Après la débâcle Batman v Superman, il fallait à la Warner convaincre et rassurer pour véritablement instaurer son univers DC Comics au cinéma et c’est à David Ayer et son Suicide Squad qu’incombe cette tâche difficile. Un pari couillu, celui de faire un film de super-héros avec des méchants, celui de prendre à contre-pied la tendance actuelle, qui n’est pas totalement réussi mais a le mérite de divertir. En savoir plus
On ne vous parle pas souvent de jeux de merde sur Kiss My Geek ! Pourtant j’en ai fait la critique dans Super Gamerside #06 et il n’était pas question que je ne la partage pas ici. Je veux bien sûr parler de Where’s My Mommy? un jeu Steam greenlighté qu’il est bon pour le transit !
S’il y a bien un domaine où DC Comics réussit ses adaptations c’est celui de l’animé. Nombreuses sont les œuvres à être passées du papier à l’écran avec succès, de Batman: Year One à The Dark Knight Returns en passant par Flashpoint Paradox. Cette année, c’est le chef d’oeuvre The Killing Joke qui passe par ce traitement et on l’attendait au tournant. On l’attendait parce que The Killing Joke est une histoire majeure de la mythologie de Batman, écrite par le grand Alan Moore (Watchmen, V for Vendetta…), qui eut d’immenses répercussions sur l’aspect éditorial de l’homme chauve-souris. On l’attendait parce que The Killing Joke est une oeuvre violente, psychologique, extrêmement dure, et l’on se demandait si des compromis n’allaient pas être trouvés pour éviter quelques scènes. Mais bon, avec l’habituel Sam Liu à la réalisation et Brian Azzarello, qui n’est pas vraiment un manche, au scénario, on partait plutôt confiant. En savoir plus
Je ne sais pas vous, mais moi j’adore me lever avec la radio, ou faire mon sport sur un fond musical qui met la pêche. Pourtant, souvent je me confronte à une situation dramatique qui se devait d’avoir une solution ! Quoi de plus frustrant que de devoir couper sa musique au moment de prendre votre douche ? Interrompre l’écoute de votre podcast préféré alors que ça vous donne tout votre énergie au petit matin ?
Ça faisait donc un moment que je cherchais un moyen de résoudre ce problème existentiel grâce à une enceinte bluetooth waterproof ! Il y a quelques jours, j’ai eu l’occasion d’en tester une vendue par Coolgift.com : l’enceinte Bluetooth Waterproof de B-Steam.
Voici donc mes retours !
Dans la catégorie « Suite qu’on n’a jamais demandé », Roland Emmerich nous fait l’immense honneur de sortir Independence Day: Resurgence. Encore une parfait exemple de chose à ne pas faire. J’avais beaucoup aimé le premier film à l’époque, qui à mon sens nous offrait des scènes de destructions massives encore jamais vus, quelques moments flippant (j’avais 10 ans), et de l’action pas dégueulasse. Pour vérifier cela je l’ai revu très récemment. Le constat est toujours le même, sans être un grand film ID4 est ultra plaisant à regarder. Resurgence, c’est l’inverse.
Quand Netflix lance une nouvelle série, c’est toujours un événement… Mais pas forcément une réussite. Cette fois, l’entreprise de streaming vidéo a financé les frères (jumeaux) Duffer pour faire revivre aux téléspectateurs les grandes heures cinématographiques des années 80. Annoncé comme un hommage aux films Amblin notamment, Stranger Things et ses 8 épisodes ont débarqué sur la plateforme le 15 Juillet. Après les avoir binge-watchés – pour utiliser un terme qui est maintenant à la mode –, je vous propose de revenir dessus dans cette critique sans spoiler. Alors, home-run ou plantage en règle ?
La guerre est un sujet maintes fois traité dans le jeu vidéo. En tant que soldat, en tant qu’agent secret, en tant que commandant des forces armées, en tant que dirigeant d’une nation, la guerre occupe une grande partie du terrain, sous toutes ses formes. Mais la guerre en tant que civil, la guerre vue de l’autre côté du canon d’un fusil, celle qui fait peur, qui salit et qui est cruelle, celle qui finalement nous renvoie à notre propre vie d’être humain, voilà une guerre que je n’avais jamais vue. Voilà la guerre que l’on vous montre et que l’on vous propose de vivre dans This War of Mine. En savoir plus
Je l’avais évoquée dans les séries tirées de comics (dans la partie « Les séries à venir ») et je crois qu’on sentait bien que j’avais beaucoup d’attentes (et de craintes) sur l’adaptation télévisuelle de Preacher – ce chef-d’œuvre de Garth Ennis et Steve Dillon. Il est venu le temps de vous en parler un peu plus en détail après 6 épisodes et l’annonce du renouvellement pour une seconde saison. Toutefois, vous noterez que cet article ne s’appelle pas « [Critique] Preacher » et la raison en est simple : je n’ai pas l’intention ici de me contenter de vous donner mon avis argumenté sur la série d’AMC mais plutôt de m’appuyer sur celle-ci afin de m’intéresser à un sujet un peu plus large : les adaptations d’œuvres dans l’univers audiovisuel.
La folie Star Wars n’en finit plus. Après un épisode VII qui a éclaté le box office l’an dernier, précédé par le bon Battlefront, avec l’arrivée de Rogue One en décembre et les deux jeux EA annoncés lors de l’E3, il n’en manquait qu’un à l’appel : la traditionnelle adaptation version LEGO. C’est maintenant chose faite avec une nouvelle fournée de chez TT Games. Et sans bouleverser l’ordre établi, ce LEGO Star Wars: Le Réveil de la Force se révèle plutôt plaisant ! En savoir plus
Notre concours en partenariat avec Pelopia est terminé.
Voici nos grand gagnants tirés au sort !














