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The Last Story : le nouveau Final Fantasy ?



Si certains d’entre vous suivent l’actualité des J-RPG, ils auront sûrement entendu parler de The Last Story. Plus qu’une production nippone supplémentaire dans le vaste paysage des jeux de rôle, celui-ci pourrait bien apporter un nouvel espoir à ceux que Final Fantasy XIII a déçu.

D’ailleurs, ces deux licences sont intimement liées puisqu’on trouve à la tête de The Last Story Hironobu Sakaguchi, le créateur de la célébrissime saga Final Fantasy. En 2004, lorsqu’il décide de quitter Square Enix, il fonde son propre studio : Mistwalker. Sa vocation de conteur le pousse à prendre d’autres chemins et à offrir ses histoires sous d’autres auspices.

C’est ainsi qu’après un petit bout de chemin (Lost Odyssey, Blue Dragon) nous a été annoncé, il y a quelques semaines, The Last Story.

Les spécialistes se sont bien évidemment empressés, en voyant une telle annonce, de mettre en évidence les différents points commun qu’auront ce soft et la licence pour laquelle Sakaguchi a prêté son talent durant tant d’années. Pourquoi ? Certainement parce qu’au fond de chaque amoureux de Final Fantasy réside l’espoir qu’un jour on nous fera rêver à nouveau comme on savait le faire il y a 20 ans.

Mais revenons-en à ces nombreux points communs qui semblent agir pour certains comme une prophétie fébrile sur le point de se réaliser. Comme Final Fantasy, The Last Story sévira dans le milieu du jeu de rôle. Ensuite on notera un grand clin d’œil au niveau du nom : la fantaisie finale contre la dernière histoire… Enfin, on pourra constater un retour aux consoles Nintendo (comme Final Fantasy à son époque) puisque c’est sur Wii qu’il sera édité. Certains y voient même un « jeu de la dernière chance » pour le studio puisque The Last Story sort après plusieurs productions qualifiées de médiocres, de la même façon que pour Squaresoft avec la sortie de Final Fantasy sur NES au Japon à la fin des années 80′. On soulignera enfin un logo très inspiré de notre si chère saga : un titre noir et sobre sur un dessin en filigrane.

En ce qui concerne le background, il faudra bien évidemment s’attendre à quelque chose de très fouillé et d’onirique.


L’aventure sied sur l’île Luly. Située en marge des terres de l’Empire, cette île obéit aux ordres du comte d’Arganan. Sa localisation géographique en fait un point stratégique d’une haute importance, à tel point que toutes les richesses du royaume y sont conservées. Sa zone portuaire y accueille également moult navires commerçants, ce qui vaut à Luly d’être occupée par de nombreux et puissants soldats. A cette force militaire déjà conséquente s’ajoute un gigantesque canon posté sur les rivages, prêt à repousser toute menace éventuelle à l’encontre de l’île.

En marge de l’Empire d’un point de vue physique, l’île l’est également dans sa manière de fonctionner. Alors que les dirigeants de l’Empire ne cherchent qu’à s’enrichir continuellement et rendre leur position toujours plus confortable, le comte d’Arganan est habité par une ambition démesurée et semble bien plus inquiet pour l’avenir de son pays que l’insouciante lignée impériale, que la fortune a depuis longtemps détourné de leurs nombreuses responsabilités. Le métal étant rare dans l’univers de The Last Story, la magie y occupe une place extrêmement importante, car elle seule est assez puissante pour faire assoir une soif de pouvoir, chose sur laquelle le comte d’Arganan semble très renseigné. Mais la prospérité de l’île Luly semble être mise à mal. Alors que les habitants continuent à vivre paisiblement, des ombres maléfiques se rassemblent en masse, au large des terres qui ceinturent l’île. Un grand danger guette ce havre de paix mais sur l’île, personne ne s’en doute encore.


Si l’univers est donc déjà bien campé, on en sait toutefois très peu sur les personnages ou le gameplay. Seule chose qui a échappé aux développeurs du jeu : le réalisme des sensations recherché pour le jeu. Ne vous affolez toutefois pas, rien à voir avec un Mass Effect ou un Fable. Il faut entendre par là qu’un maximum de détails graphiques chercheront à renforcer l’immersion du joueur. Histoire de vous donner un avant goût esthétique de toute cela, voici quelques-uns des artworks qui ont été distillés depuis janvier :



Il faudra s'attendre à des environnements fouillés et très européanisés : comme les japonais les aiment. Et nous aussi !



Doit-on voir à travers cet artwork une promesse de gameplay orienté découverte ? Cela devrait raviver les espoirs chez les déçus de Square-Enix.



Les rumeurs disent que le gameplay devrait se baser sur un système de classes. Les différents artworks appuient ces suppositions. Quoi qu'il arrive, au niveau du style graphique on ne devine rien de transcendant. Au contraire, The Last Story semble vouloir prôner un retour aux sources pour un plaisir visuel et ludique sûr.


Comme je le disais, pour le moment, les images et les infos sont distribuées au goutte à goutte. Si vous êtes curieux, ou que vous parlez japonais, je vous invite donc à vous plonger dans le site officiel qui recèle d’informations et d’images supplémentaires… Notamment d’un artwork qui pourrait bien mettre en scène les deux personnages principaux ! Ou alors s’agirait-il des avatars que l’on peut choisir d’incarner au départ de l’aventure ? Mystère, mystère… Vous le savez, les japonais connaissent bien les fans de JRPG et savent qu’il faut les faire saliver un max pour s’assurer un bon lancement. Quant à la date de lancement, elle est tout aussi vague : courant 2010, au Japon bien entendu ! Prions donc pour qu’il atteigne un jour le vieux continent…



Sources : Jeuxvideo.comMistwalker-Fr
The Last Story est produit par les studios Mistwalker et devrait sortir au Japon courant 2010. Il sortira exclusivement sur Wii.

Jeux Vidéo 3

Pokemon Black & White, un pas vers le changement ?

Pokemonban

L’actualité de Pockets Monsters a été assez riche ces derniers mois. Le remake des versions Gold x Silver ont fait plaisir aux fans mais n’apportent pas réellement de nouveau contenu et de réelles innovations dans le gameplay, juste des améliorations. Alors ?! Pockets Monsters Black & White apportera t’il un renouveau  à cette licence qui perdure depuis plus de 14 ans ?  Le point sur quelques rumeurs et des screens à la japonaise…

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Interviews 5

[ITW] Maxime Bender



Aujourd’hui nous recevons le trublion de la webTV Ankama : Maxime Bender. Ce jeune animateur de talent n’est pas un chat, et pourtant il a déjà fait autant de choses de ses dix doigts que s’il avait eu sept vies. Si aujourd’hui il prête son savoir-faire et sa voix à l’émission Inside Ankama (présentée par Davy Mourier) ce geek en puissance a déjà touché à plein d’autres choses qu’il va partager avec nous. Ici. Tout de suite.


KissMyGeek : Maxime, bienvenue à Kiss My Geek ! Figure-toi que ça n’est pas la première fois que nous parlons de toi ici, puisque nous t’avions déjà remercié dans l’interview de Davy il y a à peine deux semaines !

Maxime : Oui ma popularité grimpe en flèche en ce moment ! Et j’en suis plutôt fier, d’ailleurs je vais en profiter pour remercier tout ceux sans qui cela n’aurait été possible et… comment ? Ha j’ai rien gagné…. Bon bah merci quand même… Mais sinon oui continuez de parler de moi ! 🙂


KMG : Donc ! Tu n’es pas là par hasard. C’est quand tu m’as parlé de tout ce que tu as fait de tes dix doigts et, surtout, de ta voix, que je me suis dit… Mais quel mec ! Alors si ton nom ne dit peut-être pas grand chose à grand monde, ta voix, au contraire, pourrait réveiller des souvenir chez plus d’un ! Si tu nous parlais de ton parcours atypique ?

M. : Ouh là vaste programme… D’ailleurs faudrait que je vous donne un peu de voix là pour une tentative de reconnaissance ? (Ndlr : il vous suffira pour ça d’aller visionner un épisode d’Inside Ankama) Mais sinon, oui, j’ai un parcours bizarre. Mais pas tant que ça ! Je me suis retrouvé un jour par hasard à faire de la radio suite a une soirée arrosée… et ça a très bien marché.

Depuis je suis monté sur Paris, pour conquérir le monde des médias. Je me suis retrouvé à faire des stages un peu partout ; Fun radio, Mcm, boites de prod… Une époque où le stagiaire n’avait aucun statut, était sous-payé, et faisait TOUT! Donc je sers très bien le café, j’imprime très bien des docs Word, je sais aussi répondre au téléphone… Bref j’ai une formation complète !

La suite c’est de la radio un peu partout, puis une arrivé au sein d’une radio de service public : Le Mouv’. Le lieu que j’ai choisi pour commencer a contaminer les auditeurs par mes geekeries incessantes ! Gadget, manga, jeu video, BD, j’en ai profité pour parler de tout !! Jusqu’à l’an dernier où j’ai ponctué mes années radiophonique par un talk show & music Geek et Otaku ! Ca s’appelait la « MaxBox » : vous pouvez encore trouver une fanpage qui traine sur Facebook.

L’idée c’etait vraiment de partager tout ce qu’on aime lorsqu’on est un peu geek, du manga au denrier browser game sans queue ni tête, en passant par la news ciné à la con (adapter les Sims au cinéma par exemple…), tout en laissant de la place aux auditeurs qui eux aussi ont vu des choses, entendu des infos à mettre en avant, ont un manga préféré, ont battu un record sur Snes… Bref, ça avait du sens. Plus des chroniques par milliers, etc. En parallèle, j’ai fait quelques bande-annonces de manga de zombie, quelques projets par-ci par-là, une radio sur la musique japonaise de programmée et des projets Ankama, où je me suis attelé a monter Inside Ankama avec tout l’equipe. Je fais aussi les voix !

Ah oui j’oubliais aussi que j’ai été le premier en France a oser passer du rock japonais sur une radio nationale de manière régulière. Ca a tellement bien marché que j’en ai fait une emission qui, elle, n’a pas duré longtemps (changement de patron…). Ca s’appelait Tokyo Pop Up ; 1 heure à parler de pop culture japonaise, et 1 heure à diffuser du rock japonais en en traversant l’actu ! C’etait drole et original à faire ! Ca m’a aussi permis de rencontrer de nombreux artistes musicaux japonais passionants ! Du coup j’en avais invité certains sur un Japan Expo pour du live en plein milieu du salon… beau bordel ! Les réactions par rapport au rock japonais sont d’ailleurs souvent drôles ; à quand les sélections musicale de Kiss My Geek ?


KMG : Comme tu l’as dit, tu mets sur pied et donnes ta voix à l’émission Inside Ankama. Peux-tu nous dire comment tu as fait pour atterrir là-dedans ?

M. : Ouhhh complexe…. Disons qu’à ce moment-là j’étais intermittent freelance. Je menais diverses barques de projets par-ci par-là. Dans ces barques il y avait des séries d’interviews de créatifs français. Ce qui m’a amené à rencontrer la direction d’Ankama. Il ne leur a pas fallu plus de 30 minutes pour refuser mon projet… et m’embaucher pour monter Inside Ankama !

Donc tout a été très simple au final ; on a monté le pilote de l’émission en très peu de temps et c’est parti ! C’est parti pour de l’inconnu, de la nouveauté, de la création… Car des émissions de ce genre sur le web français, ça n’existait pas… Donc tout est parti d’une confiance réciproque !


KMG : Je pense qu’on est plus d’un à se questionner sur la façon dont tu organises tes journées de boulot pour tout boucler en une semaine… C’est short, non ? Alors, comment t’y prends-tu pour trouver tes sujets, organiser tes journées de tournage, canaliser l’énergie de Davy, faire le montage et… et tout le reste !

M. : Et bien je ne fais rien tout seul ! C’est un premier point très important ! Ensuite niveau organisation c’est un peu la course tout le temps. Je prépare le contenu selon les idées, les envies, et surtout selon l’actualité. Car si on s’y prend trop en avance, on rate le spontané, on rate les bonnes infos. Il faut savoir être un peu souple ! Donc certaines choses intemporelles sont prévues très à l’avance, et d’autres le lundi pour le mercredi par exemple. Ou même mieux : le mardi matin pour le lendemain 16h.

Donc l’idée c’est d’abord de trouver ce qu’on a envie de mettre en avant ce qui nous plait ! Et après y’a un long loooooooong cheminement pour y arriver. Finalement : peu d’organisation complexe. Faut marcher un peu au feeling, surtout avec Ankama qui est une boite rempli de créatifs. Il ne faut pas cantonner les gens, leur mettre des plannings lourds dans les jambes, il faut se laisser un peu aller, avoir un but, une idée, une envie et s’y tenir !

Pour Davy… et bien je râle, je râle, et je râle tout le temps ! Et lui ça le fait rire. D’ailleurs je pense que plus je dis « ça c’est pas bon » plus ça l’encourage à délirer. Et c’est très bien comme ça.


KMG : Tu vas tourner une émission pendant la Convention Ankama #5 qui aura lieu à Paris le week-end prochain. Comment appréhendes-tu ce tournage ? Quels sont les préparatifs adaptés que tu as dû mettre en place pour pouvoir faire l’émission dans ce lieu inhabituel et qui promet d’être surpeuplé ?

M. : Je n’appréhende pas… La magie du direct, la magie du live !

En fait on a plutôt préparé la partie matérielle et humaine qu’autre chose. Les meubles, le matos technqiue, du monde pour l’image et le son. Je vais reprendre un peu de présentation pendant des débats autour du jeu vidéo amateur, du cross media, de la nouvelle génération d’auteur qui arrive, de l’animation en france, et peut-être un peu de MMO si l’equipe de Kiss My Geek veux participer ? L’invitation est lancée !


KMG : Ça va être difficile de refuser une telle invitation ! J’imagine que tu es déjà bien occupé, mais as-tu en tête d’autres projets persos à court / moyen / long terme ?

M. : Aucun dont je puisse parler actuellement… A moins que s’acheter une NeoGeo soit un projet à moyen terme ! D’ailleurs si quelqu’un en a une a vendre… Parce que bizarrement on n’en trouve plus en magasin !


KMG : Quel conseil donnerais-tu aux gens qui veulent se lancer dans le domaine de la radio ou de la webTV, comme c’est ton cas ?

M. : D’être curieux ! Tout le temps curieux. De faire attention à tout ce qui nous entoure, des gens dans la rue en passant par l’attitude de leurs amis, et par ce qu’ils entendent et voient a la télévision et la radio.
D’avoir des choses à exprimer, à partager. Si tu fais ça juste pour etre « connu » ça sert a rien. Si tu n’a pas une passion, une envie à transmettre, autant laisser tomber ! Donc voilà, de mon côté l’envie a toujours essayer de sous-tirer un sourire à au moins une personne à chaque fois, essayer de donner une info qui te rend intelligent devant tes amis, et de promouvoir ce qui me passionne !


KMG : Tu sais que si tu es interviewé ici, c’est aussi parce qu’un geek sommeille en toi. Alors, comme pour chacun de nos invités, l’heure est venue de parler ensemble du thème qui nous est si cher sur ce blog : qu’est ce qu’un geek pour toi ?

M. : Alors… alors… Le terme geek (/gik/, prononciation anglaise /gi?k/) est un anglicisme désignant une personne passionnée, voire obsédée, par un domaine précis. Il s’emploie entre autres dans le domaine de l’informatique ainsi que dans celui de la science-fiction… Oups pardon, ça c’est Wikipedia…

Non plus serieusement, ce mot est plus là pour rassembler diverses personnes venues de divers horizons autour d’univers et de passions. Du jeu vidéo au manga, en passant par du dessin-animé, ou encore du gadget (oui vous aussi vous avez un Pokewalker alors que vous avez plus de 20 ans ? )… Mais dernièrement ça ne veux plus dire grand chose. Merci la télévision… Donc aujourd’hui j’hésite entre dire que c’est un cri de ralliement, ou un terme commercial… Mais attendons la naissance du Supergeek !



KMG : En es-tu un ?

M. : De mon côté je jouerais plus sur les mots et je parlerais d’Otaku. Littéralement on pourrait transcrire ce mot japonais en « fan de loisir à la maison ». En gros, oui, j’aime pas sortir de chez moi, oui je peux passer des soirées à lire des mangas, oui je peux passer des soirées sur Chrono Trigger ou FFXIII, oui je viens d’avoir une nouvelle figurine (numéro 9, du film du même nom :D), oui j’ai 4 ordinateurs chez moi, oui j’… mais non je suis pas geek.



KMG : Que penses-tu de l’évolution du geek dans cette culture ?

M. : Ca évolue en bien et en mal à la fois… Les geeks ne se sentent plus exclus, c’est bien. Aujourd’hui on peut arriver au collège et dire « je suis un gros geek » sans se faire repousser par les autres ! Maintenant on peux draguer une fille en disant « oui je suis très geek » et elle comprendra ce que ça veut dire.
On peux même trouver un boulot parce qu’on est geek ! (Ndlr : Eskarina en sait quelque chose.)
Mais voilà, plus un terme est connu, plus il est utilisé à de mauvaises fins… Ca fait partie du jeux je pense qu’il faut l’accepter.



KMG : A quoi joues-tu en ce moment ?

M. : A ce que j’ai dit plus haut, je vais rajouter le jeu « Labyrinthe » sur DS (oui oui comme le jeux de société !), et Carcassonne ! Un peu de Tekken pour se détendre, un de FFXIII quand j’ai envie de rien faire et de regarder des cinématiques.



KMG : Qu’est-ce que tu lis ?

M. : En ce moment j’ai repris au début les « Love & Collage », un manga qui détend. C’est l’histoire d’un type qui est fan des parties du corps féminin : il aime pas juste une fille qui est plus jolie que les autres, non : il aime des parties du corps ! Et donc il vit dans une pension avec diverses filles : une avec des yeux magnifiques, une avec des seins en forme de tête de TGV, un avec une taille de guêpe, une autre à la voix incroyable, et un type avec des fesses de fou !!! Sauf qu’il savait pas vraiment que c’était un mec au début… Bref, le genre de manga de fou… C’est pas du chef d’œuvre (c’est pas Gunnm ou Akira) mais ça détend, c’est drôle et agréable !



KMG : Qu’est-ce que tu regardes ?

M. : (Je me retiens de dire mon écran…) Et bien The big bang theory, pour rester dans la thématique, rajoutons Fringe, ou encore Flashforward et How I met your mother. J’ai aussi enregistré un docu sur Myiazaki à regarder tranquillement… Sinon globalement y a rien de fantastique à la TV en ce moment… Ou rien qui me vienne en tête !



KMG : Quel est ton meilleur souvenir de geek ?

M. : La première fois que j’ai allumé (et donc donné naissance) a mon Pleo, la première fois que j’ai vu un Game boy, les heures passées sur mon Atari 3200 et 520 ste… Mon premier écran plat accompagné de ma ps3 et.. en fait y en a plein ! On peut aussi parler de ma figurine de Sangoku que j’ai acquise récemment ; une figurine de lui, petit, dans les fringues d’hiver avec lesquelles il apparaît dans seulement 15/16 pages du manga !


KMG : Comme on approche de la fin, voici le petit jeu de fin. Tu n’y échapperas pas ! Chaque interviewé de Kiss My Geek possède un super pouvoir de geek. Par exemple, Oujiz peut se mettre AFK toutes les 2 secondes, que ce soit IRL ou IG ! Et toi, quel est ton pouvoir ?

M. : Ouuuuh j’en ai plein ! Déjà ; je chante bien très faux (très faux oui, mais bien !). J’ai le pouvoir de voir les choses de façon alternatives (une sorte de don où je combine ma myopie a mon daltonisme). J’imite très mal quasiment toute les stars (mon favori étant Eddy Murphy, ou l’âne dans Shrek). Et bien sûr : je coule ! Voilà, quand tout le monde dit « regarde je flotte », moi je peux m’asseoir au fond de l’eau les poumons gonflés, et je reste au fond 🙂 Donc une sorte de Daredevil mélangé à un Aquaman qui chante faux en imitant très mal Eddy Murphy ! Classe, non ?