Okeeeey ! Je me suis enfin posé pour tirer au sort les gagnants via le super site Random et les gagnants devront m’envoyer leur adresse postale par mail : oujiz at kissmygeek dot com !
Alors, les gagnants sont :
Negikun
Guidou
Vinceld
Baldur51
Kita59
Bien joué les mecs ! J’attends vos adresses postales et j’espère que vous aimerez bien le jeu ! Allez pour le prochain concours, on vous fait gagner un casque Turtlebeach !
Hier était une énorme journée pour mon petit cœur de gameuse. Moi, la fan de Balgur’s Gate dont les 2 prochains gros jeux attendus sont Guild Wars 2 et Diablo III, j’ai eu droit à l’annonce d’un remake, la date de préco de Guild Wars 2 et la date de sortie de Diablo III !
A l’occasion de cette excellente nouvelle, j’aimerais revenir avec vous sur le contenu du Coffret Collector qu’il est possible de précommander dès aujourd’hui pour le prix conseillé de 89,99€ :
Le jeu,
Une clé USB « Pierre d’âme » de 4 Go et son support crâne à l’effigie de Diablo,
Diablo II et son add-on Lord of Destruction (intégrés dans la clé USB),
2 disques making-of blu-ray et DVD « L’Envers du Décor »,
Un artbook de 208 pages,
L’OST du jeu,
Des items in-game pour Diablo III et World of Warcraft, ainsi qu’un portrait Battle.net exclusif pour Stacraft II.
Un prix plutôt raisonnable pour un contenu assez riche, on n’en attendait pas moins !
Cette semaine, on va en apprendre plus sur Grom’, notre zombie bien-aimé. Il va nous présenter son second accessoire le plus geek, le premier étant la chaise à tête de Chell incorporée (voir stirps n° 11 et 19). Enfin, il a sûrement d’autres trucs en réserve. Je ne sais pas. Il est presque indépendant de ma volonté. Je… Je ne le contrôle plus.
Ca y est, la date de précommande pour Guild Wars 2 a enfin été annoncée, et c’est pour le 10 avril !
NCSoft en a profité pour nous dévoiler ses 3 offres de coffret… Et il y a du lourd !
Peu importe celui que vous vous procurez, en plus du jeu vous aurez droit à un accès à tous les week-end de beta de Guild Wars 2 (a priori 1 par mois), à 3 jours d’accès anticipé ainsi qu’à l’anneau du héros.
L‘Édition Numérique, la moins onéreuse, ne comprendra rien de plus que ça. Mais c’est déjà pas mal !
L’Édition Deluxe offrira également :
la compétence d’élite « Invoquer un Loup Brumefeu »,
un Rytlock Miniature
un Golem Banquier
un calice de gloire
et un tome d’influence
Pas de prix annoncé pour ces deux premières versions.
La plus complète et coûteuse des 3 reste bien évidemment l’Édition Collector qui sera vendue à un prix conseillé de 149,99€ et qui proposera, en plus de tout ce qui a été annoncé précédemment :
une figurine de Rytlock (25 cm)
un artbook de 112 pages
un portfolio de 5 lithographies
un cadre pour y insérer la lithographie de votre choix
l’OST du jeu
Vous pouvez retrouver l’intégralité de l’offre ici, et une FAQ a été mise à disposition pour répondre à toutes vos questions. On peut dire qu’NCSoft a tout prévu !
Malgré le prix un peu élevé (mais qui semble devenir la norme des coffrets avec figurine), le contenu très complet du coffre est satisfaisant, d’autant que la figurine a l’air plutôt jolie ! On regrettera néanmoins l’absence d’originalité, une fois de plus, pour une édition collector aussi attendue… Rien qui ne sorte vraiment de l’ordinaire. Une peluche, des stickers, des patchs, des straps, n’importe quoi d’autre sortant un peu du lot aurait été le bienvenu ! On notera néanmoins la présence judicieuse du cadre qui va enfin donner une vraie utilité aux lithographies fournies dans le package !
En ce qui me concerne, j’attends le jeu depuis tellement longtemps que je ne romprai pas avec ma promesse de me fournir ce coffret…
Pour ceux qui avaient l’impression de n’avoir jamais vu Daniel Radcliffe dans autre chose qu’Harry Potter, c’est le moment ou jamais !
Avec ce film d’horreur on reste pourtant dans le typiquement british, mais peu importe.
Le réalisateur d’Eden Lake et de The Descent 2 a tout misé sur Daniel pour cette histoire de maison hantée qui nous transporte un siècle en arrière.
Radcliffe y incarne un jeune notaire londonien forcé de se rendre à Crythin Gifford, un trou perdu, pour régler la succession d’une cliente décédée. C’est dans le gigantesque manoir de cette dernière qu’il découvre d’étranges signes renvoyant à de sombres secrets. Ouais, dit comme ça, ça fait très cliché. Et ça l’est ! Ajoutez à la sauce quelques villageois effrayés qui ne disent pas tout ce qu’ils savent et une mystérieuse femme en noir qui hante les lieux pour donner tout ce qu’il faut de cauchemardesque à la recette…
Ne vous attendez pas à voir là un chef d’oeuvre de l’épouvante, néanmoins le tout semble digne d’intérêt. Les fans des « Autres » s’y retrouveront, à n’en pas douter.
Alors qu’il est prévu pour le 3 avril prochain, on ne savait pas vraiment à quoi s’attendre de Kinect Star Wars. Et voilà qu’une vidéo fait surface et ne nous rassure absolument pas.
Au programme, course de pods au ralenti, combat de sabre laser mou du genou avec des graphismes assez pauvres. Mais ce n’est pas le pire, non, à partir de 50 secondes, vous pourrez admirer… danse avec les Stormtroopers sur du YMCA. Misère.
Kinect Star Wars sortira le 3 avril prochain sur Xbox 360, vous vous laisserez tenter ?
Oui je sais ce que certains d’entre vous ont pensé. « Yes une review sur Scarlett Johansson ! », bande de coquins. Mais non, je lui ai promis de ne pas divulguer certains pans de notre vie commune, je vais donc aborder un tout autre sujet.
Un sujet d’actualité d’ailleurs en ces temps de : crise / lutte armée / H@cked by Anonymous / période électorale / ras le bol général / etc etc* (*vous pouvez rayer les mentions qui vous paraissent inutiles).
Ainsi, le 15 février débarquait dans nos vertes contrées le dernier bébé du tandem Brian M. Bendis & Alex Maleev : Scarlet (premier tome regroupant les épisodes 1-5 US) édité par Panini Comics.
Si vous êtes un habitué de ce duo, alors vous savez qu’ils font du travail de qualité (je ne citerai que leur run sur Daredevil pour Marvel en exemple). Ici, nous sommes avec un comic du même niveau.
Du Maleev dans toute sa splendeur
L’histoire commence par un meurtre. Mais pas n’importe lequel, celui d’un inspecteur de police. En une page, le ton est donné : ce sera violent. Le tueur est en fait une tueuse : Scarlet, notre « héroïne ».
Bien vite, Bendis nous apprend que Scarlet est Mademoiselle Tout le monde. Jeunesse plutôt heureuse, famille et éducation tout ce qu’il y a de plus normal.
Mais comment passer du statut de simple jeune fille à tueuse de flics ?
En étant confrontée à la pire des injustices.
Scarlet réalise bien vite que la société dans laquelle nous vivons est corrompue jusqu’à la moelle, et qu’il n’est plus temps de se demander pourquoi. Celle-ci ne pourra être changée que d’une seule manière : en prenant les armes.
Je ne vais pas m’attarder sur la partie graphique de ce livre, Maleev nous fait encore de l’excellent travail et le côté Thriller bien sombre se ressent amplement.
Ce qui fait la force et l’intérêt de Scarlet, c’est la manière dont Bendis nous présente les choses. On pourrait croire qu’il est difficile de se ranger du côté d’une femme qui tue des flics et pourtant… Scarlet nous prend constamment à parti, nous obligeant à assister à ce qu’il se passe, nous amenant à réfléchir sur ce que l’on voit ou ne voit pas. Et dès les premières pages, l’on se retrouve à apprécier cette tueuse, et même à comprendre ses actes, voire à les encourager. Elle devient un symbole d’espoir.
Bendis arrive à nous amener volontairement là où il le veut bien : lutte armée, dernière des solutions?
C’est bien simple, je suis tombé amoureux de cette série. J’attends désormais la suite avec impatience. Ok, je suis fan de Bendis donc ça aide, mais Scarlet est violent, politique, intelligent. En fait pour résumer, c’est excellent et c’est sans aucun doute pour moi LA série à lire en ce moment !
« Pourquoi », c’est le nuage. La diversion. Le bonneteau. « Pourquoi » , c’est de la merde. « Pourquoi » c’est pour vous sentir mieux rien que parce que vous vous posez la question.
La vraie question c’est… Qu’est ce que je vais y faire ? – Scarlet
Feuille, pierre, ciseaux ? Euh, non pas vraiment !
Ah, les pays nordiques et leur melting-pot de créativité, de meubles design à prix pas cher, de leur nature immaculée, de leur gastronomie particulière, des randonnées en snow-boots… et de leurs studios et école d’animation réputés !
Voici une des dernières perles de la section 2012 des bacheliers du centre d’animation « The Animation Workshop ». Une institution made in Danemark, qui propose des « cursus et ateliers orientés aussi bien pour le monde de l’éducation, la culture, mais aussi la communication et le monde des affaires ».
Enfin bon bref: encore une mine de futurs talentueux animateurs. Et LOAD en est bien la preuve !
Réalisé par 7 jeunes créateurs, ce court-métrage de 5mns et quelques, raconte le mini voyage initiatique d’un homme croulant sous les responsabilités de son boulot…
C’est poétique, un brin philosophique, et cool !
Je vous laisse juger ! 😉
LOAD (5:36)
Réalisation: David R. Christensen, Lasse H.N. Smith, Blake Overgaard, Jeppe Døcker, Kristoffer W. Mikkelsen, Malte Burup Jelshøj, Mark Kjærgaard
Vague d’espoir et de zombies dans le nouveau tome de Walking Dead, est-ce que Robert Kirkman continue à tourner en rond ? Réponse dans ces lignes.
Le précédent Walking Dead avait vu la paisible communauté où Rick et ses compagnons s’étaient installés attaquée par une grosse horde de zombies. Dans la panique générale, Carl s’était pris une balle perdue, le laissant dans un état grave. Dans un état second, Rick, rejoint par les autres, s’était fait les rôdeurs un par un. La communauté était à nouveau en sécurité, mais brisée. L’heure est alors à la reconstruction. Rick qui avait été investi du rôle de chef peu de temps avant prend les choses en mains et décide de prendre en compte les erreurs du passé pour permettre aux autres de vivre paisiblement, et ce durablement. L’espoir renaît peu à peu en lui. Pourtant, certains ne voient pas Rick et ses potes d’un très bon oeil…
Les survivants enterrent leurs morts une nouvelle fois.
Depuis quelques temps, on avait l’impression que Kirkman avait épuisé toutes ses cartouches, qu’il tournait méchamment en rond et nous balançait des idées déjà utilisées. Pire, les relations humaines qui font le plus grand intérêt du comics semblaient presque banales. Ce quinzième tome de Walking Dead marque un passage, un bouleversement dans la psychologie de Rick et donc sur la tonalité de la série. Celui-ci, qui avait l’habitude de protéger son propre intérêt et celui de la famille, se rend enfin compte qu’il n’est rien sans les autres, que l’entraide est la clé de leur survie. L’espoir renaît alors en lui et il commence même à croire que la communauté arrêtera de survivre pour tout simplement vivre. Bien sûr, un grand chemin est à faire pour en arriver là mais pour la première fois, il est à l’écoute des idées des autres pour améliorer le quotidien et ne prend plus seul les décisions. Un cap a été franchi. En ce sens, ce nouveau tome est très intéressant mais n’est qu’un prélude à la nouvelle vie qui les attend.
Pourtant, s’il y a bien un sujet sur lequel Rick perd espoir, c’est son fils. Lui qui a tant enduré, qui a perdu sa mère, sa soeur, qui a pris deux balles, c’est beaucoup trop pour un enfant de son âge et commence à le marquer profondément. Pire encore, il se rend compte que Carl prend exemple sur lui, qu’il ne veut pas paraître faible auprès de son père. C’est d’autant plus marquant et choquant lorsqu’il avoue qu’il n’est pas attristé par la mort de sa mère, qu’il ne ressent plus rien. C’est peut être bien la première fois que Kirkman s’attarde vraiment sur la psychologie de Carl, autrefois c’était à travers les yeux de son père qui se questionnait sur le devenir d’un enfant dans ce monde. On peut dire qu’il a maintenant sa réponse.
... et brûlent les morts-vivants.
Concernant les autres personnages, ils sont quelque peu mis à l’écart, on suit un peu Abraham et sa nouvelle copine, Maggie qui ne veut plus que Glenn sorte ou encore Andreas qui se rapproche beaucoup de Rick, mais pas grand chose à se mettre sous la dent, Kirkman s’étant vraiment porté sur Rick et Carl ainsi que sur le devenir de la communauté toute entière.
En bref, ce tome de Walking Dead est un tome de transition qui voit un bouleversement dans la psychologie de Rick, alors que Carl lui est profondément marqué par les évènements. Kirkman nous y dépeint un avenir qui peut s’annoncer calme et sûr, mais bon, le pire peut toujours arriver dans Walking Dead !
Pokémon Version Noire 2 et Pokémon Version Blanche 2. On s’attendait tous à une version Grise, hé ben non. En tant que pokéfag (avec carte de membre et tout), ma curiosité est bien plus titillée avec ces « vraies suites » qu’avec une version bis qui apporterait au mieux une simili-Tour des Dresseurs, deux formes pour un légendaire et trois dialogues en plus.
Quelque part, ça me rappelle les débuts de Or/Argent, qui au début devaient s’appeler Pokémon 2. J’aimerais une vraie continuité scanéristique, ou au moins temporelle, comme avaient pu le faire les deux premières générations. Une nouvelle histoire, un terrain de jeu comprenant Unys PLUS une autre terre ? Haaaa…
… Bien, normalement, j’ai perdu les non-pokéaddicts, vous pouvez donc goûter au stirp de la semaine en comprenant les références.
.. ha oui, faut aussi être un peu calé en Dragon Ball Z.