Oh yeah ! J’aime commencer mes Comptes Rendus avec un joli taunt. Sachez que j’ai eu l’immense honneur d’être invité par Playstation pour une sympathique soirée de présentation du fameux Playstation Move…
Complots, argent et trahison inside. 😀
Oh yeah ! J’aime commencer mes Comptes Rendus avec un joli taunt. Sachez que j’ai eu l’immense honneur d’être invité par Playstation pour une sympathique soirée de présentation du fameux Playstation Move…
Complots, argent et trahison inside. 😀
Il y a à peine quelques jours je vous parlais, dans mon compte rendu sur le Monde du Jeu, d’Ex Illis. Ce wargame mêlant jeu de plateau et jeu vidéo se lance tout juste sur le marché et fait déjà tout pour fidéliser ses joueurs. Autant vous dire qu’on aime ça !
Basé sur un univers inspiré de notre XIII ~ XIVè siècle pendant lequel auraient eu lieu d’étranges phénomènes suite à l’apparition en Europe d’un « étrange brouillard » renversant complètement l’histoire, Ex Illis a la particularité d’avoir un background fourni (autant visuellement que scénaristiquement parlant) piochant dans nos références culturelles et historiques tout en lui ajoutant des aspects de dark fantasy.
Au niveau gameplay, comme me l’a expliqué leur coordinateur marketing Alexandre Croissard :
Tout ne se passe pas sur l’écran, le logiciel ne fait office que de gardien des règles et résous les actions. Toute la stratégie se passe sur le plateau de jeu avec les figurines, il est impossible de jouer seulement avec le logiciel qui ne donne qu’une vision macro du champ de bataille.
C’est effectivement un jeu très accessible aux débutants, puisque l’on peut commencer à jouer sans connaitre les règles et s’amuser. Mais le jeu est aussi très bien adapté aux vétérans puisque l’ajout du logiciel permet de gérer énormément de variables, ce qui donne un gameplay très profond et avec beaucoup de granularité, ce qui permet de développer des stratégies et des combos très complexes. Je vous laisse vous promener sur le Wiki pour vous en rendre compte 😉
Et je ne parle même pas des possibilités de personnalisation des unités grâce au système de gain d’expérience, qui donne encore un grand nombre de possibilités
Afin que chacun puisse avoir accès à ces « possibilités », la première chose mise en place pour informer les intéressés de ce qu’est Ex Illis n’est rien d’autre qu’un Wiki très fourni en informations, en images, mais aussi et surtout en règles ! Si vous êtes curieux et que vous n’êtes pas un habitué des jeux de platal, ou qu’au contraire les subtilités d’Ex Illis vous intriguent, je vous invite à vous y rendre sur le champ. Tous les mécanismes du jeu y sont très didactiquement expliqués : vous pouvez y apprendre, étape par étape, tout ce que vous devez savoir, « de l’ouverture de votre boîte de figurines à vos premières victoires ».
La deuxième actualité importante est le lancement de l’essai gratuit de 30 jours ! Hé oui ! Comme je vous le disais plus haut, Ex Illis a la particularité de mêler jeu de figurines et jeu vidéo. Il vous faut donc un compte en ligne pour pouvoir y jouer, et Bastion vous propose cette offre pour vous initier à son bébé.
Tout ce dont avez besoin est de créer gratuitement un compte provisoire sur www.ex-illis.com et « pendant 30 jours vous aurez accès à toutes les fonctionnalités, incluant la progression/personnalisation des unités, et l’outil de liste d’armée, pour commander vos armées dans l’univers fantastique et hautement stratégique d’Ex illis. »
Si cette initiation vous convainc, vous pourrez bien évidemment rendre votre compte permanent en activant n’importe quelle figurine dans le mois suivant la fin de la période d’essai, ce qui vous laisse quelques mois pour décider quel type d’armée vous souhaitez bâtir. « Ainsi, vous pourrez construire votre armée en conservant les statistiques et le niveau que vous aurez atteint pendant la période d’essai. »
Pour plus d’information sur cette offre, n’hésitez pas à vous rendre sur leur page explicative !
Vous l’aurez compris donc, pour jouer à Ex Illis il vous faut un compte en ligne, et acheter en parallèle des figurines en magasin que vous activez ensuite online pour débloquer du contenu et pouvoir construire vos armées pour ensuite les faire s’affronter à celles de vos amis sur un plateau qui fonctionne comme un damier !
Vous avez encore des questions ? Hé bien c’est pour ça que le Wiki est là ! Sinon, il reste le forum ! Sachez que la communauté est déjà très soutenue par une équipe à l’écoute. Ça peut servir 😉
Comme à son habitude, le CCM du WMORPG Leelh nous offre un communiqué de presse garni d’un message personnalisé que je ne pouvais pas ne pas vous transmettre tant il m’a faite rire. Vous savez que j’ai horreur des simples copier / coller de CP mais là… Là… Ça n’est pas un CP comme les autres ! Rien de tel pour bien commencer le week-end ; voici donc son message…
Salut les kisseurs et un salut particulier à la diva Eskarina,
Comment allez-vous ? De mon côté, changement de boulot puisque je ne suis plus community manager mais chargé de com’. Boulot trop cool, j’écris des CP tout le temps. Vous vous doutez que je ne vous envoie pas un mail pour raconter ma vie mais j’en profite tout de même. Tout à commencé en 1993, mon chien, Boutch, est mort. Ma mère ne sachant pas trop comment me l’annoncer excella en ayant recours à un subtil mélange de tact et de psychologie : « J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle, laquelle en premier ? »
Depuis ce jour, j’essaie de me reconstruire. Enfin… Sinon, je viens vous parler de Leelh !
Encore des News sur Leelh avec la prochaine mise ne place de la version 1.1.1 ! Oui, déjà ! On n’aime pas trop le sur place chez 3Dduo 😉
Au programme : intégration des nouveaux avec des tuto sympa sous forme de rêve, une changement de la formule d’essai et de nombreuses améliorations !
En pièce jointe, une superbe coupure de journal consultable sur le http://www.leelh.com/flashbacks : La première d’une longue série, le tome II de Leelh débutera bientôt et l’enquête sur les causes du grand cataclysme débute ! Les flashbacks sont des documents de l’Avant que la communauté peut consulter. Des indices, du background et tout le reste.
Je suis à votre disposition si vous souhaitez des informations supplémentaires. Je suis facilement corruptible en ce qui concerne le tome II, par exemple :p
A très bientôt,
PS : Si vous ne me relayez pas, je lancerais une « attaque saucisse » (de mon humble conception) sur Kiss My Geek et terminerais tous mes commentaires par saucisse, ce qui pourrait nuire gravement à votre image en vous référençant sur le mot saucisse. Gniark gniark.
Et voici donc la pièce jointe en question !
Quant à cette 1.1.1, les modifications les plus importantes sont :
Le nouveau survivant pourra maintenant choisir de faire un rêve tutoriel qui lui expliquera les fondements du jeu. Ces rêves sont actifs et le joueur y contrôle son personnage. Mais le système de rêve ne sera pas utile qu’aux nouveaux joueurs ! De nouveaux rêves arriveront progressivement en jeu, offrant des indices sur le cataclysme, par exemple. Peut-être même qu’il faudra réaliser certaines actions en jeu pour débloquer de nouveaux rêves. Le système de rêve est né d’une volonté de l’équipe de faciliter le début du parcours joueur de Leelh, quelque peu déroutant. Mais ce n’est pas tout ! De nouvelles quêtes visant l’intégration communautaires voient aussi le jour. Il faudra, par exemple, rejoindre un clan pour valider l’une de ces nouvelles quêtes du monde de Leelh.
Ils donneront aux survivants la possibilité de se plonger dans l’époque des Anciens en lisant de vieilles coupures de journaux et d’autres documents. L’enquête commence ! Pourquoi la France et peut-être le monde de 2087 n’est plus qu’un amas de ruines ? Aux survivants de le découvrir !
C’est l’heure de faire peau neuve pour la période de test de Leelh ! Fini les cinq heures de jeu et place à la toute nouvelle formule d’essai : la période de deux semaines. Oui, les survivants qui viennent de s’inscrire pourront jouer pendant 14 jours gratuitement. L’accessibilité est une priorité chez 3Dduo !
Une refonte de l’interface de sélection des ethnies et des factions, un système permettant de défaire et refaire des piles d’objets, des améliorations de Level Design, une refonte du gain d’expérience sur les tâches communautaires, etc. Comme à chaque fois, c’est une véritable tempête qui s’abat sur le monde de Leelh !
Avec tout ça, vous aurez bien envie d’y faire un tour ? 😉
Nous vous l’avions promis ; nous l’avons fait. Les interviews reprennent aujourd’hui avec du très, très, très lourd puisque nous recevons en exclusivité française Jace Hall, le « papa » de la série V et du Jace Hall Show, l’émission web la plus geeke des USA. Si ce nom ne vous dit rien, peut-être qu’en vous parlant du clip I play WOW vous situerez mieux le personnage ? Dans tous les cas, avec cette interview, vous en apprendrez plus sur le personnage bouillonnant d’idées qu’est Jace ainsi que sur tous ses projets. Et il y en a beaucoup ! N’hésitez pas non plus à lire l’interview directement en VO juste à la fin de notre traduction française… C’est parti !
[vimeo]http://vimeo.com/15048607[/vimeo]
Jace Hall : Je m’appelle Jason « Jace » Hall et je suis producteur de cinéma, de télévision et de jeux vidéo. Je suis actuellement le producteur exécutif de la série V chez ABC TV, mais aussi le présentateur, producteur exécutif et scénariste de la très populaire web-série The Jace Hall Show. Elle est décrite comme étant un croisement entre Larry et son nombril et Attack of the Show. En plus de cela, je suis le fondateur et président du HDFILMS INC., une boîte de production qui verse dans le cinéma, les séries, le jeu vidéo ou l’Internet par le biais de différents supports et en utilisant des techniques, équipements et formats d’avant-garde.
Avant tout ceci, j’ai fondé et été le CEO de la société de développement de jeux vidéo MONOLITH PRODUCTIONS INC. qui s’est chargée de la création et du développement de nombreuses franchises. Dernièrement, j’ai aussi tenu le rôle de Vice Président Senior de la Warner Bros. Interactive Entertainment (WBIE). J’ai pu y orienter l’entreprise dans ses choix créatifs, dans la gestion de sa croissance et de son management pour mener à bien ses objectifs dans le domaine du jeu et du business. Tirant au départ profit des licences de la Warner Bros. à travers un maximum de plateformes, actuelles et à venir, j’ai eu la chance de voir l’entreprise passer du statut de distributeur de licences à celui de développeur, éditeur et distributeur de jeux de haut standing. J’ai ainsi pu être impliqué au sein de la production et de la distribution de nombreux jeux vidéo, notamment ceux de la licence Matrix, Harry Potter et Batman, mais aussi F.E.A.R., Condemned : Criminal Origins, Justice League Heroes, et beaucoup d’autres.
J. H. : Heureux d’entendre que vous appréciez ! Il s’agit d’une émission fun que nous avons créée pour faire connaître la culture des gamers et d’Internet ainsi que les personnages qui la composent, d’une façon plus honnête que ce que l’on peut habituellement voir à la télé. Environ 10 millions de personnes regardent l’émission et nous sommes en train de tourner la quatrième saison en ce moment !
J. H. : C’est top secret ! Mais je peux vous dire une chose : nous allons sortir un clip inspiré de Street Fighter le 1er octobre. Comme tu le sais, le dernier clip que nous avions sorti était « I play WOW » et nous nous devions de continuer ! J’espère que les gens aimeront ce qu’ils verront !
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=GA91ssKJ9Cg[/youtube]
J. H. : Gardez un œil ouvert au sujet d’un projet secret sur Duke Nukem…
J. H. : J’ai bien entendu d’autres projets pour le petit écran, mais rien n’a encore été annoncé… C’est pour bientôt !
J. H. : Étant surbooké, je n’ai pas eu beaucoup de temps pour jouer dernièrement. Mais quand je le peux, je joue surtout à Super Street Fighter IV !
J. H. : J’essaye de regarder le plus de choses possible. J’ai tendance à préférer la science-fiction ou tout ce qui est thriller/action/drame. Je viens tout juste de regarder District 9 pour la 5ème fois ; je le trouve tellement énorme ! J’aime aussi beaucoup le film Bienvenue à Gattaca. Sinon je regarde Stargate Universe, V (bien sûr !) et South Park. Mais je lis aussi des comics et j’adore La Quatrième Dimension.
J. H. : Si j’en avais un, mon super pouvoir serait d’augmenter ou de réduire les effets de la gravité sur chaque personne ou objet !
Interview en version originale :
Jace Hall : My name is Jason « Jace » Hall and I am a film, television and video game producer, who currently serves as an executive producer of ABC TV’s critically acclaimed drama V: The Series. I am also the star, exec producer, and writer of the enormously popular hit reality webseries, The Jace Hall Show, which has been described as Curb Your Enthusiasm meets Attack of the Show. Aside from the above, I am the founder and President of HDFILMS INC., a production company devoted to creating film, television, videogame, and online content spanning across multiple mediums, using the most cutting-edge techniques, equipment and formats.
Previously, I was the CEO and founder of the internationally acclaimed developer, MONOLITH PRODUCTIONS INC. Overseeing the creation and development of numerous original award-winning franchises. And lastly, I held the role of Senior Vice President of Warner Bros. Interactive Entertainment (WBIE), leading the company in creating, laying strategy, and managing the Studio’s interactive gaming goals and business objectives. Initially leveraging Warner Bros. world-class brands on all current and future platforms, I oversaw the company growth from being a licensor to a full-scale developer, publisher, and distributor of games. I have been involved in the production and release of numerous videogame titles, including The Matrix franchise, the F.E.A.R. franchise, the Condemned: Criminal Origins franchise, Justice League Heroes, the Harry Potter video game franchise and the Goblet of Fire, the Batman video game franchise, and many more.
J. H. : Glad you like the show! It’s a fun show we produce designed to show gamer/internet culture and people in a more honest way than what television normally does. Around 10 million people watch the show and we are currently shooting Season 4 of the series now!
J. H. : This is top secret! One thing I can tell you is that we will be releasing a spin-off music video about STREET FIGHTER on Oct. 1st. As you know, the last Jace Hall music video we released was “I PLAY WOW” and so now it is time to follow it up! Hopefully people will like what they see!
J. H. : Keep your eyes open for some secret DUKE NUKEM stuff…
J. H. : I do have other television projects, but they are not announced yet! Soon though!
J. H. : Since I have been so busy, I haven’t had a lot of time to play lately – but when I do get a chance I tend to play Super Street Fighter IV!
J. H. : I try to watch as much stuff as possible. It tends to be science fiction or thriller/action/drama. I just got done watching District 9 for the 5th time. It’s such a great movie. I also love the movie GATTACA. I watch Stargate Universe, V (of course) and South Park. I read comic books and love the Twilight Zone.
J. H. : My power would be the ability increase or decrease the effect of gravity on individual people/objects.
Quelle gueule !
Aujourd’hui, je vais vous présenter un manga que j’ai découvert très récemment, Hammer Session !
Avec Yamato Koganemaru et Yatsu Hiroyuki au scénario, et Namoshiro Tanahashi au dessin.
Edité par Pika Editions, les mêmes que Highschool of the Dead, pour toi Oujiz 😀
La série est terminée au Japon (enfin si je dis pas de bêtises), et compte 11 tomes. Nous n’en étions qu’au 9e en France, jusqu’à ce que le tome 10 sorte il y a quelques jours \o/
Je vais commencer par un petit synopsis :
Quelque part au Japon, un fourgon blindé emmène plusieurs criminels endurcis vers une prison de haute sécurité. Parmi eux, un détenu que les forces de police ont attaché avec une camisole de force, bâillonné et dissimulé le visage, suscite l’intérêt. Un tueur en série ? Un terroriste fanatique ? Le plus hardi des prisonniers, un yakuza chauve au gabarit imposant, se risque à détacher l’inconnu et découvre… un jeune homme à la gueule d’ange, qui n’a apparemment rien d’un meurtrier (voir photo ci-dessus) ! Au même moment, le fourgon de prisonniers se renverse, les portes du véhicule s’ouvrent… Le yakuza et le jeune homme en profitent pour s’enfuir, et trouvent refuge dans un établissement scolaire. Là, le véritable talent de ce dernier se dévoile : c’est en réalité un arnaqueur professionnel, un escroc de premier ordre, qui apprécie tout particulièrement de s’en prendre aux personnes fortunées pour les dépouiller de leurs biens. Le hasard, et un directeur d’établissement au caractère assez particulier, transformeront l’arnaqueur en professeur. Une couverture parfaite pour un fugitif, n’est-il pas ! On ne connaît pas sa véritable identité. Il utilisera comme pseudonyme Gôro Hachisuka.
Cette série a su m’attirer par son dessin vraiment très travaillé, sans bavures, tout ce qu’on attend d’un manga. Et puis un peu aussi par le vendeur à la Japan Expo qui a su m’en vanter les mérites.
Effectivement, cela pourrait vous faire penser à GTO. Eh bah vous ne vous trompez pas trop. C’est effectivement dans le même esprit que se déroule cette histoire : un malfrat qui devient professeur dans un lycée, des élèves « à problèmes », des responsabilités des fois difficiles à assumer, bien évidemment. J’avais justement demandé à ce fameux vendeur s’il avait des mangas ressemblant à GTO. Je n’en demandais pas tant 🙂
Autre point positif, pour vous les gars, des dessins parfois très… hum, osés si je puis dire, pour notre plus grand bonheur.
La 4e de couverture du tome 6, qui est pour moi le plus intéressant au niveau scénario.
Je pense que vous vous demandez depuis le début de cet article pourquoi « Hammer Session ! » non ? Ne vous en faites pas, je mets fin à cette attente.
Comme dit précédemment, Gôro a dans sa classe des élèves à problèmes, ou qui ont des problèmes. Par ses Hammer Sessions, à travers lesquelles il utilisera tout son talent d’arnaqueur, il ancrera dans la tête des élèves des leçons qui les remettront sur le droit chemin.
Gôro est réellement un personnage attachant, que je souhaitais voir réussir à travers les tomes tous aussi géniaux les uns que les autres.
Les auteurs ont réussi à donner à ce manga un esprit que peu ont su faire jusque là. Je suis déçu que cette œuvre n’ait pas le succès qu’elle mériterait.
Je finirai sur une info que je viens de découvrir : la série a été adaptée en drama au Japon. Vivement des subs fr 😀
Merci d’avoir lu le premier Loading que j’écris, j’vous fais des bisous, et pis voilà 😀
Le grain de pixel d’Eskarina :
[Loading] est une rubrique publiée tous les jeudi, et c’est la vôtre. Elle a pour but de mettre sur le blog les écrits / dessins / etc. de nos lecteurs. N’hésitez pas à nous faire parvenir vos tests, strips, coup de cœur et de gueule si vous voulez les partager sur Kiss My Geek ! Vous pouvez nous envoyer tout ça à eskarina@kissmygeek.com et à oujiz@kissmygeek.com.
J’ai eu la chance d’être interviewée par le blog Art’n’games conçu par les fondateurs des e-commerces Geek’s Paradise et KBOOMM. De gros geeks comme eux qui rencontrent une pure geeke comme moi, ça ne pouvait donner qu’une rencontre inoubliable, scellée par un échange gravé dans l’Histoire !
Plus humblement parlant, allez vite jeter un œil à leur blog qui parle de leurs passions, qui sont aussi les nôtres, avec beaucoup d’humour.
C’est Julien de la team des Geek’s qui m’a posé toutes ses questions sur mon métier de testeuse, ainsi que sur mon lourd passif de geeke que j’étale sans pudeur sur ce blog…
Un gros merci à lui, donc, ainsi qu’à Nicolas pour ses vérifications de dernière minute. Et pour l’interview, c’est juste là !
Voici venuuu le teeemps du compteuh-renduuu ! Bon ok j’arrête ça tout d’suite…
Pour ceux qui nous suivent un minimum, vous saviez qu’Oujiz et moi nous sommes rendus ce week-end au double salon qui avait lieu à Paris, Portes Versailles ; le Monde du Jeu et le Festival du Jeu Vidéo !
Le parc était clairement divisé en deux parties avec à l’entrée le Festival du Jeu Vidéo, et au fond le Monde du Jeu. C’est donc dans cet ordre et en deux parties bien distinctes que je vais vous faire ce compte-rendu puisque les deux salons n’avaient pas véritablement d’interaction entre eux. Et d’ailleurs c’est bien dommage ! Je commence ainsi aujourd’hui avec un premier bilan concernant le FJV, et celui du MDJ suivra bientôt avec l’intégralité des photos que nous y avons prises !
Le mot « déception » est effectivement le premier qui me vient à la bouche quand je dois évoquer mon expérience sur ce Festival du Jeu Vidéo 2010. L’absence de S.E.L.L. au sein de l’organisation cette année est bien évidemment la cause de ce désastre, laissant la Games Fed seule pour tenter de faire un truc qu’elle se doutait loin d’être belle, mais qu’elle a tenté de maquiller au mieux pour que tout ça ne tombe pas dans le trop moche. Pour ceux qui ne savent pas de quoi je parle, filez donc lire le Warez de Jay qui vous en expliquait les raisons !
Tout ce bouzin événementiel et médiatique a bien évidemment provoqué l’incompréhension chez tous ceux qui étaient venus aux éditions précédentes du FJV et qui sont restés abasourdis devant la pauvreté de l’exposition de cette année. Pour faire simple, le salon se résumait à la présence de grandes marques venues mettre en avant leurs produits, à l’absence de véritables exclusivités (si l’on omet les studios indépendants venus présenter leurs projets), à des espaces réservés aux écoles de jeux-vidéo et autres compétitions d’e-sport sans véritable intérêt si ce n’est celui des yeux.
Heureusement, quelques stands salvateurs nous ont redonné le sourire tels que l’espace retrogaming du Musée du Jeu Vidéo, le coin Pix’N Love, les quelques bornes d’arcades qui traînaient dans les sombres recoins et les gars de Leelh aussi accueillants et passionnés qu’à leur habitude.
D’abord l’espace Musée du Jeu Vidéo juste à l’entrée du salon qui dédiait sur plusieurs dizaines de mètres carré tout un ensemble de vitrines et de consoles au retrogaming passif et actif. Libre à vous de vous extasier devant les vieilles manettes, ou au contraire de les prendre en main pour une partie de Pong ou de Pac Man !
Ça a également été un véritable plaisir de faire connaissance avec les éditeurs de Pix’N Love, au moins aussi adorables que passionnés, et qui prennent le temps de discuter avec vous de leur projet et de ce qu’ils veulent mettre en avant à travers leur initiative… Je me suis d’ailleurs pas mal déchaînée sur leur stand et, à défaut de pouvoir tout acheter, j’ai dû me « contenter » d’un porte-clé Mario mais aussi et surtout de trois superbes ouvrages : Des pixels à Hollywood d’Alexis Blanchet, La Saga des Jeux Vidéo de Daniel Ichbiah et le Cahier du Jeu Vidéo #3 sur les Légendes Urbaines… Pour les intéressés, leur catalogue complet est juste là !
Et enfin le stand de 3Dduo dédié à Leelh qui, aussi petit soit-il, a su attirer notre attention. Comme toujours le staff de ce WMORPG, auquel nous avons déjà dédié plusieurs articles, a su se faire souriant et engageant tout en proposant des « packs » abo + goodies spécialement prévus pour le salon. Et puis y’a pas à dire ; voir Sha en cosplay de ghostbuster / surfeur , ou Kanjy expliquer trois fois les règles d’un jeu consistant à pouiller les gens de Motion Twin en leur collant des stickers « Je suis un Survivant » dans le dos, ça n’a pas de prix. Et un petit coucou à nos potos d’OrdiRetro, Arnoparmentier et Ludozog, qu’on a eu la chance de croiser sur place !
Oh non, il y avait encore quelques autres petits détails sympas, comme le coin Bloodbowl, la rencontre avec Catpointzero au stand Goobox, les séances de speed-painting en direct par les infographistes de New Edge, la présence de l’équipe de Spiders pour leur projet Faery : Legends of Avalon déjà présenté à l’E3, ainsi que d’autres studios indépendants dont il reste toujours intéressant de voir le travail.
Pour conclure rapidement cette première partie : si vous voulez voir du « vrai » jeu vidéo, de l’exclu, du lourd et du pas épilé, il vous faudra attendre le salon « indépendant » organisé par S.E.L.L. à la fin octobre ; le Paris Games Week. Pour le reste, heureusement, il y avait le Monde du Jeu ! Mais tout ça, c’est la seconde et dernière partie du compte rendu… Encore un peu de patience !
Souvenez-vous, j’avais publié le premier carnet des développeurs de AC Brotherhood. Aujourd’hui, ils en remettent une couche avec un 2 ème opus !
Si vous souhaitez en savoir plus sur le recrutement et l’entrainement des recrues dans Brotherhood, c’est juste en dessous du jump ! 😉
Cette semaine, du bon, du beau, du moche.
The Town (Ben Affleck)
Autant je déteste l’acteur, autant le réalisateur et scénariste m’a toujours bluffée. Après Will Hunting et Gone Baby Gone, Ben Affleck signe avec The Town sa troisième œuvre en tant que tel. Et autant vous dire que je suis curieuse de voir ce que ça va donner !
Déjà placé dans la lignée d’excellents films comme Heat (Michael Mann), ce long-métrage pourrait bien surprendre…
On y suit l’histoire de Doug, le meneur d’une bande de braqueurs de banques plutôt talentueuse puisqu’elle ne s’est encore jamais faite attraper. Ce leader va pourtant voir son destin bouleversé le jour où il prendra en otage une directrice de banque… Bien qu’il la relâche, cette dernière reste sous pression puisque ses ravisseurs connaissent tout d’elle ; son identité, et surtout son adresse. C’est ainsi que, sans s’en apercevoir, elle va rencontrer un homme dont elle tombe amoureuse et qui se révèle être son récent kidnappeur ; Doug. Leur idylle inattendue se mue en une intense passion semblable à celle de Bonnie & Clyde et qui les mènera sur un chemin dangereux, voire pire.
The Town, adaptation du roman de Chuck Hogan, se promet d’être, avant une romance dramatique, un film d’action tirant vers le thriller avec une mise en scène travaillée.
Enfin, on notera la présence de Jeremy Renner (Démineurs, S.W.A.T.) au casting donc rien que pour ça… Faut y aller !
A voir également :
Floria Sigismondi nous offre avec son premier film, Les Runaways, une rétrospective sur la carrière de ce groupe éponyme mythique, notamment grâce à ses deux leadeuses charismatiques Joan Jett (I Love Rock’N Roll, c’est elle) et Cherie Currie. Entre le hard, le punk rock, et avec des débouchés sur le heavy metal, les Runaways seront respectivement incarnées par Kristen Stewart et Dakota Fanning (ça les changera de Twilight). Tout cela nous projette donc en 1975 à Los Angeles où ces deux adolescentes rebelles vont fonder ce qui deviendra le plus célèbre des groupes de « glam rock » féminin.
En plein essor du film d’épouvante et de ses remakes (Piranha 3D, Paranormal Activity 2, Saw 3D, etc.) Le Dernier Exorcisme se pose comme un hommage évident au film dont chacun d’entre nous se rappelle. Réalisé par un presque inconnu, Daniel Stamm, il retrace l’arrivée du révérend Cotton Marcus dans une ferme où il a été appelé pour un exorcisme (ça ne vous rappelle rien ?). Toutefois, ce dernier se rend vite compte que le mal qu’il va devoir affronter est bien pire que ce qu’il pouvait imaginer. C’est la raison pour laquelle il fait appel à une équipe de tournage pour réaliser un documentaire sur place, justifiant « habilement » au passage le choix de la caméra-épaule. Malgré ce pitch un peu lolesque et convenu d’où l’on pourrait déjà craindre des situations à la « Bon, je propose qu’on fasse tous un groupe de 1 et qu’on se retrouve au cimetière ! », ainsi que le choix d’un angle de vue en caméra-épaule déjà vu, re-vu et re-re-vu (Rec et Projet Blair Witch, pour ne citer qu’eux), on laissera sa chance à ce long-métrage issu du cinéma indépendant dont les aficionados du genre seront toujours friands !
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=4RdK46zQvfg[/youtube]
Sources et images via Allociné
Copyright KissMyGeek - All Rights Reserved.
Back to Top