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[Loading] Galean : les absurdités du code PEGI



Pour ce [Loading] du jeudi on reçoit à nouveau Galean qui avait déjà sévi il y a plusieurs semaines et qui rempile aujourd’hui pour un article un peu plus court mais plutôt amusant sur les étrangetés du code PEGI… On vous laisse juger !


Je viens de remarquer sur mes boîtes de jeux qu’elles possédaient presque toutes les signes « +18 » ou « +16 », mais là n’est pas le problème. La dernière fois je regarde le dos de la boîte du jeu S.T.A.L.K.E.R. Call of Pripyat, et je vois le logo qui représente la « violence ». Jusque là, rien de choquant. Mais je me dis quand même qu’il mérite aussi le logo de « peur », et peut-être même celui de « langage grossier ». Bon, en même temps tout le monde s’en fout.





Le truc c’est que je me suis alors mis à regarder tous les pictogrammes de mes jeux, pour voir s’il en existait sans le logo « violence ». Et d’un coup je tombe sur Grand Age Rome, un jeu de gestion, qui est la suite de Imperium Romanum. En gros : les nouveaux Caesar. Alors, je regarde le dos de la boîte et là, c’est l’incompréhension.





Et non, je ne rêve pas, ce jeu où il faut construire Rome porte les pictogrammes « violence » et « peur ». Personnellement c’est celui de « peur » qui m’interpelle. Sachant que S.T.A.L.K.E.R. ne le possède pas, pourquoi le mettre ici ? Ça fait peur une ferme ou une mine ? C’est peut-être les boucheries que l’on construit qui peuvent effrayer les végétariens, je ne sais pas. Quelqu’un a une idée ?


Le grain de pixel d’Eskarina :

Et n’essayez pas de chercher ces deux jeux sur le site officiel de PEGI : vous ne les trouverez tout simplement pas ! Ça aussi faudra qu’on m’explique… 😉


Warez 5

[WAREZ] Le fond du panier à crabes





Citius, altius, fortius. Telle est toujours la devise des jeux olympiques. Se dépasser, défier les éléments et les lois de la nature. Plus loin, plus haut, plus fort. Au-delà du sport, nous en avons fait une règle, presque une nécessité, au sein de l’humanité. Regardez les derniers buildings culminant à 800 ou 1000m. Comment voulez-vous qu’un Boeing évite ça ? Et on va encore montrer l’Afghanistan d’un doigt accusateur ! Enfin, rien n’échappe à la course au « plus » et surtout pas notre bonne vieille lucarne à imbécilités. Ou lorsque qu’un divertissement sympa tourne au viol de cerveau.

Revenons un instant sur cette devise. Nous en avons une version française remasterisée mode Georges Lucas, que je vous livre juste ici. (Le sac à vomi est recommandé).


[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=OzGbJX6Xnd4[/youtube]


Et si la télé s’était appropriée ce tintamarre comme devise officielle ? Cela expliquerait facilement la chute dans les limbes de la culture de la programmation télévisuelle depuis quelques années. Toujours est-il que nous avons peut-être assisté au début de la fin sans même nous en apercevoir. Dire qu’«Extrême limite» ait pu être une série charnière me fait plus souffrir que l’ablation d’un testicule. Mais il faut parfois regarder la vérité en face.

C’est vrai que je suis d’humeur téléphage ces temps-ci. Comme d’habitude oui. Je zappe donc tranquillement depuis quelques mois sur ma rodolphebox, par delà les méandres labyrinthiques de chaines à la programmation aussi savoureuse qu’un étron de Yack. Depuis, mon œil s’est acéré. Exercé perpétuellement à la chasse à l’image . Il dicte instantanément à mon pouce la pression à exercer sur la télécommande ou non. Il lui arrive d’avoir quelques ratés je ne vous le cache pas. Mais parfois… Tout ça pour dire que quand j’aperçois un gars sur un bateau qui se fait déglinguer la caboche à coups de vagues de 7 mètres de haut, moi ça m’émeut.

Je tombe donc sur un docu-réalité sur TMC. « Péril en haute mer » je crois. Alors oui, je vous concède qu’on dirait un mauvais Steven Seagal. Et oui, je vous concède que je viens de faire un énorme pléonasme car il n’existe aucun bon Steven Seagal. Mais j’ai regardé quand même !…Pas mal. Des crabes. Des hommes. Du métal. Et surtout des grosses vagues dégueulantes d’écume. Un peu de pleurnicheries de-ci de-là. Des peccadilles ! Mon cerveau ne trouve pas ça bien instructif mais bien reposant. Mon œil se repaît de ce spectacle visuel bien arrosé. C’était il y a quelques mois.


[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=VqY1LsUYbME[/youtube]


Et là, que ne voit-on arriver un peu partout sur la TNT ? Les superbes docu-réalités de l’extrême ! A croire que la machine à audience de TMC a tellement pété que l’onde s’est répandue dans toute la ThaNaTosphère. Alors, tout le monde y va de sa petite émission. On nous gave le cerveau comme des oies sans foie. Le convoi, les déménageurs, les pêcheurs, les sauveteurs, les bûcherons (ceux là sont de l’impossible). N’y a t-il que moi qui ai un métier normal ? Quand la TNT envoie l’extrême purée, le téléspectateur n’a pas la bouche assez vaste pour tout avaler.

D’autant plus si les ingrédients sont grossièrement mixés, il reste des grumeaux parfois difficiles à avaler ! Stéphane Rotenberg en est un. Mais si voyons, le type qui s’est fait greffer un V8 à la place du cœur. Celui qui s’enfile des bouteilles de NOS. Ce beau parleur à la calandre flatteuse capable de faire saliver le badaud audiovisuel à l’aide de routiers moustachus arpentant une route de glace. Je n’ai aucun doute sur le fait que ce garçon ait une capacité buccale d’au moins 2 ou 3 pots d’échappements.





Au final il ne se passe pas grand chose. Et c’est à grands renforts de ralentis, de publicités et de phrases chocs susurrées sur un ton charnel-alarmé par la voix off, que le téléphage tente d’être appâté. Yeark !

Hey la TNT! J’ai un concept pour toi. Le spectateur de l’extrême. Y a tout un tas de guignols comme moi, capables de regarder les immondices que tu leur sers sans coup férir. Pas besoin de chercher beaucoup plus loin qu’en bas de chez soi pour trouver des comportements ahurissants voire incompréhensibles.

Évènements 5

Monde du Jeu : du 10 au 12 septembre 2010 à Paris Porte de Versailles



Cette année le Monde du Jeu aura lieu les 10, 11 et 12 septembre 2010 à Paris.

L’événement ludique de l’année se déroulera au Parc des Expositions de la Porte de Versailles, pour sa 14ème édition.


Je vous retransmets avec quelques touches personnelles le communiqué de presse qui m’a été envoyé et à côté duquel je ne pouvais pas passer !

Jouets, jeux de société, jeux de cartes, jeux de rôle et de figurines, matériel de GN, tous les univers ludiques seront mis à l’honneur. Une occasion unique pour les familles, curieux et passionnés de découvrir et essayer toutes les nouveautés, et surtout de s’amuser. Vous pourrez ainsi y retrouver, comme chaque année, un programme complet d’animation, initiations, démonstrations et rencontres avec les auteurs et acteurs de jeux pour rythmer ces trois jours de fête ludique !


L'année dernière, le public était au rendez-vous !


Avec 2,7% de croissance (source NPD) en 2009, le marché du jeu est une valeur sûre dont le Monde du Jeu sera comme chaque année la vitrine à la veille de la période des Fêtes. Plus de 70 000 visiteurs sont attendus cette année dans le Pavillon 4 de la Porte de Versailles.

« Après le succès sans précédent de l’édition 2009, nous avons pris la mesure de la demande exprimée par le public, la presse et les nombreux exposants. En développant les infrastructures et la capacité d’accueil, nous améliorons chaque année le confort et la richesse de l’expérience pour les visiteurs. », déclare Benjamin Goacolou, Président du Monde du Jeu.


Jeux de rôle, de figurines, de cartes et de société seront à l'honneur : avis aux aficionados !


Autre élément d’importance : les visiteurs du Monde du Jeu pourront accéder gratuitement au Festival du Jeu Vidéo – premier événement jeu vidéo en France – qui se tiendra aux mêmes dates à la Porte de Versailles.

Retrouvez toutes les infos sur le site officiel du Monde du Jeu :
http://www.mondedujeu.fr

et sur Facebook :
http://www.facebook.com/mondedujeu

N’hésitez pas à nous dire si vous y serez ! Pour ma part ça me fait super envie, donc si on me file un accès presse je ne dirai pas non (on va essayer de se dégotter ça) ! Sinon je botterai les fesses d’Oujiz pour qu’il aille faire notre gratte-papier made in Paris. Avec le communiqué de Presse il y avait tout un tas de photos super alléchantes que je n’ai pas pu vous mettre en entier, du coup je vous ai créé un petit album avec l’outil bling bling d’Oujiz. Enjoy !


Get the flash player here: http://www.adobe.com/flashplayer



Cinéma Dans Ton Cinéma 4

[DTC] Sorties au cinéma



Cette semaine je mets à l’honneur Dragons, le dernier né des studios Dreamworks en matière d’animation.



On ne pourra pas reprocher à "Dragons" de ne pas avoir un titre ou une affiche explicites !

Dragons (Chris Sanders, Dean Deblois)

Dragons est le dernier film d’animation en 3D des studios Dreamworks, comme je vous le disais dans l’intro. Les deux hommes qui ont mis ce projet sur pied ne sont pas n’importe qui puisqu’ils ont déjà travaillé ensemble sur Mulan et Lilo & Stitch,  récompensé par un Oscar.

Il faudra donc s’attendre à un long-métrage plein d’humour et au style graphique bien particulier (on se rappelle les émules qu’avait fait Mulan à sa sortie). Toutefois pour le scénario, s’il faut louanger quelqu’un, tournez-vous vers l’auteure du livre, Cressida Cowell, dont Dragons est une interprétation. Vous l’avez compris, il ne faudra pas compter sur un scénario original (dans tous les sens du terme) pour cette fois.

Le pitch retrace l’histoire d’Harold, un jeune Viking dont la tribu a pour coutume de combattre les dragons. Toutefois, comme on s’y attend un peu, les dragons ne sont pas si mauvais qu’on voudrait le laisser croire. Et c’est ainsi que le train-train quotidien de notre adolescent du Grand Nord est bouleversé quand il rencontre un dragon l’amenant, avec son peuple, à voir le monde d’une façon totalement différente.

Cela rappellera peut-être à certains Cœur de Dragon, un film où l’amitié entre les hommes et les dragons était aussi développée. Ou plus récemment, et pour rester dans le domaine du film d’animation, Chasseurs de dragons a lui aussi exploité le thème.

Comme chaque grosse production d’animation, Dragons a droit à son lot de célébrités pour les doublages. Au niveau de la VO vous pourrez donc compter sur les présences de Gerard Butler (300), Jonah Hill et Christopher Mintz-Plasse (tous les deux dans Supergrave), ou encore America Ferrara (Ugly Betty). Par contre pour les voix françaises cette fois-ci on ne retrouvera ni Elie Semoun ni Jean Dujardin. Les doubleurs sont tous de « vrais » professionnels ce qui, à mes yeux, est un gage de qualité supplémentaire. Mais du coup, forcément, vous n’en connaissez pas le nom (bon pour les trois au fond qui agitent la main d’un air mécontent, ce seront Donald Reignoux, Jean Kramer et Emmanuel Jacomy) !

Dragons ne sera certainement pas une aussi grosse claque que Là-Haut, et ne sera pas non plus doté d’une histoire complètement dingue d’originalité, mais je ne doute pas qu’il s’agira d’une production de très belle qualité aux animations à couper le souffle, et à l’humour intelligent. Ça peut notamment déjà s’apprécier avec les différents mini-jeux mis à disposition sur le net (tout pour devenir un bon dresseur de dragons) et qui font un bon teasing pour la super-production (ici, et ) . Bref, en ce qui me concerne, je ne louperai pas ça ! D’autant qu’il sera diffusé en 3D et que, pour une fois, c’est un film d’animation conçu pour ça.



Site officiel


A voir également :

Bhein pas grand chose les amis ! Mais y’a encore plein de trucs chouettes au cinéma (Alice au Pays des Merveilles, Shutter Island, Les Chèvres du Pentagone, etc.). Alors foncez voir ça si vous ne l’avez pas encore fait, et à la semaine prochaine !


Lectures 6

Kick-Ass, le comics qui botte des culs !



Vous allez me dire : « Hey, c’était pas Oujiz qui devait écrire cet article ? » Mais il est tellement galant (et surbooké par ses autres articles) qu’il me laisse l’honneur de vous parler du comics Kick-Ass, sur le point d’être adapté au cinéma (sortie le 21 avril 2010).


Kick-Ass n’est pas un « vieux » comics puisqu’il est sorti en 2009. C’est avec grand plaisir que j’ai donc découvert cette série faite de mains de maîtres : Mark Millar (pour le scénar) et John Romita Jr (pour le dessin).

Autant vous dire que ces mecs-là ne sont pas n’importe qui puisque Millar a travaillé en tant que scénariste pour les plus grands (DC Comics, Marvel, etc.) et sur quelques unes des plus belles productions (Ultimate X-Men, Wanted, Superman RS, etc.). Quant à John Romita Jr, son talent a tout simplement redonné souffle à la série Iron Man, il a apporté un tournant graphique à Spider-Man et a fini par travailler lui aussi sur les X-Men (Uncanny). C’est sur Wolverine qu’il commence à travailler avec Mark Millar en 2004. Depuis, ils ne se sont plus quittés !

C’est donc ensemble qu’ils ont décidé de mettre sur pied Kick-Ass, un comics à la fois sombre de réalité, drôle et violent. Pour ce dernier aspect, il a souvent été comparé au Punisher, un comics dont le héros est typique des productions des années 80′ ; torturé et brutal. Car, oui, c’est là que se situent les plus grandes originalités du titre qui nous intéresse.

Kick-Ass se situe dans le monde réel (le nôtre). Ses héros sont pour la plupart des adolescents (voire des enfants). Et il est terriblement violent. Ce sont ces trois éléments qui donnent tout son piquant au scénario et qui le différencient des autres comics qui peuvent sembler, pour certains, un peu trop politiquement correct et aseptisés. Ainsi, les héros du dernier-né de Millar-Romita Jr n’ont pas de super-pouvoirs et font couler beaucoup de sang malgré leur jeune âge.

L’omniprésence de ce sang entre en contradiction avec les comics les plus traditionnels et se justifie par le fait que le cadre se situe dans le monde réel. Ceci est un autre avantage de Kick-Ass (en plus de sa jeunesse) puisque ça lui permet de faire fourmiller les références propres à notre génération. Ainsi, pour ne donner qu’un exemple, le héros de la série est un fan de Joss Whedon. Tout comme Mark Millar, en fait. Il faut savoir que ce dernier adore multiplier les références populaires dans ces comics, ce qui permet à ses lecteurs de mieux s’identifier, tout en s’exprimant sur ses goûts personnels à travers ses héros.

Mettre des enfants au sein de scènes de violence sanguinolente dont ils sont les acteurs (et souvent les vainqueurs) est un pari risqué et provocateur qui plaira aux fans de comics de la première heure. Pour les sensibles, il faudra repasser. On sait que Millar est reconnu pour ses prises de risques qui lui ont créé autant de fans que de détracteurs mais… voir le sang couler des mains de la petites fillette de 10 ans qu’est Hit Girl, la voir transpercer à coup de katanas les dealeurs du quartier… Je crois que ça n’a jamais été aussi jouissif !



Hit Girl


Malgré sa grande classe et son atypisme, Hit Girl n’est pas l’héroïne principale du comics. Il s’agit de Kick-Ass (d’où le titre éponyme) dont le vrai nom dans la vie est Dave Lizewski. Malgré ce qu’on pourrait en croire, Dave n’a rien d’un Peter Parker solitaire et associal rejeté par toute la classe. Et surtout : il n’est pas piqué par une araignée radioactive, n’est pas soumis à des expériences pour changer son squelette en adamantium, n’a pas été bercé trop près d’un réacteur nucléaire… Non. Dave a tout d’un adolescent « normal ». Il n’est ni beau ni moche, il a quelques copains fans de comics, et rêve de sortir avec une fille de sa classe qui l’ignore royalement. Sa vie familiale est tout de même marquée par un drame (puisqu’il en faut toujours un) ; la mort de sa mère suite à  rupture d’anévrisme. Son père continue toutefois de l’éduque sans lui inculquer les arts martiaux ou l’emmener dans un orphelinat d’enfants aux pouvoirs surnaturels. Non, je vous le répète : dans Kick-Ass, pas de super pouvoirs ni de destinée surréaliste !



Kick-Ass


Si Dave décide de revêtir une combinaison de plongée pour aller combattre les délinquants de son quartier, c’est parce qu’à force de lire des comics avec ses potes il a fini par se demander : mais… pourquoi personne n’essaye-t-il d’aider les gens, comme les super-héros ? Pourquoi personne n’y a pensé avant moi ? Comme s’il n’avait rien à faire, le jeune adolescent se livre corps et âme -surtout corps- à sa cause, essuyant des défaites humiliantes avant dé véritablement se faire connaître.

A grand renfort de raclées et d’hospitalisation, Dave décide donc de tracer son bout de chemin jusqu’à constater qu’en fait, si, quelqu’un y avait pensé avant lui. C’est ainsi qu’il rencontre Hit Girl et Big Daddy.

Mais on n’en saura pas plus parce que le tome 1 de Kick-Ass est plutôt « court » scénaristiquement parlant. Il plante les personnages en mettant au premier plan Kick-Ass et en nous faisant découvrir les deux autres protagonistes dans une scène jouissive de violence et d’hémoglobine qui nous font vainement tourner et retourner la dernière page entre nos mains… Quoi ? C’est déjà fini ?!

Graphiquement, la patte de Romita Jr est un véritable délice et on sent qu’il a pris plaisir à donner vie à Kick-Ass. Les couleurs sont bien dosées (ni trop sombres, ni trop flashy), le découpage est efficace (quoi que pas très original) et le trait est assuré sans être trop sombre ou trop clean. Les ombrages sont bien dosés et la colo, quoi que numérique, a laissé sa place à des coups de stylets proches de coups de pinceau qui donne un petit côté « gouache » loin d’être déplaisant. Le tout est donc très frais sans être niais et le trait du cultissime dessinateur offre à l’ensemble un juste milieu agréable qui sauve Kick-Ass d’une ambiance vieillotte ou caricaturale.

On n’a alors plus qu’une hâte : avoir le tome 2 entre les mains et espérer que Nicolas Cage ne dénaturera pas le rôle de Big Daddy. Mais pour cela il faudra attendre respectivement juin et avril 2010.

Vous n’avez donc pas à hésiter : foncez sur Kick-Ass, c’est un comics qui promet de devenir une véritable référence dans les années à venir. Un vrai petit plaisir dont on ne se sent même pas coupable.


Le grain de pixel d’Oujiz :

J’aime l’énergie dégagée par Mark Millar. Kick Ass est un OVNI parmi tous les comics que j’ai lu jusqu’alors. Quand le virtuel rencontre la réalité, Kick Ass est le genre de comics qui ne vous laisse pas indemne. Rare sont les comics qui ont poussé la réflexion après leur lecture, Kick Ass m’a clairement retourné le cerveau au point de commencer des esquisses de mon futur costume de super héros… Mais pourquoi personne n’y avait pensé avant moi ? haha

La révolution des Nerds qu’ils disaient, elle commence à peine !

KICK ASS UN MUST HAVE !



Kick-Ass est publié aux éditions Panini au prix de 11€ environ.