Une affiche qui ne va pa sans rappeler celle de No Country For Old Men
Fright Night (Craig Gillespie)
L’épouvante est à l’affiche pour cette deuxième semaine de septembre. Et c’est le talentueux Craig Gillespie, réalisateur de la série United States of Tara, qui est chargé de vous coller les miquettes…
Fright Night met en scène un lycéen populaire, Charlie, dont la vie va prendre un horrible tournant avec l’arrivée de son nouveau voisin, Jerry. Contre toute attente, et malgré ses airs d’hommes charmant, l’instinct de Charlie le pousse à se méfier de lui… Après une période d’observation, force est de constater que Jerry n’est autre qu’un vampire, décidé à faire de son nouveau quartier un garde-manger bien fourni. Bien évidemment, le lycéen va tout mettre en œuvre pour exterminer cette créature dangereuse, aux côtés de ses amis et de sa mère…
Si le scénario vous semble à destination d’un public jeune, c’est normal puisque le film est produit par les studios Disney. On sera donc loin d’un film d’épouvante à vous pisser dessus, néanmoins le suspense et les sursauts seront là.
Côté casting, Gillespie a repris son actrice fétiche Toni Collette (USOF) qu’il affiche aux côtés de Colin Farrell, David Tenant et Christopher Mintz-Plasse. Un cru de choix…
Malgré l’aspect très « ado » de la production, je me laisserai sûrement tenter !
A voir également :
La rentrée des classes nous offre aussi un remake de La Guerre des boutons. C’est Yann Samuell (Jeux d’enfants) qui se colle à l’exercice difficile de la réadaptation (la quatrième) d’un livre -et d’un film- culte pour nombre d’entre nous. Exit l’accent vieille France et le noir & blanc, espérons donc que l’écriture et le casting (Fred Testot, Alain Chabat, Mathilde Seigner, etc.) sauront faire hommage à ce long-métrage inoubliable.
Ouais on nous aura pas mal gavés avec ça, on en arrive même à prendre des résolutions de rentrée, comme si celles de la nouvelle année ne suffisaient pas.
La rentrée, c’est pour certains les cours, rencontrer de nouveaux potes de classe, de nouveaux profs, un nouveau programme, donc que des trucs cools.
Hé bien chers amis étudiants, profitez bien, après ça se gâte.
Hé oui, trouvez un travail, et vous passerez chaque année avec les mêmes personnes (sauf si vous bougez, comme votre serviteur). Au retour des vacances d’été, vous vous retaperez les mêmes conversations autour de la machine à café, sur la politique et le sport pour les mecs, sur la mode et les collègues pour les filles. (clichay)
Draguez une copine de classe et prenez-vous un vent, cela importe peu, car peu de chances qu’elle se retrouve dans la même classe que vous l’année suivante.
Draguez par contre une collègue de boulot et prenez-vous un vent, et dites-vous que vous devrez continuer à bosser avec elle l’année suivante aussi. :trollface :
Evidemment vous pouvez échapper au calvaire de la revoir en changeant de boulot. Mais si vous êtes un collectionneur d’outils de ratissage pour jardins, les déménagements vont être fréquents. Et encore faut-il retrouver du boulot à chaque fois !
D’où l’importance de la drague de la rentrée. D’un contact, d’un échange de regards, votre premier jour de travail/classe sera déterminant pour votre année sexuelle !
Le conseil du Rodrigo, c’est assez simple. Se la jouer simple détaché, et désintéressé. CA MARCHE.
Jouez non pas le solitaire, mais le mystérieux, sans le forcer. Soulevez questions, interrogations, et vous soulèverez de la nana !
Exercez-vous, et apprenez l’art d’emballer, car après le lycée, il y à la fac. Votre échauffement au lycée sera primordial. Travaillez l’attitude et la patience. Cultivez votre image.
GOD I MISS THOSE TIMES !
Bref c’est la rentrée, on va pouvoir profiter, et bien que le bahut me manque, je ne regrette pas d’en être sortit.
Alors chers amis pour cette nouvelle saison, je vous souhaite du bonheur, des nanas, des fiestas, et surtout, SURTOUT, des heures de gaming acharnées !
Et voici enfin la troisième partie consacrée à nos chers amis les Ninjas !. Nous avions précédemment parlé de l’historique des ninjas puis des films plus ou moins navrants à leurs sujets. Cette troisième partie va quant à elle se consacrer aux jeux vidéos sur nos personnages de l’ombre préférés.
Le maître du jeu de plateformes
Contrairement à son cousin le samouraï, le personnage du Ninja va être porté sur de nombreux supports et décliné à toutes les sauces. Pourquoi ? Parce qu’il suit le mouvement de mode et de fascination soudaine pour l’Asie de l’occident tout en tombant pile au moment du développement massif de l’arcade et des premières consoles de salons. On peut aussi considérer que le Ninja était fait pour le jeu de plateforme en 2D scrolling : on avait là un personnage réputé acrobate, bardé de gadgets et bénéficiant d’un certain charisme.
De fait, les jeux les plus connus avec pour protagoniste principal un ninja sont souvent des jeux de plateformes. D’une manière générale, on y contrôlera un personnage agile et rapide capable de sauter sur les murs, de lancer des shurikens et de parfois déclencher des pouvoirs magiques.
Les développeurs, souvent Japonais, mettent avant tout l’accent sur des scénarios basiques et favorables à l’exportation : même si la plupart du temps l’exotisme demeure, nos amis ninjas se voient affronter des ennemis modernes qui sont souvent très liés à la pop culture des années 80-90 .
La série des Shinobi :
Le regard de Shinobi rappel etrangement celui de Sho Kosugi
La série des Shinobi est sans doute la licence qui fut la plus populaire autour du thème du Ninja dans les deux décennies dont nous parlons. Le jeu est développé par une équipe de Sega qui prendra plus tard le titre de la saga. Le premier épisode de la série, Shinobi, sortira sur borne d’arcade en 87 puis sera décliné sur plusieurs autres plateformes (Master system, Commodore 64 , Amiga , Zx Spectrum). Celle-ci sera ensuite déclinée sur Mega-Drive, Game Gear et Saturn pour la période qui nous intéresse, les meilleurs titres restants The Revenge of Shinobi et Shadow Dancer. On voit d’ailleurs divers tests complets à propos de ces titres mémorables sur le net.
La série Shinobi se distingue principalement par un Gameplay plateforme orienté action dans un environnement mélangeant les principales figures de la pop culture de ces années. Aussi, la série n’hésite pas à intégrer des combats auprès de la statue de la liberté (dans Shadow Dancer), des ennemis aux airs de Schwarzy et Rambo, des Godzilla voir carrément des personnages de Comics comme Batman et Spiderman dans The Revenge of Shinobi sur mega-drive (ce qui provoquera d’ailleurs des changements de Skin assez violents sur certaines versions à cause de gros pépins de Copyright).
Coucou Rambo !
L’ensemble de la série réussie donc le pari d’intégrer le Ninja à la vague de films d’actions de l’époque. S’il reste exotique, Joe Musashi évolue dans un monde moderne rempli de flingues et de missiles ce qui lui permet d’affronter des hélicoptères, des mécas, des trains et même de traverser des autoroutes !
coucou spider man !
Au niveau du Level Design, on soulèvera surtout l’originalité de l’évolution du scrolling sur plusieurs hauteurs. Ce qui rend la progression dans la plupart des niveaux de Shinobi assez amusante. Enfin l’ambiance sonore des jeux est la plupart du temps réussie et il est rare qu’on puisse être agacé par les thèmes du jeu, même à l’heure actuelle.
La difficulté de ces différents titres est quant à elle pour la plupart du temps abjecte mais pas pour autant insurmontable. Rejouer à cette série peut donc s’avérer être un Challenge interessant et divertissant.
La série des Ninjas Gaiden :
Une bien belle affiche qui fait immediatement penser aux films d'actions
Autre « série » connue de l’époque mettant en scène un Ninja, Ninja Gaiden (ou shadow warriors en europe) va sortir sur borne d’arcade en 1988 puis sur console (entre 88 et 92) . Cette trilogie sera concurrente à la série des Shinobis, faisant Ryu Hayabusa un ninja « Nintendo » (étant donné que les trois titres sont sortis sur Nes).
On y incarne Ryu Hayabusa, Ninja désirant retrouver le meurtrier de son père aux états-unies. Là encore, on retrouve le fait d’inclure un Ninja dans un monde contemporain en lui prodiguant une figure pop : Ryu est en effet un ninja qui combat des hordes de punks et de méchants armés de blue jeans et de masques de Hockey. Le titre fait recette de par la grande variété de mouvements que peut réaliser Ryu, de fait le titre sera, à la manière des shinobis, converti sur de nombreuses plateformes (amiga, atari st, commodore 64).
Ninja Gaiden se verra ensuite transformé dans des versions dédiées aux consoles 8 bits (sur Nes et Master System notamment) dans un genre tenant plus à la plateforme qu’au Beat them all. Les titres plateformes se distinguent notamment par des graphismes soignés pour l’époque et un rythme de jeu particulièrement furieux. Contrairement à Shinobi, Ryu est extrêmement rapide et agile tandis qu’il peut glaner des power up (Shurikens géants, nuées de shurikens et autres joyeusetés), le tout alimenté par des niveaux remplis à ras-bord de légions d’ennemis et de boss. Enfin, principale singularité de Ninja Gaiden plateforme : celui-ci est entrecoupé de nombreuses cut-scenes qui permettent de faire vivre davantage le personnage de Ryu et d’agrémenter le scénario (bien pauvre) du jeu.
Les petites Cutscenes donnent à Ninja Gaiden une certaine singularité
Ninja Gaiden est ainsi un titre nerveux et dynamique qui s’avère très amusant à court terme, en effet, si le jeu possède un véritable caractère propre, sa difficulté est encore pire que celle des Shinobis et s’avère carrément punitive dans les niveaux les plus élevés au programme : vent qui vous pousse, ennemis qui tombent à la verticale, qui volent à l’horizontale, niveaux glissants ou sans lumière, respawn instantané des mobs, piques de toutes sortes et chiottes à gogo (un peu le i wanna be the guy version Ninja ou Super Meat boy ^^). Je ne peux d’ailleurs pas résister à vous filer le lien de la vidéo d’angry vidéo game nerd à propos du jeu :
Étant un fidèle des consoles Sega à l’époque, je n’ai joué qu’au premier Ninja Gaiden et j’ai éprouvé à peu près le même souvenir que dans le commentaire de angry vidéo game nerd (même blague aussi à propos de la prononciation Ninja » Gay » den ou G »aï »den). Je n’arrivais que rarement à terminer le second niveau et je demeurai souvent condamné à affronter le sumo du premier stage. Malgré le côté déprimant de cette difficulté pour un gamin, j’éprouvais néanmoins toujours du plaisir à revenir voir les petites cut-scenes d’intro en espérant découvrir la suite, hélas je n’ai jamais pu avoir cette opportunité !
Le culte Strider :
La version megadrive et sa couverture bien vintage
Capcom est une de ces boîtes qui a toujours réussi à susciter l’engouement et son titre « Ninja », Strider sorti en mars 1989 sur borne d’arcade, ne déroge pas à la règle.
On contrôle ici Hyriu qui doit évoluer dans un monde peuplé par les méchants de l’union soviétique à l’aide de son sabre, de son kama et de deux animaux (un tigre et un aigle). Jeu de plateformes orienté action, Strider a impressioné de nombreux contemporains de part sa réalisation exceptionelle (pour 1989). Capcom parvient à surprendre par des décors diversifiés et variés tandis que les sprites des Boss et divers personnages sont grands, soignés et riches en animations (on a aussi des voix digitalisées sur le version arcade).
A noter que même si Strider n’est pas à proprement parler un Ninja, il reprend les grands thèmes de la figure du Ninja : Des sortes de « kami » robotiques lui viennent en aide, il est doué d’un grand talent d’acrobate et il se sert de divers armes et « gadgets » pour venir à bout de ses ennemis.
La difficulté est plutôt poussée mais pas insurmontable, le jeu étant fait à la base sur une borne d’arcade. On trouve néanmoins beaucoup de plaisir à y jouer de par la diversité des niveaux ( on passe d’une forêt tropicale peuplée de dinosaure à une Urss du futur) et des boss. L’action y est également omniprésente même si le titre souffre tout de même de musiques et d’effets sonores un peu pénibles. Au niveau des contrôles il est aussi à noter que les acrobaties réalisées par Hyriu sont souvent un peu imprécises
.
Personellement et malgré sa très bonne réalisation graphique, je lui préfère The Revenge of Shinobi ou Shadow Dancer, l’ambiance de ces deux jeux me paraissant plus travaillée et agréable même si les niveaux sont parfois moins soignés ou repetitifs.
Jeux de combats et Beath Them All en vrac:
Si les ninjas des années 80/90 se sont beaucoup illustrés sur plateforme, ils furent également présent dans plusieurs titres de ceux qui font partie des autres genres des consoles de l’époque: les Beath Them All et les jeux de combats à la Street Fighter. Même si le plus connu d’entre-eux n’intègre pas véritablement de personnages possédant les traits du Ninja (Street Fighter j’entends), d’autres productions du même type ne vont pas hésiter à le faire.
Les plus connus sont sans doute Sub-Zero et Scorpion de Mortal Kombat qui adoptent une tenue de Ninja et utilisent des gadgets ou des pouvoirs puissants.
On peut également citer Hanzo Hattori dans Samouraï Shodown sur Neo-Geo (et autres supports), reprenant le célèbre personnage historique venu en aide à Ieyasu Togukawa. La Neo-Geo comprend également Ninja Commando (sorte de jeu de shoot ou on balancera des Shurikens comme un bourrin dans une ambiance Vietnam et films d’actions nanards), Ninja Master’s: haoh-ninpo-cho (un jeu de combat à la Samourai Shodown comprenant quasi exclusivement des combattants Ninjas) ou encore Ninja combat (Beat them All multicolore qui ressemble de près à un film nanard Ninja là encore).
Enfin la nombreuse série de jeux Tortues Ninja, issue du comics et du dessin animé, qui comprendra quelques bons jeux . Teenage Mutant Hero Turtles: Tournament Fighters (konami 1992) est une sorte de copie de Street Fighter, comprenant des animations soignées et un gameplay axé sur l’attaque, tandis que Teenage Mutant Hero Turtles IV : Turtles in Time (konami 1992, titré The Hyperstone Heist sur Mega-Drive ) est un bon petit Beat Them All jouable à deux joueurs et surtout très fidèle au dessin animé (Présence de Shredder, Krang, thème musical du dessin animé, ubisoft en fera d’ailleurs un Remake avec une refonte Graphique).
Conclusion :
Contrairement à son apparition de courte durée au cinema et à une mode vite passée après les années 80, le Ninja est resté une figure emblématique du jeu vidéo. Il est toujours présent en tant que personnage secondaire, tête d’affiche ou adversaire. Les jeux vidéos ont en effet permis au Ninja de la pop culture de se décliner à la fois en tant que combattant dans les beat them all et jeux de combats et comme maître de la furtivité dans les titres de la nouvelle generation permettant l’infiltration à l’aide de la 3D (La série des Tenchu). Sa figure charismatique a fait de lui aussi une classe dans les jeux de rôle et autres Trpg (FFVI, Ultima Online, Fire Emblem entre autres), à tel point qu’il fut également pointé du doigt en tant que moquerie chez certains joueurs qui affirmaient vouloir devenir des Ninjas dans des cadres Roleplay.
Sans doute aussi, le Ninja a t-il davantage survécu dans l’univers du jeu vidéo parce qu’il était porté par la qualité de plusieurs de ses titres (Shadow dans FF VI, les Shinobi et mortal Kombat) contrairement à sa présence au cinéma, davantage synonyme de nanard.
Pour la sortie de la version physique de son Super Meat Boy sur PC, la Team Meat a voulu mettre les petits plats dans les grands avec cette Ultra Rare Edition au contenu plus qu’alléchant : contenu téléchargeable, OST en version digitale, poster, comic-book de 40 pages, t-shirt et bien entendu le jeu. Je vous propose d’ouvrir la boîte en même temps que moi !
Le tout est contenu dans une bien belle boîte rouge au couleur du héros du jeu, boîte que l’on a très très envie d’ouvrir pour découvrir ce qu’elle contient. Et là, c’est la déception. Le boîtier repose tout bêtement sur le t-shirt plié, on se demande alors où ils ont casé les goodies.
La boîte, rouge bien entendu, à l'effigie de Meat Boy.
On s'attend à du lourd dès l'ouverture et puis...
... et puis on se retrouve face à ça, perturbant.
Oui, il n'y a bien que deux choses dans cette boîte, pas besoin de chercher.
Finalement, on découvre que le poster est inséré entre la boîte plastique qui contient le jeu et celle en carton qui l’entoure, on a vu mieux mais il est de bonne qualité. Le comic-book lui est dans le boitier, en lieu et place de l’habituelle notice, au moins on ne risque pas de le perdre ni de l’abîmer. Il contient une bande dessinée nous racontant l’histoire de Meat Boy, des mini jeux ainsi que beaucoup d’artworks. C’est fait avec beaucoup d’humour et c’est ma foi très sympa !
A gauche, le boîtier carton qui contient le boîtier du jeu ainsi que le poster.
Le boîtier en carton s'ouvre pour montrer à quel point le jeu il est bien.
Le poster, sobre mais efficace !
Le comic-book, franchement drôle et bien foutu !
Les artworks, toujours aussi décalés.
Gros point noir de cette édition : le t-shirt. Alors, oui, il est magnifique, oui, il est de bonne qualité. Mais il va falloir m’expliquer pourquoi, ô grand pourquoi il n’existe qu’en XL ! Je nage complètement dedans !
Le magnifique t-shirt, qui est hélas bien trop grand.
Pour conclure, je dirai que je suis quand même très content de cette édition qui il faut le dire ne coûte pas plus d’une vingtaine d’euros. Joli package, bon contenu et ce malgré ce t-shirt trop grand, excellent jeu, que demander de plus ? Une meilleure organisation dans la boîte ? Ah oui, peut être, et encore.
Super Meat Boy Ultra Rare Edition est sorti le 26 aout pour un prix conseillé de 20€ !
Cette semaine, une comédie med-fan potache à se mettre sous la dent. C’est mieux que rien !
Une affiche kitsch qui ne va pas sans rappeler les couvertures de ADD...
Votre majesté (David Gordon Green)
David Gordon Green (L’Autre rive, Délire Express) nous sort une toute nouvelle comédie pour la rentrée : Votre majesté.
Et pas n’importe laquelle ! En effet il s’agit d’une comédie… médiévale fantastique. Exercice peu courant !
Le scénario met en scène un prince détestable et paresseux, Thadeous, et qui doit « malheureusement » partir à l’aventure pour sauver son royaume. Débute alors un voyage aux côtés de son frère Fabious, héritier présomptif bien décidé à l’aider, puisque c’est du sauvetage de sa fiancée dont il s’agit ! Cette dernière a effectivement été enlevée par le sorcier malveillant Leezar…
Un scénario volontairement classique, c’est ainsi plus facile à parodier !
Alors là on se dit : ouais nan, encore un film pourri à la Uwe Boll…
Et moi je vous dis : non ! Zyeutez tout simplement le casting, vous verrez la différence : James Franco, Natalie Portman et Zooey Deschanel se disputent en effet l’affiche… Je vous laisse sur la bande-annonce pour que vous ayez une idée !
Hellow hellow les amis je suis de retour après un super été qui m’a vu déménager en Franche Comté !
Sociologeek revient, et j’en suis super content, nouvelle vie, nouveau job, nouvel appart, bref un tout nouveau Rodrigo !
Je me remet aussi doucement à la production musicale en espérant que la vieille dame du dessus ELLE AIME BIEN LES BASSES et que la vieille dame du dessous ELLE AIME BIEN BEAUCOUP LES BASSES (Dédicace assumée aux fans de Stupeflip & @On_Arap).
Bref de nouveaux projets, un tout nouveau regard sur la vie de geek, et tout ça sera évidement épluché dans les nouveaux Sociologeek !
On se donnera RDV tous les dimanches, histoire un peu que jvous raconte comment va ma life. Quoi ? Qu’ouïs-je ? (Et non pas « Qu’Oujiz ? ») Un seul Sociologeek par semaine ? Mais c’est moins qu’avant ! Oui oui oui je sais, mais mon nouveau job va m’obliger à bosser à partir de 6h, et que la semaine risque d’être un peu chargée, donc tout sur le week end !
Mais ne vous inquiétez pas chers amis, le Sociologeek continue sur sa lancée et s’étoffe !
Vous retrouvez, et je m’y engage, l’humeur musicale, qui accompagnera la lecture. Moitié production perso, moitié titres qui m’inspirent.
A terme aussi quelques vidéos, pour que vous voyez ma trogne de temps en temps !
N’oubliez pas le hashtag #sociologeek sur twitter pour raconter votre vie de geek, et vous retrouver sur Kiss My Geek !
On va donc s’éclater comme des foufoufoufoufoufoufoufoufoufoufoufoufoufoufoufoufous toute cette saison !
Hey hey hey !
Après trois semaines de repos (du guerrier, croyez-moi), les stirps sont de retour (soulèvement de joie de l’assistance).
Même si eux reviennent de vacances, y en a un qui a fini par lâcher la manette et aller voir ailleurs si le sable était plus jaune. Et qui c’est qui doit s’occuper de l’appart ?
Ha non, c’est pas moi, c’est Eska.
Ha ha, c’est là qu’on voit ceux qui ont suivi. C’était débile, donc on garde le principe de la Chell dans le fauteuil. Ça donne une… Chell-ze ?
La Faucheuse est passée par là... Destination Finale 5 (Steven Quale)
Steven Quale. Ce nom ne vous dira peut-être rien et c’est normal. Cet homme de l’ombre a bien peu de films à son actif en tant que réalisateur, et pourtant il a co-réalisé de grands chefs d’oeuvre aux côté de Cameron : Titanic et Avatar. Il semble alors un peu étrange de le voir se recycler dans le blockbuster pour ado mais, finalement, pour relancer une carrière et se mettre au premier plan, tous les moyens sont bons !
Pour en revenir au film en lui-même, sans avoir vu un seul des Destination Finale, il est aisé de vous en décrire le scénario. En effet le pitch reste le même d’un opus à un autre : de « pauvres » ados destinés à mourir échappent à leur sort miraculeusement, suite à une prémonition. Commence alors une course-poursuite avec la Mort qui va chercher à leur offrir ce pour quoi ils étaient nés.
NEDS est le troisième film dramatique de Peter Mullan. Il nous emmène dans le Glasgow de 1973 où l’on suit les péripéties d’un NED (Non Educational Delinquent), John McGill, brillant mais entraîné par son délinquant de frère à suivre sa voie. Grâce à la réputation de son aîné, John va entrer dans le cercle en y étant protégé, ce qui lui ouvre très vite les portes du gang… Récit d’une descente aux enfers.
Miam non ? Et en même temps, il fallait bien cela pour nous rassurer. Après une première saison très décriée par les fans, on a appris le mois dernier que le showrunner de la série, Frank Darabont, quittait le navire. Pire, il semblerait qu’il ait été tout bonnement viré par AMC si l’on en croit le site The Hollywood Reporter. Pourquoi ? Tout simplement pour des raisons budgétaires. La chaîne aurait décidé de couper franchement dans le budget, et Darabont qui s’est opposé à cette décision en a payé le prix fort. Quelques exemples de restrictions : 8 jours pour le tournage d’un épisode (ce qui est très peu), la moitié en studio (wait, what ?) et moins de zombies afin d’économiser sur les maquillages et effets spéciaux. C’est quand même incroyable pour une série qui a eu un succès aussi phénoménal !
En tout cas, la saison 2 de The Walking Dead arrivera sur les écrans au mois d’octobre et les premières images ont l’air méchamment bonnes !
Tu es fan de la volcanique Asuka Langley ? des mechas ? et tu as fétichisme certain pour les eyepatches version pirate ?! Petit geek amoureux de la saga Evangelion ce post est pour toi !!! Voilà le teaser d’Evangelion Q, alias Evangelion Quickening qui débarque sur KMG !
Ahhh ! Rien de tel qu’un teaser de quelques secondes, rempli d’EVA et d’Asuka pour me mettre de bonne humeur !! ^^’ Car ça y est !! Après des mois d’attente, Evangelion: 3.0 / Q (Q pour Quickening) est enfin en route !! Yattaaaaa :3
La couv du Newtype de Juin dernier: rien de moins que la belle Asuka version pirate !
De la tetra(EVA)logie…
La suite tant attendue des deux premiers opus est donc en cours de réalisation.
Après Evangelion: 1.0 You Are (Not) Alone« en 2007, et Evangelion: 2.0 You Can (Not) Advance, la série originale créée par Hideaki Anno et produite par Gainax, continue son bonhomme de chemin.
Les deux posters: 1.0 VS 2.0 (sur le 2.0 on voit apparaitre les persos d'Asuka et Mari Makinami)
Cette tétralogie, créée afin de rendre la série mythique (et parfois hermétique) plus accessible aux non-fans et donc à un nouveau public, a aussi été pensée afin de pousser l’univers de Neon Genesis Evangelion au-delà de l’original: nouvelles scènes, nouveaux personnages et le tout à grand renfort d’animation 3D/CG.
Plus qu’un remake, un véritable extreme makeover ! Et pour clore le tout, un 4ème film, simplement intitulé Evangelion: Final, qui lui, apportera une fin toute nouvelle à la saga… Bref ! du eva-gasm incoming !! XD
MAIS (car il y a un « mais »!) c’est qu’il faudra attendre l’automne 2012, hélas ! Qu’importe ! Cela vaut généralement l’attente, comme on a pu le constater avec les 2 précédents films, qui avaient reçus une belle réception de la part des hardcore fans (japonais et occidentaux).
L'équipe des pilotes de choc: Rei, Asuka, Shinji et Kaoru
Série mythique, Neon Genesis Evangelion, un manga qui est publié depuis 1994 (et toujours en cours au Japon !)
Une équipe NERVeuse
Une fois de plus, on retrouve l’alliance du Studio Khara (qui a précédemment bossé sur Evangelion 1.0, mais aussi d’autres anime tels que Ponyo ou GITS: Stand Alone Complex) avec l’équipe de KlockWorx pour la distribution, et le tout sous la supervision de Gainax, ZE studio qui s’était chargé de la série initiale (1995) et du film The End of Evangelion (en 1997).
C’est, bien évidemment, Hideaki Anno qui est en charge de la structure et de l’écriture du film. Après tout, Evangelion est devenu son bébé au même titre que son créateur, Yoshiyuki Sadamoto, avec qui il a toujours collaboré d’ailleurs, et cet opus 3.0 ne dérogera pas à la règle.
On retrouve également Kazuya Tsurumaki à la réalisation de ce projet. Lui, qui avait été assistant de réal et vieux comparse d’Anno-san sur la première série, et aussi d’autres projets comme Nadia, le secret de l’eau bleue ou bien encore la terrible série FLCL (FuriKuri).
Evangelion 1.0
Evangelion 2.0
On retrouvera donc le maître et créateur de Neon Genesis Evangelion: Yoshiyuki Sadamoto, mais aussi Ikuto Yamashita au mecha-design (il a désigné les mechas de séries comme Gunbuster, Nadia, Yukikaze et Blue Submarine 6) ainsi que and Shirō Sagisu à la musique (FFVI Grand Finale, Kimagure Orange Road, Nadia, NGE, Abenobashi, Casshern, Bleach, …)
Les EVA, des bijoux niveau mechas (sortis tout droit de l'imagination d'Ikuto Yamashita)
Bref, une bonne équipe de poids lourds, ça ne peut présager que du bon, voire du très bon ! (en même temps me demandez pas d’être objective, vu la fan hardcore des EVA que je suis ^^)
Evangelion : Quickening, Asuka = kickass !
*woot woot* Une EVA-2 upgradée ?!!
Brave new world ahoy !!
Dans ce teaser, apparu à la fin de la diffusion du format tv d’Evangelion 2.0, sur les écrans nippons le 26 août dernier, on voit défiler 16 secondes de pur bonheur:
Une Asuka kickass avec un eyepatch, aux commandes d’une EVA-02 légèrement modifiée, apparaissant dans l’espace. On entend alors la voix de Misato dire:
« Shinji Ikari s’éveille. À ses côtés se tient un mystérieux garçon. Et ainsi, un nouveau monde l’attend.«
Que dire d’autre à part « GGHHAAAAAAA » !!
Ah si! Regardez moi ce teaser !!
Et si vous aussi, vous vous le repassez 12 fois en boucle, avec un sourire stupide, alors… alors, vous comprendrez peut-être pourquoi cette série magique compte autant de fans, car elle dépasse le cadre d’une série traditionnelle, et a su s’élever au rang de pièce-maitresse dans l’histoire de l’anime japonais.