On vous a déjà dit que les chats étaient des connards ?
Un clin d'oeil au Zorro de Banderas ?
Le Chat Potté (Chris Miller)
Je vous la fais courte parce que je suis à la bourre… Et puis qu’il n’y a pas tant que ça à dire sur Le Chat Potté !
Personnage emblématique de Shrek, quand il a fait son apparition dans la fameuse saga de l’ogre il est tout de suite devenu une icône. Avec son regard adorable il a séduit les foules et rappelé des souvenirs à tous ceux qui ont déjà dû affronter de telles mascarades de la part de leurs félins miniatures…
N’oublions pas non plus son accent latino qui fait de lui un véritable tombeur, véritable cliché vivant incarné dans une boule de poils. Il faut dire qu’en VO, cerise sur el gato, c’est Antonio Banderas qui porte les bottes !
C’est tout naturellement, donc, que la bête a droit à son cross over bien mérité… On ne s’attendra pas à un scénario défrisant, néanmoins la qualité de l’animation Dreamworks sera forcément au rendez-vous avec un humour, on l’espère, au moins aussi poilant que celui de Shrek ! Quand on sait que c’est le papa de Shrek qui se charge de ce film qui a déjà reçu trois nominations dans divers festivals… Pourquoi ne pas lui laisser une chance ?
L’ère Brand New Day étant terminée, il est temps pour Spidey de prendre un nouveau départ à travers le Big Time de Dan Slott. Un nouveau départ extrêmement prometteur !
Tout a l’air d’aller pour le mieux pour Peter, l’ombre de Mary Jane ne plane plus sur sa relation avec Carlie, Marlan Jameson lui a trouvé un job très bien payé chez Horizon et il refait partie des Vengeurs. Tout va bien donc. C’est bien sûr sans compter sur le Dr Octopus pour mettre la pagaille avec ses robots tueurs ainsi que le retour improbable du… Super Bouffon ! Un retour de courte durée puisqu’il se fera liquider assez rapidement par Phil Ulrich, un autre ancien Bouffon qui oeuvrait lui pour le bien mais qui a manifestement changé son fusil d’épaule. Un nouveau Bouffon est en ville, et bien entendu, devinez qui va prendre les coups ?
Devinez qui est de retour !
Mais quelle bouffée de fraîcheur que ce Big Time ! Finis les mélodrames et les plaintes ininterrompues de Parker ! Bonjour le retour de la vie amoureuse, sociale et professionnelle ! Qu’on soit d’accord, j’adore Mary Jane, je vendrais mon âme pour qu’ils se remettent ensemble, mais je préfère largement qu’ils ne soient qu’amis plutôt que Peter se casse la tête et ne puisse établir de nouvelles relation à cause de la jolie rousse. Or depuis One Moment In Time, ce point est réglé. On est aussi bien content de voir Peter travailler dans la science. Dan Slott a bien compris qu’un mec brillant comme Parker ne pouvait définitivement pas être photographe jusqu’à la fin de sa vie. Bon, la société Horizon a l’air un peu trop propre pour être honnête, mais là ce n’est qu’une supposition de ma part. Sûrement due au fait que pendant deux ans, le Tisseur n’a cessé d’accumuler les emmerdes. Mieux encore, il a l’air de s’affirmer ! Preuve en est, il ne se laisse plus avoir par la Chatte Noire. Non vraiment, Slott a vraiment bien joué son coup et la bonne nouvelle est qu’il sera seul maître à bord de la série pendant quelques temps, ce qui lui laissera le temps de réellement poser sa patte. Je reste néanmoins plus dubitatif concernant le nouveau Super Bouffon. Phil Ulrich n’est pas vraiment resté dans les mémoires et la cause de son changement de camp reste des plus banales. Il ne fait cela qu’à cause d’un complexe d’infériorité et souhaite prouver à Norah (l’ex collègue de Peter dont il est fou amoureux) qu’il existe. Mais bon, que serait Spider-Man sans un Bouffon à combattre ?
Avant d'entrer dans une énorme société, il vaut mieux se mettre à la page.
Les dessins sont assurés par Humberto Ramos et son style cartoonesque pourra en rebuter quelques uns. Force est de constater qu’ils s’intègrent plutôt bien à la série.
J’ai pris un plaisir immense à lire cette première parution de ce Big Time. Véritablement rafraîchissant, posant des nouvelles bases et faisant table rase des deux (immondes) années précédentes, ce run s’avère plus que prometteur. Dan Slott, je compte sur vous pour redorer le blason du Tisseur !
Avec certes un peu d’avance, pour des raisons qui seront évoquées plus tard, dans un autre monde, dans un autre tweet, je tiens à vous faire partager un événement particulier qui me fait écraser une petite larmichette. Et pour vous en parler, rien de mieux que le Kiss my Stirp de cette semaine.
Un petit concours, juste après le précédent qui vient juste de se terminer et juste la veille de la journée mondiale du jeu vidéo, c’est pas splendide , hein ? (indice : si). Un tout petit concours, hein, on va pas faire péter le nabuchodonosor de champagne tout de suite, mais il sera marrant, promis.
Rien de plus simple pour participer : laissez dans les commentaires juste dessous votre idée de nom pour notre zombie à casque, en n’oubliant pas d’utiliser une adresse mail valide. Pourquoi ? Parce qu’il y a des lots, té !
Le nom qui sera considéré comme le plus original/cool/sympa/trololesque ou les quatre à la fois permettra à celui qui en aura eu l’idée de repartir avec une réduc pour la boutique Jinx, pour se saper dans la classe la plus geeke, ainsi qu’un jeu XBLA, à choisir entre from Dust, Fruit Ninja Kinect et Dungeon Defenders. Les deux suivants, qui auront proposé un nom qui claque pas mal mais pas autant que le premier, auront quand même chacun un jeu XBLA (parmi ceux qui resteront). Désolé à ceux qui n’ont pas de X360, mais au moins, ça fait que n’en ayant pas moi-même, je ne pourrai pas participer, donc je ne pourrai pas trouver que mon nom est le plus cool.
Hum, les résultats seront annoncés dans le prochain stirp, donc vous avez jusqu’au 30 novembre inclus pour faire vos propositions. Va pas falloir traîner. Évidemment, le staff de KmG ne peut pas participer. Ceux qui crachent sur la Wii non plus (c’est moi qui fixe les règles, OK ?).
Pour la deuxième année consécutive, nous célébrons demain 25 novembre la Journée Mondiale du Jeu Vidéo !
Cette initiative française à vocation internationale prend peu à peu de l’ampleur et va être célébrée dans les 4 coins de l’Hexagone ! Son but ? Célébrer le 10è art, sensibiliser, rassembler les joueurs et ceux qui voudraient découvrir le plaisir des manettes.
Le plus gros évènement est certainement celui organisé par Loisirs Numériques à la Gaité Lyrique de Paris, toute la journée ! Vous pouvez voir les détails de l’évènement et vous y inscrire en suivant ce lien.
Toutes les villes s’y mettent, comme en témoigne la page Facebook de la JMJV. Et à Lille aussi on se rassemble pour l’occasion lors d’un Twunch organisé par OrdiRetro à l’Estaminet des Trolls & Lutins, dès 19h30. J’y serai, et vous ?
Vous les attendiez, les voilà : les gagnants du concours Sur la piste des dragons oubliés !
Vous avez été nombreux à participer, mais nous n’avons pu en retenir que 5 :
Daemon
Thomas
Marina
Victor
Jean-Noël
Félicitations à eux, et merci à tous ceux qui ont participé.
Nous allons contacter les grands vainqueurs par mail afin d’avoir leurs coordonnées personnelles. Rappelons qu’ils remportent le premier cycle de Black’Mor Chronicles : Sur la piste des dragons oubliés !
Voici leurs participations. Nous les félicitons pour leur créativité ! 🙂
Daemon
Peu de gens le savent mais les loup-garous sont des geeks, on dit souvent qu’ils se transforment pendant la pleine lune mais c’est faux ! Ils se transforment uniquement lorsqu’ils ont un nouveau jeu vidéo, ou un livre sur les dragons et autres créatures fantastiques, et qu’ils sont très heureux. Mais aussi lorsqu’ils perdent à un jeu vidéo ou de rôle (attention, évitez de jouer avec un loup-garou) ! Depuis quelques mois, on remarque une recrudescence du nombre de loup-garous due aux livres du célèbre Elian Black’ Mor ! Oui, les geeks deviennent loup-garous lorsqu’ils sont « mordus » d’une passion très intense pour le fantastique. Étrange, n’est-ce pas?
Quoi qu’il en soit, les loup-garous ne sont pas ce que l’on croit et il paraît même qu’ils sont accrocs à Minecraft !
Thomas
Voici la participation au concours des Dragons oubliés de Thomas, un peu trop longue pour être retranscrite ici. On oublie les fautes, et on se laisse happer par ce petit texte bien sympathique !
Marina
Victor
Jean-Noël
Si les créatures fantastiques étaient des geeks, les dragons, à l’intelligence supérieure, en seraient certainement les ingénieurs informatiques. En manque d’occupation mais pas en panne de créativité, ils se mettraient à concevoir le plus prenant des jeux vidéo du monde fantastique : World Of Humancraft (WOH pour les initiés ! ).
Un jeu dans lequel il s’agirait d’incarner un animal pour le moins étonnant : l’Homme. Pas de fourrure ( sauf une race vivant aux abords d’une mer au milieu des terres ), pas de plume, de griffe ni de dentition extraordinaire. En somme rien pour se défendre naturellement ! Il devrait tout apprendre et tout fabriquer.
Après avoir passé 50 000 niveaux ( oui parce que les dragons sont un peu sadiques des fois ), le joueur devrait choisir sa voie, sa carrière. Suivant les valeurs du joueur et sa finesse d’esprit ( de l’elfette noir raffinée au troll des cavernes ), on verrait apparaître des couturières aguerries, capable de torturer ses semblables pendant des heures avec du fil et une aiguille, des bûcherons entreprenants des forêts nordiques, capables d’abattre un sapin Ikéa ( curieusement cette essence existe dans le monde fantastique, elle sert surtout dans la fabrication de meubles ) en un coup d’une hâche de 3 mètres de haut, et autres chefs de castes complètement verreux et vérolés, pourris jusqu’à la moelle mais toujours corrects en public ; on les appellerait des poli-ticiens.
Le joueur pourrait donc évoluer de 2 manières différentes :
– Protéger la Nature, lui rendre hommage, replanter des arbres, éviter les marées noires, éradiquer les pollutions sous toutes ses formes…
Et après être arrivé au niveau 1 435 3……48 970, la Terre serait redevenue un endroit riche et sauvage.
– Servir le Chaos, dévaster les continents et les 7 mers, tout raser et entièrement batir, tout assecher et combler…
Et après seulement 73 niveaux et demi ( parce que ça va toujours plus vite de faire mal que de faire bien ) le globe ressemblerait à la planète Mars, avec un mince filet d’eau coulant du nord au sud et quelques mégalopoles rougeoyantes et fumantes.
Voilà en gros le fil conducteur de l’histoire, qui pourrait être encore largement enrichi !
Et elle le fait bien ! Un petit medley bien rafraîchissant concordant avec la sortie de Zelda Skyward Sword, très agréable à écouter, et la demoiselle portant ce costume bleu donne le sourire !
Que serait le monde du jeu-vidéo sans un peu de WTF, hein ?! Alors si je vous dis: bad-boy maudit, oeil maléfique, démons en tous genres (et notamment avec tête de gallinacé !), décapitation et démembrement, humour digne d’un bon nanard au cinéma, vous en concluez??! Non, non, chers amis geeks, il ne s’agit pas d’une expérience sous LSD, mais bien de l’univers de NeverDead, made in Konami !
Je plaide coupable pour remettre une couche de WTF sur KMG, en cette fin 2011 ! Car si l’annonce de Lollipop Chainsaw vous avait ravis, ce jeu était bien parti pour décrocher le titre de « Meilleur Jeu WTF-gore » dans mon palmarès des jeux les plus abracadabrantesques & les plus attendus de cette fin d’année ! Et, comme un pavé de pixels dans la mare numérique, est arrivé un sérieux challenger du ni’mporte-naouac, présenté lors du dernier TGS, par Konami: NeverDead.
« C’est l’histoire d’un mec… »
Plus de 500 ans ont passé depuis qu’un mortel, nommé Bryce Boltzmann, a enduré une tragédie qui a changé sa vie, suite à un combat contre Astaroth, le Roi-Démon.
Sa femme a été assassinée sous ses yeux, il a été vaincu par Astaroth, le Roi-Démon, qui a fait de sa vie une souffrance éternelle en le rendant immortel. Exilé, solitaire, errant sans autre but que de trouver le prochain bar où boire un autre verre, il va néanmoins prêter main-forte au groupe clandestin NADA (pour National Anti-Demon Agency) en poursuivant sa quête de rédemption. Et cette quête passe par l’extermination de forces démoniaques qui grouillent dans le monde moderne, flanqué de sa partenaire, Arcadia.
« Devils don’t cry »
Ouais, comme dirait notre bon vieux pote Dante: pas de quoi fouetter un démon ! Des Devil May Cry-like, il y en a eu, et bon, comment dire… aucun n’a su détrôner le King of Rock N Hell Rolla, notre ami à l’imper rouge, mi-humain, mi-démon, j’ai nommé Dante le Magnifique >3
Alors déjà lors de l’E3 2010, en voyant le teaser de NeverDead, je m’étais dit: encore un jeu avec de bonnes idées, mais qui va vite passer aux oubliettes, voire être abandonné en cours de développement.
C’était donc sans compter l’endurance de Shinta Nojiri, le papa de NeverDead, sous contrat avec Konami depuis la fin des années 90s, il avait notamment bossé sur la saga de Metal Gear Solid avec Kojima-sensei (notamment les opus MSG AC!D) Nojiri-san a eu l’idée de NeverDead en partant d’un concept simple: un héros qui ne pourrait pas mourir, quoiqu’on lui fasse. Et certes, Nojiri, le reconnaît: Bryce n’a pas la classe, il n’est pas spécialement beau, mais il a la grosse patate, et il se bat sans relâche, avec toutes ses forces, c’est cela qui en fait un héros intéressant (tout du moins aux yeux du développeur et lead-designer nippon)
« Heads will roll »
Dans ce jeu d’action à la troisième personne, c’est au travers de la maitrise de l’art de la décapitation et du démembrement, que Bryce Boltzmann avance dans les combats avec aisance et nonchalance, contre des démons plus hideux les uns que les autres.
Sans cesse hanté par le souvenir de sa femme, éventrée sous ses yeux par Astaroth, notre héros est poursuivi par un des sbires du Roi Démon, un dénommé Sangria (*olé* hum) qui n’est autre qu’un démon à tête de gallinacé que Bryce a vaincu lorsqu’il était encore humain, il y a 500 ans (démon qui a la défaite encore bien mauvaise)
Hormis ce formidable (et certes simpliste) synopsis, le gameplay en lui-même promet (selon nos petits amis de chez Konami) une « expérience unique de jeu grâce au pouvoir de régénération/démembrement » du héros; sachant que Bryce peut utiliser un de ses bras comme bombe, et sa lancer sa tête en éclaireur pour grapiller des infos, je vous laisse imaginer le tableau… digne de Picasso.
Pour le joueur masochiste (ou tout simplement pas assez bon niveau endurance pour un Dark Souls) il prendra sûrement un malin plaisir à faire survivre Bryce à des morts diverses et variées, notamment par électrocution, immolation par le feu, les combats contre des ennemis géants en zones hostiles (au milieu d’un ouragan, ou sur une autoroute surchargée)
Bref : de quoi remplir votre quota de morts insolites dans les jeux vidéos 😉
Le tout sachant que le seul game over que vous pourrez obtenir sera via la mort de votre partenaire au long pull bleu: la jolie (mais mordante) Arcadia (et celui qui a survécu à maintenir en vie l’Ashley de RE4 sera heureux de voir Arcadia effectuer le sale boulot avec grâce et sans se plaindre ! O bonheur !)
Bien sur, il y aura aussi des armes, de mêlée, de tir, bref, du lourd, la possibilité d’upgrader les caractéristiques de votre perso, mais également de détruire le monde vous environnant (ou ce qu’il en reste !) de quoi rassasier la brute qui est en vous (ou presque)
Et pour finir, si malgré tout ça vous en voulez plus, Konami nous annonce un mode co-op online et des challenges compétitifs pour massacrer les ennemis en duo (ou simplement vous poutrer entre amis, sur un malentendu, sait-on jamais…)
Oui, amis geeks: du lourd, du TRÈS lourd !! (*ironie inside*)
Des explosions, des démons, de la blague à deux balles, et du démembrement… De quoi bien loller dès le premier trimestre 2012 ! Mais, comme d’hab’, on ne pourra pas torpiller ce NeverDead avant sa sortie, annoncée pour le 2 Février 2012, au Japon, sur PS3 & Xbox 360 (et théoriquement peu après en Europe…)
Bryce, le bad-boy immortel (sa coupe de cheveux rappelle vaguement celle du héros d'Enslaved, non?!)
La tenace Arcadia (une jolie blonde, elle n'est pas immortelle mais c'est une kickass)
Cypher, la femme décédée de Bryce... (comment ça elle a piqué sa cape à Ezio ?!!)
Nikki, pop-star en devenir, que Bryce va devoir aussi protéger ! (vous trouvez pas qu'elle a un petit air de Yuna de FFX ?!)
Le démon-poulet qui veut la tête de Bryce... drôle de némésis !
L'oeil de Sauron? L'oeil de l'épée de SoulCalibur? Non, juste la malédiction d'Astaroth sur Bryce !
Pour palier à un manque de torche dans le noir: rien de mieux qu'une bonne immolation !
Et histoire de s’en mettre plein la vue, les excellents concept works de chara-design de NeverDead, réalisé par l’artiste Toshiaki Takayama (miam !)
TRAILER (TGS 2011)
Vous reprendrez bien un peu de décapitation avec le Trailer/Preview de l’E3 2010 ?!
Bonus !
Le single NeverDead du mythique groupe Megadeth, qui figurera sur la BO du jeu, ENJOY !
La première parution de Fear Itself, le gros cross-over Marvel de l’année écrit par Matt Fraction, est sortie en kiosque. Premières impressions.
C’est la crise, et les New-Yorkais le font savoir dans Manhattan par le biais d’une manifestation qui tourne très vite à l’émeute, laissant Steve Rogers et ses Vengeurs quelque peu démunis. Tony Stark a alors une idée pour calmer ce petit monde, il propose, par le biais de sa nouvelle entreprise Stark Resistance, de rebâtir Asgard (détruite lors de Siège l’an dernier), ce qui créerait de nombreux emplois. Stark, Rogers et Thor vont donc présenter ce projet à Broxton mais Odin ne l’entend pas de cette oreille. Il ordonne, contre toute attente, à tous les Asgardiens de quitter la Terre et ce malgré la farouche opposition de Thor. Pendant ce temps, Sin, la fille de Crâne Rouge, a mis la main sur le marteau divin de Skadi, une arme dévastatrice. Ce coup-ci, les Hommes et super-héros ne pourront pas compter sur les Dieux pour contrer cette menace.
Quand Thor et son père ont un léger différent, ils règlent ça à l'amiable.
Bien entendu, cette première parution sert à planter le décor mais est très intéressante. Son ton est résolument très sombre, les Dieux abandonnant les Hommes devant cette menace bien trop grande. A sa manière, la population elle aussi subit : expropriation, émeutes, crise. C’est donc un avenir très incertain qui s’entrevoit. C’est véritablement bien joué de la part de Matt Fraction puisqu’on ne désire qu’une chose : lire la suite. De son côté, Sin fait une menace très crédible. Il faut dire qu’une Nazi possédée par une entité maléfique, je ne sais pas si on peut faire plus badass. En tout cas cela démarre plutôt bien et j’attends particulièrement l’arrivée des Dignes : des vilains reconvertis en entités divines. Ça va en jeter !
Crâne rouge version Tron ? Non, juste sa fille possédée.
Pari réussi pour l’instant pour Matt Fraction qui a réussi à me donner envie de lire la suite. En espérant qu’il ne se soit pas emmêlé les pinceaux dans une intrigue trop complexe.
En écoutant ma musique quotidienne, je me suis rendu compte que j’écoutais quand même beaucoup d’OST de jeux vidéo. La vérité est même que je n’écoute presque plus que ça, ne pouvant jouer énormément, je me contente de bons souvenirs à travers les OST. C’est un sujet qui me tient particulièrement à coeur, sachant que les premiers jeux ayant bercé mon enfance avaient tous une OST d’enfer. J’ai donc eu l’idée de commencer une rubrique là-dessus, et pourquoi pas en même temps partager avec vous une histoire, qui vous fera rentrer un peu plus dans la musique, même sans avoir joué au jeu. Une histoire, une OST. Une fois par mois.
Final Fantasy IX. Vous savez sans doute Ô combien je chéris ce jeu.
Nobuo Uematsu aux commandes, préparez vous pour un voyage sensoriel. Laissez vous porter…
Lancinants, envoûtants, les ténèbres se font autour de vous. La magie opère, et vous vous sentez frissonner, votre âme vous quitte et rejoint Garland. Janitor of Time.
http://www.youtube.com/watch?v=FEpCUyTS5Pw
Le vague à l’âme, vous ouvrez les yeux. Tout semble plus calme. Vous repensez à vos derniers exploits sur Skyrim, la première chose vous venant à l’esprit est un simple « fuck yeah ». Vous vous sentez puissant. Rien ne vous atteint, vous êtes immortel. Du haut de votre trône, vous observez vos larbins construire cette statue à votre effigie, tandis que la foule aux portes de votre palais vous implore de vous montrer. Immoral Rhythm.
http://www.youtube.com/watch?v=jvqCkbP19Yw
Vous repensez à présent à votre parcours. Fils d’un simple forgeron, vous avez quitté votre village en quête d’aventure. Après des débuts difficiles, vous avez commencé à faire parler de vous. Cette hydre vous a donné du fil à retordre, et beaucoup d’argent perdu à acheter des potions. Mais cette bataille. Vous l’avez toujours en vous, comme une rémanence dans chacun de vos actes. Et vous êtes en train de la revivre. Boss Battle Theme.
http://www.youtube.com/watch?v=VQ3MKtNSOLQ
Vaincue. Vaincue, mais vous en êtes sorti meurtri. La bête est morte, tout n’est que silence à présent. Vous ne souhaitez que repos. L’auberge la plus proche vous suffira. Arrivé, vous vous allongez, et fermez les yeux. Aloha de Chocobo.
Des jours sont passés. Vous vous réveillez étonnamment en forme. Quelques enfants courent vers vous à la sortie de l’auberge. Vous êtes arrivés comme un voleur, rappelez-vous. Vous contez votre périple. On vous acclame en triomphe. Elle s’était attaquée aux troupeaux, laissant les villageois dans la faim. Le bruit courut plus vite que le vent, et votre renommée n’est à présent plus à faire.Votre ascension ne fait que commencer. Jesters of the Moon.