Après Captain America, Conan et Green Lantern, on ne baissera pas en testostérone cette semaine !
Une affiche qui n'a rien à envier à celles de Star Wars !
Cowboys & envahisseurs (Jon Favreau)
Vous avez toujours rêvé de voir un film mêlant Le bon, la brute et le truand, et Rencontres du troisième type ? Jon Favreau (Iron Man 1 & 2) l’a fait. Enfin si on veut, puisqu’il s’agit d’une adaptation de la BD de Scott Mitchell Rosenberg datant de 2006.
Cowboys & envahisseurs a cumulé l’improbable, à un tel point que les trailers ont d’abord fait croire à une parodie, un fake. C’est notamment l’humour présent dans ces bande-annonces qui a semé le doute. Eh pourtant non, ça n’a rien d’une blague. Ce western fantastique, tiré d’un sous-genre très peu usité (on comprend pourquoi), compte aller bien au-delà de ce que pouvait proposer Wild Wild West !
L’histoire se déroule ne pleine Amérique du XIXè, dans la ville d’Absolution. On y suit l’histoire d’un homme amnésique et dont le seul indice le reliant à son passé est un étrange bijoux qu’il porte au poignet… Au menu, un casting du tonnerre : Daniel Craig et Harrison Ford. Rien que ça.
Je vous laisse zyeuter cette petite vidéo qui en dira bien plus que toutes les lignes du monde !
Après un premier film qui ne restera pas dans les annales, le Ghost Rider nous revient l’année prochaine toujours avec Nicolas Cage et voici la bande annonce !
Pour ceux qui ne seraient pas familiers avec le personnage, un petit topo s’impose. Johnny Blaze est un cascadeur qui, à la suite d’un pacte avec Mephisto qui a mal tourné, partage son corps avec le démon Zarathos qui le transforme en squelette enflammé armé d’une chaîne mystique : le Ghost Rider. Voilà, j’ai fait très concis. Maintenant, la bande annonce :
Pendant cette courte mais intense journée du mercredi 17 août 2011, Kiss My Geek s’est déplacé à Cologne pour profiter au mieux de la journée presse avant-première du salon.
Voici dès aujourd’hui l’ensemble de nos impressions et de nos photos ! Dans les jours qui viennent vous aurez aussi droit aux vidéos que nous avons pu prendre sur place.
Tout d’abord un petit rappel : la gamescom c’est quoi ? Un salon du divertissement interactif (du jeu vidéo kwa) qui a lieu tous les ans à Cologne (Allemagne) depuis 2009. Il a très rapidement réussi à s’octroyer une réputation internationale et à se hisser au même niveau que l’E3 et le TGS, voire au-dessus. C’est une très bonne chose pour nous les européens, jusque là démunis d’un véritable salon vidéoludique à ampleur mondiale.
Cette année plus de 300 jeux et de nombreuses avant-premières ont été présentés par les exposants. Tous les types de jeux y passent, des plus gros studios aux projets indépendants, des jeux console aux mobiles et au online. Cette année 550 exposants étaient sur les lieux (10% de plus qu’en 2010, dont 16% de plus venant de l’étranger) dans les halls du Koelnmesse, sur plus de 120.000 m². Près de 5.000 journalistes du monde entier se sont déplacés pour couvrir l’évènement, et plus de 254.000 visiteurs sont attendus… Quand on sait que l’E3 2011 s’étendait sur 67.000 m² pour 200 exposants et 47.000 visiteurs… On peut en dire que c’est du lourd !
Voici ce que j’ai pris en note des différentes conférences ou démos que j’ai pu approcher. Je n’aborderai donc pas tous les jeux présents sur ce salon, mais uniquement ceux pour lesquels je pourrai vous donner un avis objectif et quelques infos.
La conférence NCSoft.
C’était notre premier rendez-vous matinal hier. Bien évidemment, les représentants du studio Carbine sont venus présenter avec beaucoup de fierté leur nouveau bébé : Wildstar. Certainement l’un des jeux phare de ce salon, et dont les qualités sont à retenir. Mais j’y reviendrai. Voilà le coup de poker d’NCSoft sur la gamescom 2011 : son nouveau MMO. Cela a certes fait un peu d’ombre à Guild Wars 2, peut-être pour mieux apaiser les esprits venus en quête d’une date de sortie, mais pour nous dévoiler un jeu qui risque bien de faire parler de lui.
Après un sublime trailer digne des plus beaux films d’animation (juste en-dessous) qui révèle d’emblée un style graphique très « comics », voilà ce qu’on nous dit au sujet de Wildstar : dans ce MMO proche du hack’n’slash online, la volonté principale est de laisser la plus grande liberté possible au joueur. Bien évidemment il y aura les classiques choix de race et de classe mais, comme son grand frère GW2, on cherchera ici à placer le joueur au centre de « son » histoire. On n’a pas vraiment plus de détails à ce sujet. Tout est resté très visuel et flou. Le monde de Wildstar est fait à la fois de magie et de technologie et vous met dans la peau d’explorateurs de l’espace prêts à découvrir cette « étoile sauvage » sur laquelle ils se sont posés. A vous ensuite de choisir votre façon de jouer : préférerez-vous explorer le monde ? Le conquérir ? Découvrir ses mystères ? Y construire ? Voilà très certainement cette « liberté » abordée par les créateurs, néanmoins l’approche ne semble pour l’instant pas véritablement révolutionnaire. Le mot clé réside donc surtout dans le système de « layers« , ce qui ira là aussi vous rappeler les promesses faites au sujet de GW2. « Dynamic layers, a story based on layers, playstyle layers, organic interaction with these layers » : voici les quelques mots à retenir du discours tenu pendant cette conférence. En gros, on vous promet que vous ne suivrez pas une trame linéaire ennuyante mais que vous serez embarqué au sein d’un monde sur lequel vous pourrez agir et qui vous surprendra !
La démo jouable a révélé des mécanismes hybrides entre un MMORPG et un hack’n’slash. Visuellement c’est très joli, à mi-chemin entre le design de Torchlight et de WoW, en plein univers post-apocalyptique vivement teinté de steampunk. Le résultat est coloré, plutôt original, mais pas moins brodé avec ce qui marche déjà. 3 races et 3 classes étaient jouables, ainsi que 2 des 4 professions. Parmi les races disponibles on a pu découvrir l'(éternel) humain, l’Aurin et le Granok. On pouvait aussi choisir 3 archétypes de classes : le guerrier, le fusiller (« spellslinger ») et le mage (« esper« ). Avec chacun d’entre eux vous aurez à sélectionner une spécialité parmi 4 : soldat, explorateur, scientifique et constructeur. Cela influera sur les origines de votre personnages, son histoire (les quêtes que vous aurez à faire) et ses capacités au combat. Le tout coule plutôt bien et donne très envie de pouvoir jouer plus longuement à ce soft dont le background et les mécaniques de jeu sont certes plutôt classiques, mais qui ont sans aucun doute été très soignés par une équipe ambitieuse ! Espérons donc que Wildstar sera à la hauteur de ce qui a été annoncé pendant la conférence !
Bien évidemment malgré cette annonce de poids dont Carbine faisait le teasing depuis quelques semaines, il a aussi été question de Guild Wars 2 ! Toujours pas de date de sortie annoncée toutefois, néanmoins sur le stand on avait droit à 5 classes jouables, 7 classes sur les 8, du combat sous-marin (« la » grosse feature sous les spots en ce moment) et pour la première fois : le PVP ! Malheureusement, il m’a été impossible d’approcher les machines, sous l’assaut constant des curieux. Je vous laisse donc avec ce trailer présenté pour la toute première fois devant nos yeux ébaudis.
The Darkness 2.
Nous nous sommes ensuite rendu dans l’espace 2K pour une présentation privée de The Darkness 2. Annoncé pour le 10 février 2012 sur PC, 360 et PS3, ce FPS vous propose d’incarner un homme habité par un esprit maléfique : le Darkness. A moitié soumis à cette force, et maître de sa malédiction, il se sert tant qu’il peut de ses pouvoir diaboliques pour combattre. Inspiré du comics éponyme, le tout est en cell-shading et fait fortement penser au look de Bordelands.
Avec un gameplay basé sur un système d’ombres et de lumières vous empêchant d’utiliser les pouvoirs du Darkness, on vous propose ici deux types de combats : aux armes « classiques » quand vous êtes en plein jour, avec vos mandibules du Darkness quand vous êtes dans l’obscurité.
Bien évidemment vous pourrez combiner les deux systèmes d’attaques pour varier les coups et vous faire plaisir avec des finishs sanglants au ralenti, ainsi qu’un système de points rappelant fortement Bulletstorm. Le tout est agrémenté d’un système d’arbre de talents vous permettant de personnaliser votre façon de combattre.
Visuellement plutôt joli sur PC lors de la présentation, la démo Xbox à laquelle nous avons pu toucher nous a quelque peu déçus, tant en ce qui concerne la qualité graphique que de gameplay. Le tout restait assez « lourd » malgré un système ombre/lumière intéressant, et la possibilité de combinaison des attaques et de finish plutôt intrigants.
Borderlands 2.
2K m’avait intriguée en me proposant la présentation d’un « jeu surprise » : ça n’était rien de moins que Borderlands 2 !
Ce FPS-RPG atypique a déjà fait ses preuves et le deuxième opus prévu pour PC, PS3 et Xbox est attendu avec impatience par ses fans. Comme nous l’a souligné l’équipe, la gamescom est un salon très particulier pour elle puisque c’est celui-ci qui, en 2009, avait fait le succès de Borderlands !
Pour le numéro 2 on rempile avec le même univers et le même style graphique, cell-shading jusqu’au-boutiste. On nous promet toutefois beaucoup plus de diversité visuelle, mais aussi dans les combats et le choix des classes. En somme, on n’a pas affaire ici à une simple suite, mais à une véritable version 2.0.
Une attention toute particulière a été accordée à l’IA en vue de l’améliorer : désormais les ennemis blessés titubent, se cachent, utilisent l’environnement, etc. Ajoutez à cela la possibilité de piloter des véhicules pouvant servir d’armes et une artillerie gonflée à bloc pour deviner que vous allez avoir beaucoup de fun !
Néanmoins le background n’a pas été laissé en reste : donner une vie a l’univers, avoir l’impression qu’il vit sans nous, telle était l’une des autres grandes préoccupations de l’équipe.
Des améliorations plus pragmatiques ont été apportées également à l’ergonomie des menus et notamment à la carte, désormais beaucoup plus claire et user friendly.
Quant au gameplay il s’orientera autour d’un système d’arbre de compétences vous permettant de choisir une sous classe qui vous aidera à déterminer votre façon de jouer.
La coopération chère à la licence sera bien évidemment présente mais on n’en sait pas beaucoup plus… J’ai été particulièrement bluffée par la démo à laquelle on a eu droit : c’est beau, fun, dynamique et ça ne donne qu’une envie… Y goûter !
The Elder Scrolls V : Skyrim.
11.11.11 : la date est martelée partout. Moins de trois mois à attendre pour découvrir le prochain volet de la mythique licence The Elder Scrolls V.
Nous avons eu la chance de pouvoir assister à deux parties de gameplay et autant vous dire qu’on a été bluffés.
Si niveau gameplay on reste sur le classique système de compétences déjà utilisé par ses 4 prédécesseurs (plus on utilise une arme ou une compétence, plus elle gagne en puissance), on note tout de même quelques originalités : la possibilité de jouer en FPS ou en TPS, et celle de différencier les actions main gauche / main droite en font partie.
En effet, on aura par exemple la possibilité de lancer la magie à une ou deux mains selon la puissance désirée. Ou bien d’utiliser une épée dans une main, et de lancer des sorts de l’autre. Je vous laisse imaginer toutes les combinaisons possibles…
Le monde quant à lui reste un bac à sable entièrement accessible, avec l’indispensable « radiant AI system » qui donne l’impression que le monde vit de lui-même et qui permet aux dialogues de se déclencher selon votre présence dans la zone.
Graphiquement le jeu est tout simplement magnifique : les effets d’eaux ont un rendu de grande qualité, les environnements sont incroyablement fouillés, le design des dragons est à tomber…
Car oui, les dragons sont au centre de cet opus. D’ailleurs, les tuer permet de débloquer de nouveaux pouvoirs ! Pendant nos séances nous avons pu assister à quelques combats contre eux… C’était très dynamique et « viral » : switcher entre les différents styles de combat et de magie promet de longues heures épiques devant vos écrans ! Autant vous dire que vous aller en chier, mais que vous allez aimer ça…
The Secret World.
A l’origine l’un des jeux que j’attendais le plus, c’est sans hésiter « ma » déception du salon.
Promis pour avril 2012 sur PC et Xbox, ce MMORPG post-apocalyptique vous plonge dans un monde moderne horrifique très proche de l’univers Cthulhu.
L’équipe a fait une démonstration du jeu devant nous pour nous montrer quelques mécaniques de gameplay. Malheureusement toute la conférence était en allemand et je n’ai donc compris que ce que j’ai pu voir… Le jeu semble ainsi basé sur un système de missions instanciées, comme dans Guild Wars ou APB. Vous pourrez à la fois manier la magie et la technologie. Les trois grandes branches disponibles seront ainsi : Chaos / Elementalism / Blood Magic. On n’en sait malheureusement pas beaucoup plus.
Graphiquement proche d’APB là aussi, autant dire que ça ne casse pas quatre pattes à un canard. Ca reste toutefois très joli, notamment au niveau des décors plutôt fouillés (luxe permis grâce au système d’instances ?).
Le jeu se base sur un système de coopération . Ajoutez à ça des décors dévastés pour que cela vous rappelle rapidement L4D !
A l’oeil, c’est donc plutôt accrocheur. Les combats un peu fouillis semblaient néanmoins très dynamiques. Les FX en mettent pas mal plein la vue, et les créatures cauchemardesques sont impressionnantes, tant au niveau de leur look horrifique que de leur taille.
Ce qui m’a déçue reste donc le système de missions. Le monde semble bien trop fermé à mon goût et j’ai peur qu’on se retrouve avec le même symptôme qu’APB : un concept de base plutôt bon, des visuels accrocheurs, mais un manque d’interaction dans le monde entre les joueurs qui fini par mener à l’ennui… Je croise les doigts pour me tromper.
Diablo III.
Je m’étais promis de ne pas quitter la gamescom sans y toucher. Challenge réussi.
J’ai bien peu de choses à vous dire sur Diablo III, hormis que c’est la tuerie qu’on attend tous.
On a eu la chance d’avoir les 5 classes jouables : moine, barbare, sorcier, féticheur et chasseur de démons.
Le premier est un guérisseur, le second un DPS, le troisième un mage, le quatrième un summoner et le dernier un assassin. Bien évidemment c’est plus complexe que ça mais en gros on a une bonne base de tout ce qui fonctionne.
A l’ouverture de l’arbre de compétences et de l’inventaire, pas de doute : on est en terrain connu. Et ça fait un bien fou. La nostalgie resurgit et la claque visuelle et auditive suffit à vous séduire, à vous laisser pousser un « enfin » et à vous convaincre qu’on ne rejoue pas au même jeu qu’il y a 11 ans. Pas tout à fait.
Au clavier et à la souris, rien à dire : c’est toujours aussi joussif. Dynamique, instinctif, viral, « la » perle du hack’n’slash. Et en plus c’est beau. Les effets visuels en mettent plein la gueule, l’univers est vibrant de cohérence, le bestiaire un plaisir à découvrir… Ces vingt petites minutes de jeu m’ont convaincue de me ruer dessus pour son DAY1. Ah ? Quoi ? Bhein non, toujours pas de date de sortie, faut pas rêver ! 😉
Et bien plus encore…
Bien évidemment la gamescom ça n’est pas « que » ça ! Voici en vrac tout ce qui a laissé une forte impression chez moi…
Mass Effect 3 et ses quelques minutes de gameplay sur grand écran. Ca va balancer du lourd : c’est toujours aussi beau et malgré les deux opus derrière eux, Bioware cherche toujours à perfectionner son système de combat, son univers et surtout l’aspect RPG de son soft. Le 3 mieux que le 2 ? Les images laissent penser que ça pourrait être le cas…
Might & Magic Heroes VI, sobrement présenté sur quelques écrans (il faut dire qu’il sort le 13 octobre), et pourtant une petite perle visuelle. Ca en jette et ça rappelle les bons souvenirs. Un soft de plus à ajouter à ma liste pour Noël. Ou avant si je le peux ! 😀
Gears of War 3 : j’ai enfin pu voir autre chose que le multi ! C’est le président d’Epic Games lui-même qui a pris la manette pour nous faire une démonstration des premiers instants de la campagne. Visuellement, on sent que le moteur graphique (toujours le même depuis le premier opus) en prend un coup, et ce malgré les améliorations apportées. Néanmoins au niveau du jeu en lui-même on sait qu’on ne sera pas déçu… L’humour et le sanglant sont toujours là : c’est hardcore, c’est lourd et ça pue la testostérone. On n’en demandait pas moins.
All zombies must die ! sur PS3 et PC, prévu pour fin 2011, est « le » petit jeu fun qui m’a marquée sur le salon. C’est simple mais efficace : tuer du zombie. Le tout dans une ambiance comics amusante et parodique. En plus, il y aura du multi ! Need.
Warhammer 40.000 Space Marine a beau sortir dans 3 semaines, il m’a tout de même quelque peu déçue hier. Le gameplay très « lourd » à la Gears of War allié à l’unique mode multi présenté ici n’ont pas aidé. Graphiquement, on y est, l’univers est là lui aussi, mais c’est au niveau de la jouabilité que ça pourrait pêcher. Espérons que la campagne solo et la prise en main plus poussée dans mon salon viendront me contredire !
Rayman Origins, aussi beau et fun qu’il le promet. Vivement (le 13 novembre !).
Avant de vous laisser avec l’intégralité de nos visuels, je tiens à remercier l’organisation de la gamescom de nous avoir permis d’accéder au salon en tant que presse, Xbox de nous avoir offert des entrées pour la soirée Community, ainsi que Gormak de m’avoir accompagnée / supportée et d’avoir pris toutes ces super photos pendant ce salon de folie !
Get the flash player here: http://www.adobe.com/flashplayer
Si je vous dis: une jolie cheerleader blonde, en jupette plus que courte, et au sourire provoquant, un lycée plein de monstres, et une tronçonneuse, vous pensez à… ?? Comment ça un remake de la série Buffy ?!! Mais ça va pas ! ;P Et bien non ! Il s’agit juste un jeu-vidéo complètement frappé (et enrobé de sirop de glucose !)
Si vous suivez l’actu de la Gamescom, vous avez dû voir passer le trailer de ce jeu de ouf qu’est Lollipop Chainsaw ! Et si vous ne l’avez pas vu: courrez-y donc !! (car c’est d’la bombe, baby !! 😀 )
Et c’est rien de moins que le studio Grasshopper Manufacture, pays magique s’il en est (Killer7, No More Heroes, Shadows of the Damned), où règne en maître l’esprit machiavélique de Goichi Suda (alias Suda51), qui s’occupe de la mise en boîte de cette nouvelle bombe vidéo-ludique (pour le plaisir de tous et de ces messieurs surtout !)
Résumé de la situation
Une ptite ville tranquille de Californie. Juliet Starling est une jolie cheerleader blonde qui, avec l’aide de son petit copain (une tête qui se balade toute seule), va se retrouver à poutrer du zombie hors de son ancien lycée, San Romero High School (oh *winkwink*), avec une grosse… tronçonneuse ! (bein ouais un pitch d’enfer, quoi !)
Elle n'a rien à envier aux grandes, n'est ce pas ?! (et je parlais de la tronçonneuse, les gars...)
C’est sommaire, certes ! Mais bon, avec un titre de jeu pareil, et après avoir vu le trailer, avouons-le : on s’attendait pas à la profondeur d’un essai de Kant ou d’Heidegger niveau histoire !! Et le jeu, vu d’ici, ressemble plus à un bon vieux hack’n’slash, qu’un rpg-de-50h-à-la-Final Fantasy, c’est évident ^^’
(omg ! izit cel-shading i seeee ?!) (ok, y'a aussi des zombies, ok ok !)
un brin gymnaste la Juliet, pas vrai les gars ?! hum -_-'
mieux que les gadgets des Totally Spies: la tronçonneuse qui fait du Light Art en forme de coeurs (trop choupi ^^)
La tronçonneuse qui murmurait à l’oreille des zombies
Pour le reste, bah, faudra repasser !! On en sait encore très peu sur le gameplay en lui-même, le jeu est “prévu pour 2012”, et c’est tout !!
Annoncé au niveau de la distribution en Occident par Warner Bros Interactive (sur PS3 & 360) on sait également que James Gunn s’occupera d’approfondir le scénar du jeu (bon vous me direz, y’a pas trop besoin mais bon ^^’)
Et info bonus, ce serait Akira Yamaoka-san qui travaillerait sur le rendu sonore général du jeu (*fangirl red alert*) Gageons que si Suda51 (qui est, pour l’instant, cité en tant que « directeur artistique » sur ce jeu) se retrouve avec Yamaoka, rien que ça, risque bien d’être une tuerie en soi ! (ok, ceci est un avis non objectif & purement spéculatif qui n’engage que son auteur! ^^ »)
Britney Spears + Suda51 = Juliet... (coincidence? je ne crois pas ! hum hum)
En tous cas, Juliet la cheerleader me fait dire que les filles roxxent plus que jamais dans les jeux-vidéos ces temps-ci, et entre elle, et l’Alice de McGee on va pas s’en plaindre ! « Girls, they wanna have fun« , comme le dit si bien la chanson !! (bon remarque les boys aussi vont pourvoir s’éclater, car les jupettes et les pauses de Juliet ont de quoi faire hurler des loups-garous au clair de lune !!) ;P
Une semaine après Green Lantern, Marvel donne un grand coup de coude à DC Comics pour imposer sur nos écrans l’une des images les plus fortes de sa licence : Captain America.
C’est Joe Johnston qui s’occupe de cette adaptation du personnage de comics. Rappelons pour les moins cinéphile d’entre nous que ce Monsieur est le papa de Jumanji, mais qu’il a aussi travaillé avec les meilleurs (Spielberg et Lucas) sur des mythes du grand écran : Star Wars, Indiana Jones, etc. Pas mal non ?
Mais revenons-en au film et à son héros éponyme, incarné par Chris Evans : déjà présent dans Scott Pilgrim et Les 4 Fantastiques, autant dire qu’on a là un bel acteur pour geeks (il a 7 adaptations de comics à son actif) ! Ajoutez au casting Tommy Lee Jones, Hugo Weaving, Stanley Tucci, ou encore Samuel L. Jackson (abonné, forcément, à tous les films des Avengers) pour comprendre que ça va être du très très lourd…
Captain America : First Avenger nous ramène aux toutes premières années de l’univers Marvel, et aux origines du personnage. De son vrai nom Steve Rogers, cet homme n’était au départ qu’un être malingre porté par sa haine pour le nazisme et bien décidé à le combattre. Ses faibles capacités physiques l’empêchant de rejoindre les rangs de l’armée, il se porte volontaire pour participer à un programme expérimental dont le but est d’en faire un Super Soldat. Mission accomplie : ainsi naît Captain America. En plein milieu des années 40′ et de la Seconde Guerre Mondiale, il va devoir combattre l’organisation de l’HYDRA menée par Red Skull, aidé de ses fidèles alliés Bucky Barnes et Peggy Carter.
Le sous-titre de ce film ne fait qu’accroître mon impatience de voir The Avengers en 2012… Je vous laisse sur une bande-annonce que je trouve plutôt réussie et qui augure de bien bonnes choses, après le fiasco des dernières adaptations Marvel.
Vous pourrez voir les muscles de Conan en 3D. Si, si.
Conan (Marcus Nispel)
Voilà un deuxième personnage mythique tiré de la littérature et (ré)adapté au grand écran, prêt à faire trembler la sphère geek. Conan, tout simplement, est la quatrième adaptation du roman de Robert E. Howard.
La réalisation de Marcus Nispel, le pro des reprises (Massacre à la tronçonneuse, Vendredi 13), ne va-t-elle pas nuire à l’univers qu’avaient réussi à retranscrire ses prédécesseurs ? Jason Momoa est-il le digne successeur de Schwarzenegger ? Difficile à dire tant qu’on ne l’aura pas vu…
Au niveau du scénario, rien de bien extravagant. On reste même dans le très très classique pour ne pas brusquer le fan. Ici on suivra tout simplement une aventure de Conan à travers le continent d’Hyboria, où il est en quête de vengeance suite au meurtre de son père et du massacre de son village, ce qui nous ramène dont au tout premier film !
Néanmoins le réalisateur s’est déjà défendu de faire un remake du film de John Milius datant de 1982. Non, Nispel revendique un nouveau Conan, complètement inédit, une « version originale de Conan tel qu’il est décrit dans les histoires de Robert E. Howard ». Dans ce cas-là… pourquoi pas ?
A vous de tirer vos conclusions au regard de la bande-annonce. J’irai quant à moi très certainement le voir. Cette production n’a pas l’air pavée de bonnes intentions, malgré la présence d’une 3D décidément surfaite. Wait & see !
La dernière comédie en date de Seth Gordon : Comment tuer son Boss? Hormis le casting très fourni (Kevin Spacey, Jennifer Aniston, Colin Farrell, Jamie Foxx, etc.) pas grand chose à dire qui ne soit déjà dans cette bande-annonce qui, ma foi, m’a donné envie de me laisser divertir !
L’équipe de Kiss My Geek a l’immense plaisir de vous annoncer qu’elle sera présente en tant que presse à l’évènement européen vidéoludique de l’année : la gamescom de Cologne ! L’évènement commence dès ce mercredi 17 et se termine dimanche 21.
Eskarina et Gormak seront sur place du mardi au jeudi et vous tiendront informés en live, sur Twitter et sur Facebook, des plus gros évènements du salon.
Bien évidemment ils prendront aussi tout un tas de photos et de vidéos pour vous préparer un beau compte-rendu à leur retour !
Nous espérons que vous suivrez nombreux et à nos côtés ce salon où de grosses exclusivités sont en passe d’être dévoilées : Guild Wars 2, Diablo III, The Elder Scrolls Skyrim, Batman Arkham City… Hormis l’absence de Square Enix au tableau de prestige de cette expo, on se doute qu’il va y avoir du très, très, très lourd.
Nous vous disons donc à très bientôt, en live sur nos réseaux sociaux Kiss My Geek, et sur le blog pour toute l’information complémentaire !
Ce mois-ci il faut l’avouer, les sorties comics ne sont pas vraiment intéressantes. C’est pourquoi j’ai décidé de vous parler d’un petit OVNI sorti il y a quelques temps maintenant mais que je viens juste de me décider à acheter : Empowered, publié chez Milady.
Empowered – ou Emp’ pour les intimes – est une super-héroïne. Enfin, tout du moins, elle essaye. En effet, elle a la fâcheuse habitude de se faire capturer par les vilains qu’elle tente d’arrêter, au grand dam de ses collègues super-héros de la Super-Bande qui doivent aller la sauver. Mais il faut dire que ce n’est pas facile pour elle, son costume a beau être la source de ses pouvoirs, à savoir une force surhumaine et un rayon énergétique, c’est aussi celle de tous ses problèmes. Trop moulant pour porter quoi que ce soit en dessous, tellement fragile que la pauvre Emp’ se retrouve à moitié nue tout le temps, pire, plus il se dégrade, moins il offre de puissance. Et que dire de son pouvoir d’invisibilité qui ne fait que disparaître le tissu, laissant la belle en tenue d’Eve. Non, décidément on ne peut pas dire que la petite blonde soit vraiment aidée, ce qui nuit grandement à sa réputation et fait d’elle la risée d’Internet. Accompagnée de son petit ami qui est un ancien sbire de super-vilain, de sa meilleure amie Ninjette un peu trop portée sur la bouteille et d’un souverain extraterrestres pervers emprisonné dans une ceinture cosmique, la belle Empowered va tenter de redorer son blason coûte que coûte, enfin… après quelques ébats dans la chambre !
Quand Emp' est en colère, ça se voit.
Scénarisé et dessiné par Adam Warren, Empowered fait figure d’OVNI dans le paysage super-héroïque. A mi-chemin entre le manga et le comic, le style graphique peut perturber aux premiers abords. On retrouve les traits du visage et les grands yeux si chers à nos amis Nippons mais aussi les courbes élancées propres à nos héroïnes Américaines. Ici, pas de couleurs ni de trame, Warren s’est contenté d’un crayonné qui offre un dynamisme étonnant aux cases. On aime ou on n’aime pas. Un autre point qui peut rebuter, le choix de l’auteur qui a opté pour un schéma narratif assez haché. On se retrouve avec des histoires qui ne font pas plus de 4 ou 5 pages, ce qui est assez difficile pour la mise en abîme. Mais force est de constater qu’on se laisse prendre au jeu et très vite les petites scènes de la vie d’Emp’ prennent de la consistance au fur et à mesure. Et il faut dire que malgré ses plaintes incessantes, ses coups de chagrin et sa sexualité exacerbée (ah pardon, ce n’est pas un défaut), la super-héroïne est très attachante, tout comme la palette de personnages tous plus dingues les uns que les autres (mention spéciale pour le Seigneur-Démon que je proclame roi de la vanne).
Emp' bâillonnée, un évènement récurrent.
L’originalité d’Empowered est son ton résolument parodique, tout les tics super-héroïques y passent. On retrouve donc les costumes moulants qui sont sujets à de multiples blagues et situations embarrassantes. On apprend par exemple que la pauvre Emp’ doit être totalement nue pour ne pas laisser entrevoir sa petite culotte, ou encore qu’elle doit s’épiler le maillot intégralement pour éviter l’effet « paille de fer ». Les super-vilains, quant à eux, sont très caricaturaux : souvent stupides et peu efficaces. De l’humour donc, mais aussi de l’érotisme, soft certes mais ce n’est quand même pas à mettre dans toutes les mains. Si les actes sexuels sont suggérés, ils n’en sont pas moins présents et Emp’ se retrouve très souvent nue. La belle n’hésite d’ailleurs pas à franchir le quatrième mur entre chaque épisode pour nous demander de ne pas regarder son charmant postérieur qui sera à la vue de tous dans la suite.
Aviez-vous remarqué que le texte est en Anglais ? Oui ? Menteurs.
Empowered est donc une très bonne série qui compte maintenant quatre volumes sortis en France (six aux USA) et qui mérite vraiment le coup d’œil par sa fraîcheur et son parti pris. Un ouvrage qui reste cependant à ne pas mettre en toutes les mains, l’érotisme étant très présent.
Non content d’avoir ruiné une franchise avec quatre épisodes tous plus médiocres les uns que les autres, Paul W.S Anderson a décidé de nous préparer un Resident Evil : Retribution. Chouette.
Peu d’informations ont encore filtré mais on sait déjà que le tournage commencera cet automne à Tokyo pour une sortie le 14 septembre 2012. On ne sait pas vraiment qui sera derrière la caméra mais une chose est sûre, c’est qu’Anderson s’occupera du scénario, ce qui nous promet beaucoup d’originalité encore une fois.
Du côté des acteurs, seule Sienna Guillory (aka la merveilleuse Jill Valentine) a été confirmé mais on ne doute pas une seconde que Milla Jovovich sera aussi de la partie pour enchaîner quelques saltos dans le rôle d’Alice. Ô joie. Après avoir introduit Chris Redfield dans l’opus précédent, il semblerait que cette fois-ci ce sera Leon S. Kennedy et Barry Burton mais aucun acteur n’a pour l’instant été annoncé.
Après un quatrième opus qui relevait un petit peu la barre en balançant du fan-service à tout va, qu’attendez-vous de ce Resident Evil : Retribution ? Qui verriez-vous pour interpréter Leon et Barry ? Dites-nous tout !
Moi, j’aime bien les plates-formes de téléchargement sur console. Au début, je pensais que c’était juste un regroupement de jeux sans ambition ni envergure, des petits snacks jouables à la manière de ce qu’on peut trouver sur mobile.
Et puis, un jour, je me suis retrouvé, complètement hypnotisé, devant un de ces « petits jeux ». Deux heures passées dessus, l’œil torve et le rictus indélogeable, comme devant un nouveau jeu Pokémon. Et j’avais juste fait voler un pétale (j’assume), un truc qui me ferait normalement autant rêver qu’une simulation d’agrafeuse. Remarquez, ça pourrait être surpuissant.
Ouais, et donc, y a un an sortait une perle indé à l’atmosphère travaillée, mais un peu seulement sur X360.
Joie et bonheur !
Deux minutes de plus pour vous informer que pour cause de VACANCES salvatrices, il n’y aura pas de stirp la semaine prochaine. Pas que je veux pas, hein, mais ça va être juste compliqué à faire, genre 99 picarats de récompense si j’y arrive.
Épilogue
D’ici là, jouez comme des porcs et à la prochaine !
Le best seller de Max Brooks, World War Z, aura droit à son adaptation ciné et les premières images ont déjà filtrés !
Avec Brad Pitt dans le rôle principal qui semble très impliqué dans le projet et Marc Forster (Quantum of Solace) à la caméra, le film racontera l’histoire de l’invasion mondiale par les zombies. Pitt y sera un représentant de l’ONU qui parcourt le monde afin d’interviewer les rescapés.
Les photos nous présentent le beau Brad sur un bateau et il n’a pas l’air de faire très chaud. Le tournage a lieu dans la ville de Falmouth en Angleterre.
Le film sortira le 21 décembre 2012 et mettra en scène Brad Pitt ainsi que Bryan Cranston (Breaking Bad) !