Jeux Vidéo Lectures 4

Trois Couleurs publie « Games Stories »


A l’origine, Trois Couleurs est un journal d’information cinématographique gratuit diffusé (avant tout) dans les cinémas MK2. Avec leur hors-série #7 « Games Stories, L’histoire secrète du jeu vidéo« , ils ont tenu à rendre hommage au 10ème art.

Si son titre fait écho à l’exposition qui a lieu en ce moment-même au Grand Palais de Paris, ça n’est pas un hasard puisque Game Story et MK2 sont partenaires pour l’évènement. Quelle plus belle occasion pour les journalistes de Trois Couleurs de témoigner leur amour du jeu vidéo ?



Une couverture très tape-à-l'oeil... J'adore !


Ce hors-série de plus de 130 pages n’est pas écrit par des spécialistes du vidéoludisme et on en est prévenus dès l’édito. Il faut y voir, plutôt, un hommage au jeu vidéo. Une chronologie reconstruite à partir d’anecdotes et de souvenirs. D’ailleurs le ton employé par les personnes qui se sont prêtées à la rédaction du magazine (Douglas Alves et Yann François entre autres) est empreint d’affection et de nostalgie : rien de tel pour s’identifier à leurs anecdotes !

Le résultat est très plaisant à lire, alternant les portraits, lignes chronologiques décennie après décennie  et multiples illustrations qui témoignent de la création du jeu vidéo depuis les yeux des joueurs. De ce fait, des thèmes variés et originaux y sont abordés, souvent en image, ce qui agrémente d’autant plus la lecture : métiers du jeu vidéo, travaux photographiques, chiffres du marché, etc. Vous allez être surpris !



Une évolution en image des icônes du jeu vidéo !


Du presque parfait, donc, et de la part de non-spécialistes on ne peut que tirer notre chapeau ! Le seul petit hic à relever relève de l’aspect parfois un peu chaotique de la mise en page, dû à l’éclectisme des sujets abordés, et de leurs supports. Autant dire qu’on leur en veut bien peu… Pour vous donner une petite idée de ce qu’on peut y trouver, on a par exemple une retranscription de l’histoire du jeu vidéo de 1950 à aujourd’hui, un entretien avec Steve Russell (le papa de Spacewar!), une enquête sur l’entreprise vidéoludique plus que sulfureuse Molleindustria, plusieurs portfolios sur des artistes geeks (Robbie Cooper et Franck Russo entre autres), des dossiers sur Rockstar, les origines du jeu en réseau, les cinématiques, les jeux de baston… Et on termine par un petit tour de shopping spécial nerdz. La qualité et la diversité du contenu, si elle n’était pas dédiée qu’au jeu vidéo, nous ferait presque penser à Geek Le Mag ! J’ai du coup bien envie d’en redemander… Dites, chez Trois Couleurs, vous ne voudriez pas nous en faire plus souvent des comme ça ? 😉



Les chiffres en image, c'est toujours mieux que des chiffres tout court.


Games Stories est vendu 6,90€ et est à se procurer de toute urgence, tant pour les aficionados que pour les néophytes. Chacun s’y retrouvera et je défie quiconque de ne pas y retrouver un petit souvenir personnel ! En prime, un joli poster qui reprend la généalogie du jeu vidéo… Parfait pour trôner sur le mur de votre bureau, près de votre PC !



LE fameux poster !



En somme, c’est un magazine qui pourra venir agrémenter le rayon des publications Pix’n’Love de vos étagères sans avoir à en rougir !

Quant à Game Story, l’expo a lieu jusqu’au 9 janvier 2012 dans la galerie Sud-Est du Grand Palais à Paris. Comptez 9 euros l’entrée au tarif plein.


Exposition Game Story. Une histoire du jeu vidéo par Rmn-Grand_Palais


Cinéma Séries 6

Doctor Who au cinéma ?


Doctor Who pourrait être adapté au cinéma et ce serait David Yates, réalisateur des 4 derniers Harry Potter qui s’en occuperait.

Faut-il vraiment présenter la série Doctor Who ? Véritable institution en Angleterre, ce monument de la science-fiction, qui dure quand même depuis 1963, met en scène le Docteur, un extra-terrestre qui voyage à travers le temps et l’espace à bord de son TARDIS : un vaisseau spatial qui a l’apparence d’une cabine téléphonique anglaise. Relativement discrète en France (la série n’est diffusée que sur France 4), elle dispose tout de même d’un noyau dur de fan acharnés !

C’est donc dans les salles obscures que le Docteur pourrait venir poser son TARDIS puisque David Yates, réalisateur des derniers Harry Potter, a annoncé avoir mis en chantier une adaptation de cette série culte. Une adaptation qui s’annonce compliquée et qui risque d’en refroidir plus d’un puisque le réalisateur déclare vouloir montrer sa version du personnage, en occultant totalement la mythologie de la série : « Russell T. Davies puis Steven Moffat ont mis sur pied leur propre version du Doctor Who, qui est fantastique, mais nous devons mettre tout cela de côté et repartir de zéro » déclare-t-il au journal Variety. C’est certes la décision la plus logique d’un point de vue commercial puisqu’elle attirera un public nouveau en plus des fans dont la curiosité aura été piqué, mais aussi la plus casse-gueule.

La bonne nouvelle, c’est que Yates souhaite garder la touche anglaise si chère à la série : « Nous voulons une sensibilité britannique, mais cela étant dit, Steve Kloves a écrit les films Harry Potter et a capturé cette sensibilité britannique parfaitement, alors nous cherchons des auteurs américains également. ».



Matt Smith, interprète actuel du Doctor.


Pas d’acteurs en vue pour reprendre le costume du Docteur mais il faudra oublier d’y voir Matt Smith ou David Tennant. A qui fera-t-il confiance ? Un grand nom ? Un parfait inconnu ? Un jeune ? Un moins jeune ? Le Docteur pouvant prendre toute sorte d’apparence humaine grâce à son processus de régénération qui a permis à la série de passer les décennies, David Yates possède donc un choix assez large.

De mon côté, j’avoue être très frileux devant cette future adaptation. Et vous ? Connaissiez-vous Doctor Who ? Que pensez-vous de voir la série arriver sur grand écran ?

Cinéma Dans Ton Cinéma

[DTC] Sorties de la semaine



Promis, je ne vous parlerai pas de Twilight IV. Oops, trop tard.


Le baseball plus sexy que jamais !

Le Stratège (Bennett Miller)

Le réalisateur de Truman Capote nous revient cette semaine avec un autre témoignage d’une histoire vraie. Celle de Billy Beane, un ancien joueur de baseball prometteur incarné par Brad Pitt qui, à défaut d’avoir réussi sur le terrain, décide de tenter sa chance en dirigeant une équipe de la façon la plus révolutionnaire qui soit.

Le Stratège est lui-même l’adaptation du livre Moneyball de Michael Lewis qui, selon les spécialistes du baseball, a révolutionné l’économie du sport.

Nous sommes en 2002, la saison se profile et en tant que manager général des Oakland Athletics le voilà confronté à une situation difficile… En effet, sa petite équipe a une fois de plus perdu ses meilleurs joueurs, attirés par les grands clubs et leurs salaires alléchants.

Malgré cela, il va tout mettre en oeuvre pour gagner en mettant en place des solutions peu onéreuses et auxquelles personne ne semble avoir pensé avant : s’appuyer sur des théories statistiques. Pour cela, il engage Peter Brand (Jonah Hill), un économiste amateur de chiffres issu de Yale. Ensemble, et contre tout ce qui avait été fait jusque là, ils évaluent à nouveau la valeur de chaque joueur en partant de simples chiffres. C’est ainsi qu’ils vont constituer une équipe de laissés-pour-compte, oubliés par l’establishment du baseball, mais que les statistiques désignent comme prometteurs. Trop étranges, vieux, blessés ou inadaptés, ils ont tous en commun des capacités sous-évaluées. Leurs méthodes et leur équipe attirent aux deux hommes toutes les moqueries et l’hostilité imaginables. Mais quand les premiers résultats tombent, c’est unanime : Beane est en train de révolutionner toute la pratique de l’un des sports les plus populaires du monde…

Ce film s’adresse donc aux fans de sport, ou bien tout simplement aux amoureux des belles histoires et à ceux qui croient en l’American Dream 😉

Je vous invite à jeter un oeil à ce trailer plutôt sympathique.


Site officiel


Sources et images via Allociné.

Sociologeek 2

[Sociologeek] : Learning

J’ai eu récemment l’occasion de rencontrer une prof d’Anglais (lycée), avec qui j’ai eu l’occasion de papoter d’un sujet assez marrant.

Alphabreak – Digital Love

Elle remarquait qu’il y avait chaque année de plus en plus de très bons élèves en Anglais. Je précise que cette prof est jeune et n’a pas encore eu dans sa carrière 20 classes différentes.

Et j’ai pensé à lui demander à quoi elle attribuait ce niveau de plus en plus élevé, et elle m’a simplement vanté les mérites des jeux vidéo dans l’apprentissage des langues. ET OUAIS !


Et c’est vrai qu’un bon gamer durable a de superbes notions en Anglais ! Avec même des spécialités. Certains registres qu’on peut connaitre par cœur.

Par exemple, à force d’arpenter les grands classiques d’EA Sports américains (Madden NFL, NHL, NBA Live et 2k) j’ai ingéré un vocabulaire sportif assez sympa, à force d’entendre les fabuleux commentaires de Cris Collinsworth, Tom Hammond, Gus Johnson pour la NFL et Kevin Harlan, Clark Kellog, et le nouveau dans la série Steve Kerr pour la NBA.

Après maintes heures passées sur ces jeux, j’ai donc pu apprécier les petites subtilités, les petits détails, l’accent qui te font passer de « j’ai appris l’anglais à l’école » à « je parle Anglais ».

Et vous ? Dans quel registre êtes-vous un véritable pro de l’anglais ?


VULCAIN !

Kiss My Stirp 1

Kiss my Stirp #24 : Coupant comme une lame, rapide comme l’éclair

Kiss my Stirp #24 : Coupant comme une lame, rapide comme l'éclair

Kiss my Stirp #24 : Coupant comme une lame, rapide comme l'éclair

Ceux qui se rappellent de ces paroles sont des gens biens (et viennent de se prendre quelque chose comme 18 ans dans la tronche). Sonic the Hedgehog fête dignement ses 20 balais avec un Sonic Generations du meilleur goût. Le postulat de base -on réunit Sonic Classique et Sonic post-Saturn et on leur fait traverser les niveaux emblématiques des précédents jeux– sent l’appeau au fanboy, mais tant que c’est réussi, hein…

Kiss my Stirp #24 : Coupant comme une lame, rapide comme l'éclair
… hé ouais, jusqu’à récemment, avec Sonic Colors sur Wii, la carrière du hérisson en version DreamCast et plus a connu ses hauts (les Sonic Rush ou Advance), ses bas (Sonic Unleashed, comme mentionné) et ses abyssaux (Sonic Shuffle). Je ne souhaite que du bien à la suite de la carrière du mammifère bleu, les gens de la Sonic Team ayant semble-t-il trouvé la formule miracle. Et n’oublions, qu’avant…

Kiss my Stirp #24 : Coupant comme une lame, rapide comme l'éclair
Épilogue

Et sans doute d’autre vieux titres qui ne me viennent pas spontanément, ma mémoire étant bien heureusement sélective.

Cinéma Dans Ton Cinéma

[DTC] Sorties de la semaine



Cette semaine, une Contagion de taille AAA !


Désolée, mais y'a pas de zombies dans celui-là !

Contagion (Steven Soderbergh)

Le réalisateur de Ocean’s Eleven et d’Erin Brockovich nous revient dans un tout autre style : le film catastrophe. Enfin… Le « thriller dramatique de science fiction ».

Un casting de rêve (Marion Cotillard, Matt Damon, Jude Law, Laurence Fishburne, Kate Winslet, Bryan Cranston ou encore Gwyneth Paltrow) pour un sujet qui fait beaucoup moins rêver. Voilà ce qu’il nous propose.

En effet Contagion raconte l’expansion à l’échelle mondiale d’une pandémie meurtrière. C’est un thème récurent, et c’est compréhensible étant donnés les virus ayant menacés la terre entière ces 10 dernières années (ne serait-ce qu’H1N1)…

On suit ici une équipes de chercheurs mobilisée pour décrypter le génome du virus, en constante mutation et qui ne cesse de se propager. Panique collective, bataille des grands groupes pharmaceutiques, vaccins expérimentaux, théories du complot exposées sur le net…  Tout y passe ! Ça ne vous parle pas, à vous ?

C’est en tout cas tout ce que Soderbergh retransmet dans un film criant de vérité.


Site officiel


Sources et images via Allociné.


Sociologeek 4

[Sociologeek] : Réservoir

C’est après 2 harassantes semaines de travail que je reviens vers vous pour ce nouveau Sociologeek ! *joie*

KLUB SANDWICH


J’aimerais aborder ici la notion de réservoir de titres et de nouveauté dans le jeu.

Il est coutume en radio d’énoncer une règle assez simple impliquant qu’un auditeur lambda possède en mémoire un « réservoir de chansons » qu’il faut savoir analyser. Lorsqu’un nouveau titre arrive en playlist et qu’il est adopté par l’auditeur, il a tendance à délaisser un titre plus vieux, et a ainsi systématiquement renouveler sa garde-robe musicale.

En est-il de même avec la culture vidéoludique ?


Je pense qu’il existe 2 catégories de gamers à ce sujet là

A commencer par les conservateurs

Le conservateur apprécie ses titres, et reste dans l’expérience de gaming continue, exploitant les titres sur lesquels il a toujours joué, jusqu’à l’ultime goutte, l’ultime coin de carte non exploré, la dernière quête secondaire ou jusqu’au stuff parfait. Une connaissance donc encyclopédique des rares jeux auxquels il joue. Ils ont mon plus grand respect. Mais faute de matériel performant, de volonté, ou par peur de la déception, ils ne sont pas cette deuxième catégorie de gamers que j’appellerais :


Les progressistes.

De loin ma catégorie préférée de gamers, les progressistes reconnaissent les qualités des jeux, reconnaissent le « travail » des conservateurs, mais préfèrent une approche plus moderne de l’expérience vidéoludique.  Ce type de gamer préfère clairement les « nouveaux » hits, et basent leur admiration devant les nouveautés et les progrès dans le jeu vidéo. Un nouveau Game System, une nouvelle prise en main, des interfaces mieux pensées, de meilleures façon de jouer, une approche différente du jeu, ces gamers là aiment être surpris, et qu’on leur fasse sentir que tout évolue. Ils sont dans le futur. Les prochains graphismes super-réalistes du prochain FPS à la mode ? Les prochaines sensations qu’ils ressentiront dans un jeu de bagnole ? Le niveau d’une IA qui s’avère difficile dans le prochain STR ? Ces mecs-là aiment en prendre plein les yeux.


Alors si vous êtes plutôt un nostalgique cherchant à creuser ses jeux préférés, ou un Indiana Jones partant à la découverte d’une nouvelle façon de jouer, un point commun nous rassemble tous, c’est la passion du gaming ! Alors jouons amis ! (Et qui sait je vous poutreray pitêtre sur un Tekken 3 !)


VULCAIN !

Jeux Vidéo Séries 3

Alan, wake up… again ?

Alan Wake

 

Sorti des brumes, Alan Wake serait de retour, mais pas pour un second opus « traditionnel »… Pour tous ceux qui ont aimé ce jeu, une bonne nouvelle se profile (peut-être !) à l’horizon… Enfin, dans un vague brouillard !

 

Alan Wake thriller psychologique

 

Sorti en Mai 2010 sur XBox 360, Alan Wake, le survival horror à la Stephen King, de chez Remedy Entertainment avait connu un réel succès: vendu à plus d’un million de copies depuis sa sortie, élu Meilleur Jeu-vidéo de l’année 2010 par le magazine Times, une bande son originale énorme, une web-serie (court-métrage) et une promo d’enfer dans la foulée, suivront deux DLC sur le Xbox Live, et voilà Alan Wake issu au rang de Meilleur Jeu-vidéo d’Horreur par IGN en 2010.

Évidemment avec pareil succès, tout le monde s’attendait à un deuxième volet d’aventures de cet écrivain en mal de d’inspiration… et Remedy avait, au début, laisser planer le doute quant à une sequel du jeu.

 

Elle court, elle court, la rumeur…

Apparemment ce n’est pas prêt d’arriver (tout du moins pas un AW2 traditionnel), mais la rumeur traîne depuis plusieurs mois quant à un ‘standalone’ qui pourrait arriver prochainement sur le XBox Live Arcade. Un opus autonome qui n’aurait pas besoin du jeu original pour tourner, les éditeurs nous habituent pas mal à ce nouveau mode de jeu, et dans le cas d’Alan Wake, il y a de fortes chances que ça marche pas mal.

Et cette « rumeur » a été confirmée, il y a quelques heures à peine, par le très célèbre Major Nelson via son compte Twitter officiel (aka Larry Hryb, le très cool directeur de la programmation sur XBox Live, chez Microsoft) En VO dans le texte:

We can confirm that this new “Alan Wake” game will be a fully standalone experience and released on Xbox LIVE.

 

Alan Wake et les forces obscures
Alan Wake: Moi, rempilé pour me faire pousuivre par ces choses ?! Mais j'ai rien signé !!

 

Ce nouveau jeu, puisque la rumeur le décrit comme tel, se nommerait « Alan Wake: Night Springs« , et avait été dévoilé juste après l’annonce de Remedy comme quoi leur équipe planchait sur un nouveau projet, qui n’était pas un Alan Wake 2 (cf. sources / l’annonce de Remedy au site Eurogamer)

Alors qu’en est-il ? Reverrons nous Alan Wake poursuivi par des forces obscures ? Ce nouveau jeu se déroulera t-il une fois de plus dans la mystérieuse ville de Bright Falls ? Reverrons nous Alice Wake, la femme d’Alan ? (*no spoils intended*)

 

Bright Falls
Bright Falls, une petite ville cotiere bien sympathique où l'on retournerait bien passer nos vacances !

 

Tin tin tin (*jingle de suspense*)
Hé bien, il faudra attendre, comme d’habitude !!… Et ce sera probablement lors des prochains Video Game Awards, via Spike TV, qui se dérouleront le 10 Décembre prochain, que l’on en apprendra un peu plus sur cette suite (qui n’en est pas une), ni une sequel, ni une prequel d’ailleurs… Bref on en saura plus, c’est plus ou moins certain !!!
Alors stay tuned ! 😉

 

*Flash-back*
Et pour ceux qui ne connaîtraient pas encore Alan Wake, et qui n’y ont pas joué, petit retour sur ce très bon jeu:

L’histoire:
« Alan Wake est un auteur à succès de thriller policier. Mais, depuis deux ans, il souffre du syndrome de la page blanche. Sa femme Alice décide alors de l’emmener en vacances dans la paisible ville de Bright Falls afin, espère-t-elle, qu’il puisse retrouver l’inspiration et écrire un nouveau livre. Mais lorsque sa femme disparaît, le dernier roman d’Alan, un livre d’horreur qu’il ne se souvient pas avoir écrit, prend vie et une force obscure prend possession de la population et de tout autre objet. Suspect, Alan doit fuir la police et le FBI afin de retrouver sa femme et comprendre ce qui lui arrive. Mais si la journée, la région est magnifique et la population locale très accueillante, la nuit apporte immanquablement son lot de souffrances, de ténèbres et de cauchemars. A vous de guider Alan dans sa quête de lumière. »

 

Alan Wake - Divers Island
La bonne idée du couple Wake: aller passer quelques jours sur la sympathique petite ile de Divers Island, près de Bright Falls...

 

Alice Wake
A la maniere d'un bon Silent Hill, Alice Wake va connaitre une disparition mystérieuse... (Si seulement tu avais eu une Playstation, Alan !!)

 

Alan Wake
Le combo ultime: lampe-torche et gun. Non, Alan, tu ne seras jamais agent du FBI, mais tu peux au moins essayer de sauver ta peau !

 

Trailer Alan Wake / XBox 360

 

Et pour ceux qui s’en tirent pas trop mal avec l’anglais, l’excellente prequel au jeu, sous forme de web-serie, nommée « Bright Falls, The series » (ici compilée en une petite demie-heure, mais c’est un must !!) :

 

Bright Falls: The Series

 

(Sources)
XBLA Fans / La rumeur commence ici
Lien twitter Major Nelson
Remedy parle à Eurogamer, pas d’Alan Wake 2 !
Alan Wake sur Wikipédia