Évènements Jeux 1

[Flash] Razer x LoL : Rune Giveaway !

Razer League of legends, runes gratuites !

Invocateur, dans le cadre de la PAX, Razer et Riot Games s’associent et vous offrent dans une quantité très limitée deux runes utilisables dans le jeu League Of Legends, de Riot Games !

Rendez-vous très vite sur ce lien, il n’y en aura pas pour tout le monde ! Par contre, prenez votre mal en patience, le site est saturé, vous risquez de ne pas pouvoir y accéder tout de suite :

http://www.razerzone.com/pax/league-of-legends

Apparemment, vous pourriez réitérer l’opération autant de fois que vous le souhaitez en utilisant des adresses poubelles, alors n’hésitez pas, faites plaisir à vos amis :p

Kapow! Lectures 1

[Kapow!] Green Lantern : Origines secrètes



Avec sa sortie en salle récente, il était fort logique que Panini nous gratifie d’une parution sur Green Lantern. C’est le cas avec l’excellente saga Secret Origin de Geoff Johns qui retrace les premiers pas de Hal Jordan en temps que Lantern.

Depuis tout petit, Hal Jordan voue une passion sans limite à l’aviation et aux exploits de son père, un pilote mythique. Cependant, lorsque celui-ci se tue lors d’un crash, sa mère l’interdit de s’approcher d’un terrain d’aviation. Chose qu’il ne peut décemment faire et à 18 ans, il intègre l’armée de l’air et devient un pilote émérite mais tête brûlée, ce qui lui vaut pas mal de problèmes avec ses supérieurs. Sa vie bascule complètement lorsqu’un vaisseau alien s’écrase non loin de lui. A l’intérieur, Abin Sur, un officier du Corps des Green Lantern mourrant lui annonce qu’il a été choisi par l’anneau. Hal est envoyé sur la planète Oa pour subir son entraînement et comprendre ce qu’on attend de lui mais ais le Terrien ne possède pas encore la sagesse nécessaire et est toujours rongé par ses démons intérieurs. Avec l’aide de Sinestro, le plus grand de tous les Green Lantern, il combattra un ennemi ancestral ainsi que son ennemi intérieur et fera des découvertes sulfureuses sur le Green Lantern Corps.



Hal a la classe.


Comme son nom l’indique, cette saga revisite les origines du personnage et constitue donc une très bonne porte d’entrée pour les néophytes puisqu’énormément d’éléments de l’univers y sont intégrés et expliqués (les Manhunters, les Gardiens, le Green Lantern Corps…) tout en répondant à des questions qui n’avaient jusqu’alors pas de réponses : pourquoi Abin Sur voyage-t-il dans un vaisseau et non pas à l’aide de son anneau ? Quel est la nature de sa liaison avec Sinestro ? Geoff Johns, auteur de la grande majorité des parutions depuis le retour de Hal Jordan en temps que Green Lantern maîtrise son sujet. Même si l’on connaît déjà l’histoire, il y intègre un oeil nouveau tout en y modifiant quelques points : la relation entre Hal et Carol est remise à plat, la transformation d’Hector Hammond, William Hand qui a un rôle dans la saga Blackest Night est même présent ! Johns nous présente un Hal Jordan très humain, rongé par la colère et la culpabilité, ce qui nous vaut des scènes magnifiques remplies d’émotion. Mais l’action n’est pas en reste et les premiers combats d’Hal sont épiques. Tout ceci est renforcé par les magnifiques planches de Ivan Reis qui prouve qu’il est aussi à l’aise dans les passages intimistes que dans les embardées cosmiques !



Hal et Carol, une relation bien compliquée.


En bref, une excellente histoire accessible à tout le monde qui mêle parfaitement l’émotion, la mythologie des Green Lantern, les combats cosmiques et un humour qui fait mouche. Pour 9,95€, ne vous privez pas !

Évènements Jeux Vidéo 3

[Compte-rendu] Conférence Deus Ex : Human Revolution


Deux Ex Human Revolution



Bonjour à tous ! Aujourd’hui avait lieu au Max Linder Panorama, un cinéma parisien, l’avant-première de Deus Ex : Human Revolution, à laquelle j’ai eu la chance d’assister. Je m’excuse d’avance du manque d’illustrations dans cet article, panne d’appareil photo obligeant.

Après être arrivé devant le cinéma, et m’être battu avec les gars à l’entrée parce qu’il n’y avait pas mon nom sur la liste, le CM de Square Enix me sauvant au passage la vie, j’arrive dans cette belle et vaste salle. Une musique d’ambiance, certainement tirée de l’OST du jeu, je ne saurais dire, nous a faite patienter le temps que les intervenants, n’étant autres que David Anfossi, producteur, et Jean-François Dugas, directeur du jeu, s’installent. Le tout était présenté et animé par Julien Chieze, de Gameblog, et Emmanuel Forsans, directeur général de l’AFJV.

Pour les gens qui ne connaissent pas le jeu, (comme moi au début de la conférence \o/), voilà un petit synopsis. Adam Jensen est chef de la sécurité au sein de la société Sarif Industries. Celle-ci travaille dans l’augmentation humaine, consistant à greffer des membres bioniques aux humains afin de leur offrir des possibilités qu’ils n’auraient pas sans, comme une force exceptionnelle, la capacité de voir à travers les murs (hum), et de nombreuses autres trucs bien sympa. Le revers de la médaille est que ces greffons ne sont pas toujours acceptés par les corps, et pour éviter les rejets, les sujets doivent prendre une drogue dangereuse,très addictive et très chère, la neuropozyne, faisant ainsi sombrer une grande partie de la population dans la pauvreté et la mendicité, sans parler des dégâts qu’elles causent à certains organismes. Notre héros donc, Adam, parfaitement humain, sans la moindre once de métal dans le corps, se voit un jour blessé gravement, et « augmenté » contre son gré. Là-dessus commence l’histoire, dans une quête de vengeance contre Sarif Industries et les responsables de ce qui lui est arrivé.

Deus Ex : Human Revolution est un jeu particulier, mêlant trois genres de jeu :

  • le jeu de tir subjectif (FPS), permettant ainsi une interaction avec presque tous les éléments du décor ;
  • le RPG, de par la possibilité de gagner de l’expérience, à dépenser dans diverses compétences, les fameuses « augmentations », ainsi qu’un système de quêtes, de gestion d’inventaire ressemblant en tous points à celui d’un Resident Evil ;
  • et enfin le jeu d’aventure, de par le système de couverture intelligent comme dans un Gears of War ou un Uncharted, dans lequel cas la vue subjective passe en vue 3e personne.

Les choix que vous ferez dans le jeu affecteront la suite de votre histoire, je pense donc pouvoir prévoir plusieurs fins, à la manière de Dragon Age : Origins.

Enfin, il faut savoir que vous pourrez refaire le jeu plusieurs fois sans jamais refaire les mêmes actions. Comme il nous l’a été expliqué, vous aurez quatre façons d’aborder une situation face à des ennemis ou une énigme.

  • Premièrement, la façon bourrin. Je vais pas vous faire un dessin, ça consiste à courir tout droit et à percer de quelques balles les corps de vos adversaires.
  • Ensuite, vous pourrez y aller furtivement, grâce à une compétence de cloaking, en vous faufilant sous le nez de vos ennemis, et en essayant de faire le moins de bruit possible.
  • La troisième consiste à hacker des terminaux contrôlant par exemple des caméras ou des tourelles, afin de les désactiver ou de les retourner contre vos adversaires.
  • Enfin, la dernière rejoint quelque peu la deuxième. Vous pourrez interagir avec les éléments du décor afin de grimper sur un container par exemple, vous laissant ainsi hors de la vue de nos ennemis.

Ils ont également parlé d’un système de persuasion, nous rappelant au passage L.A. Noire, dont notre ami Empathy avait fait un test rien que pour vous ! Ils n’ont pas spoilé là-dessus, mais cela fera certainement partie du système des décisions à prendre afin de changer le cours de l’histoire.

N’ayant jamais joué aux anciens Deus Ex, je suis vraiment très intéressé, et si jamais je me le procure, je n’hésiterai pas à faire un petit test 😉

Passons ensuite à la conférence en elle-même. Elle était divisée en trois parties. La première était un débat sur le thème des avancées technologiques réelles et potentielles exposées dans Deus Ex : Human Revolution, montrant ainsi qu’il n’est finalement pas si éloigné de la réalité. Deux experts y étaient conviés. Le premier était Jean-Claude Heudin, directeur de l’IIM, Institut de l’Internet et du Multimédia et auteur de Robots & Avatars et Les Créatures Artificielles, ainsi que Ariel Kyrou, auteur d’un livre nommé Google God : Big Brother n’existe pas, il est partout.

Honnêtement, au début, je pensais que je m’ennuierais. Quelle mauvaise langue je suis. J’ai été vraiment surpris par ce débat, mettant en scène l’Homme augmenté, duquel nous ne sommes finalement pas si éloigné de par les progrès technologiques extraordinaires de ces dernières années. La frontière entre l’Homme augmenté et l’Homme réparé a d’ailleurs été soulignée. En effet, l’utilisation de prothèses ou d’implants pour la survie de l’Homme ne posait apparemment pas de problèmes d’éthique comparée à l’utilisation de ce mêmes implants pour que l’Homme puisse dépasser ses limites. Ce débat a été très enrichissant, et on a même eu un mastertroll de la part d’Ariel Kyrou : « nous avons d’ailleurs en France un rassemblement d’hommes augmentés, chaque année, ça s’appelle le Tour de France ».

La deuxième partie de la conférence a été les questions du public. Rien de vraiment intéressant, mis à part des petites questions sur le développement, quelles difficultés principales, quel a été le point noir dans la création de ce jeu. On a eu un aveu de l’un des intervenants, expliquant qu’ils auraient pu faire beaucoup mieux au niveau des boss fights, mais qu’ils ont été pris par le temps. C’est un sujet assez épineux, les délais dans le jeu vidéo, mais c’est un autre débat.

La dernière partie fut le gameplay en live par Jean-François Dugas, commenté par David Anfossi. Nous avons donc pu découvrir les mécaniques de jeu telles que je vous les ai expliquées plus haut, après un magnifique fail, à savoir une mort après une loooongue séquence de descente d’ascenseur, qu’il a fallu repasser. Fou rire dans la salle lorsqu’il lui a demandé de sauvegarder une fois arrivé en bas.

On a également eu droit aux trailers, que je n’avais pas vus jusque là, en commençant par celui-là, puis en finissant par sa suite, que j’ai trouvé particulièrement dérangeante.

Je finirais sur une petite anecdote qui est sortie aujourd’hui, et je vous lance en même temps un défi. Les développeurs du jeu ont intégré pendant le développement dans un des décors un énorme hot-dog, mais le producteur leur a demandé de l’enlever. Il est apparemment toujours caché quelque part, car ils ne l’ont évidemment pas écouté \o/

Je vous mets donc au défi de le trouver, n’hésitez pas à commenter si vous l’avez trouvé !

C’était Koroeskohr pour Kiss My Geek, à vous les studios !

Deus Ex : Human Revolution, édité par Square Enix et développé par Eidos Montréal, est dès aujourd’hui disponible (oui, il est minuit, j’ai droit de dire ça) en trois éditions, normale, Augmentée et Collector aux pris respectifs de 49,99€, 59,99€ et 79,99€.

Jeux Vidéo 3

DONTNOD annonce Adrift


J’ai eu le plaisir de recevoir un petit mail d‘Aleksi Briclot annonçant en personne le jeu vidéo jusque là top secret développé par le studio dont il est le co-fondateur : DONTNOD Entertainment.

Resté très évasif lors de l’interview qu’il nous avait accordée il y a quelques mois, aujourd’hui il révèle Adrift (nom provisoire) au grand jour en nous dévoilant les bases du background de l’univers, quelques pistes sur le gameplay, et surtout une foultitude d’artworks sublimissimes.

Pas de doutes, DONTNOD est un studio français plein d’ambition et composé de gens talentueux ayant travaillé pour les meilleurs (allez un petit exemple au hasard : Marvel). Ils sont actuellement 70 à s’échiner sur ce projet depuis 3 ans. Pour reprendre les mots d’Aleksi : « concernant le projet, nous avons tous nos gameplays implémentés et la moitié du jeu est jouable, sortie fin 2012. Beaucoup de choses à montrer prochainement ! » Autant vous dire qu’on a hâte de voir tout ça !



En ce qui concerne le jeu, quand on connaît un tantinet les Messieurs travaillant sur le projet, on se doute que niveau univers et visuel, ça va être béton. Tout se passe dans notre monde, en 2084, à Neo-Paris :

La réalité augmentée et la manipulation mémorielle on pris le contrôle de la vie des gens.

On peut désormais acheter, vendre ou échanger ses propres souvenirs. Les dernières barrières de l’intimité sont tombées, dans le prolongement de l’essor des réseaux sociaux et de la géolocalisation au début du XXIè siècle.

La société de contrôle, acceptée par les citoyens eux-mêmes, en échange de quelques bénéfices technologiques, est désormais une réalité que personne ne prend plus la peine de contester.

Cette économie de la mémoire n’est pas sans donner un pouvoir immense et incontrôlable à une poignée d’individus…



Et quoi de mieux que le tout premier teaser vidéo du jeu pour illustrer tout ça ?



Un gros merci à Aleksi Briclot pour ces infos, et tous nos voeux de réussite à DONTNOD. Nous avons hâte d’en voir plus !



La page Facebook.
Le site officiel.


Cinéma Dans Ton Cinéma

[DTC] Sorties de la semaine



Après Captain America, Conan et Green Lantern, on ne baissera pas en testostérone cette semaine !


Une affiche qui n'a rien à envier à celles de Star Wars !

Cowboys & envahisseurs (Jon Favreau)

Vous avez toujours rêvé de voir un film mêlant Le bon, la brute et le truand, et Rencontres du troisième type ? Jon Favreau (Iron Man 1 & 2) l’a fait. Enfin si on veut, puisqu’il s’agit d’une adaptation de la BD de Scott Mitchell Rosenberg datant de 2006.

Cowboys & envahisseurs a cumulé l’improbable, à un tel point que les trailers ont d’abord fait croire à une parodie, un fake. C’est notamment l’humour présent dans ces bande-annonces qui a semé le doute. Eh pourtant non, ça n’a rien d’une blague. Ce western fantastique, tiré d’un sous-genre très peu usité (on comprend pourquoi), compte aller bien au-delà de ce que pouvait proposer Wild Wild West !

L’histoire se déroule ne pleine Amérique du XIXè, dans la ville d’Absolution. On y suit l’histoire d’un homme amnésique et dont le seul indice le reliant à son passé est un étrange bijoux qu’il porte au poignet… Au menu, un casting du tonnerre : Daniel Craig et Harrison Ford. Rien que ça.

Je vous laisse zyeuter cette petite vidéo qui en dira bien plus que toutes les lignes du monde !


Site officiel




Sources et images via Allociné.


Cinéma 4

[Trailer] Ghost Rider 2 – Spirit of Vengeance

ghost-rider-2

Après un premier film qui ne restera pas dans les annales, le Ghost Rider nous revient l’année prochaine toujours avec Nicolas Cage et voici la bande annonce !

Pour ceux qui ne seraient pas familiers avec le personnage, un petit topo s’impose. Johnny Blaze est un cascadeur qui, à la suite d’un pacte avec Mephisto qui a mal tourné, partage son corps avec le démon Zarathos qui le transforme en squelette enflammé armé d’une chaîne mystique : le Ghost Rider. Voilà, j’ai fait très concis. Maintenant, la bande annonce :

En savoir plus

Évènements Jeux Vidéo 7

Gamescom 2011 : nos impressions


Pendant cette courte mais intense journée du mercredi 17 août 2011, Kiss My Geek s’est déplacé à Cologne pour profiter au mieux de la journée presse avant-première du salon.

Voici dès aujourd’hui l’ensemble de nos impressions et de nos photos ! Dans les jours qui viennent vous aurez aussi droit aux vidéos que nous avons pu prendre sur place.

Tout d’abord un petit rappel : la gamescom c’est quoi ? Un salon du divertissement interactif (du jeu vidéo kwa) qui a lieu tous les ans à Cologne (Allemagne) depuis 2009. Il a très rapidement réussi à s’octroyer une réputation internationale et à se hisser au même niveau que l’E3 et le TGS, voire au-dessus. C’est une très bonne chose pour nous les européens, jusque là démunis d’un véritable salon vidéoludique à ampleur mondiale.

Cette année plus de 300 jeux et de nombreuses avant-premières ont été présentés par les exposants. Tous les types de jeux y passent, des plus gros studios aux projets indépendants, des jeux console aux mobiles et au online. Cette année 550 exposants étaient sur les lieux (10% de plus qu’en 2010, dont 16% de plus venant de l’étranger) dans les halls du Koelnmesse, sur plus de 120.000 m². Près de 5.000 journalistes du monde entier se sont déplacés pour couvrir l’évènement, et plus de 254.000 visiteurs sont attendus… Quand on sait que l’E3 2011 s’étendait sur 67.000 m² pour 200 exposants et 47.000 visiteurs… On peut en dire que c’est du lourd !

Voici ce que j’ai pris en note des différentes conférences ou démos que j’ai pu approcher. Je n’aborderai donc pas tous les jeux présents sur ce salon, mais uniquement ceux pour lesquels je pourrai vous donner un avis objectif et quelques infos.




La conférence NCSoft.


C’était notre premier rendez-vous matinal hier. Bien évidemment, les représentants du studio Carbine sont venus présenter avec beaucoup de fierté leur nouveau bébé : Wildstar. Certainement l’un des jeux phare de ce salon, et dont les qualités sont à retenir. Mais j’y reviendrai. Voilà le coup de poker d’NCSoft sur la gamescom 2011 : son nouveau MMO. Cela a certes fait un peu d’ombre à Guild Wars 2, peut-être pour mieux apaiser les esprits venus en quête d’une date de sortie, mais pour nous dévoiler un jeu qui risque bien de faire parler de lui.

Après un sublime trailer digne des plus beaux films d’animation (juste en-dessous) qui révèle d’emblée un style graphique très « comics », voilà ce qu’on nous dit au sujet de Wildstar : dans ce MMO proche du hack’n’slash online, la volonté principale est de laisser la plus grande liberté possible au joueur. Bien évidemment il y aura les classiques choix de race et de classe mais, comme son grand frère GW2, on cherchera ici à placer le joueur au centre de « son » histoire. On n’a pas vraiment plus de détails à ce sujet. Tout est resté très visuel et flou. Le monde de Wildstar est fait à la fois de magie et de technologie et vous met dans la peau d’explorateurs de l’espace prêts à découvrir cette « étoile sauvage » sur laquelle ils se sont posés. A vous ensuite de choisir votre façon de jouer : préférerez-vous explorer le monde ? Le conquérir ? Découvrir ses mystères ? Y construire ? Voilà très certainement cette « liberté » abordée par les créateurs, néanmoins l’approche ne semble pour l’instant pas véritablement révolutionnaire. Le mot clé réside donc surtout dans le système de « layers« , ce qui ira là aussi vous rappeler les promesses faites au sujet de GW2.  « Dynamic layers, a story based on layers, playstyle layers, organic interaction with these layers » : voici les quelques mots à retenir du discours tenu pendant cette conférence. En gros, on vous promet que vous ne suivrez pas une trame linéaire ennuyante mais que vous serez embarqué au sein d’un monde sur lequel vous pourrez agir et qui vous surprendra !




La démo jouable a révélé des mécanismes hybrides entre un MMORPG et un hack’n’slash. Visuellement c’est très joli, à mi-chemin entre le design de Torchlight et de WoW, en plein univers post-apocalyptique vivement teinté de steampunk. Le résultat est coloré, plutôt original, mais pas moins brodé avec ce qui marche déjà. 3 races et 3 classes étaient jouables, ainsi que 2 des 4 professions. Parmi les races disponibles on a pu découvrir l'(éternel) humain, l’Aurin et le Granok. On pouvait aussi choisir 3 archétypes de classes : le guerrier, le fusiller (« spellslinger ») et le mage (« esper« ). Avec chacun d’entre eux vous aurez à sélectionner une spécialité parmi 4 : soldat, explorateur, scientifique et constructeur. Cela influera sur les origines de votre personnages, son histoire (les quêtes que vous aurez à faire) et ses capacités au combat. Le tout coule plutôt bien et donne très envie de pouvoir jouer plus longuement à ce soft dont le background et les mécaniques de jeu sont certes plutôt classiques, mais qui ont sans aucun doute été très soignés par une équipe ambitieuse ! Espérons donc que Wildstar sera à la hauteur de ce qui a été annoncé pendant la conférence !





Bien évidemment malgré cette annonce de poids dont Carbine faisait le teasing depuis quelques semaines, il a aussi été question de Guild Wars 2 ! Toujours pas de date de sortie annoncée toutefois, néanmoins sur le stand on avait droit à 5 classes jouables, 7 classes sur les 8, du combat sous-marin (« la » grosse feature sous les spots en ce moment) et pour la première fois : le PVP ! Malheureusement, il m’a été impossible d’approcher les machines, sous l’assaut constant des curieux. Je vous laisse donc avec ce trailer présenté pour la toute première fois devant nos yeux ébaudis.




The Darkness 2.


Nous nous sommes ensuite rendu dans l’espace 2K pour une présentation privée de The Darkness 2. Annoncé pour le 10 février 2012 sur PC, 360 et PS3, ce FPS vous propose d’incarner un homme habité par un esprit maléfique : le Darkness. A moitié soumis à cette force, et maître de sa malédiction, il se sert tant qu’il peut de ses pouvoir diaboliques pour combattre. Inspiré du comics éponyme, le tout est en cell-shading et fait fortement penser au look de Bordelands.

Avec un gameplay basé sur un système d’ombres et de lumières vous empêchant d’utiliser les pouvoirs du Darkness, on vous propose ici deux types de combats : aux armes « classiques » quand vous êtes en plein jour, avec vos mandibules du Darkness quand vous êtes dans l’obscurité.

Bien évidemment vous pourrez combiner les deux systèmes d’attaques pour varier les coups et vous faire plaisir avec des finishs sanglants au ralenti, ainsi qu’un système de points rappelant fortement Bulletstorm. Le tout est agrémenté d’un système d’arbre de talents vous permettant de personnaliser votre façon de combattre.

Visuellement plutôt joli sur PC lors de la présentation, la démo Xbox à laquelle nous avons pu toucher nous a quelque peu déçus, tant en ce qui concerne la qualité graphique que de gameplay. Le tout restait assez « lourd » malgré un système ombre/lumière intéressant, et la possibilité de combinaison des attaques et de finish plutôt intrigants.




Borderlands 2.


2K m’avait intriguée en me proposant la présentation d’un « jeu surprise » : ça n’était rien de moins que Borderlands 2 !

Ce FPS-RPG atypique a déjà fait ses preuves et le deuxième opus prévu pour PC, PS3 et Xbox est attendu avec impatience par ses fans. Comme nous l’a souligné l’équipe, la gamescom est un salon très particulier pour elle puisque c’est celui-ci qui, en 2009, avait fait le succès de Borderlands !

Pour le numéro 2 on rempile avec le même univers et le même style graphique, cell-shading jusqu’au-boutiste. On nous promet toutefois beaucoup plus de diversité visuelle, mais aussi dans les combats et le choix des classes. En somme, on n’a pas affaire ici à une simple suite, mais à une véritable version 2.0.

Une attention toute particulière a été accordée à l’IA en vue de l’améliorer : désormais les ennemis blessés titubent, se cachent, utilisent l’environnement, etc. Ajoutez à cela la possibilité de piloter des véhicules pouvant servir d’armes et une artillerie gonflée à bloc pour deviner que vous allez avoir beaucoup de fun !

Néanmoins le background n’a pas été laissé en reste : donner une vie a l’univers, avoir l’impression qu’il vit sans nous, telle était l’une des autres grandes préoccupations de l’équipe.

Des améliorations plus pragmatiques ont été apportées également à l’ergonomie des menus et notamment à la carte, désormais beaucoup plus claire et user friendly.

Quant au gameplay il s’orientera autour d’un système d’arbre de compétences vous permettant de choisir une sous classe qui vous aidera à déterminer votre façon de jouer.

La coopération chère à la licence sera bien évidemment présente mais on n’en sait pas beaucoup plus… J’ai été particulièrement bluffée par la démo à laquelle on a eu droit : c’est beau, fun, dynamique et ça ne donne qu’une envie… Y goûter !






The Elder Scrolls V : Skyrim.


11.11.11 : la date est martelée partout. Moins de trois mois à attendre pour découvrir le prochain volet de la mythique licence The Elder Scrolls V.

Nous avons eu la chance de pouvoir assister à deux parties de gameplay et autant vous dire qu’on a été bluffés.

Si niveau gameplay on reste sur le classique système de compétences déjà utilisé par ses 4 prédécesseurs (plus on utilise une arme ou une compétence, plus elle gagne en puissance), on note tout de même quelques originalités : la possibilité de jouer en FPS ou en TPS, et celle de différencier les actions main gauche / main droite en font partie.

En effet, on aura par exemple la possibilité de lancer la magie à une ou deux mains selon la puissance désirée. Ou bien d’utiliser une épée dans une main, et de lancer des sorts de l’autre. Je vous laisse imaginer toutes les combinaisons possibles…

Le monde quant à lui reste un bac à sable entièrement accessible, avec l’indispensable « radiant AI system » qui donne l’impression que le monde vit de lui-même et qui permet aux dialogues de se déclencher selon votre présence dans la zone.

Graphiquement le jeu est tout simplement magnifique : les effets d’eaux ont un rendu de grande qualité, les environnements sont incroyablement fouillés, le design des dragons est à tomber…

Car oui, les dragons sont au centre de cet opus. D’ailleurs, les tuer permet de débloquer de nouveaux pouvoirs ! Pendant nos séances nous avons pu assister à quelques combats contre eux… C’était très dynamique et « viral » : switcher entre les différents styles de combat et de magie promet de longues heures épiques devant vos écrans ! Autant vous dire que vous aller en chier, mais que vous allez aimer ça…






The Secret World.


A l’origine l’un des jeux que j’attendais le plus, c’est sans hésiter « ma » déception du salon.

Promis pour avril 2012 sur PC et Xbox, ce MMORPG post-apocalyptique vous plonge dans un monde moderne horrifique très proche de l’univers Cthulhu.

L’équipe a fait une démonstration du jeu devant nous pour nous montrer quelques mécaniques de gameplay. Malheureusement toute la conférence était en allemand et je n’ai donc compris que ce que j’ai pu voir… Le jeu semble ainsi basé sur un système de missions instanciées, comme dans Guild Wars ou APB. Vous pourrez à la fois manier la magie et la technologie. Les trois grandes branches disponibles seront ainsi : Chaos / Elementalism / Blood Magic. On n’en sait malheureusement pas beaucoup plus.

Graphiquement proche d’APB là aussi, autant dire que ça ne casse pas quatre pattes à un canard. Ca reste toutefois très joli, notamment au niveau des décors plutôt fouillés (luxe permis grâce au système d’instances ?).

Le jeu se base sur un système de coopération . Ajoutez à ça des décors dévastés pour que cela vous rappelle rapidement L4D !

A l’oeil, c’est donc plutôt accrocheur. Les combats un peu fouillis semblaient néanmoins très dynamiques. Les FX en mettent pas mal plein la vue, et les créatures cauchemardesques sont impressionnantes, tant au niveau de leur look horrifique que de leur taille.

Ce qui m’a déçue reste donc le système de missions. Le monde semble bien trop fermé à mon goût et j’ai peur qu’on se retrouve avec le même symptôme qu’APB : un concept de base plutôt bon, des visuels accrocheurs, mais un manque d’interaction dans le monde entre les joueurs qui fini par mener à l’ennui… Je croise les doigts pour me tromper.






Diablo III.


Je m’étais promis de ne pas quitter la gamescom sans y toucher. Challenge réussi.

J’ai bien peu de choses à vous dire sur Diablo III, hormis que c’est la tuerie qu’on attend tous.

On a eu la chance d’avoir les 5 classes jouables : moine, barbare, sorcier, féticheur et chasseur de démons.

Le premier est un guérisseur, le second un DPS, le troisième un mage, le quatrième un summoner et le dernier un assassin. Bien évidemment c’est plus complexe que ça mais en gros on a une bonne base de tout ce qui fonctionne.

A l’ouverture de l’arbre de compétences et de l’inventaire, pas de doute : on est en terrain connu. Et ça fait un bien fou. La nostalgie resurgit et la claque visuelle et auditive suffit à vous séduire, à vous laisser pousser un « enfin » et à vous convaincre qu’on ne rejoue pas au même jeu qu’il y a 11 ans. Pas tout à fait.

Au clavier et à la souris, rien à dire : c’est toujours aussi joussif. Dynamique, instinctif, viral, « la » perle du hack’n’slash. Et en plus c’est beau. Les effets visuels en mettent plein la gueule, l’univers est vibrant de cohérence, le bestiaire un plaisir à découvrir… Ces vingt petites minutes de jeu m’ont convaincue de me ruer dessus pour son DAY1. Ah ? Quoi ? Bhein non, toujours pas de date de sortie, faut pas rêver ! 😉







Et bien plus encore…


Bien évidemment la gamescom ça n’est pas « que » ça ! Voici en vrac tout ce qui a laissé une forte impression chez moi…


  • Mass Effect 3 et ses quelques minutes de gameplay sur grand écran. Ca va balancer du lourd : c’est toujours aussi beau et malgré les deux opus derrière eux, Bioware cherche toujours à perfectionner son système de combat, son univers et surtout l’aspect RPG de son soft. Le 3 mieux que le 2 ? Les images laissent penser que ça pourrait être le cas…
  • Might & Magic Heroes VI, sobrement présenté sur quelques écrans (il faut dire qu’il sort le 13 octobre), et pourtant une petite perle visuelle. Ca en jette et ça rappelle les bons souvenirs. Un soft de plus à ajouter à ma liste pour Noël. Ou avant si je le peux ! 😀
  • Gears of War 3 : j’ai enfin pu voir autre chose que le multi ! C’est le président d’Epic Games lui-même qui a pris la manette pour nous faire une démonstration des premiers instants de la campagne. Visuellement, on sent que le moteur graphique (toujours le même depuis le premier opus) en prend un coup, et ce malgré les améliorations apportées. Néanmoins au niveau du jeu en lui-même on sait qu’on ne sera pas déçu… L’humour et le sanglant sont toujours là : c’est hardcore, c’est lourd et ça pue la testostérone. On n’en demandait pas moins.
  • All zombies must die ! sur PS3 et PC, prévu pour fin 2011, est « le » petit jeu fun qui m’a marquée sur le salon. C’est simple mais efficace : tuer du zombie. Le tout dans une ambiance  comics amusante et parodique. En plus, il y aura du multi ! Need.




  • Warhammer 40.000 Space Marine a beau sortir dans 3 semaines, il m’a tout de même quelque peu déçue hier. Le gameplay très « lourd » à la Gears of War allié à l’unique mode multi présenté ici n’ont pas aidé. Graphiquement, on y est, l’univers est là lui aussi, mais c’est au niveau de la jouabilité que ça pourrait pêcher. Espérons que la campagne solo et la prise en main plus poussée dans mon salon viendront me contredire !
  • Rayman Origins, aussi beau et fun qu’il le promet. Vivement (le 13 novembre !).



Avant de vous laisser avec l’intégralité de nos visuels, je tiens à remercier l’organisation de la gamescom de nous avoir permis d’accéder au salon en tant que presse, Xbox de nous avoir offert des entrées pour la soirée Community, ainsi que Gormak de m’avoir accompagnée / supportée et d’avoir pris toutes ces super photos pendant ce salon de folie !

Get the flash player here: http://www.adobe.com/flashplayer



Jeux Vidéo 9

[Trailer] Lollipop Chainsaw

 

Si je vous dis: une jolie cheerleader blonde, en jupette plus que courte, et au sourire provoquant, un lycée plein de monstres, et une tronçonneuse, vous pensez à… ?? Comment ça un remake de la série Buffy ?!! Mais ça va pas ! ;P Et bien non ! Il s’agit juste un jeu-vidéo complètement frappé (et enrobé de sirop de glucose !)

 

Si vous suivez l’actu de la Gamescom, vous avez dû voir passer le trailer de ce jeu de ouf qu’est Lollipop Chainsaw ! Et si vous ne l’avez pas vu: courrez-y donc !! (car c’est d’la bombe, baby !! 😀 )





Et c’est rien de moins que le studio Grasshopper Manufacture, pays magique s’il en est (Killer7, No More Heroes, Shadows of the Damned), où règne en maître l’esprit machiavélique de Goichi Suda (alias Suda51), qui s’occupe de la mise en boîte de cette nouvelle bombe vidéo-ludique (pour le plaisir de tous et de ces messieurs surtout !)

 

Résumé de la situation

Une ptite ville tranquille de Californie. Juliet Starling est une jolie cheerleader blonde qui, avec l’aide de son petit copain (une tête qui se balade toute seule), va se retrouver à poutrer du zombie hors de son ancien lycée, San Romero High School (oh *winkwink*), avec une grosse… tronçonneuse ! (bein ouais un pitch d’enfer, quoi !)

 

Lollipop Chainsaw - Juliet
Elle n'a rien à envier aux grandes, n'est ce pas ?! (et je parlais de la tronçonneuse, les gars...)

 

C’est sommaire, certes ! Mais bon, avec un titre de jeu pareil, et après avoir vu le trailer, avouons-le : on s’attendait pas à la profondeur d’un essai de Kant ou d’Heidegger niveau histoire !! 
Et le jeu, vu d’ici, ressemble plus à un bon vieux hack’n’slash, qu’un rpg-de-50h-à-la-Final Fantasy, c’est évident ^^’

 

Lollipop Chainsaw - screens
(omg ! izit cel-shading i seeee ?!) (ok, y'a aussi des zombies, ok ok !)

 

Lollipop Chainsaw - screens
un brin gymnaste la Juliet, pas vrai les gars ?! hum -_-'

 

Lollipop Chainsaw - screens
mieux que les gadgets des Totally Spies: la tronçonneuse qui fait du Light Art en forme de coeurs (trop choupi ^^)

 

La tronçonneuse qui murmurait à l’oreille des zombies

Pour le reste, bah, faudra repasser !! On en sait encore très peu sur le gameplay en lui-même, le jeu est “prévu pour 2012”, et c’est tout !!
Annoncé au niveau de la distribution en Occident par Warner Bros Interactive (sur PS3 & 360) on sait également que James Gunn s’occupera d’approfondir le scénar du jeu (bon vous me direz, y’a pas trop besoin mais bon ^^’)
Et info bonus, ce serait Akira Yamaoka-san qui travaillerait sur le rendu sonore général du jeu (*fangirl red alert*) Gageons que si Suda51 (qui est, pour l’instant, cité en tant que « directeur artistique » sur ce jeu) se retrouve avec Yamaoka, rien que ça, risque bien d’être une tuerie en soi ! (ok, ceci est un avis non objectif & purement spéculatif qui n’engage que son auteur! ^^ »)

 

Lollipop Chainsaw - Juliet
Britney Spears + Suda51 = Juliet... (coincidence? je ne crois pas ! hum hum)

 

En tous cas, Juliet la cheerleader me fait dire que les filles roxxent plus que jamais dans les jeux-vidéos ces temps-ci, et entre elle, et l’Alice de McGee on va pas s’en plaindre ! « Girls, they wanna have fun« , comme le dit si bien la chanson !! (bon remarque les boys aussi vont pourvoir s’éclater, car les jupettes et les pauses de Juliet ont de quoi faire hurler des loups-garous au clair de lune !!) ;P

 

Lollipop Chainsaw - Juliet
Sucker Punch peut aller se rhabiller !

 

Ze trailer !

 

(Sources)
Le site officiel
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(
quelques photos empruntées @ Famitsu Magazine)

Cinéma Dans Ton Cinéma 3

[DTC] Sorties de la semaine


Cette semaine, des hommes, des vrais.


First, et pas Fist, bande de coquinous.

Captain America : First Avenger (Joe Johnston)

Une semaine après Green Lantern, Marvel donne un grand coup de coude à DC Comics pour imposer sur nos écrans l’une des images les plus fortes de sa licence : Captain America.

C’est Joe Johnston qui s’occupe de cette adaptation du personnage de comics. Rappelons pour les moins cinéphile d’entre nous que ce Monsieur est le papa de Jumanji, mais qu’il a aussi travaillé avec les meilleurs (Spielberg et Lucas) sur des mythes du grand écran : Star Wars, Indiana Jones, etc. Pas mal non ?

Mais revenons-en au film et à son héros éponyme, incarné par Chris Evans : déjà présent dans Scott Pilgrim et Les 4 Fantastiques, autant dire qu’on a là un bel acteur pour geeks (il a 7 adaptations de comics à son actif) ! Ajoutez au casting Tommy Lee Jones, Hugo Weaving, Stanley Tucci, ou encore Samuel L. Jackson (abonné, forcément, à tous les films des Avengers) pour comprendre que ça va être du très très lourd…

Captain America : First Avenger nous ramène aux toutes premières années de l’univers Marvel, et aux origines du personnage. De son vrai nom Steve Rogers, cet homme n’était au départ qu’un être malingre porté par sa haine pour le nazisme et bien décidé à le combattre. Ses faibles capacités physiques l’empêchant de rejoindre les rangs de l’armée, il se porte volontaire pour participer à un programme expérimental dont le but est d’en faire un Super Soldat. Mission accomplie : ainsi naît Captain America. En plein milieu des années 40′ et de la Seconde Guerre Mondiale, il va devoir combattre l’organisation de l’HYDRA menée par Red Skull, aidé de ses fidèles alliés Bucky Barnes et Peggy Carter.

Le sous-titre de ce film ne fait qu’accroître mon impatience de voir The Avengers en 2012… Je vous laisse sur une bande-annonce que je trouve plutôt réussie et qui augure de bien bonnes choses, après le fiasco des dernières adaptations Marvel.




Site officiel




Vous pourrez voir les muscles de Conan en 3D. Si, si.

Conan (Marcus Nispel)

Voilà un deuxième personnage mythique tiré de la littérature et (ré)adapté au grand écran, prêt à faire trembler la sphère geek. Conan, tout simplement, est la quatrième adaptation du roman de Robert E. Howard.

La réalisation de Marcus Nispel, le pro des reprises (Massacre à la tronçonneuse, Vendredi 13), ne va-t-elle pas nuire à l’univers qu’avaient réussi à retranscrire ses prédécesseurs ? Jason Momoa est-il le digne successeur de Schwarzenegger ? Difficile à dire tant qu’on ne l’aura pas vu…

Au niveau du scénario, rien de bien extravagant. On reste même dans le très très classique pour ne pas brusquer le fan. Ici on suivra tout simplement une aventure de Conan à travers le continent d’Hyboria, où il est en quête de vengeance suite au meurtre de son père et du massacre de son village, ce qui nous ramène dont au tout premier film !

Néanmoins le réalisateur s’est déjà défendu de faire un remake du film de John Milius datant de 1982. Non, Nispel revendique un nouveau Conan, complètement inédit, une « version originale de Conan tel qu’il est décrit dans les histoires de Robert E. Howard ». Dans ce cas-là… pourquoi pas ?

A vous de tirer vos conclusions au regard de la bande-annonce. J’irai quant à moi très certainement le voir. Cette production n’a pas l’air pavée de bonnes intentions, malgré la présence d’une 3D décidément surfaite. Wait & see !




Site officiel




A voir également :


La dernière comédie en date de Seth Gordon : Comment tuer son Boss ? Hormis le casting très fourni (Kevin Spacey, Jennifer Aniston, Colin Farrell, Jamie Foxx, etc.) pas grand chose à dire qui ne soit déjà dans cette bande-annonce qui, ma foi, m’a donné envie de me laisser divertir !




Site officiel




Sources et images via Allociné.

Évènements Jeux Vidéo 4

Kiss My Geek sera à la gamescom 2011 !


L’équipe de Kiss My Geek a l’immense plaisir de vous annoncer qu’elle sera présente en tant que presse à l’évènement européen vidéoludique de l’année : la gamescom de Cologne ! L’évènement commence dès ce mercredi 17 et se termine dimanche 21.

Eskarina et Gormak seront sur place du mardi au jeudi et vous tiendront informés en live, sur Twitter et sur Facebook, des plus gros évènements du salon.

Bien évidemment ils prendront aussi tout un tas de photos et de vidéos pour vous préparer un beau compte-rendu à leur retour !

Nous espérons que vous suivrez nombreux et à nos côtés ce salon où de grosses exclusivités sont en passe d’être dévoilées : Guild Wars 2, Diablo III, The Elder Scrolls Skyrim, Batman Arkham City… Hormis l’absence de Square Enix au tableau de prestige de cette expo, on se doute qu’il va y avoir du très, très, très lourd.

Nous vous disons donc à très bientôt, en live sur nos réseaux sociaux Kiss My Geek, et sur le blog pour toute l’information complémentaire !