour le cadre de son aventure. Les personnages sont définis par 6 attributs principaux ; Charisme/allure, agilité, perception, force, intelligence. Et de ces 6 attributs principaux découlent les attributs secondaires tels que la rapidité, volonté, sagesse, défense, santé… qui pourront bien évidement évoluer séparément. Ces attributs donnent également des bonus à des compétences, prises au moment du choix de la race et d’une profession. Les règles reposent sur le système CODA (comme Star Trek CODA pour les connaisseurs) C’est-à-dire que toute action nécessite de lancer deux dé à 6 faces et d’y ajouter le bonus ou le malus d’un des attributs (compétence approprié), facteur de situation et d’autres particularités. Il faut atteindre ou dépasser le seuil de difficulté (« Target Number » – TN) pour réussir l’action entreprise : plus le seuil est dépassé, meilleure est la réussite. Le Courage est un attribut qui permet de se dépasser (bonus de +3 le plus souvent), particulièrement lors d’actions héroïques. Pour le combat, le seuil (TN) est la défense de l’adversaire, voire son esquive ou parade. En cas de blessure, les dégâts sont tirés selon l’arme (2d6+3 par exemple). Ces points sont retirés de la santé, qui comprend des seuils (étourdi, blessé…), et chaque seuil entraîne un malus aux actions de plus en plus grand… jusqu’à l’inconscience voire la mort. La magie est présente partout dans ce jeu ; elle peut se montrer sous forme de rêve, de vision ou même de coups de pouce du destin (c’est le meneur de jeu qui décide qui en bénéficie). Mais on peut aussi faire partie d’un ordre de magicien ; 73 sorts sont à disposition pour les personnages mais leur apprentissage ou leur utilisation peut entrainer des points de corruption qui après un certain seuil transforment votre personnage en PNJ (personnage non-joueur). L’expérience s’acquiert avec les actions entreprises (surtout si elles ont un impact sur le déroulement du scénario) et la réussite des différentes étapes de l’intrigue, ce qui permet d’acquérir des niveaux, appelés ici « avancement ». Chaque avancement donne droit à 5 points, qui peuvent servir à augmenter compétences ou attributs, acquérir du renom ou des atouts, ou entrer dans un nouvel ordre (nouveau métier). De mon point de vue je trouve que c’est un assez bon jeu de rôle !


Les jeux vidéo

La liste des adaptations en jeux vidéo du Seigneur des Anneaux est immense mais souvent de piètre qualité. Rien que sur ordinateur on peut compter 16 titres édités, ce qui me semble énorme. Je situerai juste deux titres qui me plaisent beaucoup. Ce sont les jeux rétros du Seigneur des Anneaux : War in Middle Earth édité en 1988 et The Shadows of Mordor également édité en 1988. Je ne citerai pas les jeux qui sont sortis sur PS2, PS3, Xbox, consoles Nintendo, etc. car étant donné leur piètre qualité, je trouve qu’ils ne méritent pas plus de 2 lignes dans mon article.



La radio

Deux versions radiophoniques du Seigneur des Anneaux ont été produites par la BBC en 1956 et en 1981. La première a été réalisée sous l’œil de Tolkien, qui a échangé une correspondance volumineuse avec le producteur Terence Tiller. Une deuxième adaptation a été réalisée aux États-Unis en 1979. Voilà pourquoi peu d’entre nous la connaissent car elles ont été diffusées uniquement en Angleterre et aux États-Unis.

J’espère vous avoir donné le goût de voir ou de revoir le Seigneur des Anneaux. Merci de votre lecture !

P.S. L’édition limitée du coffret avec boitier en métal Blu-ray coute +- 40€ pour ceux qui aimeraient les revoir en meilleure qualité.


Le grain de pixel d’Eskarina :

[Loading] est une rubrique publiée tous les jeudi, et c’est la vôtre. Elle a pour but de publier sur le blog les écrits / dessins / etc. de nos lecteurs. N’hésitez pas à nous faire parvenir vos tests, strips, coup de cœur et de gueule si vous voulez les faire partager sur Kiss My Geek ! Vous pouvez nous envoyer tout ça à eskarina@kissmygeek.com et à oujiz@kissmygeek.com.

Dans Ton Cinéma 6

[DTC] Sorties de la semaine




Moi qui ai quelques difficultés avec le cinéma français et une certaine Madame Pitt, je vais faire une exception pour vous aujourd’hui…

Le bruit des glaçons (Bertrand Blier)

Une fois n’est pas coutume, un film français sort et il a l’air pas si mal que ça. Je ne dis pas que j’irai le voir (il faudrait pour ça que j’arrive à surpasser mes craintes ancestrales), néanmoins il méritait qu’on le cite dans ce DTC.

« Il », c’est le dernier film de Bertrand Blier (Les Valseuses) et qui met en scène Jean Dujardin et Albert Dupontel dans les rôles respectifs de Charles, et de son cancer.

Ce premier est un écrivain à bout de souffle, laissé sur le bord de la route par sa femme, et qui doit en plus de tout ça se confronter à la présence de son nouvel ennemi…

J’ai peu de choses à ajouter au sujet de cette comédie dramatique, hormis qu’elle fait communier deux acteurs exceptionnels et qu’on peut donc en espérer beaucoup de bon.

Je vous laisse jeter un œil à la bande annonce pour vous convaincre d’y aller… ou pas.








Site officiel


Salt (Phillip Noyce)

Bon, je déteste Angelina Jolie (qui a dit « par principe » ?) et ce film n’est sûrement pas une tuerie, mais j’aurais eu tort de ne pas en parler, puisqu’action + jolie donzelle = débranchage de cerveau assuré.

Et vous savez qu’ici on aime ça !

Alors voilà, Salt c’est le dernier blockbuster d’action  de Phillip Noyce (Bone Collector, Jeux de guerre) que tous les mecs à casquette et autres fans de l’hollywoodienne Lara vont s’arracher.

L’actrice y campe le rôle éponyme d’Evelyne Salt, brillant agent de la CIA accusée d’être une espionne à la solde de la Russie. Quelle est sa véritable personnalité ? A nous de le découvrir à travers ce Jason-Bourne-Like où elle va devoir tout faire pour échapper à la traque lancée contre elle.

Ha oui, important ! Y’a quand même Liev Schreiber dans ce film… Ça pourrait me convaincre !








Site officiel



Image et sources via Allociné

Interviews 4

[ITW] Eskarina par GamesBooster


J’ai tout juste appris ce matin que l’interview à laquelle je m’étais prêtée auprès de GamesBooster avait été diffusée vendredi sur leur blog !

GamesBooster qu’est-ce que c’est ? Une régie communautaire pour les sites et blogs qui permet, à travers un flux RSS et un système de bannières (vous voyez le gif en bas de notre menu latéral droit ?) de provoquer du « buzz » entre les différents sites et blogs pour faire circuler les bons articles ! En gros c’est un système sans pub qui permet de gagner de la visibilité en s’entraidant. Pour faire très simple, plus nous buzzons (linkons) les articles des autres blogs sur Twitter et plus vous cliquez sur cette bannière gif, plus nous avons de visibilités sur leur flux RSS. Vous avez tout suivi ?

Mais j’en reviens à l’interview ! C’est en effet justement parce que Kiss My Geek prend part à cette régie que j’ai eu la chance de pouvoir répondre à quelques questions… Cette fois-ci, je ne parle pas de mon métier comme je l’avais fait avec Web Tribulations, mais bien du blog et de mes passions de joueuse.

J’ai tout fait pour être le plus complète possible même si j’ai dû écourter quelques unes de mes réponses. Vous allez pourtant voir que j’ai été bien bavarde !

Merci à Jonathan Lefèvre qui a recueilli mes propos, aussi pleins d’effusions fussent-ils. Et si vous avez des questions supplémentaires à me poser ici, n’hésitez pas, mon interview est juste là !

Divers 1

Live in Japan by Moossye !



Aujourd’hui, c’est la journée découverte. Oui oui, en l’espace de deux heures j’ai découvert d’innombrables choses notamment la faculté extraordinaire de patiner en roller très vite pour fuir un chien dans la rue qui pensait apparemment que mes jambes étaient des nuggets.

Mais je m’égare ! Laissez-moi vous présenter Moossye, geeke dans l’âme qui est… actuellement au Japon !

Elle nous fait découvrir à travers son blog de nombreux clichés japonais ! A voir 😉

En savoir plus

Warez 7

[WAREZ] C’est l’histoire de la vie



Tout roule pour vous ? J’espère que oui. Et en fait, c’est bien là le problème. Enfin problème est un bien grand mot. Mais si ça roule, c’est bien qu’à un moment ça revient au point de départ, non ? Ben oui forcément ! La grosse boule en lévitation sur laquelle nous avons tous les pieds rivés en est plutôt un bon exemple. Mais en s’y attardant un peu, on se rend compte que le concept s’applique à énormément de choses. Et la geekulture n’y fait certainement pas exception pour notre grand bonheur.

Savez-vous ce qui m’a inspiré cette modeste réflexion ? La mode. Loin de moi l’idée d’arpenter les podiums de Milan et Paris armé de mon appareil photo à très très gros objectif ou d’infiltrer les boutiques Dior, Versace et autres Lacroix pour vous livrer une investigation des plus pointues. Juste un peu d’observation aura suffit. C’est principalement en voyant évoluer ce que j’appellerai le Face Tuning que tout est devenu limpide.





Connaissez-vous Chips ? Oui, c’est bien cette série mythique des années 80 dans laquelle deux policiers, beaux, généreux et aussi droits dans leurs bottes qu’un ministre dans un enfant thaïlandais (ça faisait longtemps tiens) font régner la loi sur la fameuse cité des anges. Affublés de leurs casques bleus et surtout de leurs lunettes de soleil, ils domptent le bitume sur leur grosse cylindrée aussi agile qu’un teckel sans pattes. Et bien figurez-vous que cette année le look Chips-like fait un come back retentissant par le biais de ces montures oculaires très 80’s qui ont fait leur réputation. On aime ou on n’aime pas, peu importe, mais force est de constater que nous avons réalisé un sacré bond dans le temps pour nous retrouver, pour quelques battements de cils, 30 ans en arrière. Quand je vous disais qu’on tourne en rond.

Et comme une évidence, ça m’a sauté aux globes oculaires. Notre petit monde de geek va bien au-delà. Une bonne partie d’entre nous se délecte de graphismes en pixel art tout droit sortis de notre défunte NES, voire de quelque machine tellement ancestrale qu’elle invite à une googlisation instructive immédiate. On savoure les reprises des morceaux parmi les plus célèbres du catalogue musical mondial, remasterisés mode R2D2, toujours grâce à nos bien-aimés contrôleurs 8 bits. Le minimalisme déboule en fanfare, nous rappelant la simplicité des plus beaux motifs 70’s des toilettes de tatie Georgette. Et même les développeurs s’y mettent avec les sympathiques Pix’n love rush, 3D dot Games et très récemment le bon mais ardu Scott Pilgrim versus the world.





Mais bien plus que le suivi d’une mode imposée par les développeurs, ici, c’est la communauté elle-même qui s’est éprise de toutes ces petites choses qui fleurent bon le liquide d’embaumement et la momification vidéoludique. Nous avons pris notre destin en main. En toute conscience nous avons fait le choix de la régression technologique. Et la partie nostalgique en moi, cette âme infantile se remémorant toutes ces heures passées sur Punch-Out, World cup ou Monkey Island, ne peut que nous en féliciter.

Cependant, en tant qu’ancêtre vénérable de la team KMG, je me retourne sur cette communauté de bouffeurs de pixels du haut de mes trop nombreuses années. Et que vois-je ? Des petits jeunes. Des Oujiz 🙂. Et suite à un rapide calcul, grâce à la plus performante des calculatrices qui soit, les doigts de ma main, j’en conclus que ces 8bitovores n’ont surement même jamais effleuré la surface râpeuse et tranchée à la serpe d’une manette de NES. Qu’ils n’ont jamais vu de leurs yeux tourner Duck Hunt, Alex Kid ou Psychofox sur un écran cathodique grésillant de moins de 50 centimètres. Qu’ils n’ont pas fait l’expérience d’un original de Tetris sur Gameboy Tank et ses musiques diaboliquement envoutantes. Malgré tout, ils s’y sont intéressés, s’y sont lancés à corps perdu et ont succombé dans l’allégresse aux charmes vieillissants de ces machines infernales mangeuses de cartouches.



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Tout comme certains gamins de 12 piges ne jurent que par Nirvana alors que le groupe a cessé d’être il y a plus de 15 ans, ou vouent un culte à Pink Floyd et autres Deep Purple. Tout comme je me vois prendre du plaisir à regarder Un singe en Hiver, Brazil ou Orange Mécanique, qui sont des films encore plus ancestraux que votre serviteur. Et bien maintenant la jeunesse s’intéresse aux prémices d’une culture vidéoludique qui a enfin acquis ses lettres de noblesse par son histoire. Comme la musique, la bande dessinée ou le cinéma, le Jeu vidéo est un art. Et tous ses détracteurs, aussi nombreux et influents soient-ils, n’y pourront rien.



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