Il y a quelques semaines, Razer faisait trembler la sphère des gamers avec son tout nouveau modèle de souris : la Mamba. Pour quelle raison ? Pour sa particularité sans fil, la première de la licence et ça n’est pas sans raison ! En effet, le wireless est la bête noire des gamers : problèmes d’autonomie, désynchronisations, pertes de performance, il est généralement très décrié par les e-sportifs. Néanmoins la firme renouvelait son défi quelques semaines plus tard, en proposant pour le même prix une « optimisation » de son produit avec la technologie 4G.
Le sans fil pour les gamers, Razer a trouvé son nouveau défi. Le résultat est-il à la hauteur ? C’est ce dont je vais vous parler ici…
Deadpool revient ce mois-ci pour la fin de l’arc Want you to want me où il est bien décidé à faire partie des X-Men, à n’importe quel prix !
Il y a deux mois, Wade s’était fait méchamment refoulé par Cyclope, qui voyait en lui une personne totalement instable et déséquilibrée. Mais il aurait apparemment ensuite changé d’avis et c’est Domino qui connait un peu le bonhomme qui a été chargée de lui transmettre le message, il deviendrait un X-Man s’il passe la période d’essai. Et quoi de mieux comme test que de s’occuper du cas du père de Mercury. Celui-ci, à la botte de Norman Osborn (je rappelle que cette parution se déroule avant Siège et la chute du tyran fou), fait tout pour discréditer les mutants en balançant à la presse que sa fille est retenue contre son gré sur Utopia. Deadpool a donc bien entendu pour plan de le dézinguer, ce qui pourrait légèrement nuire à la réputation des X-Men…
Il est pas beau dans son costume fait maison ?
Continuant sur la lancée de la parution précédente, ces deux derniers épisodes sont de bien bonne facture. On retrouve tout le charme du Merc : de la folie, des vannes foireuses, des situations rocambolesques et des monologues schizophréniques. Daniel Way a choisi de se focaliser sur les X-Men et je trouve cela très bien vu. Les voir galérer à empêcher Wade de commettre l’irréparable nous permet de bien nous rendre compte que le mercenaire est absolument imprévisible. Imprévisible oui, mais inconscient ? Peut être pas après tout ! Parce qu’une chose est sûre, c’est que Deadpool a quelque chose en tête et qu’il n’est pas idiot le bougre ! Le tout est très rythmé et contient de nombreux rebondissements, ponctués de moments forts drôles (le passage du coq est hilarant). Pas grand chose de plus à dire vu que le nombre pages que contient cette parution est assez faible, et pour le prix on peut grincer un peu des dents. Je ne comprends toujours pas pourquoi c’est un bimestriel. Cependant, je tiens à saluer le boulot de Jérémy Manesse, traducteur de son état. Il faut dire qu’il n’a pas la tâche facile puisqu’il doit adapter des nombreuses blagues incompréhensibles pour nous Français puisque attachées à la culture Américaine. Pour cela je lui tire mon chapeau puisqu’il a réussi à me faire beaucoup rire, la vanne sur NTM en tête. Les traductions chez Panini peuvent parfois être approximatives, ce n’est jamais le cas avec ce monsieur.
Et il est content...
Une très bonne fin donc pour cet arc, très bien ficelée et pleine de surprises. L’épisode X-Meniesque de Deadpool touche à sa fin mais il paraîtrait qu’il ait envie d’embêter un autre héros dans deux mois, à savoir notre bon vieux Spider-Man. J’ai hâte de voir cette confrontation entre ces deux maîtres de la vanne !
Bonjour à tous ! Nous accueillons aujourd’hui dans notre antre le génialissime François Descraques, que vous connaissez peut-être à travers FrenchNerd. François, c’est à vous !
L’heure s’y prête quand même pas mal, alors on va parler vacances, soleil et sortie. Toute plainte provenant de gens du Nord (comprendre « au-dessus d’Avignon ») sera directement rejetée. Deux conseils tout simples pour tous ceux qui voient un peu trop souvent l’intérieur de leur chez-eux.
Bah c’est pas avec ça qu’il va pouvoir aller se pavaner sur les plages auprès des filles de Namco…
Épilogue
Mais, en fait, il fait plutôt pas mal dans le Sud.
Aujourd’hui _R_A_S_ nous revient avec une sélection de hits musicaux vidéoludiques pour composer votre playlist de l’été. A lire et à écouter de toute urgence !
Salut, bande de geeks !
Cette fois-ci, je vous présente des perles de compositions musicales. Pas de top 10, il n’est pas question de débattre si tel ou tel morceau de son jeu préféré est le meilleur, il s’agit d’une sélection de morceaux disposant d’une écriture suffisamment bien travaillée pour finir dans votre sonothèque. Bref, une approche différente qui illustre le fait qu’un jeu ne se résume pas à incarner un personnage dans une aventure.
Killer 7 – Blackburn
On commence avec un morceau de chill out, parfait pour vos soirées lounge. Composé en 2005 par Masafumi Takada pour la plus grande œuvre de Suda51 à ce jour, Blackburn est le morceau le plus abouti du jeu avec le très festif mais moins accessible Rave On. Il travaillera notablement sur les bandes son de No More Heroes, Smash Bros Brawl et Vanquish.
FFVI – Terra Theme
Thème d’introduction de Final Fantasy VI, le thème de Terra annonce des jours sombres durant la description du monde, puis prend une dimension épique malgré sa mélancolie durant la marche vers la ville de Narshe. Une écriture qui convient donc parfaitement à l’aventure dans laquelle se lance le joueur.
Composée par le célèbre Nobuo Uematsu, ce morceau restera le symbole de l’âge d’or du jeu vidéo, où la société Squaresoft se trouvait à son apogée créative. Ici présenté dans sa version originale sortie sur SNES en 1994.
Wizardry – Opening Theme
Wizardry, un RPG occidental développé par deux étudiants américains et sorti en 1981 sur Apple II. Il sera par la suite porté sur plusieurs supports dont le MSX et la NES. Pour l’anecdote, il s’agit d’une des principales sources d’inspiration de Dragon Quest.
Le morceau est ici proposé dans une version réorchestrée du « Tokyo City Philharmonic Orchestra » avec la participation entre autres de Nobuo Uematsu et Koji Kondo.
FFVIII – Liberi Fatalis
On enchaine avec un autre Final Fantasy, le huitième opus. Cette fois ci, on nous présente les 4 personnages clé de l’intrigue. Cette vidéo impressionna l’opinion pour sa qualité graphique jamais vue à l’époque et son thème grandiose. Ecrit par Nobuo Uematsu et arrangé par Shiro Hamaguchi, on le retrouve ici tel que les joueurs l’ont découvert, dans la cinématique d’introduction du jeu.
Phantasy Star – Tower
Une petite composition 8-bit de qualité pour une grande série de Sega : Phantasy Star. Le RPG phare de la firme au hérisson bleu a dû elle aussi se rapprocher des meilleurs pour espérer concurrencer les références du genre. Malheureusement, ce morceau mésestimé n’a jamais bénéficié d’une reprise de qualité malgré un remake en 2001. Le voici donc dans sa version originale de 1987.
Sonic 2 – Chemical Plant
Ce morceau très typé jazz est réalisé en 1992 par Masato Nakamura, qui s’était déjà occupé de la bande son du premier Sonic. Guitariste et leader du groupe « Dreams Come True », les deux premiers épisodes du hérisson bleu sont ses seules interventions dans le monde du jeu vidéo. « Chemical Plant » est ici présenté au travers du remix de la version HD de Sonic 2.
Mega Man – Cutman’s theme
Il y a une série de Capcom qui a bénéficié d’un soin particulier en terme de bande son, le roi de la chiptune, Mega Man. Avec la politique de boss non récurrent, l’excellent thème de Cutman, composé par C. Manami et Yuukichan’s Papa, n’apparait que dans l’épisode originel (hors remakes et portages).
Le voici ici dans sa version rock, interprété par Tohru Iwao, pour l’album « 20th Anniversary Rockman 1~6 Rock Arrange ».
Castlevania – Vampire Killer
Vampire Killer n’est pas seulement le nom du fouet de la famille Belmont, c’est aussi un des 3 morceaux récurrents de la série. Composé pour le 1er Castlevania par Kinuyo Yamashita, il s’agit d’une de ses première compositions peu après sa sortie du lycée. Elle travaillera par la suite sur les bande son de Parodius et Megaman X3. « Vampire Killer » est ici proposé dans la superbe version orchestrée de Dracula X Chronicles sorti sur PSP en 2007.
Street Fighter II – Ken’s Theme
Comment serait-il possible de passer à côté du thème de Ken. Il fût composé en 1992 pour la sortie de Street Fighter II, un monument de l’arcade et de la baston. Un jeu qui frôle la perfection à l’époque, avec un grand soin apporté aussi bien aux mécaniques de jeux qu’à son côté artistique.
La version disponible ci-dessous est une superbe reprise de Hiroaki Yoshida dans le cadre du « Street Fighter Tribute Album » de 2003.
Castlevania – Bloody Tears
Castlevania est une série réputée pour avoir toujours soigné son chara design, mais aussi ses musiques. Voici donc Bloody Tears, un autre morceau récurrent de la série apparu pour la première fois dans le deuxième épisode, Simon’s Quest. Composé par Kenichi Matsubara, « Bloody Tears » est ici extrait de Castlevania Judgement, le jeu de combat sorti sur Wii en 2008.
J’espère que vous avez apprécié cette sélection. N’hésitez pas à laisser vos morceaux préférés en commentaires, nous sommes nombreux à aimer la bonne musique !
[Loading] est une rubrique publiée tous les jeudi, et c’est la vôtre. Elle a pour but de partager sur le blog les écrits / dessins / etc. de nos lecteurs. N’hésitez pas à nous faire parvenir vos tests, strips, coups de cœur et de gueule si vous voulez les faire découvrir sur Kiss My Geek ! Vous pouvez nous envoyer tout ça à eskarina@kissmygeek.com et à oujiz@kissmygeek.com.
Cette dernière semaine de juillet finit sur des chapeaux de roues !
Globe-trotters !
Cars 2 (Brad Lewis, John Lasseter)
« LA » figure emblématique de Pixar, le bien-nommé John Lasseter, nous offre une nouvelle perle cette semaine… Ou plutôt la suite de l’une de ses perles : Cars 2 !
Main dans la main avec le producteur de Ratatouille, Brad Lewis, ils mettent ici en scène le grand retour de Flash McQueen et de son ami Martin la dépanneuse. Dans ce deuxième opus ils vont participer au tout premier Grand Prix Mondial qui récompensera la voiture la plus rapide du monde. Bien entendu tout n’est pas si simple et bientôt les deux compères vont se retrouver mêlés à une affaire rocambolesque d’espionnage international. Propulsées sur les routes du globe, entre le Japon et l’Europe, les deux voitures vont devoir se confronter à de nouveaux ennemis, ainsi qu’à des amis hors du commun…
Du beau et du drôle, voilà ce qu’on nous promet à nouveau pour une heure et demie de rêve made in Disney. Une fois de plus, le studio s’est dépassé en matière de technique. Je termine sur ce témoignage d’un membre du staff qui vous donnera une idée de l’ampleur de cette production de haut vol :
« CARS 2 est le film le plus complexe jamais imaginé par Pixar. Il entraîne les spectateurs dans un voyage autour du monde, et tous les lieux sont créés à partir de zéro. Chaque pays possède ses propres personnages d’arrière-plan, soit des centaines de voitures différentes. Le seul fait de mettre en place un pipeline capable de gérer un volume pareil et de maintenir une qualité optimale à la sortie a été l’un de nos défis majeurs. Nous avons adopté une approche similaire à celle d’une chaîne de montage pour définir les caractéristiques d’animation de chaque voiture. Nous commençons avec un modèle standard avant de personnaliser chacune d’entre elles, notamment au niveau des suspensions et des caractéristiques mécaniques. Les plus anciennes ont des suspensions plus souples, et on a l’impression qu’elles roulent depuis longtemps. Nous avons fait beaucoup de progrès au niveau du système de pilotage – la façon dont les voitures se déplacent, leur direction. Nous voulions pouvoir contrôler ces aspects jusque dans leurs moindres détails, et cela complique davantage les choses. »
The Troll Hunter d’André Øvredal. On vous promet que 4Chan n’est pas derrière ce film tout droit sorti de Norvège et qui raconte à la façon d’un faux-documentaire en caméra épaule (comme Blair Witch ou encore Cloverfield) l’histoire de quelques étudiants qui partent enquêter en campagne sur d’étranges créatures dont les manifestations violentes se multiplient. Le trailer étrange aux effets spéciaux un peu cheap laisse quand même curieux, surtout quand on sait que le film a reçu trois prix !
Ce mois-ci dans la revue Spider-Man, nous avons à faire au retour de Kraven Le Chasseur dans la première partie de l’arc The Grim Hunt. Un évènement qui se profilait depuis des mois, orchestré par sa femme et sa fille qui agissaient dans l’ombre. Alors, hérésie ou bon come-back ?
Les anciens lecteurs de Spider-Man le savent, Kraven, déséquilibré psychologiquement, s’était donné la mort dans le désormais culte La dernière chasse de Kraven sorti en 1987. Mais il avait laissé derrière lui un héritage non négligeable en la personne de sa femme Sasha et sa fille Ana. Ces deux-là étant bien décidées à le faire revenir à la vie. Depuis quelques mois maintenant, Spidey se retrouvait confronté à ses plus anciens ennemis qui n’en finissaient pas de refaire surface. Et ce n’était pas le fruit du hasard, mais bien l’oeuvre des deux héritières de Kraven qui cherchaient à affaiblir le Tisseur et a mieux l’observer pour lui délivrer le coup fatal. Et affaibli, Peter l’est : chômeur, perte d’amis chers (Dr Connors); il n’est plus très loin de craquer.
Parker va en baver.
Mais il n’est pas le seul à faire l’objet d’une traque. Dans ce numéro, nous voyons le retour de Kaine, le clone de Peter, en sang après un affrontement contre les deux chasseuses. Il s’avère en fait qu’elles mènent une véritable chasse contre tous ceux ayant un pouvoir arachnéen. L’occasion alors de voir apparaître des héros très peu connus du grand public comme Arachne, Spider-Woman (pas Jessica Drew, l’autre) ou Spider-Girl. Le but de tout cela ? Un sacrifice paranormal, se servant du sang de l’araignée et qui permettrait à Kraven de revenir d’outre-tombe. Mais celui-ci a-t-il vraiment l’envie de reprendre sa chasse ?
Les Araignées disparaissent une à une.
Sur le papier, le retour du Chasseur peut ressembler à une véritable hérésie, voir un gros coup marketing. En lisant The Grim Hunt, il en ressort tout autre chose. Joe Kelly, en charge de l’histoire, parvient à créer une histoire vraiment prenante, très glauque, violente, gore même par certains moments. C’est bien la première fois que je vois Spidey empaler un ennemi. Un pari risqué qui paye tant les personnages sont bien travaillés, en particulier celui de Kraven (bien qu’il apparaisse tardivement). Lui qui s’était donné la mort, a-t-il vraiment envie de tout cela ? C’est bien la seule chose qui pourrait éviter à Peter de se faire tuer. Et s’il s’en sort, ce ne sera pas indemne, vu tous les sacrifices qui ont été fait pour lui.
Serait-ce la fin ?
The Grim Hunt est donc une bonne surprise pour ma part. Même si j’étais très sceptique à l’idée du retour de Kraven, je dois avouer que cet arc est une réussite. J’ai rarement vu une histoire de Spider-Man aussi violente, et j’avoue que ça change de la niaiseie habituelle. Vivement le mois prochain !
Voilà la vidéo virale qui fait le tour d’internet : un nouveau documentaire fictionnel balancé par Square Enix pour promouvoir son AAA sur le point de sortir… Je veux bien évidemment parler de Deus Ex Human Revolution.
Vous connaissez sûrement l’importance, dans le background de Deus Ex, des thèmes de science-fiction tels que la manipulation génétique et politique. Sarif Industries a une place cruciale dans le jeu vidéo dont nous parlons, mais « IRL » cette société est bien entendu fictive. Néanmoins pour les besoins de la campagne de pub massive autour de son produit, Square Enix a joué sur le marketing viral et à créé un vrai-faux réseau d’informations autour de cette entreprise pour donner à tous l’impression de son existence réell : page Facebook, site internet, fausses pubs, articles, vidéos… Tout ça ne va pas sans rappeler ce qui avait déjà été fait pour la série Lost ou encore le film Batman The Dark Knight.
Sarif Industries, spécialisée dans les implants génétiques, vante bien entendu les bienfaits des « augmentations humaines ». Néanmoins la désinformation et le lavage de cerveau de la majorité de la population leur empêche de voir une évidence : on les manipule pour le profit de Sarif. C’est ce que s’emploie à démontrer cette vidéo « choc » qui dénonce les méthodes des grands pontes de cette industrie.
Le tout a tellement été bien ficelé que certains internautes, étant donné le réalisme de ses créations, a cru qu’il s’agissait de la réalité. On ne se moque pas !
Tournées avec des acteurs de chair et d’os, tout est fait pour vous plonger dans l’ambiance et faire en sorte qu’on s’y croie. Caméra épaule, faux lives et témoignages… Tout y est. Effet Cloverfield garanti ! Voici le résultat bluffant d’une campagne marketing réussie qui aura plus que jamais rendu crédible un univers totalement fictif.
En bonus, voici la fausse pub de Sarif Industries qui vous montre l’autre côté du miroir !
A l’occasion de la 41èComic-Con de San Diego qui a commencé hier, Xbox et LucasArts ont dévoilé leur console Xbox 360 Star Wars en édition limitée… Voici le contenu de ce pack en détail pour vous !
Ce pack Xbox 360 sera livré avec Kinect mais là n’est pas son plus gros intérêt. Tout réside en effet dans son look aux couleurs du duo de héros mythiques de la licence : R2-D2 et C-3PO. En outre, une exclusivité ne venant pas seule, cette console sera accompagnée du jeu « Kinect Star Wars » et de son nouveau mode inédit baptisé « course de pod« .
« Kinect Star Wars » vous replongera dans l’univers Star Wars par l’intermédiaire de la technologie Kinect : vous y vivrez l’entraînement Jedi, y utiliserez la Force et y combattrez au sabre laser… Tout ça sans manette !
En ce qui concerne le mode « course de pod » annoncé, les images n’iront pas sans vous faire pensé à Star Wars Pod Racer, sorti il y a maintenant 12 ans de ça. Là aussi, vous pourrez participer à un championnat pour affronter les pilotes de toute la galaxie, au volant des pods les plus emblématiques de la saga.
Passons désormais à ce que vous attendez le plus : le contenu du pack Xbox ! Il contiendra :
une console aux couleurs de R2-D2 (bleu et blanc) avec sons du droïde à l’allumage,
une manette sans fil Xbox 360 dorée inspirée par C-3PO,
le tout premier capteur Kinect blanc,
un disque dur de 320 Go,
un micro/casque compatible,
le jeu « Kinect Star Wars » (qui sortira en même temps pour les fêtes de fin d’année),
le jeu « Kinect Adventures »,
et des contenus téléchargeables exclusifs.
C’est tout simplement magnifique, je pense moi-même craquer sur ce modèle pour Noël et revendre ma vieille 360 Elite !
Aucun prix ni date de disponibilité n’ont été officialisés mais les rumeurs courent pour du 449€ en fin d’année.
Le Comic Con a débuté aujourd’hui à San Diego. Cet évènement annuel est l’occasion de prendre la température sur les prochaines sorties ciné et sur l’avenir des séries (entre autres). L’an dernier, Marvel nous avait carrément apporté le trône d’Odin pour la sortie du film Thor, cette année, c’est l’intérieur de l’héliporteur du SHIELD, organisme ô combien important dans l’univers de La Maison des Idées et que l’on a pu apercevoir dans les films récemment sortis.
Il manque juste Jean-Pierre Foucault non ?
Alors euh, c’est moi ou ça fait plateau télé ? Genre… Qui veut gagner des millions ?
Mais ce n’est pas tout, on peut aussi voir les agents du SHIELD dans leur costume.
Des costumes très Star Trek.
"Capitaine Kirk, je détecte une singularité !"
Le logo a subi quelques modifications depuis les films précédents et colle plus à l'original.
Je trouve que les costumes font très Science-Fiction, à la Star Trek, mais assez réussis néanmoins. Et ça suffit à faire battre mon petit coeur de geek très fort. Les agents sur le terrain devraient eux garder leurs costumes noirs habituels.
C’est tout pour le moment, mais on espère avoir un peu plus à se mettre sous la dent sur ce film très très très attendu !
The Avengers, réalisé par Josh Whedon sortira l’été prochain et mettra en scène Robert Downey Jr (Iron Man), Chris Hemsworth (Thor), Chris Evans (Captain America), Mark Rufallo (Hulk), Scarlett Johansson (Veuve Noire), Jeremy Renner (Hawkeye) et Samuel L. Jackson (Nick Fury).