
L’épisode 3 du playthrough sur Final Fantasy arrive enfin, avec un peu de retard dû à un problème d’encodage, mais il est là 🙂 have fun !

L’épisode 3 du playthrough sur Final Fantasy arrive enfin, avec un peu de retard dû à un problème d’encodage, mais il est là 🙂 have fun !
L’été entre dans l’Âge de glace !

L’Âge de glace : La dérive des continents (Steve Martino, Mike Thurmeier)
L’Âge de glace débarque avec un 4è opus complètement givré où vous allez pouvoir retrouver vos habituels comparses : Scrat et son gland, Manny, Diego et Sid !
Pirates et chasse au trésor, voilà ce qui vous attend cette fois, le tout sur thème de « dérive des continents », comme l’indique le sous-titre.
Côté VF vous pourrez retrouver les voix de Gérard Lanvin (Manny), Vincent Cassel (Diego), Elie Semoun (Sid) ou encore Christophe Dechavanne (Crash).
L’humour est bien évidemment toujours au rendez-vous et la qualité de l’animation plus qu’honorable ! Espérons qu’on n’ait pas trop de redites et plus de surprises que dans le 3è du nom.
Sources et images : Allociné

Comme chaque année, le Parc des Expositions de Villepinte se voit assaillir par la culture geek et celle japonisante du duo Comic Con et Japan Expo. Que réserve l’édition 2012 aux visiteurs ?
Côté Comic Con, cette quatrième édition aura pour invité d’honneur Comics Ivan REIS, dessinateur chez DC Comics, notamment sur la série Aquaman. Séances de dédicaces et conférence sont au programme.
Entre autres, seront également présents Enrico MARINI et Stephen DESBERG, pour l’exposition en avant-première des planches du prochain tome du Scorpion, mais aussi Tony DANIEL, Mahmud ASRAR, Yanick PAQUETTE et bien d’autres !
Un autre dessinateur sera l’invité d’honneur jeux vidéo (si si), en la personne de Joe MADUREIRA, connu pour son travail sur Uncanny X-men, et plus récemment pour être designer de la série Darksiders (et là je dis « miam »).
Si c’est plutôt les séries TV qui vous branchent, sachez qu’Alexandre ASTIER sera l’invité « royal » de cette Comic Con. Bien connu pour avoir été acteur, réalisateur et scénariste pour la série Kaamelott, il animera une master class et participera à une séance de dédicace le jeudi 5 juillet.
Toujours côté série TV, l’invité d’honneur sera Mark SCHWAHN, créateur de la série Les Frères Scott, accompagné d’une partie du casting.
Et, entre autres choses, vous pourrez aussi venir pour la troupe du Naheulband, tout la clique de Noob, du Visiteur du Futur, l’inénarrable Marcus, le Joueur du Grenier, ou encore l’Expo Aliens, l’Espace Jeux de Rôle, la zone jeux vidéo (avec force retro gaming et compétitions). Bref, les geeks de tout poil n’auront pas l’occasion de s’ennuyer.

Quand y en a plus, y en a encore. La partie Japan Expo de la convention (n’oubliez pas qu’avec le même ticket, vous pouvez accéder aux deux parties) accueille comme invité d’honneur le grand Naoki URASAWA, maître du seinen à qui l’on doit Monster, 20th Century Boys, Pluto ou encore Billy Bat. Vlà le CV. Dédicaces et conférences prévues le vendredi et le samedi.
L’invité d’honneur anime est cette année Haruhiko MIKIMOTO, chara designer sur la série Macross, afin de dignement fêter les 30 ans de la saga fétiche des amateurs de mecha. Rebelote, dédicaces et conférences sont au programme.
Le co-fondateur du studio Madhouse, Masao MARUYAMA sera également sur place durant tout le festival pour des dédicaces, et jeudi et vendredi pour des conférences. Trigun, Metropolis, Summer Wars, Kids on the slope, cela vous dit forcément quelque chose, non ?
Côté jeu vidéo, j’aurai tout loisir de fanboyiser avec la venue de Katsuhiro HARADA (Tekken), Hideo BABA (Tales of…) chez Namco Bandai pour la deuxième année consécutive, mais aussi Keiji INAFUNE (Megaman, Resident Evil…) et Yoshihisa KISHIMOTO (Double Dragon).
Et toujours, le stand Nintendo pour mettre les mains sur l’énorme (au premier sens du terme) 3DS XL entre diverses démos en exclu européenne, et dit-on, une distribution d’un Pokémon rare…
Et les fans de Transformice qui passent par ici (y en a quand même une blinde) seront ravis de trouver un stand entièrement dédié à ces petites souris à la jonction entre Japan Expo et Comic Con.
Les amateurs de musique nippone seront sûrement ravis (je prêche l’inculture pour le coup) d’apprendre la venue de FLOW, à qui l’on doit une palanquée de génériques d’anime, ou encore Kohei TANAKA, compositeur pour une brouette indécente d’anime de renom (One Piece, Gundam, Gate Keepers, ou encore sur les jeux SEGA Sakura Taisen).
Bien d’autres artistes et évènements seront à suivre, et je ne peux que vous conseiller de vous faire votre propre programme en allant jeter un oeil sur les sites de Japan Expo et de Comic Con.
Une partie de l’équipe de Kiss my Geek sera sur place, comptez sur nous pour vous pondre de bô reportages, au péril de nos vies durant ces journées traditionnellement éreintantes.
Ha, allez embêter Eska sur le stand Ankama, aussi :3

Le lieu était calme. Peut-être trop. Cela aurait du lui compliquer la tâche, mais ses talents le mettaient bien au-delà de ces considérations. D’un geste svelte, presque irréel, il s’accrocha au bord de la fenêtre. Toujours sans un bruit, toujours sans hésitation. Sa cible, sa future victime, se trouvait là, de l’autre côté. Le rythme de sa respiration, les quelques mouvements qu’elle faisait, rien lui échappait. L’Assassin avait bientôt atteint son but. Il allait dispenser la mort à cet homme qui en savait trop. Tant d’informations sur l’Histoire des Assassins, c’était louche. D’une vive impulsion, il bondit et traversa la fenêtre, et donna le coup de grâce au dessinaTAAAAARRRRRGH

Et effectivement, l’Assassin n’avait jamais entendu parlé de l’inuit à la capuche seyante. Il s’enfuit en escaladant la paroi du bâtiment voisin, martelant frénétiquement le bouton de saut. C’est tellement simple.

Bonjour, bonsoir à toutes et à tous ! Ne pouvant me résigner à vous abandonner à votre triste sort, j’ai décidé de prendre un jeu auquel je prendrai pleinement plaisir à jouer en votre compagnie, déjà fini maintes fois pour ma part, une fois de plus avec vous ne sera qu’amplificateur de plaisir ! Voilà le premier épisode, j’ai d’autres épisodes prêts que je vous lâcherai je pense à mesure de deux fois par semaine (50 min plus ou moins de plaisir hebdomadaire en ma compagnie, que demande le peuple ?), et même pendant l’été je pense, je me ferai une bonne grosse session histoire de ne pas vous laisser seuls 🙂
On y va donc, amusez vous bien !
J’ai aujourd’hui eu la chance de tester en avant-première la Wii U, dernière console de salon de Nintendo à paraître fin 2012 comme annoncé récemment, ainsi vais-je vous livrer mes impressions.
Tout d’abord, cette fameuse tablette, la Wii U GamePad.
Je ne pensais honnêtement pas que c’était si gros. La tablette est franchement imposante, une bonne vingtaine de centimètres dans les mains, une épaisseur toute aussi conséquente, les petites mains comme les miennes auront presque du mal à tenir la tablette, je ne vous parle alors pas de jeunes enfants pour qui l’expérience relèvera de l’impossible.
Après la taille, le poids. Lorsque vous tenez la tablette comme une manette, à deux mains, on le sent mais sans plus. Un très gros problème réside à mon avis dans l’autre mode de fonctionnement de la tablette, que vous tenez d’une main et que vous manipulez à l’aide du stylet de l’autre. J’ai senti une gène très importante en portant le GamePad après seulement une dizaine de minutes de jeu. Il faut dire que l’animal pèse un peu plus de 500g, ce qui n’est pas rien face à une utilisation prolongée. Il vous faudra alors poser le GamePad sur les genoux si vous voulez jouer sans vous fatiguer le bras.
Ensuite, les boutons ! DES BOUTONS, PARTOUT, DES BOUTONS ! C’est vraiment l’impression que ça m’a donné, même s’il n’y par exemple que deux boutons de plus que sur une manette Xbox. Le pad devant les yeux, j’ai eu l’impression de me perdre. On rajoute à ça un micro et une caméra histoire d’encombrer un peu plus !
L’écran de la tablette est vraiment sympathique, assez grand (6,2 pouces, soit 15cm de diagonale), l’image est de bonne qualité, le tactile résistif (qui réagit au contact de n’importe quelle matière, même non conductrice) est néanmoins peu réactif, frôler l’écran comme on le ferait sur un smartphone est peu efficace. Résistif, donc on oublie également le multi-points. On sent les limites de cette technologie, Nintendo ayant apparemment souhaité utiliser les stocks restants de stylet DS pour sa nouvelle console.
On a fait le tour au niveau de la manette, mon avis à présent sur la console en elle-même.
La HD promise est effectivement là. C’est beau, rien à dire en particulier.
Nintendo fera également dans l’écologie en nous offrant la possibilité de recycler nos WiiMotes et nos Nunchuks afin de les utiliser comme contrôleurs de jeu sur la Wii U. Ce n’est pas forcément un bien, la technologie de la WiiMote commençant franchement à être dépassée. En effet, la précision du capteur infrarouge est ridicule surtout dans un environnement éclairé, faisant trembler le pointeur à l’écran. Nintendo rate le coche sur ce point-là.
On a pour la première fois dans l’histoire du jeu vidéo de salon la possibilité de jouer à plus de 4 en même temps sur la même console ! On pourra en effet synchroniser 4 WiiMote et 2 Wii U GamePad simultanément. On pouvait par exemple jouer à 5 sur la démo de New Super Mario Bros U, 4 incarnant les personnages à l’écran et le 5e au GamePad, ayant le rôle de support. C’est d’ailleurs le moment d’aborder les jeux que j’ai pu essayer aujourd’hui.
De nombreux jeux étaient à notre disposition :
Nintendo Land : des mini-jeux ! On nous propose ici un « parc à thème virtuel » où chacun des mini-jeux est une « attraction ». Cinq nous étaient proposées, mettant plus ou moins en action le GamePad, toutes axées autour des licences Nintendo, à savoir Luigi’s Mansion, The Legend of Zelda, Donkey Kong, Animal Crossing ainsi que Nazo no Murasame-jō. Non, moi non plus je ne connaissais pas, c’est un titre sorti sur Famicom, c’est dire la portée de la licence en Europe. Cette dernière est uniquement une excuse pour pouvoir caler des ninja dans le titre imho.

New Super Mario Bros U : l’expérience de jeu reste inchangée par rapport au premier opus, Nintendo a juste rajouté un costume d’écureuil volant histoire de faire râler un peu plus la PETA comme lors de l’histoire du Tanooki. Je n’ai pas pu la tester, mais la feature de streaming sur la manette sera implémentée dans le jeu, nous permettant de jouer au jeu sur l’écran du GamePad sans empêcher sa famille de regarder TF1, ce qui n’est pas rien. Enfin, comme je vous le disais un peu plus haut, le joueur au Pad pourra aider ses amis à la WiiMote à progresser dans les niveaux en créant des plates-formes (quand même jusqu’à 4), retirant ainsi l’intégralité de la difficulté du jeu (déjà peu existante). Un mode de jeu plutôt inintéressant, ma foi.
Game & Wario : encore des mini-jeux ! Rien d’excitant à première vue, je ne me suis pas attardé sur cette borne.
Pikmin 3 : voilà un jeu duquel j’attendais beaucoup, ayant pris beaucoup de plaisir à jouer au deuxième opus sur GameCube. Mais me voilà déçu par une maniabilité exécrable due à la merveille technologique qu’est la WiiMote. Oui, parce que le GamePad ne sert ici qu’à être posé devant soi, servant de map. C’est dire. Le boss fight était sympathique à jouer, on a d’ailleurs pu découvrir un nouveau genre de Pikmin, les Rock Pikmin, qu’on lancera sur des objets fragiles afin de les briser. Rien de novateur dans le gameplay sinon, on fait pousser des Pikmin et on va chercher les objets disséminés sur la carte.
Wii U PanoramaView : un StreetView animé dans votre salon ça vous dit ? Le GamePad en main, vous vous servirez du capteur géomagnétique et tournerez sur vous-même pour assister à une scène de vie comme un carnaval ou la visite touristique d’une ville. Sympathique, mais pas alléchant.
Rayman Legends : Oui ! La patte graphique est la même que celle de Rayman Origins, mais affinée grâce à l’upgrade de l’UbiArt, le moteur graphique du jeu. C’est vraiment beau, tout aussi coloré, je suis vraiment amoureux pour le coup. Les niveaux à notre disposition mettait en avant davantage de dynamisme que dans Rayman Origins, ce qui n’est pas un mal puisque ce dernier avait parfois tendance à être un peu mou, étant assez dommage dans un univers cartoonesque évoquant le lol et la déconne. Le GamePad met en scène Murphy, qui accompagnera Rayman dans les niveaux sous forme d’un soutien, un peu plus poussé que dans New Super Mario Bros U puisque le joueur aura également la possibilité de taper les ennemis et de ramasser des Lums, mais aura également la lourde responsabilité de manipuler le décor afin de permettre le passage de Rayman, allant ainsi bien au delà du simple assistanat. On peut supposer ces niveaux supplémentaires, une partie du jeu sera certainement solo, donc sans la contribution de Murphy. Une de mes grosses attentes. Après, je ne le prendrai pas sur Wii U je pense 🙂

Project P-100 : annoncé lors de l’E3, ce jeu à la sauce Viewtiful Joe entrainera le joueur dans un combat collectif contre des simili-Decepticons venus envahir la Terre. Ce jeu est tellement… bizarre, tant au niveau du gameplay, vraiment complexe, que de l’univers, que je n’oserai même pas le critiquer. Je n’ai juste rien compris aux contrôles, ce qui m’a fortement étonné ayant d’habitude le mojo pour ça.
ZombiU : encore une surprise, Nintendo n’ayant pourtant pas l’habitude d’accueillir des jeux du genre. Ubisoft nous propose un survival-horror/FPS se déroulant à Londres en 2012 (hum). Mention spéciale au « kit de survie », le BOB, ou Bug-Out Bag, matérialisé par votre GamePad, où vous caserez tout et n’importe quoi, un peu comme une femme avec son sac à main.
On a donc fait le tour de ce qui était présenté, je suis d’une manière générale un peu réticent envers cette console, notamment à cause de la réutilisation de la WiiMote, outil complètement à la ramasse, mais également face à l’inconfort venant du GamePad. Si Nintendo veut vendre sa console, espérons que son catalogue de jeux la soutiendra. C’était Koroeskohr, potentiellement énervé parce qu’il avait de l’espoir en Nintendo.
Si vous avez découvert la dark fantasy à travers Game of Thrones et que vous en demandez encore, Berserk et son adaptation animation est peut-être faite pour vous. Après des mini teasers, puis de longs extraits, rendant hystériques les fans de la première heure, le DVD (en édition single pour le moment) du premier Opus d’une trilogie consacrée à l’ascension de la fameuse Troupe du Faucon : l’Âge d’Or.
Ber… quoi ?
Au commencement Berserk est un manga publié pour la première fois en 1990 et, tenez-vous bien, toujours en cours de parution. Vendue à plus de 30 millions d’exemplaires dans le monde du manga la saga guerrière imaginée par Kentaro Miura est une référence dans le monde du manga. Par encore convaincu ? En 2002 lors du Prix Tezuka, Berserk a manqué de peu le grand prix en recevant…wait for it : le Prix d’Excellence. En France, à l’occasion de la Japan Expo 2007, Berserk reçoit le Prix du Meilleur Seinen. Avec un rythme de parution exceptionnellement lent (2 tomes par an) pour un manga, des planches soignées, de nombreuses références (Tolkien, Giger…), un scénario noir et violent sans concession, une profonde exploration du genre humain, Berserk est une œuvre complète et incontournable.
L’histoire prend place dans le Midland, un royaume embourbé dans des guerres de territoires. Guts est un mercenaire qui, malgré son jeune âge, se révèle un combattant enragé et un épéiste redoutable. Après une dure bataille, Guts est pris à partie par des mercenaires. En quelques coups d’épées Guts prend le dessus, c’est le chef des mercenaires qui met fin à l’escarmouche. Le chef se prénomme Griffith et est à la tête de la Troupe du Faucon. Bien malgré lui Guts devient membre à part entière de la troupe et découvre en Griffith un homme charismatique, ambitieux, qui porte autour du coup un curieux objet : le beherit, l’œuf du roi conquérant…
Berserk se réanime
En 1997 NTV produit 25 épisodes de 24 minutes reprenant les volumes 4 à 13 du manga. Une grosse déception pour les fans car la série s’achève sur un cliffhanger de déglingo et ne connaîtra aucune suite. Il faudra attendre 2010-2011 pour voir arriver des mini-trailers annonçant le retour de Berserk en animé, puis des extraits de 10 minutes pour nous faire baver par litres entiers. C’est le studio 4°C (Animatrix, Memories, Amer Beton) qui hérite de la lourde responsabilité de produire cette adaptation complexe. C’est Toshiyuki Kubooka (Gunbuster, Nadia et le Secret de l’Eau Bleue, Giant Robo) qui est chargé de dessiner et donner vie à l’univers de Kentaro Miura.
Alors qu’en est-il de ce premier épisode ? Le film s’ouvre sur une scène de siège spectaculaire, personnages nombreux, le cell shading donnent de la fluidité à l’animation (malgré quelques scène un peu figée. Passer du noir et blanc des pages du manga à la couleur est une belle surprise, le Midland est magnifique et à aucun moment on ne surprend à dire : « tiens j’aurais mis du rouge à la place du beige ». Le passage du papier à notre écran est plutôt réussi. S’il faut chipoter, on pourrait dire que les personnages sont un peu trop propres, lisses. On aurait aimé des vêtements plus texturés, des armures, des peaux plus éprouvées par le combat. Espérons que les prochains épisodes sauront mieux retranscrire la rugosité et la noirceur du manga.
Côté histoire la trame est globalement respectée, les fans remarqueront évidemment les amputations au scénario originel. Il faut croire que le staff a voulu faire de chapitre une introduction plus qu’un segment clef. Mais il faut reconnaître que chaque combat est une promesse tenue et que la musique qui les accompagne, signée Shiro Sagisu, augmente l’intensité de chaque coup d’épée. A nous de nous affranchir de nos précédentes lectures et de cueillir l’instant de cet heureux évènement. Guts reste un badass comme on les aime et Griffith, derrière une voix douce et prévenante (, est un personnage qui en déroutera plus d’un.
Distribué par Dybex. Rendez-vous sur le site officiel. Toutes les images de cet article sont sous copyright : (C) KENTAROU MIURA (STUDIO GAGA) • HAKUSENSHA / BERSERK FILM PARTNERS
Ce mois-ci, Spider-man affronte l’Extrémiste et sa première rencontre avec Captain America nous est conté dans le dernier numéro de la revue.
Bonjour à tous ! Aujourd’hui, je vous présente un jeu indépendant, Igneous, dans une petite vidéo couvrant au final l’intégralité du jeu, grâce à un peu de chance et de TRUE SKILL.
Igneous est un jeu indépendant développé par des étudiants de DigiPen, téléchargeable ici : http://www.igneousgame.com/IgneousDownload.html
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