
On remet le couvert sur KMG ! Avec un bon live pour cet été ! Mais que dis-je, un énorme live pour cet été car il s’agit tout simplement d’un épisode spécial StarCraft II !
Il y a de la place pour tout le monde !
Shank, c’est un beat’em all assaisonné à la sauce comics et parfumé d’une grosse pincée de kitsch digne d’une production Rodriguez-Tarantino (ou l’inverse). Prévu pour le 25 août 2010 sur le PSN et le XBLA (le portage PC étant tombé à l’eau) pour un coût avoisinant les 15€, ce jeu aux allures d’indépendant vous invitera à manier tout à la fois armes blanches (dont une tronçonneuse !) et une artillerie lourde bien fournie, à la façon d’un Devil May Cry sous amphétamines. Tout cela ne serait pas si beau s’il n’était pas servi par un graphisme péchu digne d’un bon Genndy Tartakovsky*.
Pour le coup, c’est Klei Entertainment (main dans la main avec Electronic Arts) qui est sur le coup, avec à la tête du scénario Marianne Krawczyk. Ce nom ne vous dit rien ? C’est pourtant la scénariste de God of War en personne (oui oui, c’est une femme) !
Mais puisque les images valent mieux que les mots, voici un premier trailer pour vous mettre dans le bain :
Shank nous plonge donc au sein d’une histoire mature abordant les thèmes de la loyauté et de l’intégrité. Il y a quelques semaines, une nouvelle bande-annonce dévoilait un mode 2 joueurs en coop survolté où vous aurez apparemment la possibilité d’incarner un véritable Danny Trejo miniature, et qui n’ira pas sans nous rappeler nos bonnes vieilles parties de Streets of Rage !
Je vous ajoute ci-dessous une vidéo de gameplay qui devrait vous convaincre qu’un jeu fluide et brutal peut encore exister !
Merci à Jay de nous avoir interpelés sur ce petit jeu discret qui pourrait bien porter aux mêmes délires qu’un Castle Crashers ! Et puisque vous avez été sages, voilà quelques artworks bonus…




*Tartakovsky est le designer génial de Clone Wars, mais aussi de Dexter’s Laboratory et de Powerpuff Girls pour les plus vieux d’entre vous (cqfd : mwa :'( ).
Images via The Shank Blog

Cette semaine, du bon, du bon, du bon !

Le Dernier Maître de l’Air (M. Night Shyamalan)
Appelé ainsi plutôt qu’Avatar, on le devine aisément, pour se différencier du blockbuster Cameronien, on souhaite pourtant à cette adaptation de l’anime du même nom un succès semblable !
Je ne vous le cache pas, je suis une grande fan de Shyamalan (vous savez, celui-dont-on-ne-sait-pas-prononcer-le-nom). Bien que ses derniers films m’aient déçue (La jeune fille de l’eau et Phénomènes), je garde au fond du cœur l’espoir que le réalisateur saura nous redonner sous d’autres jours les émotions vécues dans Signes ou le Sixième sens.
Le Dernier Maître de l’Air s’inscrit dans son genre de prédilection, le fantastique, et nous plonge dans un univers oriental où l’équilibre du monde tient à celui des quatre éléments : Air, Feu, Terre et Eau. Toutefois, la belliqueuse Nation du Feu met tout cet équilibre en danger en maintenant une guerre de plus d’un siècle contre les trois autres. C’est sous ces mauvais auspices que Aang va découvrir qu’il est le nouvel Avatar, c’est à dire le seul être au monde à pouvoir maîtriser les quatre éléments à la fois. Accompagné de ses amis, il va tout faire pour mettre fin à cette guerre avant que l’équilibre ne soit définitivement rompu.
Si le dessin-animé Avatar a un look d’anime (d’ailleurs il est presque toujours apparenté comme tel) il s’agit en réalité d’une série américaine produite par Nickelodeon. Lancée en 2005, elle a connu un succès immédiat et le film adapte ici les 20 épisodes de la première saison. Autant dire qu’un lourd poids repose sur les épaules de Shyamalan, mis sous pression par des tonnes de fans. Afin de mener sa mission à bien, il a donc décidé de s’entourer des bonnes personnes hors caméra : Andrew Lesnie à la photographie (il avait été oscarisé pour le Seigneur des anneaux puis pour King Kong), Judianna Makovsky aux costumes (Harry Potter, X-men, Benjamin Gates) ou encore Conrad Buff au montage (Terminator 2). Ajoutez à cela des effets spéciaux dernier cri, des cascadeurs provenant directement du Cirque du Soleil, et une musique signée James Newton Howard (c’est sa septième collaboration avec le réalisateur) pour nous donner définitivement envie de goûter au Dernier maître de l’air.
S’annonçant d’ores et déjà comme le film le plus ambitieux de la carrière de Shyamalan, il ne reste plus qu’à prier pour qu’il réussisse à faire ses preuves sur grand écran. D’autant qu’il a pour projet de prolonger l’expérience en une trilogie…

Phénomènes paranormaux (Olatunde Osunsanmi)
Insultez-moi si vous le voulez, mais la petite citadine que je suis reste particulièrement friande de ces thrillers fictifs mis en scène pour effrayer la ménagère de 50 ans qui réside en chacun d’entre nous.
Réalisé par Olatunde Osunsanmi, aficionado de films d’épouvante (il a réalisé entre autres The Cavern, très proche dans le style et le pitch de The Descent), ce long-métrage nous plante en Alaska où ont lieu des disparitions inexpliquées depuis les années 1960. Les efforts du FBI n’ayant jamais rien donné, c’est ainsi qu’y est envoyé le psychologue Abigail Tyler (Milla Jovovitch) qui décide de filmer les séances d’hypnoses qu’elle entretient avec des patients. Elle va ainsi à chercher à comprendre d’où proviennent leurs profonds traumatismes, insomnies et peurs nocturnes. C’est toutefois sans véritablement le vouloir qu’elle va percer à jour les preuves les plus troublantes jamais dévoilées sur ces mystérieuses disparitions…
Phénomènes paranormaux (rien à voir pourtant avec Paranormal Activity) est basé sur des faits réels, passage presque obligatoire pour les films du genre puisque cela leur donne un crédit et un cachet tout particulier. Toutefois, lorsque l’on sait que le titre VO est « The Fourth Kind » (Le Quatrième Type) on cerne mieux le thème de ce long-métra(n)ge…
Avec un petit budget pour une actrice hollywoodienne, on n’a plus qu’à espérer que Phénomènes paranormaux saura nous soulever de nos sièges !
A voir également :
Dans un contexte un peu plus léger cette fois-ci, James Mangold (Walk the Line, 3h10 pour Yuma) nous livre sa dernière (et première) comédie pimentée d’action avec en tête d’affiche Tom Cruise et Cameron Diaz : Night and Day. Il reprend le scénario vu, revu, et re-revu (Kiss & Kill pour le plus récent) de la jeune nénette innocente qui pense avoir rencontré l’homme de sa vie jusqu’à ce qu’elle réalise qu’il s’agit d’un espion traqué par ses pairs. Elle se retrouve alors embarquée malgré elle dans une course-poursuite rocambolesque. C’est le genre de pitch bateau, mais qui marche bien s’il est rondement mené. Si j’avais été très déçue par Kiss & Kill, j’espère que le talent de Mangold saura réveillé cette trame éculée. Quelques anecdotes qui pourraient vous convaincre de déposer votre cerveau à l’entrée de la salle : Tom Cruise a fait toutes les cascades du film lui-même et Cameron Diaz a aussi mis la main à la pâte pour les scènes de combat. Enfin, Paul Dano (Little Miss Sunshine) interprète un rôle de geek dans ce qui s’avère être son premier film d’action ! Je vous laisse zyeuter la bande-annonce pour vous faire votre propre avis…
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=w-ZhDJnUJxQ[/youtube]
Pour Millénium 3 – La Reine dans le palais des courants d’air je ne vous referai pas tout le speech que j’ai déjà fait il y a quelques semaines. Dans le dernier épisode de cette trilogie, Lisbeth Salander va devoir agir depuis l’hôpital où elle est retenue après un grave accident. Toujours accusée de nombreux crimes, elle va devoir agir en sous-terrain avec Mikael Blomkvist pour l’aider à dénouer les fils d’une trame complexe, mais qui pourrait l’aider à prouver son innocence…
Sources et Images via Allociné
Ninokuni : The Another World (ou Ni No Kuni), est le prochain soft DS développé par Level-5 (Dragon Quest IX, Pr. Layton). Ce que ce jeu de rôle a de particulier est qu’il est chapoté par le studio Ghibli qui va donner toute son essence esthétique et scénaristique à l’univers.
Il y a quelques semaines, après une double annonce dévoilant que Ninokuni serait développé sur PS3 également, et commercialisé en dehors du Japon, une bande-annonce nous est tombé dans les mains en rapport à ce portage. Elle concerne ainsi la version PS3 de Ninokuni, sous-titrée Queen of the Holy White Ash, et nous en dit un peu plus sur un jeu qui se promet d’être magnifique à tous niveaux…
Dans cette histoire, nous incarnerons Oliver, un petit garçon de 13 ans qui va tout faire pour redonner vie à sa mère grâce aux pouvoirs des fées. Voici la bande-annonce concernant la version PS3 tout récemment annoncée :
Et pour le plaisir, la bande-annonce de la version DS qui traîne déjà sur le net depuis plusieurs mois :
C’est les yeux pleins d’étoiles que je suis revenue de ma projection tardive de Toy Story 3.
Rien à voir avec les lunettes 3D toutefois ! En effet, on nous a encore imposé une 3D qui n’apporte rien, comme à son habitude, si ce n’est qu’elle a le mérite d’offrir une image de bien plus belle qualité qu’en 2D, en plus de nous exempter du mal de crâne habituel. Ouf !
Certains disent de Toy Story 3 qu’il s’agit du meilleur de la trilogie. Je n’irais peut être pas jusque là car les 1 et 2 laissent en moi un souvenir indélébile, toutefois le 3 est largement à la hauteur de ses deux aînés. C’est pour dire : j’ai rarement vu une trilogie d’animation à la qualité aussi régulière (il suffit de penser au Shrek en dents de scie pour s’en convaincre). C’est bien simple, j’ai ri du début à la fin, et j’ai même versé ma petite larme avant le générique.
Ce troisième opus signe la fin d’une saga et est volontairement placé sous le signe de la nostalgie. Andy , le petit garçon que l’on suit depuis le début, vient de fêter ses 17 ans et s’apprête à partir pour l’Université ; il laisse ainsi derrière lui sa famille, sa maison et… ses jouets. Entre les jeter à la poubelle et les donner à une garderie, le choix d’Andy s’avère si difficile qu’il préfère les garder au grenier. Mais par une suite d’évènements rocambolesques digne de tout bon film d’animation déjanté, le carton du grenier se retrouve dans la voiture maternelle qui va les amener à la garderie de Sunnyside.

Comment est-il possible de faire d’une garderie pour enfants -en apparence joyeuse et calme- un véritable enfer pour les jouets ? Faites confiance à Pixar pour parvenir à donner son aspect grotesque, mais pourtant tellement vrai, à des situations qui nous sont tant familières qu’elles nous portent aux éclats de rires.

La troupe de héros habituelle (Woody, Buzz, Mr. Patate, Rex, etc.) ainsi que quelques nouveaux personnages (dont Barbie) se retrouvent ainsi catapultés à Sunnyside où le jardin d’enfant est pire que le pire des cauchemars de Dante. D’un côté, la cour des « grands », les calmes et câlins enfants de grande section, la partie de la garderie la plus jalousement gardée par les vieux jouets qui y résident. De l’autre, la cour des « plus jeunes », les turbulents et hyperactifs petits monstres de moyenne section, la partie de Sunnyside où échouent les nouveaux jouets, comme pour un cruel bizutage. Les anciens jouets qui semblaient si heureux de les voir arriver ne le sont en réalité que pour mieux les jeter dans la gueule du loup : plus la moyenne section aura de nouveaux jouets à mâchouiller et à peinturlurer, plus eux auront de chance de rester au « paradis », près des plus grands.
Deux évidences s’imposent alors à notre petit groupe de résistants : fuir la garderie par tous les moyens imaginables, et retrouver la maison d’Andy, leur véritable propriétaire. Mais il va falloir faire vite car le jeune garçon part pour l’Université le lendemain et que toute la troupe des vieux jouets, menée par Lotso, un gros ours rose sentant la fraise et Big Baby, une poupée borgne poussant d’adorables gazouillis (ouais, c’est malsain hein ? ?), vont faire leur maximum pour les empêcher de s’échapper…

Toy Story 3, c’est du pur délire de A à Z, un double niveau de lecture délectable que je n’avais pas vu depuis longtemps, une animation d’une qualité indéniable et une imagination sans borne de la part des créateurs. Comme toujours, nombreux sont les clins d’œil dont le cinéphile et l’adulte que nous sommes se repaît. L’humour est d’une intelligence rare et confirme le fait que Pixar ne prenne pas son public pour un idiot. A partir de quelques formes 3D, tout ce joli monde prend vie jusqu’à en devenir presque réel et nous transmettre des émotions que certains acteurs de chair et d’os ne parviennent pas à provoquer en nous.
Si je vous conseille vivement d’aller voir Toy Story 3, c’est tout simplement parce que je n’avais pas autant ri au cinéma depuis un bon bout de temps et surtout parce que j’ai eu l’impression de revoir, ENFIN, un véritable Pixar. Il n’y a pas à dire, loin devant les autres « maisons », Pixar sait plus que personne nous faire vivre tout un tas d’émotions en touchant droit au cœur et en en appelant à des souvenirs à peine enfouis que l’on croyait pourtant bien enterrés. On sent que les créateurs du film et ceux qui l’ont mis en forme se sont faits plaisir, projetant leurs plus belles blagues de gosses, mais aussi leurs plus grands souvenirs d’enfance. En donnant vie à des jouets, ils redonne vie à leur mémoire d’enfant et d’adolescent (ainsi qu’à la nôtre), tant dans ce qu’elle a de plus joyeux, que dans ce qu’elle a de plus mélancolique.

La nostalgie de la simplicité de l’enfance, la difficulté de ne pas oublier qui nous sommes et d’où nous venons, l’importance des racines, la symbolique de l’abandon des jouets comme rituel de passage à la vie adulte, tels sont les thèmes de ce Toy Story 3 qui apparaît comme l’apothéose de la saga. Une fois de plus, après Wall-E et Là-Haut, Pixar vise juste et sait nous toucher au plus profond, là où ça fait mal, exactement là où vous pensiez vos souvenirs bien enfouis pour mieux les faire rejaillir. En chacun de nous reste un enfant qu’il sait venir prendre par la main. On pense tous le savoir, mais on ne s’en rend pas mieux compte que lorsqu’on sait nous le faire éclater à la vue avec brio.
J’arrête mon envolée lyrique pour conclure. Une fois de plus Pixar montre sa maestria à tous niveaux : techniques, scénaristiques et surtout émotionnels. Merci à ce gros monstre de génie pour ce très beau moment de cinéma et d’émotion que je vous souhaite tous de vivre très bientôt.

Amis Terrans, Zergs, et Protoss, notre heure est proche ! L’attaque nucléaire arrive très bientôt ! Et pour l’occasion sur KissMyGeek, vous aurez le droit à tout un tas de petits dossiers, exclus et autres fat surprises concernant StarCraft II !
Quoi ? Vous voulez en savoir plus ?
BON OK ! Tss, impatients va.
J’espère que vous n’avez pas lu les tags pour éviter le spoil ! Bon et la banner… Et… Ok c’est trop tard.
Mais désormais la rumeur court de plus en plus… Il semblerait que ce soit l’Homme Mystère qui soit en lice !
Rappelez-vous, le dernier à l’avoir interprété au cinéma était Jim Carrey. Il semblerait qu’après avoir éliminé les pistes de Joseph Gordon-Levitt (Inception, (500) jours ensemble) et de Johnny Depp, ce soit David Tennant ( Doctor Who) qui soit le plus pressenti dans le rôle d’Edward Nigma.

Étant donné le goût de Christopher Nolan pour le thème de la manipulation (je ne vous reparlerai pas de Memento ni d’Inception) : rien d’étonnant ! L’annonce officielle ne devrait plus tarder… Espérons que l’on puisse se réjouir ! Personnellement, c’est un personnage frivole et machiavélique que j’aime beaucoup 🙂

Via Allociné
Dans ma précédente news, je vous parlais de l’adaptation cinéma d’un comic, et ici c’est le passage d’une série au comic qui nous intéresse… True Blood passe au format papier !
Le Comic Con de San Diego ayant débuté aujourd’hui a officialisé la nouvelle : des comic books de la série à succès True Blood vont être commercialisés.
C’est le scénariste de la série Alan Ball qui s’est chargé de superviser le tout avec ses deux collaboratrices, Elisabeth Finch et Kate Barnow. Leur but avec cette saga parallèle est de compléter la série en étoffant davantage l’histoire, les personnages et l’univers tout en gardant l’esprit du petit écran. Quand on sait qu’à la base Alan Ball s’était inspiré du comic La communauté du Sud, ce tournant de la licence n’est donc qu’un juste retour des choses !
La mise en vente ne se fera qu’à partir du 28 juillet, mais vous pouvez déjà pré-commander le premier épisode en VO sur le site d’HBO pour la modique somme de 4,99$ (je préfère éviter d’évoquer les frais de port pour n’effrayer personne). Avec ce numéro 1, vous avez l’opportunité de choisir parmi quatre couvertures :




Via Allociné
Connaissez-vous The Goon ? Ce comic devenu culte grâce au talent d’Eric Powell ? Récompensé de multiples prix internationaux (dont le Will Eisner… trois fois) ? Non ? Hé bien il n’est jamais trop tard pour bien faire !

Publié en 7 tomes dont trois hors-séries depuis 2005 (le dernier épisode datant de février 2010), The Goon est une œuvre au titre éponyme qui campe le personnage d’une brute épaisse dans un monde post-apocalyptique. Accompagné de son psychopathe de meilleur ami, Franky, The Goon survit dans un milieu fleuri de zombies. Avec un esprit très proche de Hellboy, déjanté à souhait, politiquement incorrect et violent, il semblait presque évident que le cinéma lui ferait de l’œil, tôt ou tard.
Et c’est chose faite ! Transposé sur grand écran sous le format de l’animation, c’est MONSIEUR David Fincher qui en est le producteur exécutif. Le scénario est signé de la main-même de l’auteur de la série. Quant au doublage, on murmure déjà les noms de Paul Giamatti (The Truman Show) et de Clancy Brown (Starship Troopers) pour, respectivement, les rôles de Franky et du Goon.
Depuis quelques jours traîne sur le net ce premier teaser qui, si l’on en croit les images, respecte de très près l’esthétique et l’esprit de la version papier… Encore du bon dézingage de zombies en perspective, et en film d’animation s’il vous plaît ! Yummy !
Et pour info, les comics sont vendus dans toute bonne librairie pour un prix moyen de 14€ !
Via Allociné

Si vous pleurez de joie après avoir visionner ce trailer, c’est tout à fait normal. Si vous avez l’impression que le 27 juillet 2010 date où les Dieux descendront sur Terre n’arrivera jamais. C’est normal. Si il y a des gens qui après cette cinématique n’achèteront pas StarCraft II. La il y a une couille dans le potagé.
OH GOD CANT WAIT !
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