Kapow! Lectures

[Kapow!] Fear Itself : Chapitre 4


Ce mois-ci dans Fear Itself de Matt Fraction, alors que Captain America est mort, baston à gogo et grosse révélation pour Thor qui est revenu sur Terre.

Captain America est mort, une nouvelle fois, Bucky Barnes fut tué violemment des mains de Sin. Steve Rogers est bien décidé à le venger en remettant le costume. Thor, lui, est autorisé par Odin à revenir sur Terre pour la défendre, à ses dépens. C’est dans ce climat véritablement apocalyptique que nous retrouvons nos plus grands héros. Pas le temps d’être en deuil, les funérailles attendront, il y a un monde à protéger. Les trois héros les plus emblématiques, Iron Man, Steve Rogers et Thor vont combattre. Et mes amis, ça va chauffer.



Pas contents.


Choc et effroi le mois dernier lorsque j’ai appris que Bucky était mort, lui qui portait tellement bien le costume de Captain America. Faut dire que j’ai jamais vraiment trop aimé Steve Rogers, Bucky lui était beaucoup moins manichéen, beaucoup moins patriotique, beaucoup moins années 40 quoi. Bref, de toute manière, avec Marvel les héros ne restent jamais morts longtemps. En tout cas c’est l’occasion de revoir Rogers dans le costume, en mode supra vénère. Un nouveau costume d’ailleurs, qui ressemble beaucoup à celui vu dans le film Captain America. Ca donne pas mal.  Ce qu’on peut dire de ce quatrième chapitre, c’est que ça bastonne beaucoup, et que ça parle très peu. A part pour Thor, qui va se prendre une grosse révélation en pleine face de la part du Serpent. Iron Man lui, va faire appel à Odin en sacrifiant sa sobriété (cf Marvel Icons). Les trois héros sont donc affectés chacun à leur manière et il sera intéressant de suivre leur réaction.

La suite de la parution laisse place à de brèves biographies du Fléau, Titania et la Gargouille Grises absolument inintéressantes.

Un bon épisode de Fear Itself, dédié à la baston. C’est bien mis en scène, chacun des héros est touché et il y a une bonne révélation. Vivement la suite.

Concours Évènements Jeux Vidéo 81

[Concours] Gagnez Kingdoms of Amalur : Reckoning sur Xbox 360 !



Oh yeah  ! Nouveau concours sur KMG, par la magie du random tu vas peut-être gagner une des cinq versions de Reckoning sur Xbox 360 ! Le principe est simple, poste un commentaire et je tirerai au sort le 10 mars prochain !

Allez, je veux un max de participations pour le coup. Ce jeu en vaut vraiment le coup, je suis entrain d’y jouer et la DA est trèèèès inspirée de WoW, ça risque de plaire à pas mal de personnes !





Jeux Vidéo 6

[Aperçu] Double Fine Adventure


« – Bonjour, je voudrais savoir ce que vous avez en bon Point N’ Click récent s’il vous plait.

– Bien sur, tenez voici le nouveau DLC de Call of Duty à 70€.

-Euh, mais ce n’est pas un Point N’ Click ça.

– Un Point N’ quoi ? »


Voila à peu près comment situer le Point N’ Click (en français dans le texte : Pointer et Cliquer) dans le monde du jeu vidéo actuel.

Si le terme Point N’ Click ne vous parle pas, alors les noms de Maniac Mansion, Day of The Tentacle, Monkey Island et autre Grim Fandango ne vous diront absolument rien. Dans ce cas, vous avez soit très mauvais goût ou vous êtes définitivement trop jeune (ou je suis trop vieux mais je préfère l’autre solution).

Et pourtant, ces jeux ont tout simplement fait parti des jeux cultes des années 90 (voir milieu – fin 80 pour les plus vieux). Certaines sociétés se sont même quasiment spécialisées la dedans, c’est le cas de Sierra mais surtout de Lucasfilm Games (devenu depuis LucasArts).



Nostalgie, quand tu nous tiens !


Bon, je ne vais pas vous faire un cours sur le Point N’ Click, Google le fera mieux que moi. Là où je veux en venir, c’est qu’avec l’apparition des consoles Next Gen, ce style a commencé à disparaître, celui-ci n’étant plus (selon certains pseudos experts) « rentable ». Du coup, exit les fabuleux jeux made in Ron Gilbert / Tim Schafer / Dave Grossman.


Certes, certains excellents jeux sont sortis dernièrement, je pense entre autres aux Runaway et à So Blonde, mais ils n’ont pas le panache et le côté délirant qu’avaient les combats d’insultes et les chiottes à remonter le temps qu’on pouvait trouver chez LucasArts.

Et il y a quelques jours, Tim Schafer apparait sur une vidéo, expliquant que n’arrivant pas à faire accepter son projet par un éditeur, le plus simple était de faire financer le jeu directement par les joueurs. Le financement se fera par le biais de Kickstarter et le jeu sera développé bien évidemment par Double Fine (à qui l’on doit Psychonauts, Brütal Legend et Stacking entre autres).



You can't kill the Metal


Financement possible à partir de 1$, sachant qu’a partir de 15$, vous avez accès à la bêta et au jeu sur steam à sa sortie ainsi qu’à un certain nombre de goodies pour les plus généreux donateurs.

Plus d’informations dans cette vidéo :

http://youtu.be/-pSteVDn78s

Et la page concernant le projet se trouve ici.


Une nouvelle fois, les joueurs prouvent qu’il y a un immense fossé entre ce que disent les experts (le Point N’ Click est mort) et la réalité. En à peine 8 heures, la limite de 400 000$ que nécessitait le projet est atteinte. Au moment où j’écris ces lignes, le projet atteint même quasiment les 2 millions de dollars !? (avec 57 753 personnes ayant contribué).

Tim Schafer réagit il y quelques jours dans une nouvelle vidéo, indiquant que l’argent récolté permettra donc de sous-titrer l’intégralité du jeu en différentes langues (pour un doublage en Anglais).



Non, il ne mime pas ce que vous croyez


Ce projet est à mon sens l’un des plus intéressants et originaux de ce début d’année et je n’hésiterai donc pas à vous tenir au courant des nouveautés à ce sujet.

J’invite également les gens qui ne l’ont pas encore fait à se rendre sur Kickstarter.com pour contribuer au développement d’un jeu qui je le sens (et je l’espère ^^) sera exceptionnel.


Non ! Le Point N’ Click n’est pas mort ! Et comme le disait Guybrush : « Pour être marin, il faut savoir se mouiller ! »


Kiss My Stirp 1

Kiss my Stirp #31 : Heartshot

Kiss my Stirp #31 : Heartshot

Kiss my Stirp #31 : Heartshot
Hé ouais, vous n’y couperez pas, c’est un stirp basé sur la St-Valentin qui s’amène. Même si ça fait deux jours que c’est terminé (de façon plus ou moins heureuse, selon les personnes). J’avais déjà prévenu y a un an.
Mais là, on va apprendre comment être romantique dans un FPS guerrier générique (pléonasme).

Kiss my Stirp #31 : Heartshot
Je parie que c’est une campeuse.

Kiss my Stirp #31 : Heartshot - Épilogue
Épilogue
Jeux Vidéo 14

Les 50 meilleures fins de jeux vidéo


Ce sont pas moins de 13 000 joueurs qui ont voté pour leurs meilleures fins de jeux vidéo pour le Guinness Book of World Records 2012 Gamer Edition, et les résultats sont pour le moins… surprenant.

Jugez par vous-même :

50. Resident Evil 4
49. Star Wars: Knights of the old Republic
48. Ratchet & Clank: a Crack in Time
47. Crysis 2
46. The Elder Scrolls IV: Oblivion
45. Call of Duty: World at War
44. Star Wars: The Force Unleashed II
43. Half-Life 2: Episode Tow
42. Super Metroid
41. The Legend of Zelda: Twilight Princess
40. New Super Mario Bros. Wii
39. inFamous
38. Fallout 3
37. Grand Theft Auto: San Andreas
36. Gears of War 2
35. Bioshock
34. Starcraft II: Wings of Liberty
33. Sonic Adventures 2
32. Metal Gear Solid 3: Snake Eater
31. Kingdom Hearts II
30. Mass Effect
29. Super Mario Galaxy
28. Sonic the Hedgehog
27. Metal Gear Solid
26. Assassin’s Creed II
25. Assassin’s Creed
24. Shadow of the Colossus
23. Call of Duty 4: Modern Warfare
22. Kingdom Hearts
21. Uncharted 2: Among Thieves
20. Super Mario Galaxy 2
19. Mass Effect 2
18. Grand Theft Auto IV
17. Portal 2
16. Assassins Creed: Brotherhood
15. Prince of Persia: The Sands of Time
14. Halo: Combat Evolved
13. Halo 3
12. Pokémon Black and White
11. Super Mario Bros
10. Heavy Rain
9. Final Fantasy VII
8. Metal Gear Solid 4
7. Portal
6. Red Dead Redemption
5. God of War
4. Call of Duty: Modern Warfare 2
3. The Legend of Zelda: Ocarina of Time
2. Halo: Reach
1. Call of Duty: Black Ops

Voilà, Call of Duty : Black Ops a la meilleure fin… Voilà voilà… Bon, okay, pour un Call of, cette fin avait le mérite de changer un peu. M’enfin tout de même, quand on voit que Metal Gear Solid 3, Mass Effect 2 ou même Assassin’s Creed 2 sont à la ramasse, on est quand même en droit de se poser des questions là. Est-ce que les joueurs n’ont pas juste voté pour leur jeu préféré ? Vu la popularité des CoD (il y en a tout de même 4 dans le classement…), cela paraîtrait hélas fort logique.

Bon, il y a quand même des titres qui ont leur place ici, comme Red Dead Redemption et sa fin à couper le siffler, FF VII parce que quand même ou encore Pokémon Noir et Blanc. Attendez… Pokémon ? Mais il n’y a même pas de fin à proprement parler dans ces jeux ! Bref, ce sondage sent le roquefort mais met en exergue l’état d’esprit de la communauté des gamers de nos jours. Triste constat.

Pour ma part, les fins qui m’ont vraiment marqué sont celles de Red Dead Redemption, Mass Effect 2 et sa mission suicide, Assassin’s Creed 2, Metal Gear Solid 2 et L.A Noire (mais je dois en oublier un paquet).

Et vous, quelle est votre fin de jeu vidéo préférée ?

Cinéma Divers

[Trailer] 009 RE:CYBORG

 

Février: son lot de neige, de températures sibériennes, ses moufles, ses marrons chauds ET une dose de cyborgs version anime pour commencer l’année ! ^^

Kenji Kamiyama est de cette race d’artiste qui transforme en or tout ce qu’il touche…
Comment ça ?! Son nom ne vous dit rien, amis lecteurs ? Et si je vous dis: Blood : The Last Vampire, Jin-Roh, ou bien encore Ghost in the Shell : Stand Alone Complex ?!! Ah, ça va mieux 😉
Car, oui, le génie de la réalisation derrière tous ces succès n’est autre que Kamiyama-san.

 

Et aujourd’hui, le voilà qui s’attaque à un monument de la culture manga nippone: l’adaptation version ciné/3D de la série sci-fi Cyborg 009 de Shotaro Ishinomori. Mais avant de me lancer dans un cours magistral d’histoire manga-esque, voilà le synopsis en avant-goût :

Le futur proche, 9 personnes, de nationalité et milieux différents sont kidnappées par l’organisation Black Ghost. Son but: procéder à des expérimentations génétiques sur ces sujets, afin de créer des surhommes, des cyborgs dotés de pouvoirs inégalés.

Destinés à devenir des armes ultimes au service de Black Ghost et de ses riches clients, les cyborgs se soulèvent en apprenant le déclenchement programmé d’un nouveau conflit mondial.


Ils décident de combattre ensemble l’organisation et ses ramifications. Mais en faisant le voeu de protéger l’humanité grâce aux pouvoirs qui leurs ont été donnés, les 9 n’auront de cesse de chercher dans ce combat leur rédemption, et la part de vie normale qui leur a été volée.

 

 

un duo de cyborgs: Joe Shimamura, le leader, et la jolie Francoise Arnoul (et oui une frenchie !)

 

Ishinomori, un homme de science-fiction… et de collants !


Même si on est familiers du monde des mangas et de l’anime, en France, le nom de Shotaro Ishinomori est loin d’être aussi connu qu’un Hayao Miyazaki, par exemple.
 Et pourtant, au Japon, Ishonomori est une véritable légende: il a été rien de moins que l’élève d’Ozamu Tezuka, le papa d’Astro Boy, et cela se ressentait dans son travail.



Très tôt attiré par le mythe du super-héros et la science-fiction, il se fera un nom grâce à l’essor des séries de tokusatsu super sentai (oui: les héros de couleur en collants & casques) produites par la Toei à la tv japonaise, et c’est à lui qu’on devra la création des Kamen Rider (des héros en collant ET en armure aux formes d’insectes) !


Si en France les Kamen Rider sont très peu connus (à part pour les vrais fans de tokusatsu, et il y en a ! ^^) au Japon, il s’agit d’une véritable institution ! Et ces séries tv rassemblent toute la famille devant le poste: Papa pour la testostérone, les enfants pour les combats contre les monstres mais aussi pour les valeurs de justice, force, honneur et solidarité, et les jeunes filles et les mères de famille pour les beaux gosses qui se cachent derrière les tenues de super-héros du quotidien ! ^^’

Pour les lecteurs fans de super sentai, mais aussi pour les geeks les plus âgés d’entre nous, Ishinomori est le nom derrière une série culte des années 80, diffusée en France: San Ku Kaï ! 😉

 

Les 9 cyborgs originaux d'Ishinomori (on reconnait le style de son mentor Tezuka)

 

L’adaptation de Cyborg 009… façon Kamiyama

Depuis l’annonce du lancement du projet par Kenji Kamiyama et Production IG en octobre 2011, ce que l’on sait pour l’instant: Kamiyama s’est chargé personnellement du travail d’écriture du script pour l’adaptation en CG/3D stéréoscopique sur grand écran.
Il s’est également entouré des meilleurs pour constituer son équipe: Gato Aso (au chara-design) et Yusuke Takeda (background art) (avec qui il avait notamment travaillé sur Moribito et GITS: SAC), mais également Kenji Kawaii pour la bande originale !
Le tout produit par IG, Tomohiko Ishii (The Sky Crawlers, Eden of the East) en collaboration avec Joy-T et aussi Sanzigen, un autre studio japonais spécialisé CG/3D, star montante dans le milieu.

Avec ça, on attend forcément du lourd, du très lourd même niveau qualité du scénar et de l’animation, et le tout est prévu pour l’automne 2012 au Japon.


Espérons une fois de plus, que nous, pauvres occidentaux, à défaut d’avoir le film projeté dans une salle proche de chez nous, auront droit à une VF, ou au pire une bonne version collector en import…



D’ici là, amis fans de cyborgs, je vous laisse apprécier le trailer, tout fraîchement sorti sur la toile 🙂

 

Trailer officiel 009 RE CYBORG

 

(Sources)
– la homepage officielle de Kamiyama & de 009 Re Cyborg (jp)
– la page facebook (jp)
– la bio wikipédia sur Ishinomori

Jeux Vidéo 3

[Aperçu] Mass Effect 3


La démo du tant attendu Mass Effect 3 ne sort que demain, mais dans sa grande bonté, EA a distribué des codes qui nous ont permis de poser nos mains sur la bête. Notre avis.

La démo se compose de deux missions n’ayant aucun rapport entre elles puisqu’on nous propose l’introduction et une mission qui intervient bien plus tard dans le jeu. L’on débute la démo avec les habituels choix qui modifieront l’histoire, le choix de la classe ainsi que l’apparence de Shepard. Mais la grande nouveauté c’est qu’on vous propose trois modes de jeu : Action, RPG ou histoire. Le premier mode aura les dialogues qui se feront automatiquement, le mode RPG reprend les bases habituels des Mass Effect et le mode histoire aura la difficulté des scènes d’action rabaissées. Voilà qui devrait contenter tout le monde.

Pour éviter d’éventuels spoilers, je vais éviter de vous parler de l’histoire et décortiquer cette démo en plusieurs segments, mais sachez qu’elle s’annonce extrêmement prenante.


Les graphismes

BioWare nous a habitué a des graphismes aux petits oignons, que ce soit dans la variété des environnements explorés que dans le faciès des protagonistes. Là, je ne sais trop quoi penser. L’introduction au jeu est plus que déroutante :  bourrée d’aliasing, des environnement ternes, les personnages secondaires bâcles et même Shepard perd en texture. Pas terrible pour une entrée en scène explosive. Pourtant tout change du tout au tout lors de la deuxième mission proposée où les graphismes sont plus que réussis. Les effets de lumière sont éblouissants de beautés, les environnements riches et les personnages que l’on côtoie d’une finesse jamais vu dans la saga. Autant dire que ce changement brutal est plus que déroutant.



Oui, c'est beau.


La prise en main

Les habitués ne seront pas déroutés par ce Mass Effect 3 puisqu’il reprend les base des deux opus précédents tout en intégrant pas mal de nouveauté. On reprochait à Shepard d’être trop mou, c’est maintenant de l’histoire ancienne puisqu’il peut dorénavant faire des roulades à la Gears of War et que ça vitesse de déplacement a été accrue. La prise en main est quelque fois périlleuse aux premiers abords puisqu’on se retrouve à faire des roulades alors qu’on voulait se mettre à couvert, mais une fois ce nouveau mécanisme bien acquis, c’est du pur bonheur. Une autre nouveauté est liée aux attaques au corps à corps puisque Shepard peut maintenant utiliser son module pour exécuter ses ennemis en un coup. Très pratique pour les attaques à revers. Shepard peut dorénavant sauter sur des courtes distances (des passages malheureusement scriptés) ou se soigner à l’aide d’omni-gel (principe qui revient après avoir été évincé du 2). En clair, tous ces ajouts nous donnent droit à des gunfights très nerveux, proche d’un Gears, qui permettent différentes approches.



Les attaques au corps à corps à l'aide du module, grande nouveauté


Et le côté RPG dans tout ça ?

Bien entendu, on n’aime pas Mass Effect que pour l’action, mais aussi pour la richesse de son univers et sa liberté de choix. Le deuxième opus avait quelques peu déçu sur ce point en facilitant un peu trop les montées de niveau et la répartition des points de compétence (qui était d’ailleurs absente pour les armes contrairement au premier). Cette démo ne laisse qu’un bref aperçu de cet aspect, mais un aperçu prometteur. Ici l’arbre des compétences a été repensé et paraît bien plus intéressant. Les choix que vous ferez auront aussi des conséquences pour le moins inattendues. Par exemple vous croisez un petit garçon caché dans un tunnel, selon votre choix (pragmatique ou conciliateur), votre action sera bien entendu différente, mais l’issue sera la même. De quoi rajouter du dramatique aux évènements déjà pas faciles pour Shepard. En ce qui concerne les armes, il apparaît qu’elle retrouveront leurs points de compétence, même si on n’y a pas accès dans la démo. Vous pourrez aussi looter divers accessoires pour votre arsenal, comme de nouvelles lunette de sniper par exemple. Bref, l’aspect RPG semble bien là, on attend maintenant confirmation.



  • les mouvements de Shepard
  • les gunfights ultra nerveux
  • l’aspect RPG qui semble être de retour
  • retrouver cet univers extraordinaire
  • et bien d’autres surprises que je ne veux pas vous gâcher



  • les graphismes assez inégaux



Mais qu’il a l’air bon ce nouveau Mass Effect, avec ses mécanismes tirés du meilleur du premier et et du second volet ! Mais qu’il est bon de retrouver cet univers formidable et complexe ! Est-ce que BioWare va tenir toutes ses promesses ? Nous le saurons le mois prochain !


Mass Effect 3 sortira le 8 mars 2012 sur Xbox 360, PS3 et PC au prix de 60€ pour la version normal et de 85€ pour la version collector.

Kapow! Lectures

[Kapow!] Spider-Man : plus personne ne meurt

spider-man-145

En kiosque ce mois-ci, Spider-Man continue d’affronter la peur dans Fear Itself et se fait une nouvelle promesse bien difficile à tenir : plus personne ne meurt à New York s’il peut l’éviter.

On commence avec la suite du tie-in lié à Fear Itself. Parker est bien mal en point et commence même à céder lui même au vent de panique qui sème le trouble dans la ville. Rajoutez à ça le fait qu’il tombe sur un Vermine qui l’attaque sans raison apparente et vous comprendrez que c’est un peu la misère pour le pauvre Peter qui n’a pas dormi depuis 2 jours.

J’avais beaucoup aimé la première partie de ce tie-in où le mouvement de panique lié aux évènements était assez bien retranscrit. Hélas cette suite ne m’enthousiasme guère. Il faut dire que ça n’avance pas vraiment, on continue de suivre les péripéties des différentes habitants présentés le mois dernier, sans aucune surprise, et Parker nous gonfle tout le temps avec sa tante qui pourrait être en danger (oui, encore elle). Bref, vivement de l’action parce que pour l’instant il n’y a rien de bien excitant à se mettre sous la dent.

Quand Peter flippe, il le fait pas à moitié.

La suite est tiré de Amazing Spider-Man, avec toujours Dan Slott au scénario et Marcos Martin qui se charge des dessins. Peter est une nouvelle fois en deuil, il n’a pas pu sauver Marla Jameson qui s’est sacrifiée lors de l’affrontement contre l’Anti-Araignée. L’on assiste alors à son enterrement et à la décision que Le Tisseur va prendre : plus personne ne mourra dans New York s’il peut l’éviter. Fruit du hasard, un nouveau vilain arrive en ville, du nom de Massacre Ambulant (hum…), et qui tue ses otages sans aucune pitié. Voilà l’occasion pour Peter de mettre en vigueur sa nouvelle promesse. Seul hic, il vient de perdre son sens d’araignée

La couverture d’ASM 655 aurait du me mettre sur la voie…

Je ne sais pas ce qui est arrivé à Dan Slott, lui qui nous a habitué à des histoires de grandes qualités, mais là il tombe dans tout ce que l’on ne veut plus voir dans Spider-Man. Il faut dire qu’on en a pas mal bouffé du « tant de personnes sont mortes par ma faute » ou du « les criminels que j’arrête s’évaderont et tueront à nouveau blablablabla ». Alors certes, la scène où Peter rêve de toutes les personnes liées à lui qui sont décédées n’est pas trop mal foutue et donne même l’occasion de revoir des personnages que l’on avait oublié, mais c’est du déjà-vu maintes et maintes fois. Le nouveau vilain Massacre Ambulant (non mais quel nom pourri) sert même de prétexte à tout ça, tellement que ses origines sont expédiées en une demie-page. Non vraiment, le seul intérêt de cet arc est de voir Le Tisseur galéré sans son sens d’araignée. A tel point qu’il devra se fabriquer un nouveau costume blindé parce qu’il n’arrive pas à esquiver les balles. Bref, Dan Slott aurait-il une panne d’inspiration ? Espérons que non.

Et en plus, le nouveau costume est moche.

Je passe ensuite sur les pages consacrées aux origines du Dr Octopus par Robert Stern et qui n’ont vraiment aucun mais aucun intérêt.

Ce Spider-Man 145 est donc en tout point décevant, retombant même dans les travers de la série avec des intrigues usées jusqu’à la corde. On attendait mieux de vous monsieur Slott.

Cinéma Dans Ton Cinéma 4

[DTC] Sorties de la semaine



Y’a du latex au menu de la semaine !


Un numéro 4 en 3D.

Underworld : Nouvelle ère (Måns Mårlind, Björn Stein)

Underworld re-re-revient avec un nouvel opus qui, on l’espère, donnera un peu d’ère (haha) frais à la saga ! On y re-re-retrouve bien évidemment l’égérie de la licence Kate Beckinsale dans son éternelle combi’ en cuir, toujours aussi pratique pour le combat.

Petit rappel du pitch : voilà des siècles que Lycans et les Vampires bataillent sans merci. Mais une « ère nouvelle » s’annonce pour eux puisque les humains viennent de découvrir leur existence. Résultat : ils se décident à s’engager ensemble dans la lutte contre ce qu’ils considèrent comme des fléaux. C’est ce que découvre notre héroïne, Sélène, après 12 ans de sommeil. Ses talents martiaux attirent alors bien évidemment tout l’intérêt de l’armée et des scientifiques. Et c’est la raison pour laquelle ils vont tout mettre en oeuvre dans une traque incessante…

Rien d’extrêmement novateur pour cette nouvelle ère donc, vous l’aurez saisi. Néanmoins on notera l’apparition de quelques attractions comme le « super-Lycan » mais aussi et surtout la venue derrière la caméra du duo suédois Mårlind / Stein (après Len Wiseman) dont c’est la première grosse production. Ils ont jusque là toujours travaillé à deux et ont réalisé ensemble deux films : Storm (un thriller) et Le Silence des ombres (un film d’épouvante avec Julianne Moore et Jonathan Rhys Meyers). Une garantie qui pourrait donc être bien pire !

Notez que ce quatrième opus a été tourné (et sera diffusé) en 3D ! Espérons, à ce sujet, qu’il s’en sorte mieux que le dernier Resident Evil


Site officiel


Sources et images via Allociné