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[Loading] Galean : mon test de Napoleon Total War



Ce jeudi dans la catégorie [Loading] on reçoit un autre de nos lecteurs, Galean, un jeune lillois passionné par les jeux de stratégie, qu’ils soient sur plateau ou sur platine. Pour son premier article il a donc décidé de nous parler du récemment sorti : Napoleon Total War. Voici ses impressions sur le jeu.




Voilà un autre jeu que j’attendais. Depuis Shogun Total War en passant par Rome et Medieval Total War, je n’avais jamais été déçu par cette suite de jeux. Là, je vois que ça va être comme Empire Total War ; des unités à distance qui vont juste pivoter sur elles-même, des canons qui vont gagner les batailles à eux seul, et un peu de cavalerie si elle arrive vivante au contact. Bref je me suis dis que ça n’allait pas être terrible, surtout que je préfère les périodes médiévales pour ce genre de jeux.



Vous aurez la même modélisation pour les personnages si vous avez le PC qui va avec.


Je commence à jouer la campagne principale, celle où l’on doit retracer la vie de Napoléon Bonaparte, que ce soit son arrivée en France pour étudier, sa conquête de l’Egypte, et enfin sa conquête de l’Europe jusqu’à la bataille de Waterloo.



Il est aussi possible de jouer la coalition avec la Prusse, l'Angleterre, la Russie ou bien l'Autriche.


Première partie… C’est beau, surtout les batailles navales lorsque l’on possède d’énormes cuirassés. Mais bon la gestion des villes, le styles des unités et des bateaux, tout ça est identique à Empire Total War, le plus embêtant restant qu’il n’y a presque pas de différences d’une faction à une autre.

Il n’empêche qu’on prend beaucoup de plaisir à voir ses troupes avancer au rythme des tambours sous les tirs d’artilleries, assiéger une ville, ou encore monter à l’abordage des navires ennemis. Je dois dire que je suis assez tiraillé entre le fait que je m’amuse à ce jeu, qui a tout ce qu’il faut pour plaire, et le fait que certaines choses font qu’on se lasse vite.



1) Ce qui m’a forcé à me coucher tard.

Bon, le jeu est beau, la durée de vie est bonne, un mélange de stratégie et de gestion bien huilé depuis le temps, des batailles grand format et fréquentes, mais quoi d’autre ?

On n’est pas non plus sur de la simulation, mais ça fait réel. On croirait presque que les batailles à l’époque se déroulaient de la même manière qu’elles ne se déroulent dans le jeu (même si je ne l’espère pas pour les soldats de l’époque). On prend plaisir à monter son armée, sa flotte, et à étendre ses frontières.

Une autre chose qui m’a plu, ce sont les relations diplomatiques, c’est plus réaliste et logique que dans les Total War précédents. Il est possible de faire de véritables alliances qui durent, de parlementer, et de prendre des factions sous sa protection (moyennant finance). Dans les anciens épisodes, même une bonne alliance volait en éclat si votre allié passait avec son armée à proximité d’une de vos villes non protégée. Toutefois, ça n’est pas encore tout à fait ça non plus ; une faction qui vous aime bien refusera parfois de s’allier avec vous (c’est là qu’il faut casser sa tirelire), et c’est parfois presque impossible de signer un accès militaire pour faire passer votre armée en territoire ennemi si une faction neutre est en travers de la route. Du coup, vous finissez par l’attaquer aussi (après tout, le but c’est de finir seul sur la carte). Ce qui est sûr, c’est que pour cet aspect du gameplay on reste encore loin de ce que nous offre un Knight of Honor.

Les tirs de barrages qu’effectuent vos troupes sont amusants à regarder malgré le fait que le gameplay se réduire à amener ses troupes à portée et à attendre que ça se passe. Le seul petit truc à savoir est qu’il faut charger les baïonnettes au canon.

La véritable stratégie de ce jeu réside dans les reliefs. Il faut bien placer ses canons, et avoir ses troupes légèrement surélevées, car si on tire en contrebas, la plus part des balles se plantent dans le sol. Ce n’est plus comme avec les flèches ; ici les boulets vont tout droit.

La musique du jeu est franchement bien, c’est du genre classique, et ça colle bien tout en restant discret.

Je n’ai à ce jour pas encore testé le mode multijoueur, car depuis que le disque est dans la boîte de jeu, je trouve qu’il y est très bien.



2) Pourquoi j’ai rapidement joué à autre chose.

Ce qui frappe dans Napoleon Total War, c’est que ça ressemble vraiment à une extension d’Empire Total War ; même système de gestion et de construction des villes, même genre d’unités, et finalement pas grand chose de neuf si ce n’est la campagne en elle-même.



Pour les batailles, on comprend rapidement que le but c'est d'avoir beaucoup d'artillerie, de pilonner l'ennemi avec, et d'attendre. Surtout que l'artillerie a des munitions illimitées.


Ca devient vite répétitif mais, heureusement, les décors rendent parfois les canons presque inutilisables. L’infanterie est utile en grand nombre, et si elle possède un bon moral, ou qu’elle a de la chance et que les boulets finissent dans les arbres et pas sur elle. De plus, il n’y a que très peu d’unités d’infanterie différentes au sein d’une faction. Mais le vrai problème c’est que l’on retrouve les mêmes unités chez toutes les autres, alors qu’il n’y en a déjà pas beaucoup de base.



Généralement, seuls les chapeaux changent d'une faction à l'autre pour distinguer l'artillerie.


Il faut ajouter à cela qu’elles ne sont vraiment pas intéressantes à manipuler… En effet, il suffit de les faire avancer en ligne et de les pivoter pour les mettre face à l’ennemi. Il y a bien deux ou trois subtilités, comme se mettre en carré face à la cavalerie ou bien utiliser les décors à son avantage, mais c’est rapidement ennuyeux. Et je voudrais savoir pourquoi ici l’infanterie ne tire que sur un rang alors que dans Empire Total War les recherches permettaient de tirer sur deux rangs… On pourrait mettre ça sur le compte de l’aspect « réaliste » du jeu si la moitié des gars qui se font faucher par un boulet ne se relevaient pas, ou si on se retrouvait moins souvent avec des bateaux qui explosent sans qu’on sache trop pourquoi. A ce propos, je croyais que c’était fait pour prendre un minimum de tirs avant de faire un grand flash antiépileptique au milieu de l’écran et de sombrer. Hors, là, une salve suffit parfois sur les navires de taille modeste pour les faire sombrer.

Avant de conclure et pour en revenir au mode multijoueur, il est vrai que je ne l’ai pas testé. Il est probable que celui-ci apporte beaucoup, mais si c’est pour revivre les mêmes choses avec un adversaire plus intelligent, je ne suis pas certain que cela change beaucoup de choses au jeu…

Bref, c’est une belle découverte pour ceux qui ne connaissent pas la série des Total War, mais il n’est pas indispensable pour ceux qui possèdent la version Empire. Même si le jeu séduit les premières heures et qu’on lui mettrait volontiers une très bonne note, au-delà des 10 ou 15 heures de jeu on se rend compte que ce n’est pas si génial que ça. Attention, ça reste tout de même un très bon jeu. Mais pour les fans de la série, il y aura un goût de déjà vu, et finalement c’était beaucoup plus drôle de voir des gars en armure se rentrer dedans en criant, suivis des éléphants qui piétinaient le tout, comme c’était le cas dans la version Medieval.



S'il y a bien une chose à sauver, ce sont les batailles navales (qui sont toutefois identiques à celles d'Empire TW).



Galean.

Warez 12

[WAREZ] F*** me, I’m geek !





La voilà, la nouvelle rubrique de vous attendiez tous. Enfin du direct download de films pornos moldavo-coréen sans publicités ! …Le pervers qui sourit. Tu sors ! Pour les autres, voici votre nouveau rendez-vous hebdomadaire. Point d’infos exclusives, point d’objectivité, mais quelques réflexions décervelées sur l’univers geek qui nous entoure. Kissmygeek s’occupe du repos de vos neurones chaque mercredi. Mettez votre cerveau en veille, ça commence !

Me voilà dans ce bon vieux TGV, en retard bien sûr, mais surtout à me demander en quoi va consister mon premier billet pour ce somptueux blog qu’est Kissmygeek. Le nom du site impose d’emblée un choix assez restreint. Kiss ayant déjà fait couler suffisamment d’encre aussi bien sur papier que sur leurs trognes, c’est donc geek qui l’emporte.

Autant l’avouer derechef, je ne me sens pas geek. Et c’est d’ailleurs certainement pour cela que j’en suis un en réalité. Il faut dire qu’être geek, ce n’est quand même pas le genre de choses qu’on crie sur les toits, ni même qu’on soit vraiment fier de l’être. Mais on est geek où on ne l’est pas. Point. Or si je me retourne sur ma vie, moi et mes envies d’être une personne équilibrée, mature, charismatique et respectée, on prend une belle droite dans la gueule enchaînée sur un German Supplex qu’Onizuka n’aurait pas renié. Ça pique de s’en rendre compte !





Mais être geek, est-ce si dramatique ? Clairement ?  OUI ! Vis à vis de la société, il faut bien dire que c’est peu reluisant et que ça n’apporte pas ou peu de choses professionnellement parlant (Sauf pour les heureux veinards bossant dans leur passion.) Mais alors mettez-nous devant une manette avec un bon petit jeu de derrière les fagots, et on va tous s’en taper comme de notre premier slip kangourou. Avec l’avènement de toutes ces nouvelles technologies et pour peu qu’on s’y intéresse, être geek c’est juste inévitable. Sauf que la geekerie a mauvaise réputation. Bah oui. C’est le jeu ma pauv’ Lucette.

Pourquoi tant de haine me direz-vous ? Vous le comprendrez bien vite en posant un œil sur votre habileté à attirer la femelle. Vous mesdemoiselles, vous aurez beaucoup moins de difficultés, les hommes étant à 80% geeks, le reste ayant un cerveau en forme de pénis. En réalité, vous êtes les maîtresses de ce monde mais vous préférez vous plaindre et faire des journées en votre honneur…Vous considérez-vous comme une tare ou une maladie incurable nécessitant le soutien de l’humanité pour lutter contre le fléau ? Le palmarès de ces différentes journées laisse songeur.

Messieurs, porter un t-shirt Space Invaders, discuter des dernières déclarations foireuses de David Cage, raconter vos rencontres, le plus souvent obscènes, sur Chatroulette, ou mimer Wolverine en vous enfonçant des piques à brochettes sous la peau. Si vous comptez séduire avec ça, autant se coller une grenade dans le calebar et attendre en souriant de voir vos roubignoles se faire la malle. Mieux vaut donc omettre quelques détails lors de votre première approche de la gente féminine si vous souhaitez la voir manipuler le joystick à vos côtés. Mais attention à ne pas verser dans le déni de soi tout de même.





Combien de fois n’ai-je entendu un « espèce de sale geek ! » voler à travers la pièce ? L’auteur de cette invective étant en général l’iphone à la main, batifolant l’appstore, cueillant les applications comme autant de pommes sur l’arbre du pêché (Messieurs les appleophobe régalez-vous de la comparaison). Chirac l’avait prédit dès 1995 : « Mangez des pommes ». Et putain qu’est ce qu’on à l’air d’aimer ça ! La firme de Cupertino s’en frotte encore les mains.

Si l’on y pense un peu, la geekerie, ce n’est autre que la technologie qui aurait fait un enfant simultanément à l’autisme et à la socialisation. Avec la multiplication des ports USB, Firewire, HDMI et consorts, on peut en faire des cochonneries. Une sorte d’alliance contre-nature improbable. Comme un elfe bourré maniant une hache grossière, chantant des odes pornos en langue orque.

Pas la peine pour autant de vous ruer sur le premier recueil de poèmes du 14ème siècle du duc de Nevers venu. Même les gens normaux ne lisent pas ça ! En plus, vous aurez tôt fait de trouver l’application crackée. Ensuite, ca va durer quoi ? 1 heure ? 1 jour ? 1 semaine ? Procurez-vous Dante’s Inferno si vous cherchez l’absolution culturelle. Vous aurez l’impression de vous plonger dans la poésie mythologique. Les nouvelles aventures de Kratos sont arrivées également. Haaa magnifiques légendes de la Grèce antique !

Alors que faire me direz-vous ? Rien. Après tout, on n’est pas si à plaindre. Nous vivons dans une société de plus en plus taillée pour nous. Comme le dit l’adage : Pour vivre heureux vivons cachés…du moment qu’on vit heureux.

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Évènements 2

Croisades d’Unnord : les rôlistes se donnent rendez-vous du 3 au 5 avril 2010 à Lille



Les Croisades d’Unnord, c’est la plus grande convention de jeu de rôle du Nord de France ; un rendez-vous incontournable pour les titilleurs de D20 et autre amoureux de jeux de plateau.

Voici la troisième année consécutive où je m’y rendrai et il était impensable pour moi de ne pas vous en parler. Cette convention qui fête sa quinzième édition cette année est à la base un collectif constitué par des étudiants d’HEI, passionnés par les jeux de rôle, de plateau, de cartes, et surtout de bonne franquette. Leur but ? Vous faire découvrir leur passion, ou entretenir la flamme si vous êtes un vieux de la vieille ! Avides de convertir les néophytes et de convaincre les habitués d’avoir eu raison de venir une année de plus, les organisateurs, tous bénévoles, mettent un point d’honneur à une organisation qui se fait sous le signe du partage, au sein d’une ambiance festive et enthousiaste.

Je ne saurais d’ailleurs mieux les décrire qu’eux :


Les Croisades d’Unnord ont pour but de promouvoir le jeu pour tous, mais il faut bien reconnaître qu’au premier abord le jeu de rôle, les jeux de cartes à collectionner et autres peuvent avoir un côté rebutant pour le néophyte.

C’est pour cela que nous organisons des animations avec l’aide de nos partenaires qui viennent faire jouer les visiteurs. Ces animations ont généralement lieu le samedi après-midi mais il est possible de s’installer pour jouer à un jeu quelconque tout le week-end dans la salle principale. En plus de ces animations, nous organisons une exposition de dessins, peintures, sculptures, etc, tout au long du week-end.

Le reste de la convention est dédié aux tournois de jeux de rôle (les débutants sont les bienvenus), de jeux de cartes et de figurines. Mais vous pourrez aussi y trouver une non-organisation parallèle de tables sauvages (des tables de jeux de rôles organisées par les participants, pour les participants, sans l’aide des organisateurs officiels des Croisades; fous rires garantis).


Vous l’aurez compris : habitués ou simple curieux, vous serez accueillis avec joie aux Croisades. Que vous veniez pour observer, pour jouer, ou pour masteriser une table, vous serez les bienvenus (surtout pour masteriser, d’ailleurs, c’est la bête rare la plus recherchée sur une Croisade) !

Cette année au programme vous retrouverez :

Du jeu de rôle (L’appel de Cthulhu, Qin, Exalted, Crimes, Vampire, Dark Heresy, Discworld, D&D, INS/MV, Warhammer, Hurlement, Star Wars, Zombies, etc.), des jeux de figurines et de plateau, des tournois divers et variés (Koteï, VTES, peinture de figurines et speed painting, etc.), une soirée enquête sur le thème « Films de Zombies », de nombreuses animations (exposition de dessins et de peinture, concert de Brica Brach, présence de la 59ème Légion, exhibition d’escrime, etc.) et autres choses aussi folles qu’inattendues.

Pour représenter ces différentes activités vous retrouverez, en plus des bénévoles, des commerçants (ceux de Rocambole par exemple), des associations, des indépendants, et une foultitude de gens là pour discuter avec vous et qu’on n’a pas forcément l’occasion de cotoyer tous les jours… Autant vous dire qu’on fait beaucoup de rencontres surprenantes (je me rappelle de l’escrimeur d’une soixante d’années avec son élève tout droit sortis d’un film de cape et d’épée et qui discutaient avec nous des différentes parades au fleuret) !

En bref, les Croisades d’Unnord c’est un mélange entre Trolls et Légendes et le Games Day en plus petit comité, avec moins de budget, mais avec une ambiance tellement plus sympa ! Je vous y invite avec grand plaisir. Pour ma part on me l’a fait découvrir il y a trois ans, et depuis il n’est plus possible pour moi de louper ce rendez-vous !

Sachez donc que vous pourrez m’y trouver armée d’un appareil photo et d’un carnet pour mitrailler le tout et vous faire un compte-rendu en images sur Kiss My Geek. Toutefois, si vous en avez l’occasion je vous invite vivement à venir m’y rejoindre !

Si vous voulez participer aux tables de jeu de rôle, comptez 3,5€ l’entrée (6 et 7,5€ si vous participez les deux ou trois jours). L’un des organisateurs m’a précisé que « ce sera 1€ l’entrée pour les « simples visiteurs ». Naturellement, celui qui change d’avis entre deux ne paye que la différence entre deux prestations. Le simple visiteur qui se décide pour un jdr ne paiera que 2€50 supplémentaire, pour arriver au 3€50 attendu. Ceux qui maîtrisent se verront rembourser leur billet d’entrée en bon d’achat au bar ! » Vous pourrez en effet manger/boire sur place de délicieux croques, sandwiches et autres grignotages faits avec amour et pour un prix rédhibitoire, mais vous pouvez aussi amener votre nourriture ! Pour les gens qui ne sont pas de la région, vous pouvez dormir sur place. Et pour les autres questions, je vous redirige vers la FAQ qui saura mieux vous renseigner que moi ! Le détail des programmes et tarifs est également disponible sur ce flyer.


Jeux Vidéo 10

[Unboxing] Coffret Collector God of War



Haaa enfin, je l’ai entre mes mains ! Je vais faire des envieux ! Ce coffret collector était tout particulier puisque non seulement il a été rapidement épuisé au niveau des précommandes, mais en plus il était particulièrement attendu. Pas seulement pour l’énormité que représente God of War troisième du nom dans le paysage du jeu vidéo, mais aussi parce qu’on savait que cette édition proposerait les deux premiers opus remasterisés pour PS3. N’ayant pas goûté aux versions PS2, j’attendais donc cette sommité avec impatience… Comme d’hab, un compte rendu tout en images !



La tant convoitée Pandora Box ! "Edition Trilogie Ultime" : ça plaisante pas...



A travers la partie plastifiée de la boîte on peut déjà entrevoir la bouille du coffret... Regardez-la, on dirait qu'elle nous dit "Faites-moi sortir de làààà !"



Bon ça tombait bien, je n'ai pas réussi à retenir le fauve (dont on taira le nom) plus longtemps pendant le shooting, le voilà qui se rue sur la boîte !



Et là voilà sous son aura plastifiée, encadrée de démoniaques visages bien cornus et pas contents d'être là !



Voici pour le côté... Des cornes et de la barbe, encore et toujours... Nos amis satyres orneront nos étagères avec classe !



Et enfin du dessus ! Comme ça vous pourrez l'inspecter sous tous les angles...



En entier ça donne ça et... bon c'est pas tout ça mais il est bien temps de l'ouvrir maintenant ! On aura toutefois vu que la boîte est en plastique (mais au premier toucher j'ai cru qu'il s'agissait de métal), elle est joliment détaillée et ne fait pas du tout "toc". Bref ; un beau coffret. Mais, on l'a vu avec Final Fantasy la semaine dernière, l'intérêt d'un coffre réside avant tout dans ce qu'il a dans le ventre...



Commençons donc la dissection... Ouuuh mais c'est qu'on aperçoit déjà le célèbre crâne luisant !



Tout d'abord, la box nous offre l'OST complète de God of War... Yay ! On regrettera toutefois peut-être le simple emballage cartonné qui leur est dédié et qui fait un peu CD 2 titres.



On trouvera également trois cartes postales (qui ne sont pas recto/verso, rassurez-vous !) et un code promo pour une arène et quatre skins dont on pourra jouir en jeu.



Les cartes sont un peu kitsch à mon goût mais sauront trouver leur public.



Finalement il faudra croire qu'on était gâtés avec l'artbook de Final Fantasy XIII puisqu'ici on nous propose un simple livret sans couverture et sans reliure particulière (enfin si : avec des agrafes). Mais ouvrons avant de médire.



Bon, soit... Des images tristounettes, des logos GoW un peu partout...



Vous l'aurez compris, je ne suis pas convaincue par ce que j'appellerais plus un portfolio qu'un artbook. Mais c'est mieux que rien et ça fait un beau petit souvenir en plus pour les fans.



Je termine par le plus important du pack : la trilogie en deux blu-rays.



God of War I, II et III est déconseillé aux moins de 18 ans... En ce qui concerne la jaquette du jeu, j'aime beaucoup ! Elle met bien en avant l'une des caractéristiques physiques principales de Kratos, c'est-à-dire ses peintures de guerre. So sexy !



Voici l'intérieur du premier diptyque. Plutôt joli ! On regrettera toutefois la notice en noir et blanc.



Et voici pour God of War III ! Là aussi la notice est en noir et blanc (ouep, ça me chiffonne !). La platine et le livret sont plus baroques et fouillés que ceux de dessus, un présage alléchant pour le jeu en lui-même.



Et pour vos mirettes un dernier shoot du pack dans son intégralité. Le coffret comprend donc la trilogie God of War (jeu et OST), trois cartes postales, un code promo et un artbook ainsi qu'une superbe boîte qui décorera avec goût votre cheminée !


Cette Pandora Box est donc plutôt une bonne surprise. La boîte est belle, bien finie et  le contenu joliment présenté dans un écrin façon velours. Le contenu du pack est complet et tient ses promesses, bien qu’il reste plutôt sobre. Si on se réjouit d’avoir l’intégralité du jeu et de l’OST entre les mains, on regrettera peut-être de petits détails comme des pochettes de CD en carton et un « artbook » qui revendique timidement son nom. Le contenu supplémentaire ingame fera, en plus de tout cela, un must-have pour les fans et une bonne affaire pour les néophytes qui n’auraient pas joué aux deux premiers opus. Comptez 159€ en moyenne pour ce pack au prix, heureusement, bien justifié !


Cinéma Dans Ton Cinéma

[DTC] Sorties de la semaine



Je ne vous cacherai pas que cette semaine, entre la Fête de l’Animation, les Croisades d’Unnord, Final Fantasy XIII et God of War, je suis plutôt chargée ! Voici donc en premier plan la danoiserie qu’il faudra voir demain.



Eh non, The Good Heart n'est pas un film d'action...

The Good Heart (Dagur Kari)

Le jeune réalisateur danois nous offre le retour de Paul Dano (There Will Be Blood) aux côtés de notre so frenchie Isild Le Besco (Sade) au sein d’un drame romantique.

Lucas, un garçon marginal et hospitalisé suite à une nouvelle tentative de suicide, rencontre à l’hôpital Jacques, un patron de bar grognon cloué au lit après sa cinquième attaque cardiaque. Sachant que ses jours sont comptés, Jacques décide de prendre Lucas sous son aile. Tout se passe comme il le souhaite jusqu’au jour où April, une jolie hôtesse de l’air un peu éméchée, fait irruption dans le bar et met en danger l’entreprise des deux hommes. Jacques, jaloux et inquiet, va tenter de remédier à la situation à sa façon.

Cette histoire d’amour se lit donc à plusieurs niveaux. Outre celle entre Lucas et April, on devine aussi celle, plus paternelle, entre les deux hommes.

Un drame au grain et à la photographie très particuliers qui devraient plaire aux amoureux du cinéma indépendant.



Site officiel






A voir également :

Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle-Orléans de Werner Herzog (Grizzly Man) n’est pas un remake du film d’Abel Ferrara sorti en 1992 (si l’on en croit le réalisateur) bien que l’histoire campe un contexte similaire. Un flic de la Nouvelle-Orléans (Nicolas Cage) toxicomane et amoureux d’une prostituée doit prendre tous les risques pour la protéger. Une accumulation de problèmes et d’affaires l’amènent à mettre sa vie en jeu dans une terrible épreuve de laquelle il doit se sortir seul. Si l’on en croit les critiques, ce film que l’on n’attendait pas perce l’écran, entre violence et satire, et nous offre à nouveau espoir en Nicolas Cage (c’était pas gagné). Vous pourrez retrouver à ses côtés Eva Mendes et… Val Kilmer !


Enfin, je vous aurais aussi bien parlé du retour d’Harrison Ford dans Mesures exceptionnelles de Tom Vaughan (Jackpot), juste pour la forme et parce que j’adore l’acteur, mais… Vu les critiques, je n’ose pas trop ! Passez votre chemin pour cette fois, donc.


Jeux Vidéo 3

Des nouvelles de Leelh en images, et un rendez-vous demain



Kanjy nous donne des nouvelles du WMORPG Leelh à travers plusieurs images illustrant les nouvelles features tournant autour de l’orientation et du crochetage, ainsi qu’une page de BD de mise en scène de l’univers concoctée à base d’images tirées du jeu !

Voici ce qu’il nous laisse entrevoir de la feature de crochetage (cliquez pour les voir en plus grand) :



Il est possible de crocheter les conteneurs rencontrés en jeu.



Si le crochetage est un succès, vous ouvrez le conteneur.



Il est possible de trouver des morceaux de carte dans les conteneurs.


Kanjy nous en révèle donc un peu plus au niveau de l’orientation et du système de cartes à collectionner (rien à voir avec Magic). Comme on en discutait avec lui, il s’agira d’un trait tout particulier du jeu :


L’orientation dans Leelh

Dans Leelh, il n’existe pas de GPS ! Vous serez livré à vous même dans un monde vaste et dangereux. Cette difficulté assumée à se repérer est bien évidemment palliée par de nombreux points de repère Mais attention, il y aura un moyen de vous repérer dans le monde de Leelh : les cartes ! Les cartes sont des items « utilisables » qui ouvrent une carte en jeu. Elles sont de différentes qualités allant de très peu précise à très complète. Votre position n’y est pas renseignée mais elles vous indiquent les lieux « clés » du monde de Leelh. Vous trouverez ces cartes dans différents conteneurs en les crochetant, forçant ou, tout simplement, en les ouvrant !



Une fois la map trouvée, vous la conservez dans votre inventaire.



Il est possible d'analyser l'item...



Partie de map ouverte en jeu.



La même chose ici. J'aime beaucoup le rendu dessiné sur la map ! On s'y croirait.


Et voilà la page de BD dont je parlais plus haut et qui met tous ces éléments de feature en contexte :



Sachez également que la team 3Dduo tiendra son premier Leelh Chat ce Mardi 16 mars à 18h. Le principe est un peu le même que pour la Leelh Bar sauf que, cette fois-ci, tout le monde est convié à venir discuter derrière son clavier ! La scénariste Clem sera présente sur le chan IRC de Leelh (irc.langochat.net #leelh) pour répondre à toutes vos questions. Si vous voulez de plus amples informations sur le Leelh Chat, foncez ici.