Après l’annonce il y a quelques semaines du portage sur PC de W40K:SM (comprendre Warhammer 40.000 : Space Marine), voici que nous arrivent à peine 4 jours avant le début de la Gamescom de Cologne de nouvelles images aussi brutales qu’on les attendait pour un soft de la licence Warhammer.
W40K:SM est un jeu d’action développé par THQ et Relic Entertainment qui vous mettra dans la peau d’un Space Marine, ces guerriers d’élite au service de l’Empereur, une entité proche de la divinité omnisciente pour laquelle les Space Marines donneraient leur vie. Leur but ; nettoyer l’univers de tout ce qui corrompt l’Empire et ses serviteurs. Orks, créatures du Xenos et autres manipulateurs du Warp sont les cibles de ces « archanges de la mort », reconnaissables par leur armure massive et leur arsenal à en faire pâlir les Gears d’Epic Games.
Warhammer 40.000 est un univers sombre et violent qui a déjà été développé par les deux studios avec les STR Dawn of War. On ne peut donc espérer que le meilleur pour ce jeu d’action dont les images font déjà pâlir d’envie…
W40K:SM est prévu pour 2011 sur PS3, 360 et PC.
Pour moi qui suis une grande fan des univers de Games Workshop je ne vois qu’une seule chose à dire : Waaaagh !
Et je ne peux pas finir cette news sans vous mettre le trailer dévoilé à l’E3 !
Vous connaissez peut-être Boidin via son blog, et notamment sa BD Capitaine frite, ou bien sur Twitter. En ce qui me concerne, c’est à un Twunch sur Lille que j’ai eu le plaisir de faire sa rencontre, et depuis je suis régulièrement son blog. Depuis quelques temps il se prête à un exercice qui me plaît beaucoup et dont je me devais de vous parler : les affiches minimalistes. Elles me plaisent d’autant plus qu’elles sont 100% geekes !
Le but de Boidin avec ces affiches est de vous faire deviner en quelques formes et couleurs une référence du jeu-vidéo ou du petit écran. Le résultat est intelligent, esthétique et puis faut pas se leurrer… Les clins d’oeil du genre, ça fait toujours plaisir ! Mon seul regret : leur format paysage. Charles, si tu nous lis, à quand une résolution wallpaper pour qu’on puisse en faire profiter tout nos collègues au boulot ?
Je vous laisse ici une sélection de mes minimalistes préférées, mais je ne peux que vous inviter à suivre le blog de Boidin régulièrement pour rester à l’affût de ses créations et de ses prochaines affiches !
Cette semaine c’est Eizig qui nous fait grâce de son tout premier [Loading]. Il va nous parler d’un sujet qui lui tient particulièrement à cœur : les jeux indépendants. On sait que vous êtes nombreux ici à en penser du bien, mais quoi qu’on fasse on n’en parlera jamais aussi bien qu’après y avoir joué. Découvrez donc cet article où Eizig nous liste les avantage de jouer indé’ tout en nous ajoutant une liste des dernières sorties qui lui ont le plus plu. N’hésitez pas à le rejoindre sur son twitter !
On a insisté auprès de moi pour que je fasse cette news, et c’est avec plaisir que je me plie à vos désirs de lecteurs.
« Le Manifeste MMO » est la dernière vidéo qui circule depuis hier au sujet de Guild Wars 2. Une fois de plus ArenaNet nous fait baver avec ce nouveau clip, judicieusement présenté avant la Gamescom de Cologne 2010 où les chanceux qui y seront présents pourront tester et voir tourner le bébé tant attendu de NCsoft.
Dans ce clip, sur fond de musique épique et de commentaires tellement pompeux qu’ils en feraient pâlir l’égo de Molyneux, on a droit à un aperçu un peu plus poussé du gameplay de ce MMORPG qui arrive, à chaque nouvelle info, à recréer le buzz et à se faire attendre toujours un peu plus.
Autant dire qu’après visionnage, ce soft s’est confirmé dans mon top 5 des jeux les plus attendus pour 2011…
C’est aujourd’hui que sort sur le PSN le jeu vidéo Scott Pilgrim vs. The World. Les adaptations jeux-vidéo de films ou de comics sont rarement attendues, ce n’est pourtant pas le cas de celui-ci : tout le monde en parle. Ce qui a créé une réelle attente autour de ce jeu est sa mise en scène 8-bit mise en valeur par un gameplay nerveux. Ce que l’on dit moins, c’est que la personne à qui l’on doit le charme particulier du pixel art de ce jeu n’est autre que Paul Robertson.
C’est à l’occasion de ce petit évènement vidéoludique que je reviens sur ce personnage dont nous avait déjà parlé Gaskel dans ses précédents [Loading] sur le pixel art (là et là) : Paul Robertson est un artiste, un grand, mais avant tout un gros, gros geek et totalement déjanté avec ça. Si son association au jeu vidéo apparaît aujourd’hui comme une évidence, Robertson s’est avant tout fait connaître grâce à ses œuvres « fixes » et ses clips absolument démentiels. Pour le plus connu, on retrouve Kings of Power 4Billion%, une vidéo tout en pixel art complètement folle : ça bouge dans tous les sens, c’est surchargé de couleur et surtout c’est rempli de références geekes à en faire pâlir plus d’un. Quand on sait qu’il a passé plus de trois ans dessus, on comprend mieux :
Son style à la fois très kawaii et trash est reconnaissable entre tous et dénote un travail de malade qui force le respect :
Pour le fun, je termine avec sa fiche de profil Deviant Art qui m’a bien faite marrer :
Hell Pizza n’est pas une chaîne de pizzas néo-zélandaise comme les autres…
C’est Irvin m’a fait découvrir le dernier spot publicitaire totalement dantesque de cette marque puisqu’il s’agit d’une publicité interactive. A la façon d’un « Livre dont vous êtes le héros« , vous allez devoir aider le livreur à acheminer sa pizza malgré les hordes de zombies qui peuplent son monde post-apocalyptique… Comment ? Tout simplement en effectuant un choix à la fin de chaque clip, qui vous acheminera vers la vidéo suivante. Et c’est tous simplement énooooooorme !
Rien de mieux pour faire du buzz autour de sa franchise ! Si vous êtes curieux, je vous invite également à jeter un œil à leur site officiel qui est diablement bien fait…
Découvrez juste après le jump, la suite des aventures de nos lycéen(e)s persécutés par nos amis les Zombies ! On y découvrira de nouvelles têtes d’ailleurs…
Une deuxième semaine d’août plutôt surprenante côté salles obscures !
Casey Affleck commence à s'habituer aux rôles de tueurs...
The Killer Inside Me (Michael Winterbottom)
The Killer Inside Me c’est un peu le film que personne n’attendait, mais dont tout le monde attend beaucoup. Réalisé par un homme discret mais à la filmographie séduisante (Un coeur invaincu, Snow Cake), il met en scène un casting plutôt éclectique (Casey Affleck aux côtés de Jessica Alba, ça n’est pas vraiment commun) au sein d’un film atypique puisqu’il raconte la vie d’un tueur en série.
Lou Ford, le personnage principal, est un anti-héros : accablé par les problèmes, détesté par les femmes à qui il le rend bien, en conflit avec la police locale, les meurtres qui s’accumulent dans sa petite ville du Texas vont rapidement mener les enquêteurs vers lui. Tueur sadique et psychopathe, Lou va devoir trouver une solution face aux preuves commençant à le rendre un peu trop coupable.
The Killer Inside Me se veut un film choc et violent (d’ailleurs lors de sa projection au festival de Sundance en 2010, plusieurs personnes étaient sorties de la salle, écœurées), notamment envers les femmes puisque rappelons-le : Lou leur en veut. Ce personnage destructeur semble ainsi agir sans raison, et c’est ce qui en fait un être absolument effroyable.
Ce film est une adaptation du roman du même nom, écrit par Jim Thompson en 1952 et « décrit comme l’un des romans noirs les plus choquants de la littérature américaine ». Au moins, on sait à quoi s’en tenir.
Suis-je la seule à trouver cette affiche plutôt... laide ?
Chatroom (Hideo Nakata)
Si la tête (malsaine) du personnage principal de Chatroom vous dit quelque chose, ça n’est pas par hasard puisqu’il s’agit d’Aaron Johnson, a.k.a. Kick-Ass !
Dans ce film de Nakata, le maître de l’épouvante (Ring, Dark Water), on va avoir à faire au traitement plutôt original d’une peur bien moderne et propre à notre génération : « L’Internet » comme dirait ma grand-mère.
Johnson y campe le rôle de William, un nolife comme on les aime. Solitaire, sa seule vie sociale passe par le net. C’est comme ça qu’il a la brillante idée d’ouvrir un forum de discussion réservé aux adolescents de sa ville. Il est très vite rejoint par Eva, Emily, Mo et Jim, et cette chatroom va rapidement devenir un défouloir : vidage de sacs, confessions, indiscrétions, ils parlent de tout sans tabou. C’est là que notre « ami » William révèle sa nature de sociopathe, voyant en leurs faiblesses un filon à exploiter. Très à l’écoute, il va les conseiller et les inciter à résoudre leurs problèmes par des actes… parfois extrêmes. Car au-delà de l’image calme et saine que reflète William dans sa chatroom, « IRL » c’est un homme dangereux.
Malgré cette adaptation d’une pièce de théâtre (!) dont le pitch pourrait sembler niais et déjà vu, j’ose espérer que Nakata saura nous surprendre ici avec un Aaron Johnson dans un rôle plutôt étonnant, et un genre du thriller qu’il a jusqu’à aujourd’hui peu utilisé mais avec lequel il pourrait savamment doser sa maestria de l’épouvante… Je vous laisse en juger par la bande annonce.
Avec un nom aussi débile pour le réalisateur, et un acteur comme Nicolas Cage dans un second rôle où il adopte une fois de plus une coupe de cheveux improbable, on pourrait se dire « heu… Non, je vais économiser 8€ ». Je ne vous donnerai pas tort ! L’Apprenti Sorcier de Jon Turteltaub pourrait toutefois être moins daubesque que prévu. Qui l’eût cru ? En regardant la bande-annonce je me suis laissée séduire par un Jay Baruchel me faisant penser à Zach Braff, et par un divertissement qui devrait se laisser consommer, fort de ses blagues à deux balles vite oubliées par des effets spéciaux à gogo. Dans ce film vous suivez l’aventure de Dave Stutler qui, sans qu’il le sache, a un véritable potentiel pour devenir sorcier. C’est pour cette raison que Balthazar Blake le prend comme apprenti histoire de se défaire une bonne fois pour toutes de son ennemi juré, Maxim Horvath. Tout l’humour du film va bien évidemment jouer sur l’association improbable de ces deux êtres appartenant à des mondes très différents alors… Pourquoi pas ? Après tout, c’est Papa Bruckheimer qui régale…