Cinéma Dans Ton Cinéma

[DTC] Sorties de la semaine



Étant donnée la météo du moment, un film avec des pingouins en plein juillet, ça ne choquera pas grand monde !


Non, il ne sagit pas du nouvel Ace Ventura.

Mr. Popper et ses pingouins (Mark Waters)

La nouvelle comédie de Jim Carrey le met dans la peau d’un promoteur immobilier de Manhattan qui a réussi sa vie professionnelle au détriment de sa vie sentimentale. Depuis son divorce, il ne voit plus ses enfants qu’un weekend sur deux. En dehors de cela, il mène une vie solitaire, certes, mais fastueuse. Tout va donc plutôt bien pour lui jusqu’au jour où son père, un explorateur, lui envoie un colis qui contient un pingouin. Vivant.

Aussi petit soit-il, ce dernier va changer sa vie. C’est en cherchant à s’en débarrasser qu’il va finir par en récupérer cinq de plus… qui vont transformer son appartement luxueux et sa vie en chantier.

C’est Mark Waters, le réalisateur de Et si c’était vrai qui nous offre cette comédie déjantée. Les fans de Carrey adoreront. Pour les autres… Le pronostic est plus réservé !


Site officiel



Sources et images via Allociné.

Cinéma 4

[Teaser] The Dark Knight Rises


Ça y est, enfin, ENFIN, Warner a lâché les premières images de The Dark Knight Rises, troisième et dernier épisode de Batman version Nolan. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ça en jette. Le peu de choses que l’on aperçoit nous promet une atmosphère très pesante.


(je ne sais pas combien de temps sera disponible la vidéo sur Youtube, sinon vous pouvez la voir ici)

Beaucoup de questions se posent à la vue de ce teaser. Serait-ce la fin du Cape Crusader ? Est-ce bien lui ou Catwoman (Anne Hathaway) qui est en très mauvaise posture face à un Bane massif (Tom Hardy) ? Gordon serait-il au courant de l’identité secrète de Wayne ? Ra’s al Ghul fait-il son grand retour ?

Les réponses viendront dans un an !

The Dark Knight Rises est prévu pour le 20 juillet 2012 avec un casting de rêve composé de : Christian Bale, Gary Oldman, Anne Hathaway, Tom Hardy, Michael Caine, Marion Cotillard, Morgan Freeman, Liam Neeson et Joseph Gordon-Lewitt. Oui, rien que ça.


Et vous, vous en pensez quoi ? Des pronostics ?

Kapow! Lectures

[Kapow!] Daredevil Shadowland : la fin d’une ère


S’il y a bien un héros Marvel qui ne fait pas trop parler de lui dans les event principaux, c’est bien Daredevil. Alors quand La Maison des Idées décide de concentrer un évènement autour de lui, on avait de quoi se réjouir. Hélas, le résultat est fort décevant. Retour sur ce Shadowland écrit par Andy Diggle.

Depuis le formidable run de Kevin Smith il y a maintenant quelques années, Matt Murdock était entré dans la période la plus sombre de son existence. Et les deux scénaristes suivant que sont Bendis et Brubaker ont suivi la même trame, en malmenant le héros, le poussant jusque dans ses plus profonds retranchements, à la limite de lui faire perdre pied. Puis Diggle est arrivé aux commandes et a décidé de le mettre à la tête de La Main, cette société secrète japonaise constituée de ninjas entièrement dévoués à leur cause, afin de purger Hell’s Kitchen. Une idée qui aurait pu être excellente si le scénariste n’avait pas bâclé son travail. C’est ainsi que débute Shadowland, la chute de Daredevil.



Moi true dark rebelz.


Un petit point tout d’abord sur l’ordre de lecture. Panini a encore frappé puisque pour bien comprendre les évènements, il vous faudra vous procurer le Marvel Heroes Extra ainsi que le 100% Marvel Daredevil 22. Bon, on peut déjà se demander pourquoi ils n’ont pas tout regrouper, mais soit. Mais là où c’est fort, c’est qu’il faut jongler entre les différents épisodes de ces deux parutions pour respecter l’ordre chronologique. Magnifique non ? Il existe aussi d’autres sorties estampillées Shadowland comme le Marvel Star 6 qui sont largement dispensables car centrés sur des personnages secondaires.

Si le pitch s’avère alléchant, on se demande à la fin de la lecture si Diggle ne nous aurait pas pris pour des imbéciles tant son récit se révèle complètement vide et bourré de stéréotypes. Tout est absolument déjà vu ! Entre l’habituelle confession de Matt à l’église (soit disant qu’il n’y est pas allé depuis des lustres, ahah, on nous la fait pas hein), les débats endiablés des personnages secondaires sur l’avenir de l’avocat, la venue de Bullseye (qui se finit par contre par ce dont on avait toujours rêvé), on commence à se demander si ce n’est pas un best of des 10 dernières années. Pire encore, on a vaguement l’impression que Diggle ne maîtrise absolument pas son récit et comble les trous comme il peut en introduisant des héros connus qui ne serviront strictement à rien : c’est le cas des Vengeurs qui promettent qu’ils passeront à l’action alors qu’il n’en est rien, le Punisher aurait pu donné quelques moments de bravoure mais il retournera bien vite de là où il est arrivé, la palme revenant à Ghost Rider qui apparaît dans un épisode pour revenir bien plus tard pour ne rien faire. Bravo ! Même Foggy ne sert strictement à rien, à part se faire attaquer deux fois (et de la même manière, il doit être un peu bête).  A cela rajoutez des dialogues insipides, voir puérils, qui se veulent philosophiques et des gros stéréotypes (le costume gris de Daredevil, pour bien montrer que c’est un gros dark rebelz maintenant) et vous obtenez un résultat indigeste. Si on ôtait tous ces passages inutiles, il nous resterait facilement un quart du récit. Pour qui nous prend-on, sérieusement ? Le dénouement quant à lui se veut expéditif, à la limite du compréhensible, comme si Diggle voulait en finir le plus rapidement possible. Serait-ce finalement une vaste blague ? On se le demande.



On en a tous rêvé. L'a-t-il fait ?


Finalement, on se demande si Diggle n’avait pas pour but de définitivement détruire la réputation de Daredevil tant ce Shadowland est immonde. Tout cela rappelle étrangement le One More Day de Spidey, un canular bien réel, lourd de conséquence dans le récit que dans le fait de prendre les lecteurs pour des idiots. Monsieur Quesada, s’il vous plait, on ne veut plus de vous. Comment peut-on finir cette sublime ère par un déchet pareil ? Non, vraiment, je suis très énervé. Passez votre chemin. Sérieusement.

Jeux Vidéo 4

[Teaser] Hard Reset

Hard Reset

FPS made in Poland à la sauce Sci-Fi + fin du monde à base de robots mutants vénères ?! WTF?!

First Person Survivor
Voilà le teaser du moment qui agite les gamers sur le net: Hard Reset, un ptit FPS qui s’annonce comme un des évènements de la rentrée sur PC. Développé par le studio polonais Flying Wild Hog, prévu pour une arrivée en trombe sur vos bêtes de combats, en Septembre prochain. Pour l’instant aucune date précise n’est annoncée, à peine quelques images circulent sur leur page Facebook et le site est officiellement en cours de mise à jours… bref, pas de quoi fouetter un clavier usb !

 

Hard Reset - Major Fletcher

 

Polska: it rocks !
Précisons que la team de Flying Wild Hog c’est quand même *juste* 35 personnes, expatriés d’autres stuidos-nurseries de talents polonais, comme People Can Fly (Painkiller, Bulletstorm, Gears of War PC), CD Project (The Witcher) et City Interactive.

35 personnes ce n’est pas beaucoup, mais ils ont la gnaque et un goût du risque apparemment, puisque le jeu a été construit avec un moteur qu’ils ont eux-mêmes créé, le “Road Hog”, qui est sensé nous en envoyer plein le joystick avec “des visuels époustouflants qui apportent au jeu une incroyable atmosphère pleine de vie” (bon pour résumé: de la belle grosse voix de bande-annonce à l’américaine, quoi !!)

Do androids dream of electronic video-games ?
Bon sur le net les spéculations courent vite et on en est déjà à comparer l’univers d’Hard Reset à un mix entre Blade Runner, Matrix et Painkiller (si on en croit l’article de PCGamer, les premiers à avoir balancer le buzz sur ce jeu)

Alors certes, j’suis pas über-fan, ni spécialiste de FPS (mais de sci-fi un peu tout d’même!) et si je ne m’aventurerais pas à spéculer sur les quelques photos et le teaser, le communiqué de presse, lui, j’avoue m’interpelle, niveau storyboard, tout du moins :





“Le jeu (exclusivité PC) transporte le joueur dans un futur dystopique, au sein d’une humanité marqué au fer rouge, au bord de l’extinction, et confinée dans la seule cité encore debout, sous la menace constante des hordes robotiques ayant pour but d’annihiler la race humaine toute entière.
Bezoar est ce dernier rempart d’humanité, et le joueur y incarne le Major Fletcher, un ancien combattant de l’armée, plongé au centre d’un conflit qui le dépasse, entre les 2 plus grands ennemis de la race humaine. Et ce qu’il va découvrir c’est qu’il ne faut se fier à rien, pas même à cette réalité qu’il croit connaître.”





 

En images, ça donne ça:

Hard Reset - artwork

 

Hard Reset - artwork

 

Hard Reset - artwork

 

Hard Reset - vue 1

 

Hard Reset - vue 2

 

Hard Reset - the badass

 

A suivre de près donc ! Vu la release imminente du jeu, et le peu de communication faite sur celui-ci, j’espère que ce jeu nous réservera une bonne surprise à la rentrée. Oui, les quelques miettes du teaser donne faim ! Reste à savoir si nos amis polonais de Flying Wild Hog réussiront à tenir leurs promesses… et ça, c’est pas gagné dans l’univers impitoyable qu’est celui du jeu-vidéo.
So, good luck d’avance, guys !!

 

 

(Sources)
Le site officiel du jeu (en cours d’update / Eng)
Hard Reset sur Twitter
La page Facebook du jeu
La page Facebook du studio Flying Wild Hog
L’article fait par PCGamer
Photos & teaser © Flying Wild Hog

 

Kiss My Stirp 7

Kiss my Stirp #16 : Waka Waka Wakances

Kiss my Stirp #16 : Waka Waka Wakances

Kiss my Stirp #16 : Waka Waka Wakances
C’est le 14 juillet, et en cette Fête Nationale française, voici un stirp qui n’a rien à voir.
J’avoue avoir été influencé par la conférence Bandai Namco de Japan Expo. Ça, plus le fait que j’aime les cross-overs, dessiner des fifilles et que je voudrais bien être en vacances.

Kiss my Stirp #16 : Waka Waka Wakances
Bien entendu, il y manque facilement trois dizaines de licences Namco dans l’histoire, mais vous les mettriez où dans la décapotable, hein ? (et puis mince, c’est long à dessiner)

Kiss my Stirp #16 : Waka Waka Wakances
Épilogue
Jeux Vidéo

[Test] Child of Eden


Il est certains titres qui peuvent changer votre perception du jeu vidéo. Child of Eden en fait partie. Laissez-moi vous conter l’expérience nouvelle qu’il m’a offert…



Child of Eden est le dernier né de Tetsuya Mizuguchi, le papa de Rez et de Lumines. Cela fait plus d’un an qu’on avait droit à de sublimes images, de-ci de-là, qui en disaient bien peu sur le gameplay mais dont la beauté faisait rêver. Car une chose est sûre avec « Miz » : il aime contourner les règles du jeu vidéo pour inventer les siennes. Son passe-temps favori est de nous faire redécouvrir le vidéoludisme, avec poésie et talent. Alors forcément, cet Enfant, on l’attendait avec impatience…

Child of Eden est l’héritier spirituel de Rez, pour ne pas dire qu’il en est la suite. Cela se ressent non seulement via l’univers, mais surtout dans le gameplay puisqu’il est (à peu de choses près) le même.

Faisons rapidement le point sur l’histoire : exactement comme pour Rez, tout se situe dans l’Eden, une intelligence artificielle digne d’un Internet du futur et qui regroupe toutes les connaissances de l’humanité. Notre objectif : protéger le « Projet Lumi » (incarné par la muse de Miz) d’une attaque virale, afin qu’il puisse s’incarner dans Eden.


Lumi, c'est elle.


En ce qui concerne les mécaniques de jeu, il s’agit d’un rail shooter où le but est donc : viser les cibles avec le joystick, verrouiller avec le bouton A, et les mitrailler en relâchant le bouton. L’objectif est d’aller jusqu’au bout du parcours en restant en vie. Là-bas nous attend un « boss » dont il faudra déjouer le pattern avant de passer au level suivant.


C'est dans ce genre de niveaux que l'empreinte de Rez apparaît comme une évidence.


Dit comme ça, on se demande ce qu’il y a d’extraordinaire. Tout simplement ce que Miz en fait : un jeu poétique et musical. En effet, chaque cible détruite produit un son. On devine aisément qu’une chaîne de cibles détruites produit une mélodie, en accord avec la musique de fond. Et plus vous marquez de point, plus vous avez de vie, plus les mélodies sont puissantes, harmoniques et présentes, notamment à travers les vibrations de la manette.


La nature, un thème central de Child Of Eden.


C’est tant au niveau visuel, auditif et tactile que vous partez à la découverte d’Eden. Et c’est tout simplement magique. On est transportés corps et âme dans cette explosion de couleurs et de sons… Je n’ai pas les mots pour vous décrire le quasi état de transe dans lequel m’a mise ce damné jeu ! Je crois même pouvoir dire sans rougir que ça ne m’était jamais arrivé à ce point.


Le phénix, certainement mon passage préféré du jeu.


Néanmoins l’expérience est courte puisque Child of Eden n’a « que » 5 niveaux à proposer, chacun représentant un univers bien différent, et dont la difficulté reste raisonnable mais non moindre. En recommençant 2 à 3 fois chacun d’entre eux, une fois qu’on a bien pigé la logique des ennemis et des boss, rien de bien compliqué. Néanmoins, pour ceux qui aiment le scoring et le challenge, un mode défi et des difficultés supplémentaires sont déblocables.


Psychédélique baby !


Je ne vous ai pas parlé de la compatibilité Kinect, tout simplement parce que je n’ai pas le dispositif chez moi. Mais je peux toutefois vous dire qu’au nombre de fois où je me suis faite insulter en disant que je n’avais fait l’aventure qu’à la manette, l’expérience au Kinect doit être au moins aussi transcendantale… Les vibrations en moins.



  • Le fait d’être totalement transporté grâce à la symbiose visuelle / auditive / vibratoire qui nous plongent dans le jeu,
  • L’univers visuel et mélodique, c’est une véritable explosion des sens,
  • Le gameplay ainsi magnifié qui nous sort de nos habitudes vidéoludiques.




  • Une durée de vie vraiment trop courte, comptez deux à trois bonnes heures seulement pour finir le jeu,
  • Tout comme pour Rez, certains resteront hermétiques à cette expérience qui dépendra de votre sensibilité à beaucoup de niveaux,
  • Une (cinématique de) fin un peu trop kitsch à mon goût.






Certains diront que Child of Eden tient plus de l’art que du vidéoludisme, de l’expérience sensorielle que du jeu. Et ils n’auront pas entièrement tort.

Sublime tant visuellement grâce à une HD psychédélique qui  nous en met plein la trogne, qu’auditivement avec les sonorités électro très particulières du jeu, Miz a donné une véritable identité à son titre et nous plonge physiquement dans son jeu. Les vibrations (ou l’utilisation du Kinect, ou les deux) en rajoutent une couche et vous impliquent d’autant plus dans le gameplay : c’est la synesthésie tant convoitée par Miz et portée à son « presque » paroxysme. Hé oui, j’en serais presque venue à vouloir de la 3D pour vivre tout ça au-delà de son intensité actuelle.

Si Child of Eden n’est pas forcément un must have, il est au moins un must play. En effet, au risque d’être rebutés par le fait de payer une quarantaine d’euros pour une expérience aussi « courte », essayez au moins de vous le faire prêter. Commencer Child of Eden, c’est se laisser hypnotiser et le terminer d’une seule traite. Mon seul conseil hormis celui d’y jouer : mettez-vous un casque sur les oreilles pour être vraiment dans votre bulle.

Une tranche de ma vie de gameuse que je ne suis pas prête d’oublier… et qui m’a même donné envie de (re)jouer à Rez !




Child of Eden est développé par Q Entertainment. Il est disponible sur Xbox 360 depuis le 16 juin 2011 au prix conseillé de 42€, et compatible Kinect. Il est également prévu sur PS3 (et PS Move) pour septembre 2011.

Site officiel.


Cinéma Dans Ton Cinéma

[DTC] Sorties de la semaine


Le sorcier à lunettes nous revient pour cette ultime partie d’une saga qui n’en finissait plus.



A vue de nez, je dirais que ça va fritter.

Harry Potter et les Reliques de la Mort – Partie 2 (David Yates)

Pas grand chose à vous dire pour ce dernier volet de l’adaptation du best seller de J. K. Rowling

Harry Potter affronte ici son ennemi de toujours, Voldemort, dans un duel sans merci qui a tout de même attendu 7 bouquins et une décennie ! C’est Poudlard qui servira de champs de bataille et vous y retrouverez tous vos petits héros préférés dans un épisode plus sombre et violent que jamais (*hrm*).

Hé non je l’avoue je ne suis pas une grande fan de Harry Potter ! Ca n’est pas faute de m’être farci tous les bouquins et les films mais… C’est plus fort que moi, je n’accroche pas.

Alors je préfère vous laisser sur cette bande-annonce, je suis sûre que vous en parlerez bien mieux que moi !



Site officiel





A voir également :

I’m Still Here – The Lost Year of Joaquin Phoenix par Casey Affleck, le frérot de Ben. Ce mockumentary totalement décalé retrace la vie de Joaquin Phoenix après qu’il ait annoncé prendre sa retraite en 2008 pour entamer une carrière de chanteur hip-hop. A l’époque cette annonce avait fait un véritable buzz, jusqu’à ce que l’on apprenne qu’il ne s’agissait que d’une supercherie qui avait pour but la mise au monde de ce film. On y découvre comment durant un an son beau-frère Casey Affleck va le filmer dans les pires moments de sa vie : dépression, dégoût de la célébrité, et autres joyeusetés. Voir comment Joaquin Phoenix aurait pu devenir la risée de tout Hollywood est le propos de cet exercice de style qui me rend particulièrement curieuse… Chaque acteur y joue son propre rôle, et c’est ainsi que vous pourrez aussi y voir Jack Nicholson, Danny Glover, Bruce Willis, Billy Crystal, Danny DeVito, Natalie Portman, Ben Stiller, Puff Daddy, Mos Def, Jamie Foxx, etc. Un casting impressionnant qui s’est donc prêté à un jeu burlesque et acide à voir très certainement de toute urgence.


Site officiel



Sources et images via Allociné

Jeux Vidéo 2

Les 5 vidéos qu’il ne fallait pas rater cette semaine

Histoire de profiter des dernières heures avant la fin du week-end, je me suis dit qu’une petite selection de vidéos nerds que j’ai vu passer cette semaine serait le bienvenu. So let’s do this 🙂

#1 Final Fantasy VII en stop motion. 8 minutes de bonheur.

#2 Medal of Honor Cat

#3 Big ass train station in Minecraft

#4 Trolling Saruman

#5 Bioshock Infinite : 2 minutes de gameplay.

Bonne semaine à tous 🙂

Interviews Lectures 5

[ITW] Florent Maudoux

FMaudoux

Aujourd’hui nous avons le plaisir de recevoir l’un des scénaristes et illustrateurs les plus talentueux de la bande-dessinée française : Florent Maudoux ! Créateur de la série geek à succès Freaks’ Squeele, un savant mélange entre les X-Men, Harry Potter et Monty Python, il revient aujourd’hui pour vous sur son parcours et sur la genèse de la saga qui l’a fait connaître… Il a accepté de répondre à nos questions après son passage à la Japan Expo 2011 et vous dira quelques mots au sujet de Doggybags et du tome 5 de Freaks en préparation. Florent, c’est à toi !

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