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Geek Inc #83 en streaming direct sur le blog !



Yeah, Geek Inc #83 est online ! Geek Inc qu’est ce que c’est ? C’est simple, si il y a un podcast que vous devez suivre pour vous tenir au courant des dernières infos de notre merveilleuses culture Geek. C’est bien celui-çi !


Dans cet épisode 83, Cédric et Julien parlent d’énormément de choses mais principalement de Halo : Reach et Kinect.


Ah, vous voyez où je veux en venir maintenant ? 🙂

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[Loading] Ikkilerme : Café Salé, noir avec 2 sucres.


Woot woot ! Un Loading le dimanche ? Oui c’est nouveau et surtout de ma faute puisque je n’ai malheureusement pas eu le temps de le poster jeudi soir ! Sorry ! Ikkilerme (fidèle lecteur de KMG, comme vous d’ailleurs !) va nous présenter le collectif d’artistes indépendant nommé CFSL ! Ikkilerme c’est à toi lache tout 😉

Aujourd’hui nous allons parler d’Art Digital. Et plus particulièrement de CFSL, aussi appelé Café Salé. Si vous vous intéressez à l’art digital ou même traditionnel, que vous adorez regarder des dessins ou que vous mêmes dessiniez, ou que vous ayez envie de vous mettre au Dessin | Graphisme | Design | Peinture | Art | Photo ( plusieurs réponses acceptées ) alors CFSL est fait pour vous.

Mais je vous parle de CFSL mais c’est quoi exactement ?

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Jeux Vidéo 15

3DS : Nous aussi on a les specs !



Comme vous l’avez certainement déja tous vu un peu partout, les specs de la 3DS ont fait leur apparition en fanfare, à grand coup de conférence. Enfin !

Et si parfois les rumeurs tombent justes, il est quelques autres fois où elles s’écrasent au sol comme un missile Tomahawk lancé avec une fronde en testicule de mouton. Donc on montre tous bien du doigt en ricanant les différents sites qui ont relayé des infos foireuses depuis quelques jours.

Sur ces bonnes paroles, je vous rappelle tout ce qu’on a pu apprendre sur la bête depuis ce matin et je vous laisse avec le line-up en vidéo : Du classique et de la grosse licence au programme.

Sortie japon : 26 février 2011
Prix Japon : 25 000 Yens (220€ environ)
Sortie EU/US : Mars 2011
Prix : Non communiqué, mais faut pas se leurrer on va en prendre pour 250-300€ dans les dents
Ecran haut : environ 9cm de diagonale en 800 x 240
Ecran bas : Un peu plus de 7.5cm en 320 x 240
Taille et poids de la bête fermée : 134 mm par 74 mm, sur 21 mm d’épaisseur pour 230 grammes.
Port SD card et port cartouche DS.
Triple appareil photo 0.3 Mpixels
Livrée d’origine avec une SD 2Go.



[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=EIRYhNpNL7o[/youtube]

Je sais pas vous, mais moi, si la 3D est belle et bien au rendez-vous (pas comme au ciné en fait) je me ferai bouillonner la cervelle avec joie. Hé oui. Apparemment l’usage de la bête peut être un peu contraignant. Mais on n’a rien sans rien ma bonne dame.

Décidément, ils savent y faire pour innover chez Nintendo, ça on peut pas leur reprocher.

Dans Ton Cinéma 4

[DTC] Sorties de la semaine




Cette semaine, c’est la criiise !


/fear

Wall Street : l’argent ne dort jamais (Oliver Stone)

Même si je n’irai sûrement pas le voir parce que ce genre de film n’est pas ma tasse de thé, le duo Oliver Stone + Michael Douglas méritait la une de ce DTC.

D’ailleurs ceux qui connaissent un minimum les deux vétérans se diront : mais le petit Oli’ n’essayerait-il pas de nous entuber un brin en nous ressortant, 22 ans plus tard, le même film qu’en 1988, intitulé presque pareil et avec Douglas à la tête de l’affiche ?!

Hé oui, je vous parle bien du film Wall Street avec le même réalisateur et le même acteur, Charlie et Martin Sheen en plus.

En réalité, Wall Street : l’argent ne dort jamais n’est autre qu’une suite à ce premier long-métrage, par ailleurs l’un des plus réussis de Stone. C’est la première fois que le réalisateur se prête à cet exercice du come-back, et pour se faire il reprend (si l’on omet Douglas), trois des acteurs de son premier opus dans leurs rôles d’origine : Charlie Sheen, Chuck Pfeiffer et Sylvia Miles.

L’action nous porte en 2008, en plein dans le krach boursier que nous avons tous connu sous le nom de « la crise ». Comme l’indique le titre du film, tout se déroule dans la plus grande place boursière du monde, au cœur de New York. Le héros est un jeune trader du nom de Jacob Moore (Shia LaBeouf) qui subit le deuil de son mentor, suicidé suite à d’obscurs accords financiers. Pour tenter de comprendre comment il a pu en venir là, Jacob se met à enquêter et va pour cela se rapprocher de Gordon Gekko (Michael Douglas), l’un des plus grands noms de la finance qui sort tout juste de 20 ans de prison pour délit d’initié…

Attendez-vous donc à un film sombre au bord du thriller qui devrait se laisser regarder !


[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=c7GBt_YPvXc[/youtube]

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A voir également :


Ou pas, hein, mais la comédie américaine décérébrante de la semaine est Trop loin pour toi, de Nanette Burstein, avec Drew Barrymore et Justin Long (en couple dans la vraie vie également). Y est abordé le thème des relations longue distance entre deux jeunes gens frais, drôles et beaux mais -manque de bol- vivant à des centaines de kilomètres de distance. Pas vraiment besoin d’épiloguer sur le pitch ! 🙂


Site officiel


Le grain de pixel d’Eskarina :

A l’attention de nos lecteurs ; étant donné mon départ au Canada d’une durée de près d’un mois, cette chronique a été rédigée plusieurs semaines à l’avance. Il est donc possible qu’elle contienne des erreurs de dates, ou qu’elle élude de potentiellement très bons films pas encore annoncés à l’époque de la rédaction de ce billet. Votre chroniqueuse préférée s’en excuse par avance et vous remercie de votre compréhension !



Sources et images via Allociné

Interviews Jeux Vidéo 54

[ITW] Transformice

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Nous avons aujourd’hui l’immense honneur et le plaisir de recevoir en exclusivité mondiale pour leur toute première interview Melibellule et Tigrounette, les créateurs du petit carton vidéoludique Transformice ! Créateurs d’un jeu amateur où vous êtes une souris qui doit s’aider de ses congénères pour rapporter un morceau de fromage, leur soft est une réussite aussi étonnante que fulgurante. C’est bien simple ; tout le monde y joue, tout le monde en parle. Kongregate, Kotaku, et tant d’autres se sont rués sur le phénomène. Et vous savez le meilleur ? C’est français ! Un gros merci à tous les deux ; ils se sont beaucoup impliqués dans cet échange. Enjoy !

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[Loading] Ikkilerme : Heroes of Newerth



Ce premier [Loading] de l’automne nous est offert par Ikkilerme, un lecteur qui nous suit depuis longtemps déjà mais qui était resté jusque là sous silence (trop longtemps à notre goût). Dans cet article il nous parle d’un sujet qu’Okajin avait déjà abordé il y a quelques semaines ; un MOBA. Et pas n’importe lequel puisqu’il s’agit de l’un des plus joués, Heroes of Newerth ! C’est parti pour un tour d’horizon de ce petit carton qui a popularisé le genre.


Il n’y a pas si longtemps, notre ami Okajin nous avait parlé de League of Legends qui est une adaptation du fameux Mod qu’on ne présente plus : DotA (dixit Defense of the Ancients). Je ne vais pas vous “re”faire un descriptif de ce qu’est DotA je vous invite a aller lire le [Loading] d’Okajin qui décrit cela parfaitement. Je vais cependant vous parler de l’un (sinon le principal) concurrent de League of Legends dans le petit marché grandissant du MOBA (Multiplayer Online Battle Arena), j’ai nommé : Heroes of Newerth.

Avant cela j’aimerais vous parler du studio de développement qui est derrière cette adaptation, à savoir S2 Games. S2G est donc un studio fondé par Marc « Maliken » DeForest qui est le créateur des jeux Savage: The Battle for Newerth et Savage 2: A Tortured Soul. Ces 2 jeux reprenaient déjà le concept de 2 camps s’affrontant l’un l’autre, mais introduisaient la composante FPS en plus d’une gestion stratégie plus poussée. Les jeux entièrement (et uniquement) jouable en ligne, étaient une alternative à DotA.

Seulement, en 2007 S2G a lancé le projet HoN en accord avec Icefrog afin de délivrer la plus fidèle adaptation possible du mod. C’est ainsi qu’en mai de cette année-là est sorti Heroes of Newerth, véritable jeu à part. Bien que n’ayant aucun ponte dans son équipe, mais forte de son expérience sur la série Savage, S2G a tenu à faire évoluer le mod au delà de Warcraft 3. Alors pourquoi parler de HoN si on a déjà LoL ? Eh bien car les 2 jeux ont des différences et qu’ils ne jouent pas dans la même cour.

Tout d’abord quelques informations pratiques, Heroes of Newerth a été développé pour PC, et est décliné en 3 versions : Linux, Mac OS et Windows. Le jeu coûte 30$ (et non pas 30€ car la conversion s’applique, à savoir ; 23€ ) et propose une version Stand-Alone du mod DotA, avec du nouveau contenu régulièrement. Cependant HoN ne propose pas de Boutique car les héros sont fournis gratuitement avec de nouvelles maps. Ici pas de page de runes ou d’arbre de talent, il ne faut pas espérer de paramétrage ou de skins. Règne le jeu et uniquement le jeu.



Attention aux décharges


Mais débutons notre petit tour voulez-vous ?

Tout d’abord le jeu ne possède pas de launcher, une interface entièrement intégrée en jeu permet de voir vos amis, de changer vos options, trouver une partie ou consulter ses statistiques.

Il existe plusieurs façons de rejoindre une partie, soit parmi une liste, soit avec le Matchmaking qui trouvera automatiquement 9 autres joueurs de votre niveau.
On peut aussi consulter la liste des héros disponibles, leurs capacités, un rapide résumé et leur pourcentage d’utilisation. Ici les héros sont regroupés en 3 catégories correspondant à leur attribut principal: la Force, l’Agilité et l’Intelligence.

Il y a pour l’instant 69 héros tous au capacités différentes et au design atypique. Certains sont des héros retravaillés de DotA, je vous laisse deviner lesquels, mais il y en a pour tous les goûts et chacun est plus ou moins difficile à maîtriser.



Le choix va être dur



De plus HoN propose aux créateurs de parties plusieurs modes de jeux pour la sélection de son héros lorsqu’une partie est sur le point de débuter:

  • Le Single Draft permet d’avoir une sélection de trois héros (un de chaque attribut)
  • Le Random Draft permet d’avoir une sélection d’une quinzaine de héros parmi lesquels tous les joueurs piochent a tour de rôle
  • Le Banning Pick ou chaque chef d’équipe rend un ou plusieurs héros inutilisable afin d’empêcher l’équipe ennemis de le choisir (très stratégique)
  • Le All Pick et Le All Random ; respectivement tous les héros sont disponibles quelque soit le camp et pour l’autre un héros aléatoire est donné à chacun des  joueurs

Lorsque vous rejoignez une partie vous arrivez sur un “Hub” classique avec les 2 équipes affichées, un chat  pour communiquer, la liste des joueurs etc. l’hôte possède plusieurs options comme la capacité de déplacer des joueurs d’une équipe a l’autre, une fonction d’équilibrage automatique ou encore la capacité de bloquer un emplacement si des amis veulent rester ensemble par exemple. L’interface est très intuitive, simple et complète. Lorsque la partie est lancée s’en suit un compte a rebours de quelques secondes et un temps d’attente d’environ 1min permettant d’établir une stratégie d’échanger ses héros avec ses compagnons ou encore d’en reprendre un autre contre des pièces d’or.



Vous ne passerez pas !


À cela s’ajoutent diverses options permettant de créer des parties personnalisées, en plus d’un Easy mode ou d’un Hardcore mode ; dans le premier l’or obtenu est augmenté et vos héros engrangent plus d’xp plus rapidement, dans le second vous n’avez pas d’or périodiquement et lorsque vous mourez vous perdez beaucoup plus de butin.

Le jeu est, graphiquement parlant, de toute beauté. Les textures sont magnifiques et un soin particulier a été apporté à l’univers. Le style se veut réaliste et s’éloigne de l’aspect cartoon de DotA et LoL pour adopter des lignes plus propres plus fines. Les modèles de héros ne sont pas en reste avec un panel impressionnant de designs différents aussi bien les effets que les détails. On notera aussi que les sorts sont impressionnants et extrêmement variés en termes de couleurs, contraste et effets. On notera aussi un effort sur la partie technique qui permet de passer le jeu en arrière plan et donc de faciliter les alt-tab permettant de ne pas quitter l’action des yeux.


Vous ne passerez pas ?


Malgré un aspect communautaire basique, HoN adopte un système similaire à Steam concernant la communication et sa liste d’amis/clan, permettant a tout moment en appuyant sur F6 de faire apparaître une interface regroupant les messages privés, les amis et le clan.

De plus HoN gère un système de re-connexion  si jamais on a eu un problème avec sa ligne internet ainsi chaque joueur a 5 minutes pour se reconnecter ce qui est largement suffisant en cas de plantage. Mais a l’inverse de LoL le jeu est permissif et propose de ne pas rejoindre à nouveau la partie et d’en changer, en cas d’une partie monotone ou perdue d’avance (malheureusement une fuite sera sanctionnée et peut-être pénalisante à taux élevé). À propos de cela, HoN n’utilise pas le système ELO comme sur LoL (le système qui classe les joueurs d’échecs dans le monde) mais le système de PSR (Player Skill Rank), constamment visible celui-ci permet de donner une approximation du niveau du joueur, mais les apparences sont parfois trompeuses prenez garde.

Note appréciable HoN, propose un système de replay de chacune de vos partie ou de celles de vos amis voire de n’importe qui. Le replay se regarde via un lecteur maison et permet comme le mode spectateur de profiter du dit “spectacle” et s’inspirer pour s’améliorer. Chaque match étant identifié il est facile de le partager a ses amis.



Statistiques et résumé personnel


Sachez aussi que HoN dispose d’une communauté de moddeur grandissante et que les projets fusent. Des améliorations d’interfaces sont trouvables sur le forum officiel, de même que des skins de personnage (alternatifs ou Haute définition) et que plus tard grâce à l’outil qu’est en train de développer S2Games, le jeu pourra être entièrement remodelé à la manière de Blizzard et son éditeur pour Warcraft. Un comble sachant que l’on pourra créer son jeu et même importer ses propres modèles !

Pour en finir avec HoN, une petite mise en garde pour ceux qui franchiront le pas. Heroes of Newerth est un jeu extrêmement dur, il est le fils spirituel de Dota et par conséquent a hérité de son plus grand tort ; sa communauté extrêmement intransigeante et qui n’hésitera pas à vous en faire baver. Car oui dans ce jeu, il faut apprendre, mais pour apprendre il faut jouer et pour jouer il vous faudra supporter une ambiance hostile même de la part de vos compagnons à la moindre erreur. C’est peut-être son plus grand défaut, cependant en groupe ou après un certain temps le jeu dévoile un potentiel énorme et peut se targuer d’être le digne héritier de DotA l’unique.

Voilà ce bref aperçu vous aura, j’espère, éclairé et donné une alternative à LoL, mais ne vous méprenez pas les 2 jeux sont excellents (moi-même étant joueurs des 2, je peux comparer aisément) mais il ne tiens qu’à vous de choisir.

Je finirai par 2 petits bonus. Le système DREAM qui permet de créer virtuellement un héros et de le soumettre à la communauté et si votre héros plaît aux développeurs, peut-être qu’ils l’intégreront dans le jeu à l’avenir. Puis un système de récompenses sera mis en place, telles “Le Joueur du match”, “Le fourbe”, “Le meilleur/Pire joueur” ou “Le planqué” censé gonfler encore plus votre ego de joueur.



Statistiques de fin de partie


Voilà vous savez tout, je vous invite à visionner les différentes vidéos du jeu dont le trailer ci-dessous et les différentes images (clairsemées tout le long de cet article.). Et si vous voulez vous amuser il y a les Podcasts version HoN: les HonCasts, avec en vrac des reviews des meilleurs/pires/amusantes parties commentées par un/des commentateur(s) survolté(s) dans le plus pur esprit eSport.

( Avis aux anglophobes le jeu est entièrement traduit en Français, de même que les voix )


[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=ebD-3RVt_9g[/youtube]


[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=1oDlquxQ-r4[/youtube]


Par ici pour le site officiel http://www.heroesofnewerth.com/, enjoy !

PS: Enfin dernier petit bonus l’un des derniers héros en date : Flint Beastwood (admirez le clin d’oeil) :



Le grain de pixel d’Eskarina :

[Loading] est une rubrique publiée tous les jeudi, et c’est la vôtre. Elle a pour but de publier sur le blog les écrits / dessins / etc. de nos lecteurs. N’hésitez pas à nous faire parvenir vos tests, strips, coup de cœur et de gueule si vous voulez les faire partager sur Kiss My Geek ! Vous pouvez nous envoyer tout ça à eskarina@kissmygeek.com et à oujiz@kissmygeek.com.

Dans Ton Cinéma 4

[DTC] Sorties de la semaine



Ha bhein tiens ça faisait longtemps qu’on n’avait pas vu de zombies au cinéma ! (Donc oui, pour les dubitatifs ; c’est de l’ironie.)



Le gros pied de Milla au 1er plan est sensé vous dire que C'EST EN 3D !

Resident Evil : Afterlife 3D (Paul W. S. Anderson)

Resident Evil fait son come back après 3 ans d’absence, et il ne pouvait pas ne pas être en 3D (erk) ! D’ailleurs il le met bien en avant avec ce titre au moins aussi sexy et vendeur qu’une caissière de monoprix en nage après avoir rangé le rayon des conserves de sardines. Mais vu que ça en fait tout de même la première adaptation cinéma d’un jeu vidéo en 3D, on se passera de moqueries.

Comme pour les trois précédents volets, c’est Anderson qui s’y colle et comme d’habitude on se retrouvera avec le pitch Alice vs. Umbrella. Pour changer.

Bon alors pour ceux qui vivraient sur une île déserte (mais qui nous liraient quand même, ne cherchez pas la logique), Resident Evil est une adaptation américaine du carton vidéoludique nippon (ni mauvais) du même nom. Il y campe un monde -le nôtre- ravagé par un virus qui transforme les gentils humains en zombies affamés de chair fraîche. Tout ça c’est la faute d’Umbrella Corporation, une multinationale pharmaceutique qui commet un « accident » en manipulant son virus malheureusement un peu trop dangereux et contaminant. Comme toujours, c’est la faute à ces sales capitalistes de mes deux, mais heureusement de valeureuses  -et sexy- nénettes comme Alice sont là pour essayer de rétablir un peu d’ordre dans tout ce bordel (et au passage essaimer quelques cartouches dans les crânes morts-vivants).

Comme on suit son périple depuis le tout premier opus, dans cette suite chronologique on la retrouve à Los Angeles à traquer les traces des derniers survivants. Mais tout cela serait trop simple sans qu’elle ne tombent dans un piège d’Umbrella ! Et autant vous dire que ça va saigner. Ou couper. Enfin, on se comprend…

Si vous avez envie de vous vider le cerveau au moins autant que ces pauvres zombies suite au passage d’Alice, Resident Evil : Afterlife est fait pour vous. Quoi qu’on en dise, on ne se fait jamais prier pour assister à un peu de dézingage de morts-vivants en compagnie de la très classieuse Milla Jovovich. Du spectaculaire et des babes, avec de la morve et du moisi ; rien de tel pour finir une dure semaine !

Pour les fans du jeu vidéo qui se méfieraient, ils auront le plaisir d’apprendre que trois des personnages de la saga cultes y seront incarnés : Chris, (Wentworth Miller) Claire (Ali Larter) et Wesker (Shawn Roberts).


Site officiel




A voir également :

Simon Werner a disparu… est le premier long-métrage à gros budget de Fabrice Gobert qui revient sur la mort d’un jeune lycéen dans les années 1990. Le film revient sur l’enquête qui va mener les proches et la police sur différentes pistes possibles ; fugue, enlèvement, suicide, meurtre… Tout est envisagé. Mais lorsqu’un second, puis un troisième élève de la même classe disparaît dans les semaines qui suivent, la psychose s’installe.




Sources et images via Allociné